NomWinston-Berry est un patronyme relativement connu aux États-Unis et pour cause, il s'agit d'une famille uppée relativement influente de la société. Prénom(s)Aryëlla est une jolie composition rendant hommage aux matriarches des deux parents Winston-Berry. La jonction du prénom Aryel et du prénom Ella. Son second prénom, quant à lui est Norah et il ne détient pas de signification particulière.ÂgeVingt-quatre ans, l'âge des responsabilités et des changements.Date de naissance Elle est née le mil neuf cent quatre-vingt-douze et ce prématurément étant donné qu'elle était censée arriver dans la mi-mai.Lieu de naissance Elle est née à New York, plus précisément aux États-Unis. Statut amoureux Elle est célibataire. Coeur meurtri par les années et par les aléas de la vie. Il est difficile pour elle de croire qu'elle pourrait éventuellement retomber amoureuse. Ras-le-bol de d'aimer pour, indéniablement, être en fin de compte brisé.Orientation sexuelleHétérosexuelle, éternelle attirance pour la gente masculine avec lequel elle vit une relation basée entre amour et haine.Classe socialeAisée, grâce à sa famille elle détient une fortune frôlant la dérision.Études majeuresMédecine, parce qu'elle veut sauver des vies et faire une différence.Études mineuresBiologie, parce qu'elle aime bien peaufiner ses connaissances.Choix de groupe Student.
STUDENT Bien avant ta grossesse, tu étais dans une confrérie. Seulement, lorsque tu es tombée enceinte, il était clair que tu n'aurais plus assez de temps à consacrer à la vie de ta maison. Alors tu es partie de ton plein gré, en connaissance de cause que tes priorités étaient en train de changer. Avec le recul, depuis que tu ne fais plus partie d'une confrérie, tu réalises à quel point le système est dérisoire. Cette rivalité entre les diverses maisons, tu ne la saisi plus et tu n'y adhères plus.
APRÈS LA BOMBE. Tu étais présente, ce jour-là. Heuresement, tu te trouvais dans un bâtiment où les dégâts s'étaient avérés moindres. Cependant, quelques uns de tes amis se sont retrouvés à l'hôpital. Suite à cet événement, tu as réalisé à quel point la vie était fragile et que le monde était fou. Mais, tu es allée de l'avant comme tout le monde, surpassant l'incompréhension et la peur.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES. Pour être tout à fait franche, tu n'as pas été réellement touchée par cette histoire bien que tu ressentais l'atmosphère relativement lourde. À ce moment-là, ça faisait déjà plusieurs années que tu t'étais dissociée du système des maison et c'est peut-être pour cette raison que tu es restée intouchée. Par chance, le jour de la prise d'otage, tu n'étais pas à l'université. Cependant, en tant que mère de famille, tu as été particulièrement affectée par la situation. C'est la peur au ventre que tu allais en cours avec la crainte de ne pas revenir le soir pour embrasser ton fils pendant un certain temps.
spf
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle spf et j'ai 22 ans. Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à top-site. Le forum est magnifique, actif et ce, depuis plusieurs années ce qui devient assez rare de nos jours alors j'ai décidé de m'inscrire.. J'utilise Julianne Hough comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par #CHEVALISSE. Je fais environ 300-1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ .
Je souhaite ▲ Participer au Summer Camp, en tant que : Summer Camper Vacancier Adhérer un flood d'intégration Je veux être parrainer
La famille Winston-Berry. En apparence, ta famille est la définition de la perfection. Mais, en réalité, il s’agit d’une illusion. Famille fortunée et adulée. Vie désirée et enviée. De l’extérieur, il est presque impossible de déceler le moindre problème. Mais, de l’intérieur, tu sais à quel point tout est synonyme de dilemme. Fille unique, tu grandis dans une famille religieuse . Dans un cadre stricte où les valeurs rendent ta vie un tantinet pieuse. Enfant, tu suivais toutes ses idéologies sans ronchonner. D’un tempérament passif, tu avalais sans questionner. Mais les années passaient. Indéniablement, les choses changeaient. Tes parents, ils finir par comrprendre rapidement que ta foi s’effritait avec le temps. Que tu commencais à perde de l'intérêt, tout doucement. Lorsque tu atteignais un certain âge afin de résonner par toi-même, tu commençais à questionner l’existence de ce saint que tu devais à la base aduler. Toi, tu ne comprenais pas pourquoi tu devais prier. Car, au final tu ignorais si Dieu et toutes ses divinités, elles existaient réellement. Pour toi, la religion, c’est un peu du vent. Malgré tout, tous les dimanches tu continues d'aller à l’église. Par obligation plus que par choix. Car tes parents ils ne comprenent pas ton désamour pour cet être suprême qu’ils semblent vénérer. Alors tu persistes à chaque dimanche à faire bonne figure dans ce lieu sacré. À la base, tu trouves cette situation un peu hypocrite. Car, tu dois faire semblant de croire en quelque chose pour tes parents alors que tu trouves les enseignements utopiques. Alors, ce n’est pas de bon cœur que tu rentres dans cet endroit. Mais, tu le fais, pour eux plus que pour toi. Encore aujourd'hui, ils espèrent qu'un jour tu trouveras un sens aux paroles de cette divinité. Mais, à ce jour, tu ne parviens toujours pas à trouver le moindre sens à tout ça.
if this is love i do not want it
La première fois que ton regard croisait le sien, tu jurais que votre histoire, elle ne rimerait à rien. Après tout, de toi, il était tellement différent. Là où tu aspirais à un futur prometteur, lui, face à un futur incertain semblait rester indifférent. Tu ne sais pas pourquoi et encore moins comment. Car, au départ, ciel et terre, semblaient indiquer qu’il ne deviendrait jamais ton amant. Pourtant, tu es tombée. À travers lui, tu es née. Déjà, au lycée, Adriel possédait une réputation discutable et un tempérament impitoyable. Il était un brin insouciant et inconscient. Si au départ, vous entreteniez une simple amitié, avec les années les choses finirent par évoluer d’une manière inespérée. Votre « histoire », elle débutait véritablement vers la fin du lycée. Les hauts et les bas. Les crises de joie et les crises de jalousie. L’incompréhension du bonheur et la compréhension du malheur. Votre « couple » il était nocif et évasif. Votre « histoire », elle n’était pas officielle. Cette incapacité à verbaliser le « nous » finit par rendre cette situation irréelle. Parce que ce que tu ressentais pour lui était addictif, mais tu craignais que le révéler serait trop agressif. Après tout, il n’était pas du genre à aimer, inconditionnellement. Lui, il préférait flirter et laisser en plan, perpétuellement. De ton côté, tu n’étais pas sûr de vouloir ouvrir ton cœur. Dans un sens, tu avais un peu peur. Ainsi, durant plusieurs mois, tu as prétexté que cette « relation » respectait tes désirs. En fait, ce n’était qu’un piètre mensonge duquel tu ne pouvais guère fuir. Tu as fini par encaisser et ravaler ta fierté. Tenter de suffoquer la douleur que tu ressentais à chaque fois que tu le voyais butiner. Tu le détestais, par moment. Mais, tu n’étais pas mieux que lui, finalement. Adriel. Une adoration éternelle. En lui, tu trouvais bien plus qu’un amant. Tu trouvais, également, un confident. Dans ses bras, tu trouvais un exutoire lorsque tes problèmes familiaux pesaient sur toi. Lorsque les conflits entre tes parents et toi avaient raison de ta joie. Il savait trouver les mots et rendre une situation insupportable supportable. Il avait cette facilité à alléger ton cœur des fardeaux. À faire dériver les moindres maux. Si, cette « histoire » durait un temps, elle finit par s’effriter. Car, ils n’existaient pas, les contes de fées.
rebuild ourselves to be destroyed again
Le choix de l'université. Plusieurs étudiants craignaient cette étape, à la sortie du lycée. Toi, par contre, tu voyais une opportunité. De fuir par l’intermédiaire du choix de ta faculté. À ton plus grand malheur, tes parents freinèrent tes ardeurs. Ils accentuèrent tes malheurs. Car, ils choisirent ton université pour toi. Là-dessus, tu n’avais guère le moindre mot à dire. Tu devais seulement subir. Tu étais en colère. Tu as maudis terre et mer. Mais, au final, tu finis par courber l’échine une énième fois. Les défier, tu ne pouvais pas. Eliot house. Tu la visais cette confrérie. Ta mère, avant toi, appartenait à celle-ci. Elle tenait vraiment à que tu sois acceptée. Cependant, tu as été recalée. Tu pris cette nouvelle mieux que ta mère, car elle était outrée et offusquée. En vérité, tu te fichais un peu de rentrer ou pas. Au final, tu postulais dans cette sororité pour ta mère plus que pour toi. Ton rejet était une source de déception. Pour ta mère, cet échec sonnait telle une humiliation. Suite à ce rejet, fière et droite, tu choisis de postuler dans une confrérie qui correspondait à tes choix. Lors de ta première année, tu effleurais le goût de la liberté, tu participais aux soirées et tu goûtais à une ambiance délurée. Tu jurais que tes années universitaires seraient les plus belles de ton existence. Que tu pourrais profiter d’une jolie insouciance. Mais, cette pensée, elle était erronée. À quel point, il était idiot de jurer. Enceinte, de lui, tu es tombée. En une fraction de seconde, ta vie, elle s’est écroulée. Tu entamais, seulement, ta deuxième année. Tu craignais être incapable de pouvoir assumer cette grossesse et toutes les responsabilités. Pendant des heures, à la salle de bain, tu pleurais. Cette grossesse, tu le savais, elle attristerait et elle décevrait. Pourtant, en connaissance de cause, dans ton esprit il était clair comme de l’eau de roche que tu assumerais. Tu pensais, sincèrement, pouvoir compter sur lui. Qu’il serait un véritable appui. Adriel, le père de ton enfant. Quelle idiotie. Jolie connerie. Il préférait l’avortement à l’affrontement. Abandonnée et engrossée. Du moins, tu avais cette impression. Tu étais bléssée et mortifiée. Mais, en dépit de tout, tu faisais face à la situation. Tu affrontais, finalement, tes parents et leurs déceptions. Lorsqu’ils réalisaient que tu avais brisé ton vœu de chasteté, dans leurs prunelles, tu apercevais une parcelle d’incompréhension et d’humiliation. Toutefois, dans ta démarche, ils faisaient preuve de soutien en bons chrétiens. Avec Adriel, les choses s’envenimaient rapidement. Si, ce n’était pas que tu avais encore le fait qu’il voulait que tu avortes au travers de la gorge, le fait qu’il ait le culot de vouloir avoir la garde de ton enfant rendait vos échanges impossibles et incohérents.
Warren. Ton petit rayon de soleil. Pour lui, tu ressens un amour inconditionnel. La première fois que tu croisais son regard, après un dur labeur de plusieurs heures en salle d’accouchement, tu es tombée radicalement sous le charme de ce petit être frêle et innocent. Dès lors, tu savais que tu avais pris la bonne décision en choisissant de garder ton enfant. Mais, une ombre planait sur ta tête et rendait amer ton existence. Le père et toutes ses incohérences. Vous êtes arrivés à un point de non-retour où tu finis par considérer que le seul moyen d’arriver à un accord était de passer devant le tribunal. À la base, il s’agissait de l’idée de ton paternel. Mais, au final, il n’existait aucun autre moyen de parvenir à un accord raisonnable. Tu espérais pouvoir garder ton fils pour toi, l’inverse serait invivable. Si de prime à bord, le tribunal tranchait en ta faveur et accordait seulement un droit de visite à Adriel, ce dernier, il finit par faire appel. De plus en plus, la situation devenait conflictuelle. Au final, un an plus tard, il finit par obtenir gain de cause suite à une promesse de stabilité, le tribunal accordait à Adriel le droit d’avoir ton fils durant les fins de semaines. Cette décision accentuait, envers lui, ta haine. Mais, tu encaissais, silencieusement. Car, tu ne pouvais rien faire, malheureusement. Seulement, tu ne comprenais pas. La raison du pourquoi. Le fait qu’il luttait tellement pour son fils restait incohérent dans ton esprit. Comment pouvait-il seulement aimer quelqu’un qu’il voulait à la base supprimer.
there's no such thing as moving on
Les mois passent et deviennent des années. Bientôt quatre ans qu’il est né. Lui, ton petit Warren, que tu aimes à la folie. Bien des choses changèrent, depuis. Mais, en partie, ta vie elle restait presque identique. D’un côté, la naissance de ton fils bouleversait ta vie, mais pas ton quotidien. Ta vie, elle est encore loin d’être idyllique. Encore aujourd’hui, tu vis sous l’asservissement de ta mère et de ton père. Tu tentes, perpétuellement, de faire bonne figure, mais tu le sais, cette tentative est éphémère. Cependant, tu comptes beaucoup sur eux afin de jongler avec tes responsabilités. Afin de garder la tête hors de l’eau avec toutes ses nécessités. Récemment, tu viens d’emménager dans un appartement. Gracieuseté de ton paternel, évidemment. Autrement, tu poursuis encore tes études de médecine, sans problème. Déterminée, en dépit de ta grossesse, tu as parcouru ses dernières années universitaires sans majeur dilemme. Académiquement parlant, du moins, tu n’échouais jamais un semestre. Car, tu as continué et priorisé tes études, en dépit de toutes les entraves que tu rencontrais au cours de ton cheminement. Tu as toujours lutter afin d’exceller, évidemment. Parce que la médecine est une branche que tu aimes, sincèrement. Quant à ta relation avec Adriel, elle est toujours inchangée. Plusieurs non-dits restent en suspens et tu le sais. Du moins, de ton côté. Tu ne parviens jamais à trouver la force de lui dire ce que tu ressens. Que ce soit vis-à-vis de la garde de votre fils que de votre relation. Tu sais, au fond, que votre « histoire » elle est bel et bien terminée, mais quelque part, tu ressens toujours un vide, au creux de ton cœur. Car, votre passé, tu es incapable de l’oublier. Certes, tu peux prétendre le détester, mais au final, jamais tu ne pourras complétement oublier. Faire un trait sur votre passé. Même si tu veux effacer à jamais toutes ses choses que tu as un jour appréciées. Toutes ses facettes de lui que tu as aimées détester et que tu as détestées aimer. Pour le moment, vos rapports restent cordiaux, mais tu ne sais pas si ça peut éternellement durer.
@Maëlys Helington merci beaucoup. je suis encore en réflexion, mais si tu me payes, je pourrais peut-être prendre ma décision plus rapidement.
@Charline J. Granger merci et que dire sur la belle emmy ? elle est si belle et malheureusement si peu vue sur les forums. je te garde un lien au chaud, avec plaisir.