If you're dreams don't scare you, they're not bif enough PV CECILIA (a)

C H A R L I N E A N D C E C I L I A
If you're dreams don't scare you, they're not bif enough ★★★
Un sourire, un seul sourire avait suffi pour rendre ma journée un peu plus joviale. La nuit dernière restait encore dans mes esprits, mon corps se délectait de ces dernières caresses, de ces derniers baisés. Sloan avait redoublé d’efforts et j’avais été conquise à la minute même ou j’avais dépassé la porte de la salle de bain. Un sourire niais s’affichait sur mes lèvres tandis que j’étais à ma répétition habituelle. Sloan avait pris de l’espace en très peu de temps dans ma vie. Et il était impossible pour moi de garder un semblant de concentration ce matin. Je n’étais pas concentrée et rien ne semblait vouloir rentrer. J’étais à des milliers de kilomètres de la salle de répétition. Un nouveau sourire se dessina sur mes lèvres tandis que mes coéquipiers me regardèrent bizarrement et je finis par leur dire très naturellement. « ça ne sert à rien que je sois ici ! Il faut que j’aille faire quelques choses.» quelque chose de bien plus important. Sloan m’avait vendu du rêve et j’avais comme un besoin pressent de lui rendre l’appareil. Cette folle idée venait de me traverser l’esprit. Je posais mon regard sur la seule Éliot du groupe et lui fis très naturellement : « Tu connaîtrais pas un super magasin de sous vêtement .» Ma question pouvait surprise et son regarda ne manqua pas de me faire rire. En tant que parfaite bleue, elle se devait de connaitre ces lieux. Elle m’afficha un petit sourire surpris et m’indiqua une boutique qui se trouvait dans la célèbre ruelle marchande de Boston. Parfait. En faisant un petit signe de la main, je partis en direction du magasin. Je ne réalisais pas encore très bien dans quoi je m’embarquais mais ma détermination était là. J’allais lui offrir ce qui avait de plus simple. Une Charline avec de sublime sous-vêtement à en faire damner plus d’un. Je ne mis pas longtemps à rejoindre le magasin. Mon regard se porta sur la vitrine. Un vrai tableau qui s’offrait devant moi, les sous-vêtements étaient parfaitement mis en valeur. Je m’arrêtais devant la porte et finis par rentrer. Je n’étais pas habituée à ces lieux mais je n’étais pas non plus une étrangère. Je n’étais peut-être pas riche mais jouer la riche ne me dérangeait pas. J’avançais vers les premiers sous-vêtement. Ils étaient vraiment tous magnifiquement, subtilement mon regard se porta sur une magnifique blonde qui comme moi semblait vouloir faire plaisir à un garçon. Je me mis à sourire et très naturellement je lui fis. « On veut faire plaisir à quelqu’un ? » mon regard se tourna vers elle pour lui faire un sourire amusé. Je regardais ce que j’avais dans les mains avant de grimacer. « C’est bizarre hein, mais j’ai limite l’impression que je rentre même pas une fesse » dis-je en rigolant.

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Charline & Cecilia

Depuis que je faisais la gueule à mes parents et que je n'avais pas des nouvelles de mon fiancé outre mer, je devais occupée mon temps. La session universitaire était terminée et mon dieu que je m'ennuyais. J'avais besoin de passer une journée à me changer les idées parce que je ne pouvais pas rejoindre mon meilleur ami Landry alors qu'il y avait quelqu'un qui ne quittait pas mes pensées: Sabian. Depuis qu'il avait débarqué comme un dingue en menaçant de s'en prendre à Andrew, on avait dérapé, chose qui s'était jamais produite entre nous depuis qu'on se connaissait et sérieusement, je n'arrivais pas à m'enlever cette soirée de la tête. Il avait été si furax, si glacial...j'avais risqué gros et pour ma défense, j'avais été faible. Résultat: presque un remake de Mr. et Mrs. Smith dans mon appartement. Je devais oublier ce regard, ce sentiment de perturbation alors la meilleure thérapie possible: le shopping. Ca faisait quelques heures que je me baladais en me donnant l'objectif de faire mal à ma carte bleue. La boutique de sous-vêtement attirait mon attention, je réprimais un sourire et pensait à voix haute: ''Bon le paradis m'appelle, pardonnez-moi mon père parce que j'ai pêché...''. M'achter des dessous affriolants, c'était une thérapie et surtout j'aimais pousser le degré de sexitude le plus loin possible, après tous les mecs ne s'étaient jamais plaint de mes achats ici. Je m'arrêtais à une table ou la dentelle attira mon attention et disons que c'était mon arme de prédilection préféré. Je passais ma main pour toucher le tissus des images de Sabian me hantant la tête, je fermais les yeux et je pouvais revoir ses lèvres contre les miennes. Une voix me sortait de ma rêverie, je lui souriais en espérant ne pas avoir eu l'air trop stupide: ''Peut-être bien, j'aime bien avoir des munitions avec moi.''. Je regardais ce que le magasin offrait et souriait devant sa réaction, elle ne semblait pas une habituée de la boutique. Je riais à sa remarque: ''J'ai le même en rouge, inquiète toi ton popotin passerait...excuse-moi mais tu ne sembles pas familière avec la boutique ou je me trompe? Un mec à impressionner?''. J'aimais jouer les entremetteuses pour combler mon insuccès amoureux.

(c) toxic heart.

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C H A R L I N E A N D C E C I L I A
If you're dreams don't scare you, they're not bif enough ★★★
Je détaillais chaque produit, tous aussi sublimes les uns et les autres. Mes doigts effleuraient avec légèreté les tissus. Ils s’arrêtèrent sur une pièce noire. Un sublime soutien-gorge que je détaillais. Il ne fallait pas être nez de la dernière pluie pour savoir que ces bijoux avaient un prix. Mes yeux se plissèrent, ces choses ne me ressemblaient tellement pas. Pourtant les choses étaient un peu plus différentes depuis hier soir. Je l’appréciais pire encore je tombais amoureuse de lui. Il fallait croire que le Bushnell me rendait plus attendrissante. J’avais envie de lui plaire et ces sous-vêtements étaient l'élément principal de ma petite surprise. « Peut-être bien, j’aime bien avoir des munitions avec moi.» elle n’avait pas tort, c'était toujours bon de savoir que vous aviez ce pouvoir charnel sur votre compagnon. C’était une chose plaisante et elle avait bien raison de l’entretenir. Je l’étais aussi mais disons que mes sous-vêtements se limitaient à du simple et du basique. Rien d’extravaguant qui vaille le détour ou qui marque les esprits. « Eh bien il faut croire que j’ai envie de faire pareil ! Avoir des munitions avec moi.» dis-je en rigolant. J’avais envie de faire fantasmer Bushnell voire même de le surprendre. « J’ai le même en rouge, inquiètes-toi ton popotin passerait... excuse-moi mais tu ne sembles pas familière avec la boutique où je me trompe ? Un mec à impressionner ?» La voleuse aurait été plus subtile. La véritable Charline en revanche était littéralement perdue entre les tissus. Je me mis à grimacer. J’étais démasquée. « On dirait bien oui... disons que j’ai quelqu’un à surprendre.» dis-je en rigolant et en reposant l’article que j’avais entre les mains avant de reporter mon attention sur la blonde. « Et tu as raison... je connais pas grand-chose. On va dire que je reste dans la simplicité» dis-je en me montrant du doigt. La simplicité était une chose importante chez moi seulement aujourd’hui un peu extravagance n’allait pas faire de mal. « Dit moi, tu sembles connaitre le magasin. Et je t’avouerai que j’aurai vraiment besoin de conseils. Tu peux pas m’aider ?» dis-je en souriant doucement. Je reportais mon attention et prit un soutien-gorge blanc. « Sa par exemple ? tu penses que ça m’irait ?» dis-je en doutant légèrement. Et bien la Charline sûr d’elle était à des milliers de kilomètres aujourd’hui.

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Charline & Cecilia

Je pourrais passer littéralement des heures dans cette boutique à trouver les parfaits sous-vêtements pour rendre dingue n'importe quel homme qui voudrait avoir la chance de passer une nuit dans mes bras. C'était mieux que des préliminaires, tout se transmettait dans le choix de matériau qui allait servir à mettre en valeur les courbes du corps féminin. Mes doigts trouvaient facilement des soutifs qui allait me mettre en valeur, de la dentelle au tissu de cotton très doux ou toucher, même aux trucs qui était presque transparent tellement que cela laissait place à la vue de la peau, je trouvais mon bonheur et mettait mes trouvailles dans mon petit panier pour la caisse. Je souriais à la nana, elle était trop jolie et je me disais que sa ne pouvait être que bénéfique de la voir dans ce genre de boutique: ''Tu es au bon endroit en tout cas! Au fait, je suis Cecilia mais tout le monde m'appelle Cece.''. C'était plus formel comme sa. J'étais capable de l'analyser et j'aurais pu parier milles dollars que j'aurais raison. C'était mon devoir de lui venir en aide. ''Si tu veux, je suis la femme qu'il te faut !! Ahhh j'ai déjà une tonne d'idées pour toi!''. Je hochais la tête quand elle disait être simple, c'était bien de l'être mais en dessous, j'étais sûr que son popotin méritait un peu plus d'attention, sa serait l'effet surprise qu'elle pourrait avoir pour le mec de ses rêves. Je souriais à pleine dents: ''Ca me ferait plus que plaisir! Tu peux pas demander à mieux comme personne!''. Elle me pointait un soutif blanc et aussitôt je hochais la tête négativement: ''Oh mon dieu ma chérie, non! Tu es pas une mamie allez viens!''. Je l'attrapais par la main pour l'entraîner vers le fond du magasin et dans une section assez prometteuse: ''Bienvenue dans la cour des grandes ma jolie alors parle-moi de celui qui t'amène ici aujourd'hui.''.

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C H A R L I N E A N D C E C I L I A
If you're dreams don't scare you, they're not bif enough ★★★
Le désir se cultivait et j’espérais bien pouvoir impressionner l’Eliot avec ces quelques sous vêtements. Ma surprise se dessinait lentement dans mon esprit. Elle allait être parfaite, aussi parfaite que la surprise qu’il m’avait fait. Ma raison avait été doucement bousculer pendant cette soirée, il avait su remettre de l’ordre dans mes priorités et s’était aujourd’hui à moi de faire des efforts. « Tu es au bon endroit en tout cas ! Au fait, je suis Cecilia mais tout le monde m’appelle Cece.» ces rencontres imprévus ne me ressemblaient pas. J’aimais apprendre des autres avant de les aborder. Une habitude qu’il était difficile d’oublier. Mes vices ne pouvaient pas être oublier. J’étais une voleuse et mon esprit s’était peut être conditionner depuis quelques temps. Je n’en restais pas moins la fille futé et maligne qui arrivent facilement à piéger les autres. Je me mis à sourire et naturellement je lui fis : « Enchanté cece, moi c’est charline.» dis-je en hochant la tête. La jeune femme détaillait avec minutie les articles qui se trouvaient devant elle. Elle connaissait tout sa, moi je nageais tête baisser dans une eau trouble. Subtilement, je lui demandais un peu d’aide. Les choses devaient être parfaite et Cecilia allait être d’une grande aide. Elle semblait d’ailleurs heureuse de pouvoir participer au plan que j’allais mettre en place. Mon sourire s’étira un peu plus en voyant qu’elle avait déjà des idées me concernant. Prions prions le seigneur. Je lui montrais ensuite un soutient gorge blanc et rapidement elle me le prit pour le reposer. Mauvaise pioche Granger. « Oh mon dieu ma chérie, non ! Tu es pas une mamie aller viens !» une mamie ? depuis quand les choses simples étaient devenue mémérisante. Elle me poussa doucement vers une autre pièce avant que je ne lui dise en marchant. « Mais il était pas mal celui là non.» elle leva les yeux au ciel et rapidement je me mis à rire. Et bien Cece, heureusement que tu n’étais pas dans mon tiroir. Elle m’entraina dans une pièce un peu plus intime et mes yeux s’ouvrirent en grand. « Bienvenue dans la cour des grandes ma jolie alors parle-moi de celui qui t’amène ici aujourd’hui.» mes bras se croisèrent contre moi. De la lingerie fine et érotique s’offrait à moi. Un vrai paradis pour ces messieurs. Je m’avançais dans la pièce et finis par lui dire : « Celui qui m’amène ici...» je me mis à rire avant de tourner le regard pour me pincer les lèvres et je finis par dire : « et bien il est très particulier. J’ai envie de lui faire plaisir. Hier, il m’a fait un jolie cadeau d’anniversaire et j’aimerai lui prouver moi aussi que je suis capable de le surprendre en portant ces choses» je me mis à grimacer avant de finalement porter mes mains à mon visage presque honteuse. La charline sur d’elle était tellement à des kilométré d’ici. Plaire à un garçon ne me ressemblait tellement. « j’ai tellement pas l’habitude de tout sa et j’ai envie d’être parfaite. Je sais que ces choses vont le faire plaisir. J’en suis persuadée. Aide moi cécilia »

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Charline & Cecilia

Pour moi, faire plaisir à un mec en lui offrant un spectacle visuel à la hauteur de la confiance de la nana en question était un truc pour charmer son homme, l'avoir autour de son petit doigt et le manipuler comme un pantin, chose qui semblait difficile avec Charline. Je lui souriais quand elle se présentait, les rencontres imprévues, sa ne me dérangeait pas tant aussi longtemps que je ne tombais pas sur des tarés ou des hystériques qui croit que je leur pique leur copain parce que ce dernier a posé les yeux sur moi et non le contraire hein, c'est pas mon genre de voler les copains, d'habitude les petits amis rampent à mes pieds pour que je sois leur sacrifice de l'ultime pêché de l'adultère parce que les nanas n'avaient pas su vendre du rêve comme je pouvais le faire. Charline avait l'air d'une nana super sympa et elle était très jolie, je ferais n'importe quoi pour aider une fille qui avait besoin d'aide niveau sous-vêtements, sa me causait aucune gêne et surtout, sa me faisait plaisir si mon petit coup de main pouvait l'aider à gagner le zi...le coeur de son mec même si ce dernier devait sûrement l'aimer pour ce qu'elle était, le côté physique était simplement la cerise sur le gâteau. Je l'entraînais vers le fond du magasin, la cour des grandes filles quoi. Je riais alors qu'elle marmonnait qu'elle aimait bien le soutif blanc: ''C'est pour les fillettes de 16 ans qui attendent leur première fois avec impatience.''. Pour bien me guider, j'avais besoin d'en savoir plus sur celui qui faisait battre son coeur, qui était celui qui faisait qu'elle voulait augmenter le jeu à une partie plus physique. Je déposais mes sacs d'achats par terre et m'asseoyais à côté d'elle sur le banc près de la salle d'essayage. Je lui tapotais la cuisse en riant, elle était mignonne quand elle rougissait: ''Mais c'est mignon tout sa, il doit être un mec génial. On va s'assurer qu'il puisse voir la femme fatale qui sommeille au fond de toi et qui attend que tu la libères comme une tigresse.''. Ok je pouvais être intense mais je savais de quoi je parlais. Je pris son visage entre mes mains et lui dit: ''Je suis venue à ton secours jeune padawan, que le travail commence.''. Je me levais et aussi tôt, je me dirigeais dans tous les sens, prenant des dessous plus affriolants et sexy les uns que les autres. ''Ah oui, parfait pour faire augmenter le désir.'', je prenais un ensemble noir dentelle avec un corsage magnifique. ''Avec sa, il te vénère comme Cléopâtre.'', oui le rouge c'était une couleur gagnante. ''Avec sa, tu le fais baver d'envie de ton corps.''. Un ensemble qui avait un porte-jartelle, vive le style burlesque. Je remplissais mes bras et en donnait la moitié à Charline tandis que je gardais l'autre. ''Maintenant, on essaie et on y va par élimination. Si tu veux, je t,accompagne et je prends la cabine à côté. Tes prête?''.

(c) toxic heart.

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