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What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others.

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C H A R L I N E  A N D C O L E
What the superior man seeks is in himself; what the small man seeks is in others. ★★★
Les choses s'étaient enchaînées à une vitesse folle depuis quelques temps. Ma vie défilait sous mes yeux et je ne contrôlais plus rien. Aujourd'hui, j'avais décidé d'aller marcher un peu. La soirée d'hier soir ne semblait pas porter atteinte à ma motivation. Je devais sortir de ce lit, il était grand temps pour moi de m'aérer l'esprit. Mon regard se tourna instinctivement vers mon réveil. Il était tôt, trop tôt. Tant pis. L'esprit encore légèrement embrumé, je m'étais habillée en tenue de sport. L'air frais et la tranquillité de cette ruelle allaient devoir me faire un peu de bien. Les soirées s'étaient accumulées depuis le retour de mon père et mon état se détériorait de jour en jour. J'étais devenue fidèle à l'image que renvoyait la famille Granger. Une vrai épave. Je marchais tranquillement tandis que mes yeux lutaient contre la lumière du soleil. Les ruelles étaient encore relativement calme, les commerçants ouvraient doucement leurs magasins et mon regard s'attardait sur ces visages inconnus. L'inconnu m'avait toujours fait peur et aujourd'hui encore plus que qu'autrefois. Qu'allait être l'impact de Carl - mon père - dans ma vie. Allais-je réussir à combiner mon bonheur avec lui. Ces deux choses avaient toujours été incompatible. Carl ne supportait pas de me voir sourire. Il aimait foutre le bordel et il y arrivait à la perfection. La naïveté de ces belles paroles m'avaient toujours poussé à reculer dans mes efforts. Il savait y faire. Il me connaissait malgré tout. Mes bras se croisèrent contre mon corps. La solitude était à la fois pesante et apaisante. Étrange hein. J'avais au moins la sensation de ne blesser personne. Mon visage se releva pour croiser un regard familier. Cole. Ces derniers temps, le vol ne faisait plus partie de mes activités extra scolaire. J'en oubliais même mes arrières. La prudence était un art qu'il était important de savoir manier et aujourd'hui mes problèmes me trompaient. Son regard s'attarda sur moi. Bien différente de la dernière fois, je n'avais plus rien à voir avec la riche bourgeoise dont il avait eu envie et dont j'avais abusé. J'étais charline. La véritable charline. Je me stoppais, prête à prendre la fuite. Mon regard analysa l'endroit ou je me trouvais. Il fallait que je sorte de son champ de vision et très vite. D'un mouvement contrôlé et rapide, je fis demi tour pour accélérer le pas. Pas aujourd'hui ! Non, je n'avais pas envie de régler mes comptes avec lui. Mon regard se tourna en arrière. Il me suivait et accélérait la cadence. " Et puis merde ! " à ces mots, je me mis à courir pour échapper à son emprise. Il ne tarda pas à me poursuivre aussi, la course poursuite dura quelque minute avant de sentir brutalement la main de l'étudiant sur mon épaule. Il m'avait rattrapé. Il m’obligea à m'arrêté et méchamment je lui fis : " QU'EST QUI A ? " dis-je en gardant mes distances.
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De l’air. Sortir de là. De la Eliot House. De cette chambre où elle avait laissé son empreinte, quelques affaires, et son odeur partout, son parfum flottant dans les draps, sur mes habits, même l’air de la pièce semblait s’en être imprégné… Kyla était partie quelques jour auparavant et j’étais dans une espèce de léthargie sans fin. Qu’aurais-je pu dire pour la retenir ? Lui offrir cette exclusivité qu’elle désirait tant mais que je n’étais absolument pas certain d’être capable ? Peut être que c’était mieux ainsi, peut être qu’il fallait que je l’oublie. Cette fille avait le don de me retourner la tête et voilà donc comment mes pas m’avaient mené ici… Et comme un divertissement parfait pour me changer les idées, le destin posta devant moi ma séduisante voleuse. Mon regard s’attarda sur une Charline bien différente de celle de mon souvenir, celle qui dans sa robe haute couture hors de prix m’avait suivi jusque dans ma suite pour m’y assommer et me dérober mes biens. Nos prunelles se rencontrèrent un instant, la surprise luisant dans mes yeux, doutant presque de l’identité de la brune. Mais pourtant, je lus dans les siens une légère lueur de crainte révélatrice que je ne me trompais pas, que je l’avais bien reconnue. Elle fit volte face rapidement, avançant en sens inverse et accélérant le pas, sans doute pour mettre le plus de distance possible entre nous mais, réactif, je la suivis, augmentant moi même la cadence, me mettant à courir au moment où elle choisit également cette option et après quelques minutes, arrivant à sa hauteur, je la stoppai de ma main sur son épaule. Se retournant vers moi, ce fut elle la plus gênée, me lâchant un –qu’est qui a- agressif. « Qu’est-ce qui a ??? Qu’est-ce qui a ?!? Mais tu te fous de ma gueule Charline ! » m’énervai-je en m’approchant d’elle, réduisant la distance qu’elle avait prudemment laissé entre nous. « Enfin Charline, je dis ça, mais si ça trouve ce n’est même pas ton prénom… » lançai-je en la jaugeant de haut en bas avec un air dégoûté en découvrant son allure qui n’avait plus rien de chic. « Elle est où ? » Ma Rolls, j’entends. Le fric dérobé, ma montre et les quelques bricoles, ça passait encore. Mais ma voiture, bordel, ça, je ne m’en remettais pas.
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Mes yeux croisaient les siens. Je n’étais vraiment pas d’humeur pour des excuses ou des explications. Cole avait été une de mes victimes, une lointaine victime que je n’avais pas hésité à dépouiller. Argent, voiture et même bijoux. Je m’étais servis de mes talents de séductrice pour m’attaquer à ce qui m’avait toujours intéressé chez lui. L’argent et le pouvoir. J’avais ruiné son amère et je l’avais rabaissé. Ça ne m’étonnait pas qu’il veuille des explications ou pires reprendre ces droits sur ce qui l’appartenait. « Qu’est-ce qui a ? Qu’est-ce qui a ? Mais tu te fous de ma gueule Charline ! » Cole connaissait mon prénom. La seule chose que j’avais vraiment voulu lui révéler sur moi. Il ne me connaissait pas et ces paroles n’avaient été que des illusions. Du baratin sorti de nulle part ou d’une imagination un peu trop développé. Il s’approcha de moi tandis que je reculais. Hors de question de t’avoir trop près de moi Cole ! « Enfin Charline, je dis ça, mais si ça trouve ce n’est même pas ton prénom...» mes yeux se plissèrent et ma tête se pencha avant de lui cracher ces paroles. « Et alors ? fait pas celui qui s’intéresse à mon véritable prénom ! T’en a rien à foutre Cole !» c'était la pure vérité. L’argent, le pouvoir et les femmes étaient son terrain de jeu. Les futilités comme le prénom ne comptaient pas. « Et pour info, sois ravie, c’est la seule chose qui a de vrai dans ce que je t’ai dit !» dis-je en haussant les sourcils. Il continua à se rapprocher de moi, réduisant encore l’écart tandis que je luttais pour rester loin de lui. « Elle est où ?» mon regard se fronça. Bien sûr,’il parlait de sa voiture et sincèrement, je n’avais aucune idée d'où pouvait bien être sa voiture. Je l’avais volé mais je n’avais pas été celle qui en avait profité. Je décidais d’arrêter de reculer pour croiser mes bras contre moi. « Je n'en sais rien... aux mains d’un pauvre de Boston sans doute ! Démerde toi, tu n’as pas eu de mal à m’amener dans ta chambre. Tu n’auras pas de mal à retrouver ta voiture » dis-je en le regardant fixement. Je ne comptais pas bouger. Allez Cole que vas-tu faire ? me faire bouffer le gazon ? 
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Elle était là devant moi, s’écartant alors que je m’approchais, mais pas de peur dans ses yeux, malgré la rage qui devait transparaitre dans les miens. Non, le pire dans l’histoire, c’était qu’elle était la plus gênée, la plus en colère, la plus agressive de nous deux. A ma remarque sur son prénom, Charline, qui était probablement faux comme tout le reste, elle répliqua que je n’avais pas à feindre l’intérêt là dessus, puisque j’en avais rien à foutre. « T’as tord Charline, il me faut ton nom… Pour mieux me venger… » Une sorte de sourire étira mes lèvres alors, menaçant, inquiétant… On ne s’attaquait pas à l’égo d’un Wildingham comme ça, sans récolter de représailles. Je m’approchai encore davantage, la questionnant sur la localisation de ma voiture par un –elle est où ?- bien évasif mais qu’elle comprit très bien. Portefeuille, liquide, bijoux, rien à battre de tout ce qu’elle avait pris dans ma suite. Mais ça, non, ma Rolls on n’y touchait pas. Elle se figea, croisa les bras sur sa poitrine et me toisa pour mieux me répondre qu’elle n’en savait rien, surement aux mains d’un miséreux de Boston. Un frisson me parcourut l’échine alors que j’imaginais ma précieuse voiture abandonnée dans les bas quartiers de la ville. « T’en as fait quoi ? » Emplafonnée dans un mur ? Abandonnée des une ruelle désaffectée ? J’imaginais le pire. Mais la voleuse souligna la facilité avec laquelle je l’avais attiré dans ma chambre. Oui j’avais sorti le grand jeu ce soir là, réception clinquante, musique à la demande, champagne à flot… Ca avait surement du trahir les moyens dont je disposais. « Je vais la retrouver oui, mais dans quel état… » Je n’étais pas matérialiste, mais ma Rolls c’est… sacré. Alors comme elle ne bougeait pas, je m’approchai un peu plus d’elle sans perdre mon air menaçant, la poussant vers un mur contre lequel mes paumes s’ancrèrent pour l’emprisonner de mes bras. « Tu cherches quoi en faisant ça Charline ? Tu crois que tu vas t’en sortir ? Que je vais en rester là ? Tu sais à qui tu t'es attaqué...» J'avais le bras long et beaucoup de ressources comme elle avait pu le constater, alors pourquoi avais-je l'impression que ma colère la laissait complètement indifférente.
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Mon corps s’était rétractée reprenant l’écart qu’il s’entêtait à vouloir réduire. Cole était énervé et son comportement traduisait l’envie irrésistible qu’il avait de me tuer. « T’as tord Charline, il me faut ton nom... Pour mieux me venger...» son sourire espiègle s'étira et mes yeux se plissèrent. Cole reprenait son rôle de dominant et souhaitait m’effrayer. Ces paroles ne provoquèrent même pas un soupçon de frison chez moi. Je n’avais pas peur de lui et mon regard le traduisait. Un sourire forcé s’afficha sur mes lèvres. Il voulait jouer ? me pousser à bout ? et bien jouons Wildingham. Je me mis à rire rien que pour l’énerver un peu plus. « Mon nom... ? soit ravie de connaitre déjà mon prénom, Cole Smythe Wildingham ! » simple petite provocation de ma part. Mes recherches m’avaient pousser à connaitre tout de lui ou du moins l’essentiel. Cole était encore très loin derrière moi et j’allais en profiter. Je gardais toujours mes distances prenant soin d’écouter chaque parole qu’il avait à me dire. Allez déballe ton sac ! Il insista un peu plus en me reposant cette fameuse question « T’en as fait quoi ?» je n’avais aucune idée d’ou avait bien pu atterrir sa voiture et en toute sincérité je me fichais bien de tout sa. Je restais muette. Attendant patiemment qu’il continue. Cole était dans sa lancé. « Je vais la retrouver oui, mais dans quel état...» je me mis à soupirer avant de lever les yeux au ciel. Je n’avais jamais vraiment bien compris l’intérêt qu’on pouvait avoir à chérir autant une voiture. Sa n’en restait pas moins une voiture et Cole était de ceux qui pouvait se permettre d’en acheter une dizaine. Il s’approcha de nouveau de moi avant de me pousser contre un mur. Il posa ses paumes sur le mur, m’emprisonnant. Mon regard le soutenait. « Tu cherches quoi en faisant ça Charline ? Tu crois que tu vas t’en sortir ? Que je vais en rester là ? Tu sais pas à qui tu t’es attaqué...» ma mâchoire se serra et mon regard dévia du sien. « Pourquoi tu m’emmerdes pour une voiture Cole ? tu peux t’en acheter 20 des comme sa !» dis-je en lâchant mon poisson. Je me mis à sourire provoquant un peu plus l’éliot. « Ce que je cherche à faire ? c’est fermé ton claper de petit bourgeois qui se croit supérieur aux autres ! Tu piétines les misérables ! Sa fait quoi d’avoir la sensation d’avoir été duper par une voleuse et en plus de sa une pauvre Cole ? va y, je suis curieuse de savoir.» dis-je en rapprochant mon visage comme pour lui montrer que je n’étais pas intimider. « Et c’est la première fois que je te le demande mais pousse toi.» première et dernier avertissement Cole. 
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 Menaçant, je m’avançais et elle, elle reculait, je proférais des menaces et elle me riait au nez. L’insolence même cette fille. « Tu ne vas pas rire longtemps… » Mais à la rigueur, j’étais presque prêt à tout oublier, l’affront, son rire moqueur, le vol du contenu de mon portefeuille, tout ça pourvu que je récupère ma Rolls. MA Rolls. Pas une Rolls, pas un autre exemplaire sorti de l’usine avec un numéro de série quelconque. Non, je voulais mon véhicule à moi. Mais ça la dépassait, elle ne comprenait pas et m’en fis part. « Peut être qu’il y avait de l’or sous mes sièges de cuir… » m’amusai-je à lui répliquer, comme pour la faire regretter d’avoir lâcher ma précieuse automobile dans la jungle bostonienne, comme pour la dégoûter d’être passée à côté d’un plus gros magot. La vérité ? Pas de trésor caché. Juste un profond attachement à cette fichue caisse. Comme si se lier aux objets était plus simple pour moi que se lier aux gens. « Tu ne m’as pas dupé, tu ne m’as pas eu, tu n’es rien Charline, rien du tout… » m’énervai-je avant de souffler. Non ne perds pas ton calme Cole, tu n’as pas encore tout ce qu’il te faut. Parce que visiblement, je ne retrouvais pas ma voiture. RIP ma Rolls, je devais me concentrer désormais sur ma petite vengeance. Si je perdais mon calme c’était fichu. Et je me sentais capable de l’étrangler sur place. Elle approcha son visage du mien, me demandant alors de me pousser. « Qu’est-ce que tu comptes faire sinon ? M’assommer encore ? » questionnai-je en me souvenant du mal de crâne qui m’avait poursuivi plusieurs heures après mon réveil dans ma suite dépouillée. « Qu’est-ce que tu m’as fait d’ailleurs ce soir là ? Comment tu t’y es pris ? » Raconte. Raconte. Confesse un peu plus tes crimes ma chère. Parce que si elle pensait que c’était physiquement que j’allais m’en prendre à elle, c’est qu’elle avait mal étudié mon sujet. Cole Wildingham ne se salissait pas les mains lui même voyez vous. C’était sur autre chose que je comptais, mon téléphone dans ma poche, que j’avais actionné discrètement pour enregistrer l’ensemble de ses aveux, espérant ainsi obtenir une jolie preuve à conviction contre la jeune femme.
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 « Tu ne vas pas rire longtemps...» un sourire provocateur s’afficha sur mes lèvres. Il était irrité et son regard le trahissait. Il avait à cet instant même envie de me tuer. Ces mains le titillaient. Elles s’étaient écrasés lourdement sur les deux côtés de ma tête. Il ne me faisait pas peur, j’avais vu bien des choses et Cole n’était rien du tout comparer à tout sa. Blésé d’avoir été dupé, son visage reflétait une profonde amertume et envie de vengeance. Je ne lui répondis rien et il me fit : « Peut-être qu’il y avait de l’or sous mes sièges en cuir...» mon regard se fronça à ces paroles. Il n’avait décidément rien compris. L’argent ne m’avait jamais vraiment attiré. L’adrénaline et le besoin de remettre de l’ordre me poussaient à voler. L’argent n’avait rien à voir là dedans. Ma tête se pencha sur le côté et je finis par lui dire : « Tu es décidément plus abruti que je le pensais. Si l’argent m’intéressait autant pourquoi aurais-je donner cette voiture à un pauvre sans abri de boston ? hein ? réfléchis deux secondes.» mes sourcils se haussèrent. Ecoute bien Cole. Informe toi sur mes manières d’agir. Par la suite, il rapprocha son visage pour me siffler ces paroles sanglante. « Tu ne m’as pas dupé, tu ne m’as pas eu, tu n’es rien Charline, rien du tout...» en temps normal ces paroles auraient pu avoir un effet sur moi. Elles auraient même pu me détruire si ces paroles étaient sortie de la bonne bouche. Cole n’était personne et elles n’arrivaient même pas à blesser mon égaux. Un sourire s’afficha sur mes lèvres en voyant qu’il commençait à s’énerver. « Alors oublie moi connard !» dis-je en lui chuchotant ces paroles. Oublie moi et je continuerai à n’être rien du tout. En réalité, je me fichais bien de ce qu’il pouvait penser de moi. Il était énervé et Cole avait redescendu de quelques étages depuis notre dernière rencontre. Gentiment ou presque, je lui demandais de se dégager. « Qu’est-ce que tu comptes faire sinon ? M’assomer encore ?» c’était une idée même si le cou de pied bien placé pouvait être une aussi bonne option. Mon regard le fusilla et mon sourire se dissipa. « Qu’est-ce que tu m’as fait d’ailleurs ce soir là ? Comment tu t’y es pris ?» mon regard détaillait le visage de l’éliot avant de finalement lui lâcher en rapprochant une nouvelle fois. « Tu les vois ces lèvres.» un sourire léger suspendu « Tu apprendras à t’en méfier ! Les putes cachent toujours bien leur jeu en attendant j’ai eu ce que je voulais de toi. Tu es tombé et tu ne t’es pas relevé ! Fin de l’histoire l’ami.» brusquement, je le poussais en arrière pour m’échapper de son emprise. En le poussant son téléphone tomba par terre lourdement. Mon visage se porta sur l’objet et mes yeux se plissèrent. « Tu m’as enregistré ?»
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  J'essayais, agacé de la voir me tenir tête, ne pas montrer un soupçon de peur alors même que je proférais mes menaces, de lui faire croire qu'elle avait manqué un gros pactole. Peut être qu'ainsi, prise de regret, elle me conduirait tout droit à ma précieuse voiture. Mais avec un ton provocateur, elle me traita d'abruti. Je soufflai, mes narines se fronçant, prenant sur moi pour ne pas céder à toutes les pulsions violentes que son attitude attisait en moi. "C'était quoi le but alors Charline ? Me donner une leçon ? Me rabattre le clapet ? Me voler la seule chose à laquelle je tenais vraiment ?" Bien joué, aurais-je presque pu dire. Parce qu'elle avait vu juste en me dérobant ma Rolls, même si j'avais de quoi m'en racheter plus d'une, ce n'était pas la même chose. Je m'y étais attaché à cette bagnole. Mais ce n'était pas le message que je voulais lui faire passer. Je ne voulais pas lui laisser entrevoir à quel point elle m'avait atteint, à quel point elle avait vu juste. C'était la faire trembler, la faire flipper, la faire pisser dans sa culotte même... Lui faire perdre ce sourire insolent qui s'accrochait irrémédiablement à ses lèvres. "Moi aussi, tu sais, je peux te faire perdre le seul truc auquel tu tiens vraiment..." Et à cette pensée, c'est mes lèvres qui s'arquèrent dans un sourire machiavélique. On allait y arriver, on s'en approchait mais avant, alors qu'elle me demandait de dégager, il fallait que je lui arrache des aveux. J'en vins donc à évoquer sa technique pour me mettre hors jeu lors du recel. Ses lèvres, elle s'approcha, me les montrant de près, me conseillant de m'en méfier avant de lâcher qu'elle avait eu ce qu'elle voulait. Sourire victorieux aux lèvres. J'avais ce que je voulais, c'était dans la boîte. Je n'eus pas le temps de me réjouir qu'elle me poussait violemment, faisant tomber mon téléphone. Je le ramassai précipitamment alors que méfiante, d'un coup, elle devinait mes plans.  "Vol, atteinte à l'intégrité physique, tout ça avec préméditation, ça peut aller loin ça... Surtout quand on a de solide preuve à l'appui." Je jubilais, je jubilais. Et faisant appel à mes souvenirs de cours de droit, je partis dans une prédiction de ce qui l'attendait : " Un an, deux ans peut être même trois ans d'emprisonnement si j'insiste bien sur les migraines qui me poursuivent depuis ce jour..."ajoutai-je en surjouant un air torturé , ma paume venant un instant se poser sur mon front. Je fis ensuite un pas en arrière, j'avais ce qu'il me fallait, je n'avais plus besoin de rester près d'elle, mais avant de m'en aller, c'est sur mes précédentes menaces que je revins : " Je te l'avais dit Charline, je t'avais prévenue : je peux t'enlever la seule chose à laquelle tu tiens vraiment : dis au revoir à ta liberté..."
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