Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility When anger rises, think of the consequences pv TOBIAS
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When anger rises, think of the consequences pv TOBIAS

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C H A R L I N E  A N D T O B I A S
When anger rises, think of the consequences. ★★★
Affalé sur la table du jardin, mes bras soutenait ma lourde tête. La musique vaguait tout autour de moi. Les étudiants s’arrêtaient quelques secondes sur mon état pitoyable avant de vaguer à leur occupation. L’ignorance m’allait parfaitement. Cassez-vous tous. Je ne voulais pas être dérangé. J’avais une nouvelle fois trop abusé de l’alcool. Les choses s’étaient pourtant adouci dernièrement dans ma vie avant que mon père ne décide de repointer le bout de son nez. Il avait une nouvelle fois tout gâché. Mes efforts se voyaient piétinées par mon comportement pitoyable. Je ne contrôlais plus rien et mes seules envies étaient d’être seule. Gérer mon père était une horreur. Mon regard était perdu dans le vide avant de subitement prendre mon téléphone. J’avais besoin de parler, besoin de lui parler. Sloan me manquait terriblement et ce rapprochement à la cave n’avait fait qu’accroitre ce manque. Mon regard était trouble. Je clignais des yeux pour enlever cet épais nuage brumeux avant de déverrouiller mon téléphone. La lumière du téléphone me faisait mal et sans trop savoir pourquoi j’ouvris mon instagram. Les premières photos n’attiraient pas mon attention avant de tomber sur cette photo. Mes sourcils se froncèrent avant que je ne me redresse de sur mon siège. Ma gorge se serra et les larmes menaçaient. L’alcool m’empêchait de penser sereinement et la peur s’empara de moi. Sloan s’amusait avec cette fille et moi, j’étais ici ! Sans trop comprendre, mon téléphone vola dans l’air frais pour s’éclater violemment dans le gazon. Les regards s’étaient tournés vers moi. « Je vous emmerde ! » très subtile Charline. J’étais furax, triste et désemparer de ce que je venais de voir. Je me redressais pour pouvoir me lever, c’était sans compter sur le taux d’alcool que j’avais dans le sang. Ma tête se mit à tourner et mes mains recherchèrent un appui quelque chose. Sans trop comprendre, mes mains se rattrapaient au bras qui s’offrait à moi. Mon regard se releva et il tomba sur celui de Tobias. Tobias ? mon sang se glaça. Un autre homme que j’avais fait souffrir. Calmement je lui fis : « qu’est-ce que tu fais ici ?» instinctivement mes doigts se resserraient sur son poignet. Je ne voulais pas qu’il parte, même s’il était préférable pour lui. « j’ai tout ruiné encore...» mon regard était triste et l’alcool me faisait dire n’importe quoi. Les filtres n’existaient plus. « Il est avec cette pouffiasse et moi je suis là » ma tête se baissa et je fermais mes yeux. Mes mains resserraient encore un peu plus les poignets de l’étudiant. Le pauvre il devait avoir mal. « je suis désolé... je t’ai faits du mal. Je fais du mal à tout le monde. Je suis comme ça, je changerai jamais et c’est bien que tu sois loin de moi.» dis-je en bafouillant. Bah alors Charline ! L’alcool ne te réussit vraiment pas !
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When anger rises, think of the consequences. ★★★
Une nouvelle vie s'offre à moi. Tout reste à construire, je dois planquer mes vieux démons au placard pour pouvoir l'accueillir sans l'effrayer. Je dois m'échapper de ce campus au risque de devenir dingue. Hier soir, j'ai pris quelques affaires et j'ai migré à Boston, dans mon appartement secret. J'ai lu un bouquin de psychologie très intéressant puis j'ai écrit, j'ai écrit dans un de mes innombrables cahiers fabriqués en Italie. Ces livrets comprennent mes pensées les plus angoissantes comme les plus heureuses. Lorsque mon cerveau en est arrivé à sa limite, et que mon estomac s'est réveillé, je suis sorti pour me chercher de quoi me sustenter. Je sais très bien cuisiner mais je n'en avais pas la force. J'arpente les rues de la ville, balançant la tête à droite et à gauche, laissant mon odorat me guider. Je traverse un quartier à la réputation paisible mais un drôle d'attroupement m'intrigue. J'entends crier sur un ton monotone et délié, je m'approche par curiosité, comme à mon habitude. Je me faufile entre les personnes, trébuche légèrement et me fait capturer mon poignet. La voix perçue quelques secondes auparavant reprend, je baisse la tête et me retrouve face à face avec une très bonne amie d'antan. À vrai dire j'en avais fait le deuil depuis sa disparition soudaine. J'étais tombé amoureux de cette fille, je croyais que c'était réciproque lorsque nous avions franchi le cap de l'amitié mais apparemment, j'avais été naïf. Charline baragouine à propos d'un autre mec puis elle s'excuse avec une face pitoyable. " Je m'en tape complètement de tes excuses, si tu as conscience de tes actes misérables c'est déjà un bon point. " répondis-je en l'aidant à se relever. " Et vous tous, allez voir ailleurs, MAINTENANT " criais-je en me retournant vers les spectateurs les plus fouineurs. Quand tout s'apaise, un nouvel élément perturbateur entre dans ma vie, c'est dingue ! Je ne peux pas m'empêcher de voler au secours des âmes perdues, c'est plus fort que moi. Même si elle m'a arraché le coeur, je me sens toujours obligé d'aider. Charline empeste l'alcool, son visage est barbouillé de maquillage. " Tu veux pas manger un bout ? C'est ce que je comptais faire en sortant avant que je te croise durant une de tes crises d'alcoolique " lui adressais-je, une main sur son épaule -histoire de la rassurer-. J'ignore encore dans quoi je m'embarque, cette fois-ci, je vais tenter d'être prudent.
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When anger rises, think of the consequences. ★★★
Tout bon raisonnement s'était envolé, j'étais dictée par cette colère et ce désespoir qui naissaient en moi. Mes mains s'agrippaient au bras de l'étudiant. Tobias était devant moi et il était hors de question de le laisser partir une nouvelle fois. Je l'avais blessé et ce soir, je comptais me rattrapé par des paroles. Les excuses ne me ressemblaient pas et il me fallait une bonne dizaine de verre pour enfin mettre des mots sur ce que je lui avais fait. Je l'avais blessé comme tout les autres. Et ce soir, je me sentais coupable. " Je m'en tape complètement de tes excuses, si tu as conscience de tes actes misérables c'est déjà un bon point. " Mes sourcils se froncèrent. Ne piétine pas mes excuse Walsh. J'étais peut-être bourrée mais mon infime conscience savait encore ou se trouvait ma fierté de Granger. Il m'aida néanmoins à me relever. Tout était très lourd. Mes mouvements ne suivaient pas et seul ces bras musclés m'empêchaient de ne pas tomber. Le regard de Tobias s'attarda sur les personnes qui nous entouraient. Moi, je m'en fichais. Je plissais les yeux comme pour m'aider à me concentrer sur son visage. Il n'avait pas changer. Ces années d'éloignement et d'absence ne l'avaient pas changer d'une goutte. Il était resté le même, fidèle à ces principes. Des principes que j'avais oser piétiner. " Et vous tous allez voir ailleurs, MAINTENANT " son ton était agressif et je ne pu retenir une grimace lorsqu'il se mit à oser la voix. Tout était quadrupler. Les son, les gestes... tout. Une de mes mains tenaient son bras tandis que l'autre se portait à ma tête. Bordel que j'avais mal à la tête. Je perdis l’équilibre une deuxième fois avant d'être une nouvelle fois rattrapé par Tobias. Mon doigt se porta à ma bouche et je lui fis : " Chuuuuuuuuuuut tobiiiiiiias... tu vas réveiller les voisins. " mais bien sûr charline.. Le monde se dissipa autour de nous et l'air frais venait de nouveau se plaquer contre mon visage. Bordel que sa faisait du bien. Je fermais les yeux en inspirant bruyamment avant de reporter mes deux mains sur ces bras. Mes yeux vitreux se posèrent une nouvelle fois sur l'italien. Il me regarda et finit enfin par dire rapidement. Trop rapidement pour mon esprit ralenti. " Tu veux pas manger un bout ? C'est ce que je comptais faire en sortant avant que je te croise durant une de tes crises d'alcoolique " un sourire s'afficha sur mes lèvres en comprenant ce qu'il venait de me proposer. Mon ventre criait famine et je l'avais combler avec ce liquide. Stupide Charline. Je lui fis alors en rapprochant mon visage et lui dire en chuchotant. " Jeeeee veuuux manger une pizza ! " la pizza qu'on avait toujours l'habitude de manger ensemble. Voilà des années que je n'étais pas retourner dans notre restaurant. Celui qu'on aimaient. " je payyyyeeeee si tu veux... je dois avoir de l'argent quelques part." dis-je en fouillant maladroitement dans mes poches de jean. Rien du tout à part quelques papier pas très important. " rhaaan bah non... j'ai plus rien ! j'ai tout dépenser Tobias ! Au piiiiiiire on la vole ? " mais bien sûr. J'affichais un grand sourire à Tobias contente de pouvoir le retrouver pour ce soir. Mine de rien l'étudiant m'avait atrocement manqué.
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When anger rises, think of the consequences. ★★★
Affronter l'ivresse demande énormément d'énergie. Charline est carrément insupportable, je vais devoir jouer au gros lourd malgré moi. " À mon avis, ils vont vouloir t'expulser avec ton bordel. " lui répondis-je en zieutant la façade des maisons derrière elle. La brune est toujours aussi éméchée et tenace, elle presse mes poignets et affronte mon regard. Ses yeux ne pétillent plus comme à l'époque, elle parait s'être métamorphosée en zombie. Malgré sa trahison, j'ai de la peine pour elle. Je ne peux pas la laisser déambuler dans les rues dans cet état. J'endosse un rôle de tuteur ce soir et lui propose de quoi se sustenter. Si son estomac se remplit d'autre chose que de l'alcool, peut être que son taux d'alcoolémie se tassera. La brune semble être d'accord pour aller manger un bout, je la trouve d'ailleurs un peu trop enthousiaste. Je subis une avalanche d'exclamations, je ne peux m'empêcher de pouffer de rire. Elle paraît si inoffensive quand elle est inhibée. Mon rire s'estompe lorsqu'elle mentionne le fait de voler notre nourriture. Je fronce les sourcils, ne sachant pas vraiment si elle est sérieuse ou pas. " D'accord pour la pizza, pas d'accord pour le vol " expliquais-je, comme je le ferais à un enfant de cinq ans. Je secoue la tête, déjà exténué par ses bêtises. Je finis par me décontracter, enroulant mon bras autour de sa nuque. " Allez, on va à notre resto préféré ! " lui confiais-je en emboitant le pas. Mine de rien, elle m'avait manqué cette folle. Nous marchons l'un contre l'autre dans les rues, comme lorsque nous étions proches. Je redresse la demoiselle à chaque écart de sa part. Je me demande ce qu'elle devient maintenant. Je rebondis alors sur la confession qu'elle a faite plus tôt, curieux d'en apprendre plus. " Quel est le type qui se fout de toi ? Si ça te pose problème c'est que tu dois vraiment tenir à lui... " déclarais-je légèrement chagriné. Je n'ai pas réussi à lui donner ces sentiments de manque puisqu'elle m'a quitté. Au contraire, j'étais plutôt à sa place à l'époque. Nous continuons notre bout de chemin pour déboucher enfin sur le temple de la cuisine italienne. Arrivés devant, je m'arrête et contemple l'enseigne, nostalgique. C'était une autre époque, désormais révolue, d'autres choses m'attendent, une autre personne en particulier. " Allons chercher notre pizza. Une préférence ? " lui adressais-je un peu passif et déconnecté. Depuis le temps, ses goûts ont dû changer. Elle n'est plus qu'une inconnue, tout reste à reconstruire. 
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L’alcool rendait tout mes mouvements insupportables. J’en avais mal à la tête et pour le coup Tobias tombait relativement au bon moment. Il me rattachait à l’idée que j’existais vraiment. « A mon avis, ils vont vouloir t’expulser avec ton bordel.» mon visage se releva rapidement vers lui, trop rapidement d’ailleurs. Mes sourcils se froncèrent avant décrasser ma main sur le visage de mon ancien meilleur ami. « Arrête de dire des conneries !» connerie qui n’en était pas. Dans cette état, je n’irais nulle pas. Les rues étaient donc mon seul refuge. S’en était vraiment pitoyable. Tobias proposa ensuite une bonne alternative. Une pizza. Au simple son de ce mot mon ventre se mit à gargouiller. J’avais besoin de manger. « D’accord pour la pizza, pas d’accord pour le vol.» je fis une moue avant de finalement hausser les épaules. « Tampis... maiiiiis comment on va faire ?» dis-je en faisant une mine choquer et en mettant ma main devant la bouche. J’étais mais complètement bourrer, impossible de contrôler quoi ce soit. Je me laissais aller à ces envies simples et stupide qui passaient dans ma tête. Aucune raison ou analyse ne passait par la. J’étais complètement démunie face à tout ce flot d’alcool que j’avais ingurgité. Il s’approcha un peu plus et enroula son bras autour de ma nuque. Un sourire satisfait s’afficha sur mes lèvres. Voilà beaucoup trop longtemps que je n’avais pas pu l’enlacer. « Allez, on va à notre resto préféré !» mes bras s’enroulaient autour de sa taille. J’avais besoin de sentir qu’il était là. « raaaaaaaah tu sens toujours aussiiiiii bon toooobiiiias !» dis-je en rigolant trop longtemps pour que mon comportement paraisse normal. C’était étrange de le tenir dans mes bras mais franchement pas désagréable. Les bons souvenirs revenaient en tête. Nous marchions tranquillement dans les ruelles de boston. Je me laissais guider par l’étudiant qui m’aidait à marcher convenablement. « Quel est le type qui se fout de toi ? Si ça te pose problème c’est que tu dois vraiment tenir à lui...» ma tête se releva alors qu’elle s’était laisser tomber lourdement sur son épaule. Sloan. Le mec qui me faisait complètement perdre les pédales. Mon regard se releva vers le jeune homme. « je... il a rien fait en faite... il m’a dit qu’il m’aimait et moi bah j’ai fait comme d’habitude. Je le repousse» dis-je en en fronçant des yeux. Hors de question de pleurer même bourrer. « Ma vie c’est de la merdeeeeeeeeee tobias... zeee peux pas lui infliger sa ! Tu comprends ? et finaaleement tu sais, vallait mieux pour toi aussi que tu sois loinnnnnnnnnn, très loinnn de moi !» dis-je en faisant de grand geste avec mes mains. Nous marchions toujours dans cette ruelle. Le temps était long très long avant de finalement nous arrêter devant notre restaurant. Il me demanda ensuite si j’avais une préférence. Je me mis à froncer les sourcils « Tu te fiches de moi ? comme d’habitude ! Tu saiiiis ce que j’aime» ouaiiiiii je n’avais pas changer. Non non. Je m’affaissais sur le comptoir attendant patiemment que le serveur vienne à nous. Tobias commanda ensuite une pizza 4 fromages. Le fromage. (bordeeeeeeel j’ai faim MDRRR) un petit péché qu’il était toujours bon de concilier avec une pizza. « Tobiiiiias...» dis-je doucement. « Je vais m’asseoir.» ouaiiiii s’était une bonne idée. L’alcool me donnait d’affreuse nausée. Je marchais difficilement vers la chaise libre. Les lieux étaient désert voilà pourquoi j’aimais cet endroit. Mes mains soutenaient ma lourde tête et après quelque minute l’étudiant s’installait en face de moi. Mes yeux fatiguaient et je lui fis plus naturellement que tout à l’heure. « Et toi ? Tobias... tu vas bien ?»
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Je n'avais jamais envisagé de laisser de nouveau une place à Charline. En réalité, je la croyais morte, je l'avais enterré mentalement et réellement. Si par miracle, j'aurais dû la croiser à nouveau, j'aurais imaginé nos retrouvailles étranges. Je m'étais trompé, grâce à l'alcool ingurgité par la brune, les retrouvailles se font sans sentiment désagréable. Plus le temps passe, plus je la considère comme une petite soeur ayant dérivée trop longtemps. Je dois la brider, lui évitant ainsi des soucis, du moins pour cette soirée. " Tu as de la chance j'ai du pognon, alors je t'invite " lui répondis-je pour abattre ses plans de vols. Elle est déchirée, je pense même que demain, elle ne se souviendra même pas de moi. Disons que je récolterais assez de fierté pour éteindre la colère envers elle. J'enroule mon bras autour de sa nuque et nous partons à la conquête de notre restaurant favori. J'ai le droit à un compliment de sa part sur mon parfum. Je pouffe de rire, sa voix est déliée, elle ne s'en rend même pas compte. " Et toi tu empestes un mélange de vodka et de bière " ajoutais-je toujours en souriant et en poursuivant sur les raisons de son malheur. Un homme. Un homme qui lui a avoué être amoureux d'elle et qu'elle a repoussé. Mon estomac se noue, je suis étonné de cette sensation, croyant avoir tourné la page depuis un bail. Charline enchaîne en se plaignant, en m'intégrant dans son lot d'erreurs. J'ai envie de me détacher d'elle, de lui crier dessus, de lui faire la leçon mais à quoi bon ? Son état est pitoyable, ça n'arrangerait rien. " On en reparlera devant un bon bout de pizza " lançais-je mal à l'aise avec la discussion. Cela tombait bien, puisque après quelques minutes supplémentaires, nous étions enfin nez à nez avec le restaurant. Je lui demande alors ce dont elle avait envie, ayant oublié ses préférences par réflexe lors de sa disparition. Je finis par me creuser les méninges, optant pour la simplicité, une pizza 4 fromages. Le temps que je passe commande, la voix droguée de Charline me signale qu'elle va s'asseoir. Son équilibre est perturbé par l'alcool dans son sang, je l'observe tituber jusqu'à trouver une chaise. Je secoue la tête, affligé par cette femme que j'ai autrefois aimé. J'ai peur de replonger, tout en sachant qu'elle en pince pour un autre. Une fois la commande passée, je zigzague entre les tables et prend position face à Charline. Je regarde à travers les fenêtres, perdu dans mes pensées. La brune me sort de mes ruminations, me demandant de mes nouvelles. " Ça va. Y a des hauts et des bas, c'est la vie. " balançais-je en soufflant, exténué. En réalité, plus rien ne va, son apparition me perturbe, elle remet en cause mon monde, ma nouvelle conquête du moment. Je crois que je ne la mérite pas, juste avant que je la rencontre j'ai fait n'importe quoi, fréquentant des filles à droite et à gauche pour mon plaisir. Et si ces filles me croisaient dans les rues en compagnie d'Edelweiss ? " Je n'ai jamais pu te comprendre Charline, c'est peut être pour ça que nous deux ça n'a pas marché. C'est uniquement toi qui peut laisser entrer qui tu veux dans ta vie, il serait temps que tu ouvres ta porte, ce type semble assez fort pour ravaler sa fierté, tu devrais le contacter rapidement. Disons que ça ne court pas les rues, et un jour ou l'autre, tu seras toute ridée avec uniquement ton chat et tu t'en mordras les doigts " lui expliquais-je en emmêlant mes mains en un seul poing, le posant sur la table, entre elle et moi. Enfaite, j'ai surtout l'impression de parler pour nous deux. Moi je n'éloigne personne contrairement à elle, c'est justement ça le problème. À force d'accueillir n'importe qui, je vais me retrouver avec que dalle. " Enfin bref, je ne suis pas le mieux placé pour te conseiller " avouais-je en me reculant contre le dossier de ma chaise. Un serveur approche avec notre commande, il la dépose au centre de la table et revient rapidement avec deux bouteilles de Coca. Je le remercie et m'approche ensuite du cercle recouvert de fromage, j'hume l'odeur qui s'en dégage et me lèche les babines. " Bon appétit Chachou " lui adressais-je en me forçant à lui sourire. Je me sens faible, merde. Elle a réussi à me démoraliser. Je dois combler ce vide qui grandit, j'attrape une part de la pizza et croque dedans. Je n'ai pas le temps de refermer la bouche, la pâte est bouillante, j'ouvre en grand ma bouche, implorant de l'aide avec des voyelles. J'avale péniblement la mixture, les larmes aux yeux. Je fonce ensuite sur la bouteille glacée gazeuse, j'en bois une longue gorgée en fixant Charline. " Ai mal " formulais-je en retroussant ma lèvre inférieure.  
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Me perdre en route n’était pas une grande surprise. J’avais souvent prise les mauvaises décisions dans ma vie. Contrainte à ne pas vouloir vivre heureuse, je me mettais bien souvent dans des situations impossibles. Écarter Sloan de ma vie était une nouvelle faute à accrocher à mon putain de tableau de chasse. Je me mis à soupirer. L’alcool me faisait réalisé les choses aussi étrange que cela puisse paraître. J’étais un putain de désastre ambulant. Je posais ma tête sur mes mains attendant patiemment l’arriver de l’italien. Je plissais des yeux pour balayer ce brouillard de ma vision. J’avais vraiment besoin de manger. Mon regard se releva lorsque l’étudiant s’installa devant moi. Un sourire rassurer s’afficha sur mes lèvres, presque apeurer de le voir se défiler. Je n’avais pas envie de le voir partir, pas ce soir en tout cas. Tobias manquait à ma vie et j’avais envie de pouvoir partager une pizza avec un vieil ami. « Ca va. Y a des hauts et des bas, c’est la vie.» sa voix était troublé par quelques choses. Mes sourcils se froncèrent peut convaincu par la réponse de l’italien. Je pris ma fourchette avant de ravaler ma curiosité. L’alcool était peut être présent dans mon système immunitaire mais je n’étais pas assez bourrée pour lui demander plus de détail. Ma curiosité n’avait pas à être assouvi. Je m’étais retirer lâchement de sa vie et ma frustration n’était qu’une punition suffisante pour le mal que j’avais sans doute du lui faire. Prête à enfourner ces quelques part de pizza. J’attendais comme une gamine qu’on me serve. Un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres comme pour détendre l’atmosphère. « Je n’ai jamais pu te comprendre Charline, c’est peut être pour ça que nous deux ça n’a pas marché. C’est uniquement toi qui peut laisser entrer qui tu veux dans ta vie, il serait temps que tu ouvres ta porte, ce type semble assez fort pour ravaler sa fierté, tu devrais le contacter rapidement. Disons que ça ne court pas les rues, et un jour ou l’autre, tu seras toute ridée avec uniquement ton chat et tu t’en mordras les doigts.» ces paroles étaient aussi clair que l’eau que j’avais devant moi. Je posai ma fourchette et mon sourire s’évapora. Tobias n’avait pas tord, en faite, il avait raison sur toute la ligne. Pourquoi avais-je autant de mal à ouvrir cette satané porte ? Sloan était le mec idéal ! Il m’avait sortie ces trois petits mots. Il les avait sortie et je m’étais une nouvelle fois défiler avec un problème qui ne regardait que moi. Instinctivement, je mis mes mains devant mon visage comme pour recouvrir la honte que je ressentais. L’alcool ne faisait rien à mon trouble. Tobias avait eu les mots juste comme toujours. J’enlevais mes mains de sus mon visage lorsqu’il rajouta « Enfin bref, je ne suis pas le mieux placé pour te conseiller.» j’affichais une grimace et je finis par lui dire : « Tu sais bien que si...» dis-je délicatement Tobias me connaissait et malgré les mois d’absence qui nous séparait je n’avais pas beaucoup changer. Mes défauts restaient les mêmes.. « Tu me connais... et je n’ai pas beaucoup évoluer ! Tu a du t’en apercevoir.» dis-je en serrant ma mâchoire. Avant de voir le serveur nous apporter notre commande. La pizza était au milieu. Mon ventre se mit à gargouiller à la minute même ou l’odeur du fromage se dégageait de la pizza. Tobias approcha son visage de la pizza pour mieux la sentir avant de me sortir un bon appetit. Il prit une pizza avant que je n’en prenne une à mon tour. J’ouvris la bouche avant de lâcher une soupire de plaisir. La bouche pleine, je fis : « Boooooooordeeeel....» la meilleure pizza de boston. On ne pouvait pas faire mieux, ces saveurs me rappelaient notre bonne entente. Notre complicité si important pour moi à l’époque. Il fit une grimace. Mon regard le détailla, examinant d’un peu plus prêt le jeune homme. « Tu t’étouffes ? BORDEL TU T’ETOUFFFES !» je lâchais ma pizza prête à lui venir en aide. Il ouvrit la bouche et laisser échapper un soupire. « Tu m’as faiiiiiit peur, t’es bêtes !» dis-je en grognant avant de reprendre ma pizza. « Ai mal !» mon regard s’attarda sur lui et je lui fis : « Bien fait.» dis-je avant de me mettre à rigoler. Cette légèreté retrouvé faisait vraiment du bien. Je continuais à manger, engloutissant rapidement ma première part. Mon ventre criait victoire. L’alcool allait pouvoir se dissoudre un peu. Mon regard se reporta vers l’étudiant et je lui fis : « Tu m’as manqué jolie coeur !» dis-je en souriant bêtement à ce surnom débile que j’avais parfois l’habitude de lui dire. Les effets de l’alcool était encore bien présent. Je ne contrôlais pas mes paroles et je finis par soupirer. « Tout à l’heure... tu as raison ! je crois que j’avais peur de faire entrer quelqu’un dans ma vie... ma vie s’est le bordel pas possible et j’ai toujours cette impression imposer ma vie misérable au autre. J’arrive pas à me l’enlever !» dis-je d’une traite. J’avais besoin de parler et Tobias semblait être le garçon parfait pour entendre mes craintes.

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