Adrianna P. Martinez ► Naya Rivera

C'est le premier jour de l'été 1993 à Miami, et la vie ne fait que commencer pour Adrianna Perez Martinez. Elle est l'aînée de sa soeur qui a deux ans de moins qu'elle. Mais nous ne sommes pas là pour parler de sa soeur, mais bien d'elle-même. On peut dire que la jeune fille eut une des plus belle enfance que l'on peut avoir. Après tout, être la fille d'un directeur général d'une grande compagnie d'avocat apporte beaucoup d'avantage, dont avoir de l'argent comme bon le semble. Elle avait tout les jouets qu'elle voulait. Plusieurs petites filles rêvaient d'avoir le manoir de Barbie, Adrianna en avait rien à faire, elle, elle avait le Chateau de Barbie. Elle pouvait faire tout les cours privés qu'elle voulait, et même les abandonnés quand elle voulait. C'est à l'âge de 6 ans qu'elle développa sa seule et unique passion. La danse. Elle adorait tellement danser qu'elle en rêvait la nuit. Elle disait toujours à son papa qu'elle allait devenir la plus grande danseuse de ballet dans le monde, bien évidement à cette âge, son père ne la prit guère au sérieux.
Si tout c'était bien passer pour la jeune Perez jusqu'à maintenant, tout changea à l'adolescence. Elle était devenu la reine des abeilles au lycée. C'était préférable si on pouvait éviter de la regarder en face. Elle vivait le rêve d'adolescente, elle était populaire, jolie, riche, la capitaine des cherrios et elle était la copine du plus beau gars de l'école, qui était également le quaterback de l'équipe de football. Que demandez de plus? Elle était la pire peste qu'on pouvait connaître, elle bousculait tout le monde, elle riait de ceux qui étaient moins nantis. Elle devenait de plus en plus arrogante à chaque jour, mais tout bascula pour la jeune Adrianna. Sa première rupture fut difficile, et elle tomba de son piedéstal. Étant donner qu'elle prenait tout le monde autour d'elle pour acquis, elle y perdit tout ses amis et se retrouva seule. Elle ne veut pas l'admettre, mais à cette époque, elle avait penser à s'enlever la vie. Elle broyait du noir. Puis, elle appris l'existence de l'alcool et accumulait les histoires d'un soir. Ceux qui la connaissent bien savent que c'était maintenant sa dernière chance de retourner au top de la pyramide. Elle profitait de l'absence de ses parents pour faire des partys '' entre amis '' . Elle finissait toujours saoûle à la fin de la soirée. Elle touchait un peu à la drogue, mais elle aimait mieux boire sa vie. Elle avait trop de pression de partout, à l'école, la danse, et à la maison. Son père voulait toujours qu'elle soit parfaite. Qu'elle devait toujours montrer l'exemple, mais vous savez ce qui se passe quand on met trop de pression sur votre enfant. Il arrive que c'est l'effet inverse. La vie d'Adrianna était très proche de la vie de débauche d'un homme riche ne voulait jamais voir dans sa famille. Avec le temps, la jeune femme se calma un peu, mais il reste que parfois elle se laisse emporter et redeviens la terrible jeune fille qui faisait honte à la famille Perez-Martinez.
- Danser c'est un passe-temps, pas un métier !
- Ah oui? Et dire que je fais des heures supplémentaires, alors que je trompe ma femme avec ma secrétaire, c'est un métier ça papa?
C'était les dernières paroles qu'Adrianna a adressé à son père avant de venir à Harvard. Elle lui avait annoncé qu'elle était accepté ici. Son père était si content de savoir que sa petite fille chérie allait dans la plus grande université en amérique. Il ne pouvait demander plus pour sa grande fille. Par contre, il croyait qu'elle allait étudié en droit. C'est là qu'Adri' le corrigea immédiatement. Elle allait étudier la danse à Harvard et non le droit, comme il l'avait fait auparavant. Monsieur Perez ne comprenait pas. Pourquoi devait-elle choisir entre la danse, qui n'est rien à comparer de devenir avocate. En plus elle aurait un emploi assuré à la sorti de ses études. Elle lui avait bien expliquer qu'elle voulait vivre son rêve, et non celui de son père. Une grosse dispute s'en suit et voilà que maintenant, Adrianna est à Harvard avec une seule idée dans la tête. Prouver à son père qu'il a tord, et qu'elle a raison.