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Roxanne James ► Mélanie Laurent

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Roxanne James

   
Mélanie
   Laurent
Fiche d'identité
Nom James, venu de mon grand père, un ancien dieu de la country.Prénom(s) Roxanne, ma mère l'ayant piqué à l'un de ses écrivains préférés.Âge A l'aube de mes 25 ans.Date de naissance 26 juin.Lieu de naissance Nashville, Tennessee.Statut amoureux D'une liberté sans pareille.Orientation sexuelle Bisexuelle.Classe sociale A la limite des plus faiblesÉtudes majeures Philosophie, un brin de magie.Études mineures Langue française, pour la beauté du pays.Job Musicienne d'orchestre, au violon, plus précisément. Bien qu'on me dise virtuose dotée d'une oreille absolue, et de pouvoir tout jouer.Choix de groupe #1 Student.

   
Student.
 Je n'ai jamais supporté l'idée que l'on puisse me cataloguer. Qu'on me foute dans un moule. Qu'on me colle une étiquette. Qu'on se dise que je suis une pétasse parce que je me traine dans la Cabot House. Qu'on me pense un peu délurée parce que j'aurai choisi les Mather. J'accuse la stupidité de leur cupidité. Cette envie irrémédiable de devenir quelqu'un grâce à ceux qui nous entourent. Ceux qui se complaisent dans le drôle de dicton « dis moi avec qui tu te fais, je te dirai qui tu es. » A dégueuler. Des moutons de Panurge, incapable d'avoir un libre arbitre. Une façon de penser. Androïdes.

   GROUPE 2.
   Student. Plutôt crever que de me voir voguer dans une fraternités.
APRÈS LA BOMBE.
  Il y a des moments durant lesquels on ne se rend pas compte qu'ils peuvent être les derniers. Infimes espaces temps alors qu'on continue à vivre comme si de rien était. A lire, à boire, à se brûler la langue avec un café. J'allais à la bibliothèque, esseulée. Écouteurs dans mes oreilles, dans le monde que moi-même je créer. Réfléchissant aux derniers délires de mon prof de philo, de son côté taré. Et c'est à cet instant là, que j'ai eu l'impression que la terre se mettait à trembler. Même ma musique n'était pas assez forte pour couvrir le bruit, les cris. Mais c'est comme pour tout, on se relève, on a mal un temps. Et on en revient à ne penser qu'à nous, à se croire trop grand.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
   Je n'étais pas réellement là, j'ai surtout tout suivi à la télévision, entre deux gelées dégueulasses qu'on me forçait à avaler, jonglant avec les médecins les premiers mois. De septembre à décembre, je crois. Interdite de bouger réellement. Surveillée. Hospitalisée, le dernier, parce que « Roxanne, sinon, tu vas crever. » Connerie. A chier. Lorsque je suis revenue à l'université, évidemment personne ne pouvait nier le changement, les esprit angoissés. Cependant une fois n'est pas coutume, les jours ont passé, les peurs se sont étiolées, aussi vite que ce qu'elles n'étaient arrivées.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
  Révoltée, en colère contre le monde, mais surtout contre moi. Contre mes erreurs et les démons avec lesquels en permanence je me bats. Je suis dans un autre monde, dans une réalité qui ne se peut exister. Lunatique, je ne saurai dire moi-même qu'elle Roxanne va répondre lorsqu'on s'adresse à moi. Celle qui s'aime, qui a confiance, qui croit. Ou celle qui se hait, se vomit, capable de rester quelques jours en espérant crever. Encline à une certaine bipolarité.


   
Leeloo
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Leeloo/Lo et j'ai 24 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à lui.  Il est toujours là alors j'ai décidé d'avoir un nouveau personnage. Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de A.M. J'utilise Mélanie Laurent comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par riddermark. Je fais environ 500 à beaucoup plus de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ La torture de la fiche de présentation :doh:

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    adhérer un flood d'intégration (?)
    je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

   
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Once upon a time

   
Qui es-tu ? Personne ...
Roxanne James, née à Nashville, le berceau de la country, des artistes, de la vie. Etudiante à Harvard, dans la connaissance des mots, des pensées. Et j'adore rentrer chez moi le soir, glisser dans ma fenêtre et me hisser jusque sur les toits. Modeste, mais roi. Ayant des parents aimant, un peu trop seulement. Un père pas réellement présent, toujours derrière son bar, accouder au comptoir. A programmer des concerts, des talents, il en a tellement découvert. Expert. Et pourtant de son nom il n'en a jamais gratifié ma mère. Elle ? Chanteuse ratée qui voulait poursuivre ce que mon grand-père avait commencé. Elle a rejeté sur mon âme son imperfection. Elle a provoqué la moindre de mes réactions. Et ma propre fuite de la maison. Malgré cela je les aime toujours autant, avec déraison.

Raconte nous … tes premières fois.

L'anorexie.
J'avais douze ans. C'est là qu'on commence, là que le faussé se créer. Se creuse, comme si personne ne pouvait le contrer. Un puis, sans fond. Un abysse. Un enfer. C'est l'axe changeant. Onze ans de futilité, d'enfance biaisé, d'yeux clos face à la dure réalité. C'est à douze ans que l'on commence à se détester. A se haïr. Ne plus se supporter. Vouloir plonger dans le noir, exploser le moindre miroir. On cherche des solutions aux mots de nos mères qui viennent si souvent heurter nos oreilles de presque adolescents. « Tu ne seras jamais assez ... » Bien, jolie, vraiment, et un tas d'autres qualités pour lesquelles parfois les mots peinent à être suffisants. Ils ne sont véritablement jamais assez grands.
La première fois que j'ai voulu me faire gerber. Je me suis ratée, c'était moche, aigre. De la bile, du rien. Du vent. Pourtant, j'avais fait ce qu'il fallait avec mes doigts. Enfoncés dans ma gorge, profondément, en essayant de torturer ma luette pour qu'elle renvoie chaque aliment que j'avais pu ingurgiter. Griffer le fond de ma bouche, du bout des ongles, sentir mes dents creuser sur les hauteurs des jointures de mes phalanges. Recommencer. Vomir pour crever. Pour essayer de m'apprécier. Extrême monstruosité. A la recherche d'un plaisir malsain. D'une délivrance. De véhémence. Un purgatoire organisé que j'ai fini par maîtriser. A la perfection, je me le répétais, à chaque rejet, chaque convulsion. Disparaître semble parfois être une si belle solution.

La France.
C'était l'été, deux ans qu'on m'avait cataloguée de « malade ». De fille qui se perd, qui ne comprend pas. L'importance de la nourriture. De vivre et croquer. Anorexique. Boulimique. Je n'ai jamais écouté. Les termes troubles alimentaires par contre ceux là, je les ai toujours aimé. Je m'en suis même servi, tellement de fois. Pour justifier un je ne sais quoi. Quatorze années d'écoulées et mon premier coma par manque de nourriture à l'intérieur de moi. Estomac évidé depuis quelques jours, je n'avais pas compté. L'idée était venue de ma grand-mère, elle pensait que ça pouvait me sauver. Mais personne ne pouvait le faire, n'y peut encore rien, et même pas le soleil d'un sud de France parfois démodé. Deux mois sans parents, juste entre mamie et moi. Deux mois à me gaver d'aliments sans même les calculer. Huit semaines à l'écouter me dire avec affection « Tu sais combien tu es belle dans cet angle là. » Elle peignait des meilleures versions de moi. M'éternisait à la force de ses doigts. Chaque été, chaque année. Sauf que lorsque je rentrais, même la country de mon père m'achevait. Bloquée dans mon disque rayé.

Le violon.
Il y avait cette étrange délivrance, cette certitude. A la seconde même où j'ai goûté à la délicatesse de l'objet. Avant même de faire pleurer mes accords. Je le savais comme la continuité de mon bras. Quinze ans, c'est tard généralement pour apprendre à jouer. Tous ceux qui s'y connaissent adore répéter qu'il faut le faire à la sortie du berceau, déjà bébé. Il faut que ce soit dans le sang, s'en venir à vivre que pour son instrument. Mon père m'a offert un violon tout en murmurant avec un amour si grand. « Quand tu le pourras, va-t-en. » Ma merveille d'ébène est venue prendre sa place, sous mon menton, à l'aide de l'archet j'en ai tiré les premiers sons. J'ai pensé, de primes abords, un brin naïve que cela résonnait en moi. Que je n'avais jamais entendu quelque chose d'aussi beau que cela. Qu'à faire saigner les cordes,   j'arrivais à poignarder. Faire poindre à mon intérieur le pathétisme de ses douleurs. Passionnée, je n'ai pu m'arrêter. Virtuose en si peu de temps.  

Le sexe.
Seize ans. Je pensais mes hanches trop fines, susceptibles de lâcher. Je pensais mon corps trop maigre, avec la possibilité d'être brisé. Mes seins trop plats, qu'il n'ait rien à quoi s'accrocher. Je pensais même qu'il aurait du mal à se frayer un chemin entre mes cuisses dénudées. Avoir un si gros problème que mon être en serait incapable de se tremper. J'avais du mal à envisager qu'il puisse toucher ma peau, mes os. A l'idée de me déshabiller je préférai celle de vomir encore un peu, pour être certaine de me sentir mieux. D'accéder à cette beauté que personne n'entrevois vraiment. Qu'un homme trouve ridicule tant ce besoin en devient avilissant. Je voulais une chambre parfaite, un hôtel à prix surélevé. Des pétales de roses, de l'amour à s'en gaver. J'ai eu les toilettes d'un bar, plaquée contre une porte, vulgaire prostituée qui se voulait violée. J'en ai crié son prénom lorsqu'il m'a ouverte et que mes autres plaies en sont devenues que plus affreuses à porter. Il avait relevé cette jupe, il avait glissé ses mains. Il a cru que j'aimerai ressentir le goût du tabac voilant sa langue qu'il fourrait en moi, forçant la mienne à l'aimer. Quand il a terminé, il m'a donné une de ses caresses qu'on octroie aux chiens, pauvre putain. Et dans la beauté de mon erreur, j'ai accusé le fait d'avoir aimé la laideur de son intime chaleur.

Harvard.
Lorsque j'ai reçu ma lettre d'acceptation, je venais d'avoir dix huit ans, je n'y ai pas cru. J'en avais foiré des choses avant ça. Intimement persuadée d'être un déchet. Et malgré le maigre héritage que mon grand-père m'avait légué, j'ai décroché une bourse, pas vraiment élevée. Mais elle m'a permis d'écouter les conseils de mon père, de parvenir à me tirer. C'est ma mère qui s'est angoissée, elle disait que j'étais foutue si j'y allais. J'ai ri. Vraiment. A pleins poumons, comme je ne le fais pas souvent. C'était rester qui allait me faire crever. Alors valise en main, voiture de dernière main, j'ai filé avant même que le soleil ne finisse de se coucher. Lorsque je suis arrivée, je ne suis pas allée directement voir mon semblant d'appartement. C'était l'université mon objectif premier. Pauvre fille du Tennessee s'étant traînée jusqu'ici. Mes prunelles se sont posées sur les bâtiments, ont détaillé pendant des secondes et des secondes encore ce infime univers où sont nés tellement de grands. Je ne croyais pas avoir un destin semblable aux leurs, loin de là, et encore aujourd'hui, c'est le cas. Parce que je ne me bats pas contre des résultats, contre un avenir en devenir. Mais contre Roxanne, contre moi. Et à l'instant où je suis arrivée ici, quand mon coeur a stoppé ses battements un léger moment ? Je ne pensais pas y arriver, je me suis juste dit que j'étais à ma place, au moins un tantinet. Avant que l'espoir ne trépasse.
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Roxanne James ► Mélanie Laurent Tumblr_mo2m1o2Lus1s5lf2ro1_500

Quel bon choix Roxanne James ► Mélanie Laurent 535263559227358 ReBienvenue :loukas:

Ps: à l'aube de ses 25 ans... On dirait du vécu Roxanne James ► Mélanie Laurent 535263559227358
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rebienvenuuuue :heaart:
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Rebienvenue Roxanne James ► Mélanie Laurent 2109348208
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bienvenue. Roxanne James ► Mélanie Laurent 1365124802
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Bienvenue Roxanne James ► Mélanie Laurent 3850463188 :ahoy:
Bonne chance avec ta fichounette hanwii
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Bienvenue sur ILH :run:
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bienvenuuuuue et bon courage pour ta fiche Roxanne James ► Mélanie Laurent 2511619667 .
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(re)Bienvenue hanwii
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