Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFaites l'amour, pas la guerre. Tapez vous vos femmes, tapez les pas. + James
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Faites l'amour, pas la guerre. Tapez vous vos femmes, tapez les pas. + James

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— tapez vous vos femmes, tapez les pas.

Cette après midi là, vous avez du voir les affiches partout dans les rues. Il y avait une association de défense des droits de la femme qui faisait un rassemblement dans le centre de Boston pour soutenir les femmes battues. Une immense tente avait été installée avec des centaines de tables et de chaises. Les bénévoles étaient les bienvenus, et comme bien souvent lors de ce genre d’événements, j'avais décidé de m'y rendre. Tout naturellement, j'avais décidé d'y aller en compagnie de James, que j'avais déjà rencontré dans un de ces rassemblements. Sous ses airs de gars froids, cet homme était adorable, surtout lorsqu'il s'agissait d'aider ces femmes qui en avaient bien besoin.
J'étais arrivé à l'endroit un peu avant l'heure prévue. Je suis souvent en retard, je suis même la reine du retard mais lorsqu'il faut aider les autres, je calcule chaque minute et chaque seconde afin de pouvoir être à l'événement en temps et en heure. J'enfilais le t shirt rouge avec écrit "bénévole" dessus et je m'asseyais à une table. On allait accueillir des femmes qui avaient besoin d'aide, de se confier. Souvent elles venaient avec une perruque et des lunettes de soleil afin de pouvoir garder leur anonymat, chose qui était tout à fait normal et compréhensible. J'avais hâte que tout commence et que James arrive, j'allais me rendre utile ce jour là.. Et Dieu sait que j'aime me rendre utile.

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Une amitié sincère.

J'étais le premier à toujours désiré être présent, lors des événements de la sorte. La défense des femmes, me touchait énormément. Suite à la violence de mon père envers ma mère, je m'étais toujours promis d'être à l'écoute et compréhensif auprès des personnes qui en subissaient, pour cause, je suis avocat dans ce domaine, et ô grand jamais, je n'irais changer. Je me prépare, vêtu d'une simple chemise où le premier bouton était ouvert. Il y avait du soleil, et peu de vent, ce qui à mes yeux, était et devait être une bonne journée. Le bas était également simple, un jean noir, serré au niveau des mollets, et une veste en cuire pour changer du costard habituel. J'avais rencontré Giulietta, lors de mon premier bénévolat, et à entendre cette femme, elle aussi, défendait à coeur ce combat tant acharné contre la violence physique et mental. Je l'admirai, pour tout dire, et il en faut beaucoup pour que quelqu'un puisse m'admirer.

Arrivé à l'heure, je jetais un coup d'oeil en direction des personnes qui prient le temps de venir. Et aussitôt, je remarquais la jeune femme. Je m'y avançais à grandes enjambées, un sourire sincère inscrit sur les coins de mes lippes masculines. < Salut Madame Guiletta. Toujours en avance, comme toujours. N'est-ce pas ? > Un faible rire s'extripait de mes cordes vocale, alors que glissais le tee-shirt pardessus ma chemise blanchâtre. Je grimaçais, je devais complètement changer de style, mais je n'en dis absolument rien. Ajustant mes habits, une main passante dans mes cheveux en les rabattants. Mon regard suivait les traits de Giuletta. < Tu veux comment par où ? >
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Ces femmes avaient besoin d'aide, et je suis sûre qu'elles devaient bien être heureuses que des gens s'occupent d'elles, que des gens s'intéressent à elle. Parfois, elles ne savent même pas pourquoi elles sont venues. Parfois, elles sont là parce qu'elles ont besoin que quelqu'un leur dise les choses clairement, quelqu'un qui avait un point de vue extérieur, objectif. Quelqu'un qui ne les connaissait pas.
Je n'avais jamais connu personnellement une femme battue. J'étais bien heureuse non plus de ne jamais avoir vu ça. A la maison, papa était dur avec maman mais jamais il ne la taperait. Et heureusement d'ailleurs, parce que déjà que je trouve que maman accepte beaucoup trop de choses, là ça serait le pompon. Mais papa nous respecte trop, même moi, il a beau me traiter de conne très souvent, même moi il me respectait. Papa avait un amour pour toute la famille, c'était indéniable. Même si il ne se cachait pas de montrer ses petites préférences.
Anyway, j'attendais actuellement James et je le vis arriver vers moi. Salut Madame Guiletta. Toujours en avance, comme toujours. N'est-ce pas ? Un sourire s'afficha sur mon visage et je me levais de la chaise sur laquelle j'étais assise. James! Ca me fait plaisir de te voir! Et oui, toujours en avance pour soutenir une bonne cause. Le voir grimacer alors qu'il mettait son t shirt de bénévole au dessus de sa chemise me fit rire un peu, non je ne me moquais pas de lui. Enfin... si, mais juste un peu hein. Tu veux comment par où ? me demanda t-il. Je repris alors mon sérieux et regardais autour de moi. Soit on va dans la rue faire de la prévention, soit on s'asseoit à une table et on attend que des femmes viennent nous parler, nous demander de l'aide. J'haussais un peu les épaules. Comme tu préfères.

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un sourcil d'une manière vivement exagéré en entendant le rire de la jeune femme, même si intérieurement, j'étais moi-même en plaisanterie. Je gardais ensuite mon sérieux à ces propos, qui me proposait deux solutions. Soit rester ainsi figé sur une chaise, soit combattre la violence en discutant dans les rues. Il me semble que je ne sois pas une très bonne personne pour rester installé sur une chaise et simplement écouter les femmes. Bien que cela soit important, je ne le nie absolument pas. Je racle ma gorge, en happant les feuilles placées sur une des tables devant nous, je lisais attentivement les descriptions en détournant mon regard sur mon amie, qui se tenait à mes côtés. < Je propose qu'on s'avance dans les rues, il fait beau, et il n'y a pas vraiment de vent, alors les gens doivent être de sorti. Je te propose d'y aller avec moi, et de trouver deux autres personnes de prendre place à cette table, histoire de partager le boulot. > Mon sourire revenait, et en me baissant, je remarquais qu'il n'y avait pas énormément de bénévolat, ce qui me faisais réellement rager par cette vision. < Comment ça ce fait qu'on n'est pas beaucoup aujourd’hui ? > Je la questionnais du regard, bien que je me doutais qu'elle-même n'en sache pas plus. Les gens, voulaient changer le monde, les choses, mais ils ne se déplaçaient même pas. La logique des choses, n'est-ce pas ?

Un homme plus âgé venait en notre direction, instinctivement, je me plaçais face à la jeune femme, on ne sait jamais, dans ce genre de regroupement, il peut toujours avoir un fou qui s'apprête à commettre l'irrévocable, et il en n'est dans mon devoir, d'être prévoyant. " Bonjour... Je peux vous posez des questions... ? " Mes traits étaient durs, qu'est qu'un homme faisait ici ? Je scrutais le visage de Giulietta, en essayant de deviner ces pensées. < Que voulez-vous savoir ? > Admettais-je d'une voix distante. " J'aimerais savoir si la jeune fille à vos côtés est libre..." Surpris, je contenais un rire qui menaçait sa présence. Les bras croisés, je m'éloignais de Giulietta, en fixant le profil de la bénévolat. < Giulietta, il y a quelqu'un pour toi. > Dis-je amusement.
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Ce genre de journées passées en bénévolat pour soutenir une bonne cause étaient sûrement mes journées préférées dans l'année. Il était temps de faire quelque chose pour changer les choses et malgré ce que beaucoup de gens peuvent croire, la prévention sert à quelque chose. C'est pourquoi je proposais à James de faire soit dans la prévention et de répondre aux questions des gens dans la rue, soit d'attendre à une table que qu'une femme vienne vers nous. Il me dit très vite qu'il préférait qu'on se lève en allant dans la rue, ce qui était une très bonne idée à vue de la météo qui n'annonçait que du beau. Ensuite, James me demanda comment cela se faisait qu'il n'y avait pas beaucoup de bénévoles ce jour là. Je soupirais, les mains dans mes poches arrières en regardant autour de moi. Je sais pas et ça me désespère. J'espère que les gens sont juste en retard. On peut être fainéant mais quand il s'agit d'aider des gens dans le besoin, il faudrait se bouger un peu. N'est-ce pas? Non mais c'est vrai. Je vais pas blâmer sur la fainéantise dans la vie de tous les jours mais parfois, quand ça vaut le coup, il faut savoir mettre son petit confort de côté et bouger son arrière train pour aider.

On était ensuite sortit lorsqu'un homme d'un certain âge s'approcha. Ca me fit très légèrement sourire quand James se mit devant moi, comme pour me protéger de ce vieux papy. Il était mignon le petit Daniels à être aussi protecteur avec ses amies. J'aimait bien ça moi, avoir un ami qui veille sur toi. J'essayais de voir au dessus de son épaule, entendant que l'Homme voulait me poser une question. Quand James s'éloigna un peu de moi pour que je puisse parler à l'Homme, je souris au vieux monsieur alors que James me disait Giulietta, il y a quelqu'un pour toi. Bonjour Monsieur! Même lorsqu'on défend un sujet grave comme là, on peut garder le sourire. On DOIT même garder le sourire. En quoi je peux vous aider?

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Je scrutais l'homme d'un regard très méfiant. Pourquoi venait-il de la sorte ? C'est insensé. Personne ne venait ainsi, pas un homme, pas comme ça. Je soupirai en levant les yeux au ciel, tout en admirant secrètement Giulietta d'être aussi attentive et très patiente. Contrairement à moi, j'aurai sans doute haussé les épaules et envoyer le vieil homme ailleurs. Qu'importe, lorsqu'il s'approchait de la jeune femme, je ne pu m'empêcher d'intervenir. Je n'aime pas, ce genre de comportement. < Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de l'approcher de la sorte, Monsieur. > Mon sourire se posait sur le coin de mes lippes, alors que nous pouvions entrevoir les traits de la personne face à nous durcir à vue d'oeil. " Je ne parle pas à vous ! Je parle à cette femme ! " Son ton est menaçant presque.. Provoquant. Je sens ma bouche se sécher, ma gorge se nouer. Non, ce n'est pas le moment. Surtout que cet homme me paraissait réellement plus âgé, ou peut-être que c'est le temps, qui n'a pas joué en sa faveur. Je me tais, presque surpris de l'attitude de ce dernier, me trouvant toujours face à Giulietta. < Je pense, que le mieux serait de partir, nous sommes très occupé, si cela concerne des questions au sujet de la violence conjugal, les personnes là-bas, seront disposés pour vous. > Mon visage exprime de l'arrogance, pur et net.

J'ai conscience que mon intervention n'est pas une chose à faire, surtout pas devant autant de monde. Mais en soit, je n'aimais pas qu'on parle.. De sous-entendus avec une femme, et surtout en agissant de manières malsaines et perverses. Elle est mon amie, et je me dois, de la protéger, quelle que soit la situation. L'homme se présente plus raisonnable, en grognant, ou en m'insultant, qu'importe. Il ne se déplace pas vers les personnes que j'ai proposées, non, il se dirige vers la sortie. Comme quoi, mes pensées n'étaient pas toutes fausses. < Il faudra que tu attires des hommes de ton âge. > Je lui offre un clin d'oeil, en signe de pardon. Je me décale, pour lui laisser la liberté qu'elle réclamait, sans doute. < Je voulais pas paraître lourd, j'aime juste pas qu'on te manque de respect. > Je prends quelques feuilles dans mes mains, que je regarde vaguement. Je me comporte toujours ainsi, enfin, avec Nevada, c'est d'autant plus. Je tourne mon regard vers le profil de mon amie, en affichant un sourire plutôt satisfait.
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Je voyais James prendre ma défense face à homme plus âgé qui profitait de l’événement pour me draguer. J'avoue que moi non plus je n'aimais pas ça, on ne drague pas une femme alors qu'on est au coeur d'une manifestation contre les violences conjugales, c'est pire que du non respect à ce rythme là. James se mit devant moi et me défendit comme il pu, et j'avoue que ça m'agaçait un peu mais il avait raison. Et je connaissais mon ami, il faisait ça et ça partait d'une bonne intention, il voulait me protéger. Il était quelqu'un de très protecteur avec ses amis dans tous les cas, mais je l'avais rarement vu aussi agacé. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de l'approcher de la sorte, Monsieur. Je voyais que James s'énervait de plus en plus, alors je tentais de poser ma main sur son épaule pour essayer de le calmer. Hey, ne t'en fais pas c'est pas grave, laisses tomber... Je pense, que le mieux serait de partir, nous sommes très occupé, si cela concerne des questions au sujet de la violence conjugal, les personnes là-bas, seront disposés pour vous. C'est ainsi que l'homme finit par partir, alors que je continuais de serrer doucement le bras de James pour le calmer. T'en fais pas, James.. les hommes sont tous cons de toute façon. J'espérais qu'il allait finir par se calmer, même si je pensais bien que James était capable de se contrôler.

J'avais pas l'habitude d'avoir des amis aussi protecteurs, du coup j'avoue que ça me faisait une sensation toute drôle. Généralement, c'était moi qui tapait sur les gars qui avaient emmerdés mes amis. Je comprenais enfin ce que ça faisait d'avoir un ami.. un ami comme moi, en fait. Il faudra que tu attires des hommes de ton âge. me dit il accompagnant ses mots d'un clin d'oeil avant de se reculer. Oooh, moi c'est pas les hommes de mon age que je veux attirer tu sais bien. Eh beh oui, tout le monde savait bien que j'étais plus moule que frites hein. Je voulais pas paraître lourd, j'aime juste pas qu'on te manque de respect. Je lui souris, penchant un peu la tête. Il était cute quand même. Oui, je sais t'en fais pas. Je commence à te connaître hein. Puis, je frappais dans mes mains, un petit sourire aux lèvres. Allez, on s'remet au travail!

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Finalement, je réussissais à me calmer, à prendre sur moi, et à canaliser cette rage qui montait furieusement. Je soupirai, silencieusement en levant les yeux au ciel d'un air exagéré. Je savais qu'elle préférée cela, mais en soit, c'était plus une phrase pour la taquiner qu'autre chose, et surtout en rapport avec le vieil homme qui s'était précédemment présenté. Je la scrutais du coin de l'oeil, alors qu'elle s'activait dans les tâches à faire. En soit, ce n'était en rien compliqué, ce n'était pas comme géré un cabinet ou autre chose. Je fis le tour de la table, en prenant les prospectus qui mèneraient à plusieurs numéros, ainsi que quelques adresses. Je fixais longuement cela, en me souvenant à quel point l'homme pouvait être dégueulasse. < Allons y. > Je lui signalais d'un geste de la tête, de façon à pouvoir mener une certaine cadence au direction des ruelles à notre disposition. Une main dans la poche de mon jean, je prenais le temps de néanmoins faire la conversation. Après tout, nous sommes ici pour ça, mais il faut bien entretenir une certaine complicité. < Alors, tu n'as rien à me raconter ? > Je posais cette question dans un faible sourire. J'aimais bien, j'appréciais ce genre de conversation, très simple, et pourtant qui dévoilait sans cesse un petit bout de nous. Cependant, en voyant quelques passants, je ne m'empêchais de distribuer les papiers, dans un remerciement honnête et honoré. < Alors les cours ? Tu croises de temps en temps un certain.. Nevada Fox Yolan ? > Ouais, elle n'était pas au courant pour ma bisexualité, contrairement à plusieurs personnes de l’université qui m'on aperçu main dans la main avec cet homme, qui fait depuis quelques mois, parti de ma vie intime et sentimental. Je fronce les sourcils en essayant de paraître distant, quasiment éloigné du sujet que je venais d'entamer. Peut-être que je devrais lui dire, pour moi. Je crois que ça ne lui ferait d'ailleurs, aucune différence.

Mais je préfère me taire, pas pour le moment. Ce n'est pas le bon moment, et le lieu, surtout. Je lui souris, gentiment. En observant droit devant moi. Donnant quelquefois les papiers aux personnes qui me semblaient intéressées. Et quelquefois, je préférai passer mon tour. Le genre de gars racaille qui traînait dans un coin de la rue, n'avait aucunement besoin de ce genre d'information.
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