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SABIOPEA ● Keep your best wishes, close to your heart and watch what happens

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Le regard glacial, Sabian ne clignait presque plus des yeux. Obnubilé par le spectacle qui se jouait devant lui, il n'arrivait pas à y croire. La musique allait fort, il y avait beaucoup de monde et cela semblait le perturber. Certes il ne fallait pas grand chose pour le faire entrer dans une de ses légendaires crise de psychopatimania. Mais là, c'était quand même abusé. Le jeune homme s'humidifia les lèvres à la recherche d'une infime partie de calme en lui. Il était bouillant et si une bonne trentaine d'étudiants ne le séparait pas de ce qu'il voyait, il aurait déjà retourné la boîte de nuit. Machinalement, il apporta son verre sur le bord de ses lèvres et bu la moitié du contenu, d'une traite. Il n'en revenait pas. De base, il était venu ici pour passer du bon temps avec ses potes, il était loin de s'imaginer qu'il allait tomber sur elle. Son rythme cardiaque allait vite et sa respiration commençait à s'emballer. Calliopéa se trouvait à quelques mètres de lui, debout sur une petite scène en train de danser. Forcément, elle était très légèrement vêtue. Ah la salope. Comment avait-elle pu lui cacher une chose pareille ? Sabian était hors de lui et commençait petit à petit à perdre le contrôle de lui-même. Bien entendu, il avait bien fumé avant de venir, cela n'arrangeait rien du tout à la situation. La Lowell ne semblait pas l'avoir vu, elle continuait son show tranquillement. Elle dansait de façon subjective et laissait apparaître ses formes généreuses à la vue de tous. Une poitrine généreuse, un dos délicatement cambré et des fesses rebondies. Un vrai régal pour la vue. Certains hommes vendraient père et mère pour pouvoir goûter à sa peau légèrement sucrée. Sa longue chevelure retombait sur ses épaules. Sabian aurait pu prendre du plaisir à la regarder se déhancher sur le rythme endiablé de la musique. Mais c'était sans compter sur une jalousie abusive malsaine entre eux. Calliopéa se trémoussait sur une petite scène et tout le monde trouvait ça normal. « Pas mal la blonde hein. » lui dit alors l'un de ses potes. Sans chercher à comprendre, Sabian tourna rapidement sa tête sur son pote. Sans doute avait-il remarqué la façon dont l'étudiant la fixait. Il fronça les sourcils et serra sa mâchoire avant de prendre la parole sur un ton agressif et cynique. « Mais ferme ta gueule toi ! » Il n'était pas content et il fallait être aveugle pour ne pas s'en rendre compte. Son pote leva les yeux au ciel et se recula de Sabian. Pas étonnant quand on voyait sa gueule. Il avait les traits tirés par la colère, il ne rigolait pas du tout et semblait prêt à exploser. En réalité, c'était exactement ça, il luttait pour ne pas entrer dans une colère noire et foutre le feu à la boîte de nuit. La soirée avec ses potes se transformait petit à petit en un véritable cauchemar. Le beau brun se leva brusquement de la banquette où ils étaient tous installés. Il mit ses mains dans ses poches pour éviter de montrer aux autres qu'elle tremblaient. Le regard toujours rivé vers Calliopéa qui ne semblait pas capter le regard insistant de Sabian sur elle. Alors que le jeune homme pensait que la situation ne pouvait pas être pire, il vit un homme s'approcher de sa blonde et poser sa main sur son mollet. « Putain. » grogna-t-il en enlevant les mains de ses poches. Son sang net fit qu'un tour et il déboula sur la piste de danse en direction de la petite Scorsese. Il poussa deux trois étudiants sur son passage et arriva enfin à sa hauteur. Il fit jarter brusquement le mec qui avait osé poser sa main dégueulasse sur elle. Le gars recula sous la violence du geste et tomba directement en arrière. Sabian leva la tête vers Calliopéa qui exhibait littéralement son petit cul. « DESCENDS ! » Il ne lui demandait pas, il lui ordonnait. Sabian était en rage et était clairement prêt à tout saccager sur son passage. Elle allée descendre de gré ou de force.
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Une femme dangereuse, une femme fatale, c’est ce dont tu es lorsque sur scène, ce que tu dois être. C’est ce que tu as toujours été après tout, cette femme inaccessible, sûre d’elle, endurcie par la vie et à qui rien ne résiste ou presque. Lorsque tu entres sur scène comme à cet instant, tu dois te mettre à nu devant des hommes pour les faire rêver. Tu dois montrer tes formes généreuses, leur donner envie de te glisser quelques pourboires que tu t’empresseras de cacher avant que ton patron n’arrive et te rafle la mise. Ces mecs assoiffés de chaires ne se doutent pas de ce que tu as vécu, de la raison de ton dandinement quotidien en petites tenues, ils sont loin d’imaginer que tu en as dans la cervelle mais aussi dans les poings, que ton corps n’est pas qu’une machine à faire baver les hommes. C’est l’heure de ton entrée en scène, comme chaque soir tu as dissimulé ta tenue légère sous un long manteau assez classe qui te donne un air faussement riche. La musique démarre et tu démarres en trombes, le sourire aguicheur sur le coin des lèvres, après tout tu es une excellente actrice, sourire devant des gros porcs qui ne veulent que mordre ta chaire, tu sais faire. Tu secoues tes boucles blondes teintées de brun, tu te déhanches sur cette musique entrainante. Tu sens les regards aiguisés suivent chaque courbe de ton corps. Dans ces moments-là tu ne peux pas te sentir belle, tu te sens uniquement comme un gigot devant un loup qui n’a pas mangé depuis des années mais tu t’en fous, cela fait tellement longtemps que tu fais cette activité que tu passes outre les regards gênants. Les lumières des spots te donnent terriblement chaud, ils propulsent leur lumière sur ton épaisse couche de maquillage dissimulant des coups qu’on a pu te porter à ce niveau. Tu es douée pour cacher des choses, tellement douée… Tu enlèves une couche, puis tu en fais tomber une seconde que tu balances dans le public. Tu ne vois même pas si la salle est bondée à cause des lumières qui t’aveuglent, tu sais juste que comme tous les soirs, la boîte bat son plein. Tu t’approches alors de la barre de pole dance et tu commences à faire des acrobaties, tu es souple, tu te démerdes extrêmement bien tu es parfois même très impressionnante aux dires de certains hommes ayant assisté au spectacle. Tu effleures à nouveau ta peau douce et tu effeuilles encore une partie de celui-ci jusqu’à ce qu’un mec un peu trop entreprenant décide de monter sur scène et de t’attraper le mollet. Tu perds alors ton sourire tout en posant ton regard sur lui, l’envie te démange, celle de lui enfoncer ton talon de quinze centimètres en plein milieu de son front mais tu serres les dents et tu ne dis rien, il ne faut pas que tu fasses de vagues, les videurs sont là pour virer ce genre de mec. L’instant d’après, le mec en question se retrouve propulsé derrière et avec un sourire satisfait que tu ne gardes que quelques secondes, tu reprends ton chaud. Mais l’instant d’après une voix rauque se fait entendre, brisant presque les notes de musique pourtant violentes. « Sabian qu’est-ce que tu me fais bordel, dégage ! » Tu l’as reconnu, son visage aussi tendre qu’agressif. Ton sang ne fait qu’un tour et la foule commence à se demander ce qui se passe. Tu essaies de reprendre le fil de ton spectacle mais il n’a pas l’air décidé à te laisser bosser. Il monte sur scène, attrape ton long manteau par terre et t’oblige presque à le mettre, te tirant ensuite vers le bas de la scène. Tu serres tes lèvres et lui assènes un coup au visage, ce n’est pas la première fois que vous en venez aux mains, bien au contraire, entre vous c’est d’une violence extrême. « Laisse-moi tranquille merde ! » Tu plantes ton regard dans le sien, tu ignores si tu dois le supplier qu’il ne fasse pas de vagues ou si tu dois être énervée contre lui, sa connerie pourrait te coûter ton seul financement actuel.
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Sabian ne supportait pas la scène qui se déroulait devant ses yeux. C'était un véritable calvaire et Calliopéa semblait prendre un malin plaisir à mettre ses nerfs à rude épreuve. Elle venait d'enlever délicatement et sensuellement ses habits les uns après les autres. Mais jusqu'à où était-elle prête à aller ? Il était fou de rage et heureusement qu'il avait accepté cette petite soirée entre potes. Sinon, il n'aurait jamais su que sa blondinette montrait ses fesses à de parfaits inconnus en manque de sensations fortes. Le jeune homme ne mit pas longtemps avant de débouler devant la scène et virer l'inconscient qui avait posé la main sur elle. Sabian était de nature très possessif et là, il avait l'occasion de le prouver aux yeux de tous. La jalousie atteignait son paroxysme. Il était hors de contrôle et cela pouvait se lire dans son regard. Sans chercher à comprendre, il avait demandé à Calliopéa de descendre de cette putain de scène. Bien entendu, elle ne semblait pas être du même avis que lui. Evidemment, cela aurait été trop facile sinon. La Scorsese envoya bouler l'étudiant. Elle était agressive mais il ne pouvait pas lui en vouloir pour ça. « Oh putain tu vas descendre, c'est moi qui te l'dis ! » grogna-t-il sur un ton extrêmement mauvais. Sabian ne rigolait pas du tout et s'il devait virer Calliopéa par la peau du cul, il était prêt à le faire. Voyant qu'elle mettait de la mauvaise volonté, il ne chercha pas à comprendre et monta sur la scène. Il se fit siffler par un publique médusé. Le beau brun privait la boîte d'une de leur meilleure danseuse, il en avait absolument rien à foutre. Il attrapa furtivement le long manteau qu'elle portait auparavant et vint le poser sur ses épaules. Sabian l'obligea à descendre mais c'était sans compter sur une Calliopéa en forme ce soir. Elle lui mit directement un coup en pleine gueule. Il ne releva pas et la poussa hors de la scène. Elle manqua de se casser la gueule avec ses talons de vingt centimètres. Sans chercher plus loin, il descendit à son tour de la scène et la fit avancer. L'étudiant n'avait qu'une seule idée en tête, dégager de là. Il attrapa la blondinette par le bras et la força à avancer. Ils traversèrent avec plus ou moins de difficulté la foule pour arriver dans une endroit beaucoup de plus calme et moins peuplé. Sabian la poussa violemment en avant et afficha un visage fermé et extrêmement froid. Il la pointa du doigts et avança vers elle. « Ca tu vas me le payer Scorsese ! » lança-t-il d'un ton autoritaire et glacial. Son regard faisait froid dans le dos. Clairement, il ne rigolait pas et comptait bien lui faire comprendre. Il arriva à sa hauteur et la poussa à nouveau violemment, il ne supportait pas ce qu'il avait vu. Il était hors de lui et restait animait par une rage sans nom. Il ne la frappait pas, oh non pas en présence de témoin. Finir ses jours en taule n'était pas vraiment dans ses prérogatives. « Qu'est ce qu'il te prend d'exhiber ton cul devant tout le monde ? Ca t'amuse de passer pour une salope ? » dit-il agressivement. Il ne lui laissait aucun répit, aucune chance de pouvoir s'expliquer. « Et j'peux savoir jusqu'où t'es allé ? T'as fait la pute pour gagner de l'argent ? » grogna-t-il sur un ton dédaigneux, rempli de dégoût et de haine. Sabian se tenait prêt à riposter. Il savait pertinemment qu'elle n'allait pas se laisser faire la petite Scorsese.
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Tu ne supportes pas l’autorité et encore moins de te faire humilier. Tu as toujours revendiqué être une femme forte et libre de faire ce qu’elle entend même si parfois tu déconnes grave. Tu travailles depuis des années dans ce bar pourri où les filles s’enchainent comme des bouts de viandes accrochés sur le bout d’une pique mais toi tu résistes. Tu as été dans le lit du patron, ton visage a pris ses coups mais tu t’en fous, au moins tu as de l’argent pour financer ton école et sortir de ce trou perdu de merde. Tu t’en fous de montrer donc corps à des inconnus, personne ne se souviendra de toi ici. Bien évidemment certaines personnes te reconnaissent, c’est ce qui amène parfois du monde, après tout tu es une Scrorsese ! Tes poses lascives ne laissent indifférent personne et sur le coup, tu pensais faire ton show puis repartir tranquillement dans ton petit appart dans les quartiers malfamés de Boston. Mais Sabian a décidé de se mêler de la partie, d’empiéter sur tes plates-bandes et de te faire chier. Tu vois cet homme que tu connais si bien s’insinuer entre la foule puis monter sur la scène comme si c’était normal. Ton regard se dirige vers les videurs qui semblent prêts à exploser le beau brin. Mais des personnes affolées les séparent de toi et de Sabian, ce qui te laisse un peu de temps. Tu soutiens le regard de ton amant destructeur, tu ne veux pas descendre, tu fais ton job, tu fais ce que tu veux. Il te jette quasiment ton long manteau à la figure, tu lui assène un coup et sans crier gare, la seconde après, tes pieds touchent déjà le sol de la boîte. « Va chier Lindley ! » Tu cries à travers la foule qui semble devenir hors de contrôle. Sabian vient de foutre un sacré bordel. Tu fronces les sourcils alors qu’il te tire le bras, la colère commence à monter en toi. Il te plaque contre un mur alors que tu siffles entre tes dents. « Quoi qu’est-ce qu’il y a ? Tu ne supportes pas que j’exhibe mon cul mais tu es plutôt content lorsqu’il est dans ton lit non ? » Tu prends une voix provocatrice et colles ton corps au sien, tu poses ton regard dans le sien tout en te mordillant la lèvre, tu aimes l’énerver, tu n’as qu’une envie, qu’il sorte de ses gonds, qu’il devienne incontrôlable. Tu es rancunière, manipulatrice et surtout tu ne te laisse pas faire. Tu jettes un regard à un mec qui se fait éjecter par un videur. Dans la boîte règne désormais le chaos et cela va te coûter cher. Tu souffles longuement en regardant à nouveau le brun avec un regard accusateur. Tu lui assènes un coup dans les côtes, si tu as été gentille, il te met maintenant hors de toi. « Traite-moi encore une fois de salope et je te saigne, c’est compris Sabian !! » Ton regard se fait plus noir. Il vient déjà de mettre la boîte en dessus-dessous et il va te coûter ton job, voilà maintenant qu’il te traite de salope, il dépasse les bornes. Tu sens qu’il te plaque contre le mur, cette situation a beau être explosive, elle se révèle également excitante, il faut dire que vos ébats commencent souvent comme ça, par une crise de haine. Tu poses un instant ton regard sur ses lèvres que tu rêves de mordre. « En quoi ça t’intéresse hein ? À ce que je sache rien ne me lie à toi, je suis encore libre de faire ce que je veux. » Tu te redresses et plaque tes deux mains contre son torse, pour le pousser de toutes tes forces, tu ne vas pas te laisser faire, ça non.
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Comment la situation avait-elle pu dégénérer à ce point là ? Passer d'un bon moment entre potes à un fiasco total en l'espace de quelques minutes. Calliopéa avait réussi à le pousser dans ses derniers retranchements, elle avait mit sa patience à rude épreuve. Manque de chance pour elle, il n'en avait pas vraiment. Sabian avait attendu une bonne dizaine de minutes avant de se jeter sur elle. Cela relevait presque du miracle. Il avait patienté malgré la colère et la rage grandissante en lui. C'était plus fort que lui, le beau brun n'avait pas supporter de la voir se trémousser devant de parfait inconnus. C'était un travail très dégradant et elle méritait beaucoup mieux. De quel droit montait-elle sur une scène pour exhiber ses fesses. Son petit cul était sa propriété, hors de question pour lui de le partager avec de vieux pervers. C'est mort, elle était toute à lui et partager ne faisait pas vraiment parti de ses prérogatives. L'étudiant savait se montrer possessif envers Calliopéa. C'était bien plus qu'une histoire de cul, ils avaient dépassés cet enjeu là depuis longtemps. Sabian l'avait violemment poussé en avant et le temps qu'elle reprenne son équilibre, il se risqua de regarder derrière lui. Ne jamais tourner le dos à son ennemi mais en même temps, il fallait qu'il surveille ses arrières. Pour l'instant, personne ne se jetait à sa poursuite et c'était tant mieux. Il avait un petit compte à régler avec la blondinette et ne voudrait surtout pas être déranger. Calliopéa lui donna un coup dans les cotes avant de lui hurler dessus. Elle le menaça de le saigner. La musique allait très fort et franchement, elle avait de la chance qu'il y ait des gens autour d'eux, sinon elle prendrait cher. « Mais tu crois faire peur à qui là ? » hurla-t-il avant de froncer toujours un peu plus les sourcils. Son regard était sombre et glacial. Il la pointa du doigt et continua sur le même ton. « La Callio que j'ai vu ce soir est une salope ! » On pouvait sentir le dégoût dans sa voix, dans le choix de ses mots. Il voulait lui faire un électrochoc, lui faire comprendre qu'elle n'avait pas besoin de ça pour gagner de l'argent. Le côté autodestructeur de la blondinette n'avait d'égal que celui de Sabian. Il était le mieux placé pour parler, lui qui faisait des combats de rue clandestins pour gagner un peu d'argent. Ils étaient comme ça et avaient besoin d'adrénaline pour vivre. Le jeune homme s'approcha alors d'elle et la plaqua contre le mur. C'était insensé mais il avait besoin de contact physique avec elle, il avait envie de la toucher et toute cette agitation l'excitait énormément. Elle se mordilla la lèvre inférieure, inconsciemment, il s'humidifia les siennes. Elle râla sur lui en prétextant être encore libre de ses faits et gestes. Certes ils n'étaient pas en couple mais Calliopéa l'avait laissé entrer dans sa vie, elle devait en assumer tous les effets. Elle le poussa et Sabian recula d'un pas. Il serra sa mâchoire, elle le provoquait littéralement. « Tu es parfaitement libre de faire ce que tu veux mais pas ça. Tu mérites mieux que ça, putain ! T'as vu ta tenue là ? Tu comptes faire quoi hein ? Te mettre à poil devant des inconnus juste pour gagner un peu de sous ? Ma parole tu as une basse opinion de toi. » lança-t-il en gardant ses distances. Mais c'était sans compter sur des pulsions agressives qui vint l'envahir. Sans chercher plus loin, Sabian laissa ses pulsions le contrôler. Il s'approcha dangereusement de Calliopéa et posa sa main dans son cou. Brutalement, il la plaqua contre le mur et laissa ses doigts resserrer quelque peu cette étreinte. Il approcha son visage et baissa les yeux vers ses lèvres. La blondinette était à sa merci ce qui la rendait d'autant plus alléchante. « Ton p'tit cul est à moi, il est hors de question que je ne le partage avec la moitié de la ville. T'as compris ? » dit-il sur un ton malsain et autoritaire. Sabian plissa les yeux et vint attraper sa lèvre inférieur avec ses dents, il ne se gêna pas pour la mordre et l'embrasser fougueusement.
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« Autant que le connard de Sabian que j’ai en face de moi. » Tu lui assènes un coup de pied au niveau des parties mais il a le réflexe de s’ôter suffisamment vite, cependant tu es aussi une fille vive, ce qui fait que tu réussis quand même à toucher ses précieuses. Il n’a pas mal autant que tu le voudrais, mais il a mal quand même, tu le vois à son visage crispé. Un sourire satisfait vient se nicher sur tes lèvres, personne n’a le droit de te traiter de salope ou quoi que ce soit d’autre, ni lui, ni un quelconque autre individu. « Je suis libre mais il faut quand même que je demande à Monsieur Lindley avant de pouvoir faire quoi que ce soit ? Tu es arrivé trop tard dans ma vie pour ça Sabian. Mon opinion n’a rien avoir là-dedans et encore moins la tienne, je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux. » Tu siffles entre tes dents, il t’agace au plus haut point, tu as envie de lui coller ton poing en pleine figure. Tu ne te mets jamais à nu devant les inconnus, les clients d’ici. Tu te respectes assez pour ne pas succomber aux loubards pervers du coin. Tu ne fais que les émoustiller, tu les fais rêver, ce qu’ils font en pensant à toi après ça ne te regarde pas et tu ne préfères pas y penser à vrai dire. D’un coup, le regard de Sabian change et tu fronces les sourcils, la folie d’emparer de lui, tu le sais, tu le connais par cœur puisqu’il te ressemble comme deux gouttes d’eau. Il se rapproche brutalement de toi et ses doigts musclés viennent entourer ta gorge. Tu essaies de te débattre un instant, tu frottes ton visage contre ton épaule, laissant une trace de maquillage sur celle-ci. À trop en mettre pour cacher les marques de frappes de ton patron, l'épaisseur de celui-ci s'enlève facilement. Tu as littéralement envie de tuer Sabian sur ce coup, comme ton patron lorsqu’il se fait trop insistant. Tu pourrais, tu sais te débrouiller et tu as du monde derrière toi en cas de besoin. Mais tu as trop besoin de ton job et tu aimes trop Sabian pour faire une chose pareille. Entre l’amour et la haine il n’y a qu’un pas et la haine mène toujours à la violence. Tu n’as pas idée à quel point cette situation peut très vite virer au cauchemar. Tu ne sais pas que ton maquillage est parti et que Sabian peut maintenant apercevoir les marques restantes de ton visage tuméfié. « Dans tes rêves. » Tu serres la mâchoire et te débats à nouveau, tes bras le poussant de toutes tes forces. Mais tu es prise à la gorge, c’est le seul truc qui t’angoisse à mort. Tu sens que ta trachée se rétrécit, tu sens le souffle te manquer. Tu vois le brun s’approcher de toi et jouer avec tes lèvres, t’embrassant fougueusement. Tu profites de ce baiser, tu sens une vague de chaleur mélangée à de l’excitation monter en toi. Tu pourrais succomber, là tout de suite, l’attraper et l’emmener dans une pièce pour le chevaucher dans un ébat physique, mais tu ne perds pas ton but, tu n’oublies pas la façon dont il vient de te traiter et ce que ça va te coûter. Tu profites encore un peu de son baiser puis tu lui mords la lèvre inférieure, violemment et jusqu’au sang et alors qu’il se retire, tu en profites pour le pousser. Une fois que tu es hors d’atteinte, haletante, tu gonfles et dégonfles ta poitrine presque dénudée. Tu passes ton pouce sur tes lèvres, goûtant avec un sourire malsain à son sang. C’est toi, c’est lui, c’est vous cette relation malsaine et destructrice… Tu le hais mais pourtant tu as envie de lui, là, tout de suite. Tu plantes ton regard empli d’envie dans le sien, tu sais qu’il ne va pas être tendre...
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Comme à son habitude, l'ambiance était extrêmement tendue. Ses doigts encadraient parfaitement le coup de la jolie blonde. Sabian n'était plus vraiment conscient de ce qu'il faisait. Obnubilé par ce qu'il venait de voir, il ne pouvait pas laisser passer ça. Vraiment, la vision de Calliopéa en petite tenue, devant des hommes prêts à tout pour goûter sa peau sucrée, le rendait complètement fou. Il était en rage et rien ne semblait pouvoir le calmer. Il serrait sa gorge entre ses doigts et se sentait puissant. En fait, il pourrait la mettre mal en un claquement de doigts, il pouvait la mettre direct à l'hosto, voire pire. Mais c'était pas son but. Sabian n'avait pas vraiment de but, il laissait ses émotions l'envahir et ne cherchait pas à comprendre. Il ne tarda pas d'ailleurs à venir l'embrasser sauvagement, ne pouvant réprimer une pulsion destructrice. Lorsqu'il se recula, la blondinette le poussa violemment pour qu'il lui laisse de l'espace pour respirer, ce qu'il fit. Il fronça les sourcils et apporta son doigt à ses lèvres, il remarqua rapidement qu'il saigna. Elle n'avait quand même pas osé ? Eh bien si. La salope, elle l'avait mordue. Alors qu'il s'apprêtait à se venger, Sabian remarqua des bleus sur son visage. Une vague de haine le submergea et il pointa son doigt sur elle. « C'est quoi ça ? » grogna-t-il sur un ton hyper désagréable. Il serra sa mâchoire avant de reprendre. « J'espère pour toi que tu as une bonne excuse. » dit-il sur une voix cynique et cruel. Sabian ne rigolait plus du tout, cela dépassait tout ce qu'il aurait pu imaginer.
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Il se recule et il capte que tu viens de le mordre, un sourire satisfait, tu te prépares quand même à sa revanche. « De quoi tu parles ? » L’espace d’un instant, tu ne comprends pas à quoi il fait allusion, puis tu détectes ton maquillage sur ton épaule et quelques traces sur son tee-shirt, tu te retournes alors vers le miroir qui était proche de ta tête tout à l’heure. « Merde… Laisse tomber, ce n’est rien. » Tu portes tes doigts fins à ta joue gauche qui a pris des teintes bleues rosées. Tu te pinces les lèvres en regardant ton visage abimé, quel enfoiré. L’espace d’un instant, tu as totalement oublié que tu es dans cette boîte stupide en compagnie de Sabian et de sa folie meurtrière. Tu souffles alors que tu sens la main de Sabian s’abattre sur tes douces épaules. Tu te retournes vers lui et lui adresse un regard menaçant, qu’est-ce que tu peux bien faire d’autre, ce ne sont pas ses affaires. « Ce ne sont pas tes affaires Sabian, en revanche, eux vont certainement le devenir. » Tu relèves le menton et lui montre d’un regard les gorilles de la boîte qui se dirigent vers vous. Il a été trop loin et a déclenché une mini-guerre de clients au sein de la boîte, tu arques l’un de tes sourcils parfaitement dessiné puis tu croises les bras contre ta poitrine presque mise à nue. Il a foutu une sacrée merde et il n’imagine pas les retombées de ces actes, pour lui comme pour toi, voilà pourquoi tu hésites à le sauver de cette galère en prétextant quelque chose de bateau par exemple.
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Sabian ne pouvait pas passer à côté de ça, c'était juste impossible. De grands bleus ornaient son doux visage. Lorsqu'il vit les marques sur ses pommettes ou près de ses yeux, son sang ne fit qu'un tour. Qui osait lever la main sur Calliopéa ? C'était impensable, inimaginable. Personne n'avait le droit de lui faire subir un tel traitement, même pas lui. Son poing se serra lorsqu'elle avoua que ces bleues n'étaient rien et qu'il ne devait pas se formaliser avec si peu. « Comment ça rien ? Callio dis moi qui t'as fait ça, putain. » dit-il agressivement mais en restant un peu sur la réserve. Sabian savait pertinemment qu'avec la force, il n'obtiendrait rien du tout d'elle. Rapidement, la blondinette lui fit signe que les videurs se dirigeaient vers eux. Le beau brun tourna la tête vers eux avant de froncer les sourcils. Il reporta son attention sur la petite Scorsese. « Tu ne perds rien pour attendre. » lança-t-il sur un ton glacial. Sans chercher à comprendre, il lui attrapa le bras et l'emmena loin de tout ça. Ils prirent la porte de derrière. Sabian devait lui faire mal puisqu'il serrait assez fortement son bras mais il s'en foutait, il ne voulait pas rester une minute de plus ici. Une fois dehors, le froid se plaqua sur eux. L'étudiant se tourna vers Calliopéa et enleva son pull. « Tiens, enfile ça. » dit-il en lui donnant son pull. De toute façon, elle n'avait pas le choix, il la tenait fermement et ne comptait pas la lâcher. Sabian fit signe à un taxi qui s'arrêta juste devant eux. Il ouvrit la porte et la força à entrer dedans. Rapidement, il demanda au chauffeur de démarrer et de les déposer chez lui. Au moins là, ils pourront régler leurs comptes, à l'abri des regards indiscrets.
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Tu ne réponds pas, à quoi cela lui servirait d’être au courant . C’est ta vie, ton jardin secret, il a déjà suffisamment foutu la merde en débarquant et en t’embarquant comme un forcené. Tu le suis en serrant les dents, ses doigts sur ton bras vont finir par laisser des traces, apparemment pour lui tu n’es plus à ça prêt. « Vas-y, je t’en prie, continue d’abîmer la came. » Tu viens d’aboyer sur lui une nouvelle fois, insolente et tu sais qu’il n’aime pas ça. Tu le connais par cœur et inversement, le problème chez vous c’est que vous n’arrivez pas à contrôler votre rage et malheureusement plus vous hurlez, plus tout se barre en couille. Il appelle un taxi, te fait monter dedans et tu ne dis rien car tu as simplement envie de ne plus l’entendre, tu ne veux pas que sa voix rauque arrive jusqu’à ses oreilles, cette voix puissante qui peut parfois se révéler sexy lorsqu’il te chuchote tes mots doux au creux de ton cou. « Tu sais que ce que tu es en train de faire s’apparente à un enlèvement Sabian ? Tu pourrais le payer cher, très cher. » Bien sûr qu’il le sait et il s’en fout, comme tu pourrais t’en foutre dans le cas contraire. Avant tu n’aurais eu qu’un appel à passer, un nom à donner et la cible aurait été exécutée dans la soirée. « Merde putain, tu fais vraiment chier. » Tu détournes ton regard du sien, tu colles ton coude contre la vitre et tu abaisses ta tête contre ta paume, regardant les lumières défiler devant toi. Tu sais ce qui va t’attendre lorsque tu vas passer le pas de la porte du club demain au soir. Tu te mords les lèvres, tu n’es même pas angoissée, tu es juste hors de toi, tu as envie de le massacrer. Tu sais qu’il est probablement au courant de ton état donc tu pries pour qu’il soit loin d’être con et qu’il te laisse tranquille. Tu ignores où il t’emmène mais tu t’en tapes, tu as juste envie de fuir, de retourner chez toi et surtout d’être seule, loin de ce con qui t’attire toujours autant, même malgré cette destruction qui vous consume.
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