Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility We all have two lives, the second begins when we realize we only have one. PV JULES
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We all have two lives, the second begins when we realize we only have one. PV JULES

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We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.★★★
Ma patience était depuis quelques jours mis à rude épreuve. Le temps n’arrangeait rien. Au contraire, j’allais et venais en repensant aux différentes choses qui n’allaient pas dans ma vie. Le silence était de mise. Je n’avais pas envie de parler. Légèrement à l’écart, je m’étais isolée doucement de mon groupe d’amis. Je n’avais pas envie de faire la fête, je n’avais pas envie de fêter la fin des examens. Je pensais trop et je m’empêchai de vivre. Une futilité qui pouvait paraître aberrante aux yeux de certains. Je marchais tranquillement dans le parc de l’université, une petite course de bon matin allait s’en doute pouvoir m’aider à me détendre un peu. Je n’étais pas une grande sportive mais bizarrement le sport m’aidait à me défouler et à évacuer toutes les ondes négatives que je m’entités à vouloir garder pour moi. Je n’aimais pas parler de mes problèmes. Un comble pour une future psychiatre. Mon attention se porta sur la porte du gymnase. Elle était entre ouvrir. Mes sourcils se froncèrent avant de porter mon attention sur ma montre. Il était trop tôt, beaucoup trop tôt. Je m’approchais doucement de la porte avant de passer ma tête. Personne n’était à l’intérieur. Étrange. J’enlevais mes écouteurs de mes oreilles avant d’entendre un bruit dans les vestiaires des garçons. Silencieusement, j’approchais des vestiaires. J’entrais et pris soin de refermer la porte qui était tenue par une chaise. La porte se ferma et mon attention se porta sur ce torse. Ma gorge se serra machinalement et un sourire amusé s’afficha sur mes lèvres avant de relever mon regard sur son visage. Jules, géniale. Fière de pouvoir le surprendre dans cette position, je sortis de ma cachette et lui fis : « Eh bien... plutôt pas mal pour un Mather ! » pas mal voir même plus que regardable mais sa, c’était hors de question de le dire. « tu n'as pas d’eau chaude chez toi ?» 
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Ouais, les cours étaient finis, c'était les vacances, vraiment, alors aucune raison de traîner encore à l'université, me direz-vous ? Après tout, qui voudrait rester à la fac alors que c'était déjà une obligation, en quelque sorte, annuelle ? Personne, non. Mais ça n'allait pas empêcher Jules de profiter de la piscine olympique mise à disposition de l'équipe de natation encore un peu, juste le temps que les portes ne soient définitivement closes pour l'été. La liberté lui tendait les bras, certes, mais le mather ne pouvait pas et surtout ne devait pas arrêter de s'entraîner pendant les mois à venir, à se contenter d'attendre la rentrée les bras croisés. Un talent, ça se travaillait, ça se préservait. Et puis, c'était une passion alors aller nager de si bon matin, c'était plus un plaisir qu'autre chose. Surtout quand il n'y avait personne pour venir le déranger ou encombrer les couloirs de la piscine. Ni même les vestiaires. Ah ça oui, c'était le top. Le jeune homme pouvait se doucher tranquillement sans avoir à se préoccuper des autres qui attendaient leur tour. Même si habituellement, il s'en fichait aussi. Enfin soit, il était seul et c'était parfait. Du moins, c'est ce qu'il crut jusqu'à ce qu'une voix féminine ne le fasse sortir de sa bulle. Tournant la tête, il eut la joie de constater qu'il s'agissait d'une jolie blonde (bon point) qu'il connaissait - malheureusement - pour appartenir à la eliot house (mauvais point). Et bah ça alors, pour une surprise, c'en était une... Tout comme le compliment qu'elle venait de lui lancer, qui était encore plus étonnant que sa présence ici mais qui fit tout de même sourire le mather. "Tu t'attendais à quoi ?" Bah ouais, elle s'attendait à quoi ? Le voir défoncé, les yeux rougis par la fatigue et bien d'autres raisons plus inquiétantes ? Cliché. Fallait arrêter avec ça, mather n'était pas synonyme de junkie mais bon, les eliot n'étaient pas les plus malins pour le comprendre. "Si, mais pas de piscine aussi grande." Pas de piscine du tout en fait, mais ce n'était pas nécessaire de le préciser. Surtout auprès d'une gosse de riche qui ne manquerait pas de lui faire une remarque à ce propos. Prévisibles, ils l'étaient, ces bleus. Pitoyables, aussi. "Et toi, tes parents ne t'ont pas appris à lire ?" Elle était dans les vestiaires des mecs, au cas où elle ne l'aurait pas encore remarqué.
(Invité)