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Flash infos, Grace St-James a enfin décidée de se la jouer Sainte. Elle commence par dire non à la drogue, et dit au revoir à ses confrères, ou plutôt ses con-vert ! Parce que mathers, vert, bref quand il faut expliquer la blague, elle est moins drôle. Bref, Grace à quitté la mathers house précipitamment, sans prévenir qui que ce soit, que ce soit ses amis ou les présidents avec qui elle est tout de même assez proche. T'es un peu sur le cul, parce que c'était tout de même ta bizutrice et que depuis pas mal de temps, vous étiez assez proche. C'est pour cette même raison que ça t'étonne encore plus de la voir partir, car à un aucun moment dans votre visionnage des films les plus nuls faits par Nichlas Sparks, elle n'a mentionné le fait d'en avoir marre de la Mather House. Tel un bon bizut slash ami slash le gars qui a un énorme crush sur la blonde, tu décides d'aller lui rendre visite chez elle. Comme tout être censé et civilisé, tu devrais frapper à la porte, c'est logique après tout, tu viens chez quelqu'un, tu sonnes et tu adresses un sourire charmant, avant d'entrée, mais être un Halbesrtam veux aussi dire faire preuve de nouveauté et d'agilité. Alors tu décides d'escalader le muret derrière chez elle, pour entrée.. PAR LA FENETRE ! Bonne idée non ? Aussi surtout parce que t'as peur qu'elle t'ouvre la porte, et te la claque au nez, parce que vous n'êtes pas si proche que ça, et que t'es capable de la regarder dans les yeux. Peut être parce que ses yeux vert émeraude t'aspirent ? Comme s'ils t'emprisonner et t'empêcher de tourner la tête, ce qui fait que tu restes trop longtemps ton regard dans le siens.. et ça, ça fait super flipper. Mais si tu ne l'as regardé pas, alors où regarder ? Si tu regardes plus bas, elle va penser que t'es un gros porc dégueulasse, et si tu ne la regardes pas, elle va pensais que tu l'évites ! Quoi qu'il en soit, c'est toujours un énorme problème de tenir une conversation avec une telle déesse, et c'est pour cette raison que tu arrives par la fenêtre de sa chambre. « Tu devrais faire réparer tes gouttières. » dis-tu lorsque tu arrives en roulade sur son tapis.
@Grace St-James
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Tu comptais te ranger un peu. La drogue était nocive pour ta santé mais elle devenait de plus en plus dangereuse pour toi vu tes antécédents. Le seul problème c’est que la mather house et ses soirées et un endroit propice à ce que tu t’en foutes pleins les veines. Tu avais donc pris une décision que tu risquerais de regretter pendant un bon moment. Mais il fallait que tu quittes la mather house, tu n’avais pas le choix. La rentrée scolaire venait de commencer et tu commençais déjà à t’emmerder dans ta chambre rien que de penser au fait que les soirées mathers était finies pour toi. Tu étais sur ton lit, fixant le plafond cherchant à t’occuper. Tu étais en plein sevrage et il fallait que tu t’occupes les mains et l’esprit si tu ne voulais pas replonger. Tu soupirais un instant lorsqu’un bruit bizarre attirait ton esprit. Tu regardais en direction de la fenêtre de ta chambre alors qu’un homme venait faire des roulades sur ton tapis. Il se redressait pour te dire que tes gouttières était à réparer. Tu rigolais en voyant Tom devant toi. « Mais qu’est-ce que tu fous ? Tu sais que les portes ça existe ? » Tu secouais la tête en te redressant pour le regarder sur le sol de ta chambre. « Quoique merci beaucoup ça m’a changé les idées parce que je me fais un peu chier quand même » Tu faisais une petite moue déconfite avant de te retourner sur ton matelas pour te retrouver sur le ventre. « Tu es venue pour me distraire ? Cool ! » Tu riais un peu, le regardant comme s’il allait se mettre à se dandiner ou tu ne savais quoi. Cela te faisait plaisir que Tom soit venu parce qu’il faut avouer que c’est un garçon plutôt très agréable à regarder et puis il est vachement marrant quand même. Vous étiez très proches tout les deux mais maintenant que tu as quittée la mather vous ne vous voyez plus autant, voir plus du tout et tu devais avouer qu’il te manquait un peu. Pas beaucoup mais un peu quand même.
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Y a que toi pour faire ce genre de chose, par la fenêtre, sérieusement ? Tu réussi à te hisser jusqu'à t'allongé sur son lit et agir comme si de rien était. Bien sur ce ne fût pas son cas, car elle lache un gloussement après t'avoir vu faire son numéro. « J'aime bien t'entendre rire. » dis-tu à ton tour, en roulant jusqu'à elle pour te mettre également sur le ventre. Elle avait l'air ailleurs, un peu déboussoler. Tu peut comprendre que les choses sont assez difficile au point de ne plus savoir ou on en est et tu aimerais pouvoir lire entre les lignes pour comprendre ce qui arrive à Grace. Parce que vous vous êtes rapprocher depuis, qu'elle n'est plus simplement Grace, mais Grace avec un grand G. « Tu dit ça comme si j'étais animateur de colonie de vacance, ou encore clown. Quoi que je ferai un bon anim tu trouves pas ? Genre sexy et ténébreux dont toute les petites filles seraient amoureuse. » tu fais une bouche en cul de poule pour faire le mec ténébreux, avant de lacher un rire. T'es tout sauf ténébreux, t'es genre le pote du mec ténébreux avec qui personne veux sortir parce qu'il fait que des blagues de cul. « Dit moi ce qui t'arrive. Tu veux vraiment quitter la mather house ? » un ton plus calme, plus détendue, comme pour la mettre en confiance. Tes yeux se pose sur sa peau doré, ses lèvres fin et cette magnifique chevelure blonde qui te faisait tourner la tête, une mèche se fait la malle d'ailleurs. Tu la relève doucement du bout de ton doigt. « Tu vas pas me laisser tout seul avec ces fous, si ? »
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Tom venait de s’inviter à l’improviste, d’une façon assez particulière. En effet, il venait d’atterrir sur ton tapis après être passé par la fenêtre. Bon, il n’avait pas tout loupé ça avait le don de te faire rire. Ce type était vraiment cinglé, ça ne t’étonnais même plus qu’il soit un mather. Il s’installait à côté de toi alors que tu lui demandais s’il venait pour te divertir. Il te répondait alors qu’il n’était pas animateur de colonie, ni clown, quoique en animateur de colonie il serait bien toutes les petites filles tomberaient amoureuse de lui. Tu levais les yeux au ciel en rigolant. « Tant qu’il y a des poils c’est légal et puis avec ta petite tête de puceau forcément que tu vas les attirait » Bon, ok, tu étais un peu vache avec lui mais en même temps jamais il ne ramenait une zouz dans la mather house enfin pas à ta connaissance. Et dieu sait qu’il était beau pourtant mais il devait s’y prendre comme un pied ou alors il était gay ou asexué peut-être aussi. Tu ne savais pas trop mais ça serait quand même du gâchis si les femmes ne l’intéressait pas. Il en venait ensuite au chose sérieuse en te demandant si tu voulais vraiment quitter la mather house. Tu soupirais en posant ton visage dans tes mains. « Non, j’ai pas envie mais je suis obligée. La mather house est trop nocive pour moi, il y a trop de tentation » Et en parlant de tentation tu ne parlais pas du sexe, car ça ce n’était pas nocif loin de là. Et puis, si Tom t’aimait vraiment il t’inviterait toujours de temps en temps à passer une soirée mather. Il remettait alors une de tes mèches en place avant de te dire qu’il ne fallait pas que tu le laisses avec ces fous. « T’es aussi fou qu’eux voir pire tu rentres chez les gens en faisant des roulades sur leur tapis être passé par la fenêtre » Tu secouais la tête en le regardant. « Et puis, tu pourras toujours venir ici en passant par la porte bien sûr même si je dois noter cette souplesse que tu as-tu m’épatera toujours » Tu souriais, te redressant un peu. « Bon, tu veux boire quelque chose ? On s’occupe un peu non ? » Vous n’alliez pas rester tous les deux sur ton lit jusqu’à la tombée de la nuit, il fallait se bouger un peu et puis ça te ferait du bien.
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« Moi ? Une tête de puceau ? » tu fais le mec offusquer, bien que ça te fasse plus rire qu'autre chose. Non, bien sur que non, t'es loin d'être puceau, mais tu joue le jeu parce que Grace à besoin d'un peu de rire dans sa vie, et que tu veux bien lui donner, à la pelle même si il le faut. Vous vous roulez sur le matelas défait, entre les cartons et la fenêtre grande ouvert laissant échapper un vent frais rappelant l'automne qui débute. La mather house peut être nocive oui, quand on a pas de limite on se laisse emmener par les mouvements de foule et parfois ça peut tourner au vinaigre. Tu l'avais bien trop vécu depuis le début de la pré-rentrée ou tu enchaîner soirée sur soirée, doublant tout les records que tu avais établis dans ta petite banlieue de Californie. Tes doigts s'enroule dans ceux de Grace ,tandis qu'elle jouais avec un élastique défait. « Merci, c'est censé être un compliment ? » dis-tu dans un rire. Tu le sait très bien que t'es un fou, mais t'avais pas besoin qu'elle le souligne. Et puis c'est pas vraiment de ta faute c'est la faute au gêne Halberstram, déjà. « On devrait vivre sans avoir besoin d'avoir des sentiments, ni des responsabilités. Genre vivre c'est tout, avec un grand V. » t'sais c'est comme les astérix en bas des contrats, tu sais jamais à quoi t'attendre, on te vend une vie sans soucis à la Baloo et Mogwli et au final, tu ressors avec plein de papier sous les bras, j'veux pas signer pour ça moi. Tu te redresse et tape sur son fessier. « une bière pour moi. » bien sûr, on commence toujours la soirée avec une petite bibine.
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Une tête de puceau oui. Une jolie tête de puceau mais une tête de puceau tout de même. Vous rigoliez tous les deux alors que tu venais à lui expliquer que c’était un besoin pour toi de quitter la mather house où tu risquais d’y laisser ta vie. A force de vivre trop près du danger on risque d’y laisser sa peau et c’était ton cas à l’heure actuelle. Il fallait que tu changes d’air. Non que tu te ranges mais que tu change d’air. Tu avais bien trop déconné depuis que tu étais arrivée à Harvard jusqu’à te déclencher une tumeur au cerveau. Tu étais passée bien trop près de la mort à plusieurs reprises et tout ça à cause de tes excès. Tom venait à te dire qu’il faudrait vivre une vie simple sans sentiment et sans responsabilité. Tu le regardais en souriant. Tu ne trouvais pas l’idée mauvaise même plutôt bonne mais ce monde d’adulte dans lequel vous étiez plongés vous obliger à avoir quelques responsabilités que tu avais toujours refusée jusqu’à aujourd’hui. Tu lui proposais ensuite de faire quelque chose et il te demandait une bière en tapant sur tes fesses. Tu te levais alors pour aller prendre deux bières dans ton frigo et tu te retournais vers lui. « On devrait se barrer. Il n’y aurait plus de soucis, plus de responsabilité juste celle de ne pas perdre notre sac à dos et on se marrerait vachement bien. J’éviterais de revoir tous les gens et surtout tout les mecs qui m’ont blessés, tu éviterais de revoir toutes les filles que tu as oubliée de rappeler et qui sont tombées amoureuse et tu me divertirais aussi. On se coucherait à la belle étoile un peu partout sans vraiment savoir si on rentrerait vivant un jour. » Tu souriais en venant t’asseoir en tailleur sur ton lit, lui tendant sa bière. « Enfin la belle vie quoi. Et puis tu veux vivre non ? C’est pas en restant à Harvard que tu vivras. » Et là tu savais que tu avais raison. Voyager c’est bien plus vivant que de se lever tout les matins pour étudier.
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