Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv -
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


FLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv -

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



FLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv - Tumblr_m7ye64yamu1qer9yuo1_500 FLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv - Chatons_2_by_nathy21 FLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv - 5cd2036f7b9e0a30977018ddf8d10e88 FLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv - Cookie_III_by_JusDeFraise


Comment est-il possible d’abandonner des petits chats ou des petits chiens aussi mignons ? A chaque fois que Min Ji passait devant un chenil, elle voyait des dizaines de petites boules de poils qui dormaient toutes seules dans un coin, ou qui la regardaient avec leurs petits yeux tristes. Ils étaient malheureux, et ils n’avaient personne pour vraiment prendre soin d’eux comme ils le mériteraient. Alors, comme Min Ji habitaient un grand appartement et qu’elle était souvent toute seule, elle avait pris l’habitude d’héberger des petits chiots régulièrement chez elle, au moins le temps de leur trouver un endroit où vivre. Elle n’était pas tout à fait certaine que, s’il le savait, Jung serait très heureux d’apprendre que sa femme hébergeait illégalement des animaux chez eux, mais pour l’instant, il n’était au courant de rien. Elle leur trouvait toujours une nouvelle maison avant qu’il ne rentre de ses voyages d’affaires, et heureusement, il n’avait pas encore remarqué que la pile de pull en cachemir qui lui appartenaient et qui se trouvaient dans l’un des dressing, diminuait à vue d’œil. Après tout, ils avaient besoin d’avoir des petits paniers bien confortables ! Bon bien sûr, elle rachetait des pulls à Jung le plus souvent possible, pour remplacer ceux qui avaient servis. Ils avaient été si malheureux, dans ces chenils, que là, au moins le temps qu’ils vivraient chez elle, ils mériteraient d’être bien chouchouté !

Mais elle savait qu’elle ne pouvait pas les garder, ces petits chats. Les choses auraient été différentes si il avait été questions de chiots, car Jung n’aimait pas du tout les chats. Min Ji devait donc leur trouver une nouvelle famille le plus tôt possible, et c’est pourquoi elle avait passé une annonce dans le journal de l’école. Elle avait écrit une petite annonce tout en précisant qu’elle avait cinq chantons à adopter de toute urgence, et elle avait ajouté son numéro de portable. Heureusement, deux personnes l’avaient contactées pour voir les chats, un garçon qui s’appellait Jacobs, et une fille qui s’appelait Charlotte. Elle avait été tellement soulagée quand elle avait reçu leurs coups de téléphone ! Au moins, il y aurait deux chatons sur cinq qui trouveraient une famille ! Elle ne savait pas combien ils en voulaient, mais au moins deux auraient une famille. Min Ji regardait jouer les petits chats dans le grand panier qu’elle avait acheté pour eux, et se cacher sous la petite couverture qu’elle avait mis dedans pour qu’il n’ait pas trop froid. Les cours n’avaient pas reprit depuis très longtemps, mais il pleuvait beaucoup, ce jour là, et il y avait même eut de l’orage et des éclairs, un peu plus tôt dans la journée. Heureusement, c’était passé. Min Ji n’appréciait pas du tout les orage, et c’était aussi le cas des petits chatons qu’elle avait reccueilli et qui tremblaient dès qu’ils entendaient un coup de toner.

Elle était confortablement assise sur le grand canapé qu’il y avait dans le salon, et elle regardait les petits chats tout en buvant une tasse de thé quand elle entendit la sonnerie de l’entrée. Ah ! Ce devait être eux ! Min Ji se leva en vitesse et elle posa la tasse de thé qu’elle avait dans les mains sur la table basse, et elle se dépêcha d’aller leur ouvrir. Elle ne connaissait pas du tout ni Jacobs ni Charlotte, mais ce n’était pas pour autant qu’elle accueillait n’importe qui chez elle ! Elle avait demandé à son chauffeur, qui remplissait entre autres les tâches de secrétaire, gardien, portier, garde du corps et bien sûr de chauffeur et de détective privé à ses heures perdues, de se renseigner le mieux possible sur les deux jeunes gens, de sorte qu’elle soit tout à fait certaine que, d’une part, ce n’était pas des personnes intéressées uniquement par l’argent ou toute autre chose du genre, et que donc ils étaient des gens tout ce qu’il y avait de plus fréquentables, que d’autre part, ils seraient très gentils avec les petits chatons qu’ils adopteraient, et enfin… elle avait surtout demandé à vérifier qu’ils n’étaient pas des dangereux criminels impliqués dans des trafics de drogue, d’alcool ou d’objets de luxe en tous genre, et qu’elle ne risquait pas de se faire cambrioler le lendemain de leur visite chez elle. Et elle devait bien reconnaître qu’elle en faisait peut-être un tout petit peu trop, mais elle ne voulait pas prendre de risque. Heureusement, elle n’eut veut de rien de trop compromettant, ni sur l’un, ni sur l’autre, et elle pouvait donc leur confier les petits chats sans avoir peur pour eux ( et puis aussi les accueillir chez elle sans être complètement paniquée pendant plusieurs jours. En plus, Jung n’était même pas là, et même si elle avait toujours son « chauffeur-garde du corps », elle n’aurait pas été rassurée.

Elle arriva bien vite à l’entrée, et elle leur ouvrit. « Bonjour ! Vous devez être Charlotte et Jacobs, je suppose ? Bienvenue chez moi ! Entrez, ne restez pas sur le pas de la porte ! » , dit-elle avec un grand sourire et le petit accent coréen avec lequel elle parlait toujours. « Je suis ravie de vous rencontrer ! » . Elle les laissa entrer et, une fois qu’ils se trouvèrent dans la maison, elle continua de parler. « Je suis tellement heureuse qu’ils trouvent une famille ! Ils étaient tellement malheureux dans les chenils… » , leur expliquait-elle. « J’espère que je trouverais une famille pour les trois autres aussi. Malheureusement, je ne peux pas les garder, sinon, je l’aurais fais avec plaisir » . Elle était un peu triste à l’idée de ne pas pouvoir les garder, mais bon. Elle rigola un petit peu quand elle vit que deux petits chats étaient en train de jouer avec Choco, le vieux caniche qui toussait que Nevada lui avait offert, et qui passait presque toute sa vie à dormir. Enfin, jouer était un bien grand mot. En réalité, ils essayaient tous les deux de grimper sur le dos du pauvre caniche qui essayait désespérément de dormir. « Je ne leur ait pas donné de nom. Ils n’en avaient pas au chenil alors… Je vous laisse leur trouver ! »





(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

FLASHFORWARD . Des petits chats à adopter ! - pv - Tumblr_m84ohrO2PJ1rpxgkao1_500
❝ Des petits chats à adopter ! ❞


Je ne cessais d'arpent de long en large l'appartement que je venais de retrouver pour mon plus grand bonheur. Soulagé d'avoir retrouvé mon cocon, la douceur qu'il dégageait me rassurait et me permettait de me ressourcer en quelque sorte. Je remerciai ma sœur d'avoir eu la gentillesse de garder mon appartement le temps du Summer Camp, même s'il fallait avouer que ce ne fut pas une véritable torture : l'endroit est vaste et le mobilité très beaux. À vrai dire, j'ai toujours été très porté sur la décoration, et tout ce qui y touche... Etait-ce de famille ? Non pas vraiment, dans la mesure où mon père n'était qu'un vulgaire travailleur un brin alcoolique – d'où ma très forte tendance à boire dès que tout va mal – et ma mère... Pour tout avouer, j'ai dû la connaître bien trop dérangée pour qu'elle puisse s'occuper du rangement. Je soupirai malgré moi, puis cessait de faire les cents pas qui me permettaient de passer le temps, de faire se rapprocher l'heure de mon départ. Que j'avais hâte !

La veille, en me rendant à mes premiers cours de l'année à Harvard, j'ai aperçu sur le panneau d'affichage une petite annonce qui m'a tout de suite intéressé : la donation d'adorables petits chatons ! Que j'aimais les chats ! Ces êtres si attachants et espiègles ! Un sourire étira mes lèvres rien qu'à songer à ses petites merveilles ! Aussitôt, je décrétais qu'il était temps de m’apprêter un minimum, n'en ayant pas eu le courage tantôt, et même mon état morale était bien mieux que quelques jours auparavant, sans doute dû à la reprise des cours. Je revêtais un simple slim blanc retroussé à la cheville, un débardeur noir et le tour était joué. Sans être d'une élégance exceptionnel, je conservai toutefois quelque chose qui me donnait une certaine prestance. Après m'être suffisamment complimenté – que voulez-vous j'étais d'un narcissisme ! - j'attrapai mon portable ainsi que ma fidèle besace en daim que je posai sur mon épaule, ainsi qu'un panier de transport, et jetai un dernier regard à l'horloge : je pouvais désormais me rendez chez cette Min Ji.

J'espérai tout en dévalant les escaliers, de ne m'être ni trompé de jour, ni d'heure. Ce serait assez embêtant de me rendre à l'avance, ou complètement en retard. Apparemment, une autre fille avait appelé la jeune femme, du nom de Charlotte il me semblait. Ce prénom me paraissait familier, mais sans pour autant m'évoquer une personne en particulier. Je m'engageai dans les multiples rues, le lieu n'étant pas très loin. L'envie d'une cigarette me taraudait, mais l'on m'avait fortement conseillé d'arrêter toute dépendance – surtout aux drogues dures - depuis ce malheureux accident : j'ai frôlé de très près l'overdose. À vrai dire, je devais ma survie à Plum, ma meilleure amie d'avoir su quoi faire, et de s'être manifestée avant que l’irréparable se comète. Malgré moi, ma main plongeait dans mon sac, cherchant à l'aveuglette l'objet de mes désirs. Fébrilement, je portai la clope à mes lèvres et m'équipait d'un briquet. Une fois allumée, je savourais chacune des volutes de fumée, et me demandais comme je pourrai vivre sans.

Il y avait foule sur les trottoirs, les badauds se collaient presque aux vitrines, les cafés débordaient de monde... J'étais presque oppressé par tout ceci, bien que la perspective d'avoir des petits chats me maintenant dans mon cap. Comment cela se faisait-il qu'autant de personnes pouvaient-elles se trouver dans cet endroit, qui certes avait un flux assez important, mais jamais à ce point. La rentrée me disais-je tout en soupirant. Il ne me restait plus que quelques pas à faire avant de me retrouver devant l'imposant immeuble où elle résidait. Elle m'a laissé entendre que son appartement se trouvait au dernier étage, et je ne semblais pas au bout de mes peines. Heureusement, il y avait un ascenseur et je pouvais ainsi gravir les étages sans trop m’éreinter. J'imaginais déjà le genre de chat que j'allais voir, peut être pas d'une race exceptionnel, peut être provenant de la rue... À vrai dire, peu m'en importait : j'allais avoir un tel animal chez moi ! Une petite boule de poil que je nourrirai avec les meilleures choses, qui dormira sur mon plaid en lapin de chez Hermès... J'esquissai un mince sourire tout en m'engageant dans le couloir menant au lieu de rendez-vous : je remarquai d'ores et déjà que Min devait être quelqu'un d'aisée. Après ce point commun de souligné, j’attendais l'autre fille, Charlotte, puis toquait à la porte dès qu'elle arriva. Je me souvenais d'avoir entrevue cette première à Harvard, et je ne manquais de lui adresser un petit sourire avant de me concentrer sur notre « donatrice ».

« Bel intérieur... » lui adressai-je tout en soulignant mentalement son adorable accent, dont je ne pouvais identifier la provenance. Nous entrâmes suite à son invitation, et elle nous expliqua qu'ils devaient être malheureux dans leur chenil : tu m'étonnes, c'est comme une prison sauf que tu ne sais jamais quand tu vas en sortir. Je focalisais aussitôt sur un chaton immaculé aux poils assez long. Celui-ci restait à l'écart et faisait sa toilette tandis que deux de ses compères s'amusaient à grimper sur le dos d'un vieux chien, qui ne semblait vouloir que dormir. « Ils sont vraiment très très mignons... » complimentai-je. Min Ji nous recommanda de trouver une famille pour les trois autres... Personne, à part nous, n'en voulaient ? « Je viens bien en prendre plus que prévu, Miss Kang, ça me dérange pas. » Je pliais les genoux et tendis une main vers le chat qui m'avait tapé dans l'œil, lui caressant la tête. « Si Charlotte n'y voit pas d'objection, je veux bien prendre celui-là » annonçai-je avec le sourire.


thekillingmoon
(Invité)