Amber D. Farewell ► Chloe Grace Moretz

Et voilà, tu montres ton petit bout du nez à l'hôpital. Ta mère est réjouit que tu sois sortie, tant tu étais infernale dans son ventre. Ta tante avait déposé ta mère, personne d’autres ne pouvaient le faire car ta mère est célibataire. Oui ceci surprit également les docteurs, personne sauf ta mère ne connaissait le nom du père. Tu étais née, et tout allait bien pour vous.
Vous rentrâtes quelques jours après, dans ce qui sera ton futur appartement. Tu le voyais tellement grand, tout était disproportionné pour toi du haut de tes 4 jours, mais tu voyais tout tellement mieux dans les bras de ta maman que tu ne voulais pas lâcher. Tu dû le faire quand elle reprit le travail peu de temps après, ta nourrice n’était autre que ta tante. Ah, tatie, qu’est ce que tu ferais sans elle ? Ta tatie n’est pas du tout comme ta mère, elle est plutôt hippie et ne travaille pas. Ses enfants sont déjà à l’école, alors ceci paraissait normale qu’elle aide sa petite sœur avec son premier enfant, toi. Tu grandis dans un monde très féminin, jusqu’à que tu rentres à l’école. Tu rentras à 2 ans et demi, le déchirement de ne plus être gardée par ta tante te fit énormément pleurer, tu ne connaissais pas toutes ces petites têtes, ni tous ces garçons. Les garçons ça doit être méchant, c’est pour ca que maman n’en fréquente pas alors toi tu ne voulais pas les approcher ! Tu te mettais à l’opposé des groupes de garçons même si pour cela tu devais abandonner tes copines. Tu avais trois vraies copines à l’école, qui allaient devenir tes 3 meilleures amies.
UC



« Venez on se cache dans les toilettes comme ça, la maîtresse elle nous verra pas »
Toi et tes copines vous êtes les reines des bêtises, tous les prétextes sont bons pour s'échapper ou pour faire une bêtise. Ça vos mères l'avaient comprit, alors si elles savaient que dés le deuxième jour d'école primaire vous alliez faire des bêtises elles vous auraient probablement rappelé tout ce que vous pouvez et ce que vous ne pouvez pas faire.
Evidemment la maitresse vous retrouva, et appela vos parents pour leur informer de votre bêtise. Quand tu sortis de l'école, tu vues que ta mère n'avait pas l'air contente mais ça c'était car tu reconnaissais parfaitement ses expressions du visage car à ce moment même elle souriait à un père. Tu t'avanças et lanças un "coucou", elle baissa les yeux et te demanda comment c'était passé ta journée. Comme si elle ne le savait pas déjà..