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Baby... Sister-sitter.
Arisa, Cecilia & Athena.
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Après le feu de camps d'hier soir, il y a eu un after en ville, et j'y était allée en compagnie du groupe des roses. Pour être tout à fait honnête, je n'étais pas fan des soirées avec beaucoup de monde et d'alcool, mais j'ai vu ça comme une opportunité de rencontrer plus de monde et de sympathiser avec les membre de ce que j'espérais être ma future maison…
Mauvaise idée Arisa. Mauvaise idée. Pourquoi tu n'es pas rentré à la maison comme une gentille fille ? Comme la fille sage que tu es ?
Je secouais doucement la tête en me facepalmant, voyant de plus en plus de gens sortir pour aller travailler, et le soleil se lever. Au fur et à mesure que la rue se remplissait, je sentais de plus en plus de regard sur moi, et autant dire que je détestait ça. Être le centre de l'attention. Surtout dans ses circonstances là… Bon, vous me direz que je suis la seule – ou presque – à être en tenue de soirée et perchées sur une paire de talons hauts, mais j'ai fait dans le sobre… ( Clik )
D'ailleurs, j'étais bien contente que notre destination initiale ai été le feu de camp… J'imaginais même pas si nous venions d'une soirée en club… J'aurais été coincée dans une robe à paillettes serrée au possible, les gens m'aurait jugée…
Mais bon, ils doivent être en train de le faire déjà maintenant, étant donnée que je suis en compagnies des deux plus grosses clampines de l'univers. Je sais pas comment j'en étais arrivée là, mais j'étais en compagnies d'une Athéna et d'une Cécilia totalement bourrée. Et qui avait des réactions totalement opposées pour ne pas me faciliter la tâche.
Je marchais doucement dans la rue avec Cécilia, que je soutenais et aidais à avancer comme je le pouvais, elle avait l'air vraiment mal, et je ne savait pas vraiment si elle avait envie de pleurer où de vomir… Je crois qu'elle s'en veut d'avoir trop bu…
De son coté, Athéna sautillait dans la rue, bien trop bruyante et joyeuse, elle allait dire bonjour à chaque personne qui croisait notre chemin. Je la surveille de loin, dans l'impossibilité de laisser Cécilia toute seule, et vois la brune retirer ses talons haut. Je la comprends, j'aimerais beaucoup faire pareil actuellement, j'ai les pieds en compote. Le temps que je cligne des yeux, Athéna avait envoyé balader ses chaussures en les jetant en plein milieu de la rue, manquant au passage d'assommer une passante avec ses Louboutins.
« -ATHÉNA ! Non mais ça va pas de… - je soupire et laisse Cécilia seule une seconde pour courir vers la Cabot 'officielle', Cécilia et moi même n'étant que des bizuts – Cécilia, tu ne bouges pas d'accord ? Athéna, tu n'as pas le droit de jeter tes chaussures comme ça, c'est dangereux… Tu as failli faire mal à la dame... »
La sermonnais-je comme si je réprimandais une enfant de trois ans. Je me tournais vers la dame en question qui était visiblement prête à faire un scandale et m'inclinais poliment devant elle comme on m'avait appris le faire en Corée.
« - Je suis désolée, veuillez excusez le comportement de mon amie madame… Et toi Athéna, tu vas me tenir la main. Hors de question que je te laisse te balader toute seule dans ton état... »
Dis-je, autoritaire. Qu'est-ce que je disais, je dois vraiment me comporter comme une nounou… Et dire que je suis la plus jeune. Bref, je prends la main d'Athéna après avoir récupéré ses chaussures et nous dirige vers Cécilia en priant pour que les deux jeunes filles m'écoutent et ne cause pas trop de soucis en rentrant à la Cabot House.
Après le feu de camps d'hier soir, il y a eu un after en ville, et j'y était allée en compagnie du groupe des roses. Pour être tout à fait honnête, je n'étais pas fan des soirées avec beaucoup de monde et d'alcool, mais j'ai vu ça comme une opportunité de rencontrer plus de monde et de sympathiser avec les membre de ce que j'espérais être ma future maison…
Mauvaise idée Arisa. Mauvaise idée. Pourquoi tu n'es pas rentré à la maison comme une gentille fille ? Comme la fille sage que tu es ?
Je secouais doucement la tête en me facepalmant, voyant de plus en plus de gens sortir pour aller travailler, et le soleil se lever. Au fur et à mesure que la rue se remplissait, je sentais de plus en plus de regard sur moi, et autant dire que je détestait ça. Être le centre de l'attention. Surtout dans ses circonstances là… Bon, vous me direz que je suis la seule – ou presque – à être en tenue de soirée et perchées sur une paire de talons hauts, mais j'ai fait dans le sobre… ( Clik )
D'ailleurs, j'étais bien contente que notre destination initiale ai été le feu de camp… J'imaginais même pas si nous venions d'une soirée en club… J'aurais été coincée dans une robe à paillettes serrée au possible, les gens m'aurait jugée…
Mais bon, ils doivent être en train de le faire déjà maintenant, étant donnée que je suis en compagnies des deux plus grosses clampines de l'univers. Je sais pas comment j'en étais arrivée là, mais j'étais en compagnies d'une Athéna et d'une Cécilia totalement bourrée. Et qui avait des réactions totalement opposées pour ne pas me faciliter la tâche.
Je marchais doucement dans la rue avec Cécilia, que je soutenais et aidais à avancer comme je le pouvais, elle avait l'air vraiment mal, et je ne savait pas vraiment si elle avait envie de pleurer où de vomir… Je crois qu'elle s'en veut d'avoir trop bu…
De son coté, Athéna sautillait dans la rue, bien trop bruyante et joyeuse, elle allait dire bonjour à chaque personne qui croisait notre chemin. Je la surveille de loin, dans l'impossibilité de laisser Cécilia toute seule, et vois la brune retirer ses talons haut. Je la comprends, j'aimerais beaucoup faire pareil actuellement, j'ai les pieds en compote. Le temps que je cligne des yeux, Athéna avait envoyé balader ses chaussures en les jetant en plein milieu de la rue, manquant au passage d'assommer une passante avec ses Louboutins.
« -ATHÉNA ! Non mais ça va pas de… - je soupire et laisse Cécilia seule une seconde pour courir vers la Cabot 'officielle', Cécilia et moi même n'étant que des bizuts – Cécilia, tu ne bouges pas d'accord ? Athéna, tu n'as pas le droit de jeter tes chaussures comme ça, c'est dangereux… Tu as failli faire mal à la dame... »
La sermonnais-je comme si je réprimandais une enfant de trois ans. Je me tournais vers la dame en question qui était visiblement prête à faire un scandale et m'inclinais poliment devant elle comme on m'avait appris le faire en Corée.
« - Je suis désolée, veuillez excusez le comportement de mon amie madame… Et toi Athéna, tu vas me tenir la main. Hors de question que je te laisse te balader toute seule dans ton état... »
Dis-je, autoritaire. Qu'est-ce que je disais, je dois vraiment me comporter comme une nounou… Et dire que je suis la plus jeune. Bref, je prends la main d'Athéna après avoir récupéré ses chaussures et nous dirige vers Cécilia en priant pour que les deux jeunes filles m'écoutent et ne cause pas trop de soucis en rentrant à la Cabot House.
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