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A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith

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aloysius caspar schwartz

Lucky Blue
Smith
Fiche d'identité
Nom Schwartz. On remarque rapidement que ça ne vient pas d'ici, mais d'ailleurs. Fier du prénom que tu portes, tu tentes de donner l'image que ton père aurait voulu lui donner.Prénom(s) Aloysius. Tu n'as jamais compris quelles sortes d'herbes tes parents ont fumés pour te sortir ce prénom que tu vois comme un prénom venu d'une autre planète, mais c'est original et ça te corresponds bien. Souvent surnommé Alo. Caspar. Tu n'aimes pas quand on écorche ton prénom en y remplaçant le "e" par le "a". T'es pas le fantôme, toi. On te fait souvent la blague, mais à force, t'as juste envie de foutre ton crayon dans les endroits fatidiques.Âge Vingt-deux années qui sont passées sans que tu ne t'en rendes compte. Depuis un an, t'es majeur et depuis un an... T'as presque rien foutu de ta majorité. Blasphème. Date de naissance Vingt-huit août. L'été, la chaleur qui brûle dans ton coeur et pourtant, le regard de glace que tu as dis tout le contraire.Lieu de naissance Tu es né en Belgique, dans la région flamande du pays où tu as été bercé par la langue néerlandophone, mais rapidement, tu t'es retrouvé dans un enseignement français. Statut amoureux Tu as toujours été en couple avec ton ordinateur, tes soirées ainsi que les comics que tu connais par coeur. Les filles, tu les as dans ton lit et ensuite, elles disparaissent, généralement.Orientation sexuelle Tu ne vis que pour les femmes, blonde comme brune, ou encore châtaine ou rousse, tu les aimes toutes.Classe sociale Riche, tu claques les billets et pourtant, le chiffre ne baisse pas pour autant. Tu ne dépenses pas inutilement. Tu as vécu dans un quartier de bourgeois, et pourtant, tes parents t'ont appris la valeur de l'argent.Études majeures Chimie. Tu ne sais pas pourquoi, mais tu as toujours été passionné. Études mineuresInformatique, tel le gros geek et hackeur que tu es. Job Tu n'en as pas.Choix de groupe #1 StudentChoix de groupe #2 ---.


GROUPE 1.
STUDENT_ Cas n'éprouve aucune haine envers les confréries, il apprécie l'idée, mais se dit que le concept n'est pas fait pour lui. Il pense qu'ils créent des liens et rejettent les personnes autour, ce qui, bien évidemment, ne lui plaît pas. Il ne généralise pas, ce n'est pas son genre. Caspar cherche à être proche de tout le monde et n'aimerait pas vivre avec des personnes pareil que lui. Il préfère ne pas favoriser un groupe de personne, ni avoir une étiquette collé sur le visage. S'il aurait du rejoindre une maison, ça aurait été la Dunster House, mais il n'y a pensé qu'un court instant avant de se dire qu'il ne le ferait pas.


APRÈS LA BOMBE.
Caspar était dans la cafétéria quand le drame s'est produit. Il mangeait tranquillement et n'avait encore que dix-neuf ans. Il y avait des échos, mais ne s'en préoccupait pas. Il n'avait pas réellement de ton à perdre avec ces rumeurs. Il n'écoutait que d'une oreille, se laissant distraire par les gens qui étaient autour de la table. Seulement, c'est quand la bombe se trouvant dans la cafétéria explosa qu'il ne compris pas. Il pensait s'en sortir indemne et avoir le temps de se cacher sous la table, mais non. Il a été touché par quelques débris. Du verre. Ses bras ont étés touchés ainsi que sa jambe gauche, où une plus gros morceau de verre a atterri. Il saignait énormément. Emmené à l'hôpital par la suite, il en est ressorti et a pu continuer ses activités sportives. Il n'a perdu personne et a remercié Dieu pour cela.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Cette fois-ci, il était aussi à la cafétéria. Il n'y va que rarement désormais, pensant que l'endroit lui porte la poisse. Il était en colère quand il a vu ces hommes armés tirer. Il pensait ne pas être touché et pourtant, c'est quand il a tenté de se déplacer pour attraper son téléphone qu'un des hommes lui a tiré dessus pour ensuite le remettre à sa place et de détruire son téléphone devant ses yeux. Caspar a été touché au bras, vers l'omoplate et il peut encore vous décrire comment la douleur était atroce. Il s'est juré que si ces hommes n'étaient pas tués par la suite, il les tuerait de ses propres mains tellement il éprouvait une haine énorme envers ces personnes. Sa mère a ensuite refusé qu'il retourne à Havard, mais il n'a pas écouté et il est resté, pouvant rassurer sa mère du mieux possible. Pour les agressions, il trouvait cela révoltant et sa mère s'était même mise à prier pour ces filles touchées. Caspar, lui, restait en retrait et tentait d'en savoir plus. Il a toujours eu l'oeil. Seulement, là, il n'a pas su réellement aider.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Caspar n'a jamais connu ses parents, s'est retrouvé à l'orphelinat très tôt et se faisant adopté vers sept ans. + Il est proche de ses frères et soeurs d'accueil. + Le blond est néerlandophone, il est venu à Cambridge vers ses dix-sept ans. + Il est trilingue, il maîtrise : le français, le néerlandais et l'anglais parfaitement.+ Il allait à l'école francophone, parlait néerlandais avec sa famille et ce n'est qu') ses dix-sept ans qu'il est venu ici, avec ses bases d'anglais. + Il a un petit accent. + Caspar est un garçon aux milles couleurs, comme le dit sa mère. Il correspond à tout genre de garçons : sportif, geek, intello, dragueur. C'est un garçon qui surprend souvent. + Sa famille allait à l'église tout les dimanches ainsi que les mercredis pour prier et c'était la même chose lors des fêtes religieuses. + Malgré son tempérament fêtard, il aime parfois rester seul. + Caspar sait écrire de la main gauche et de la main droite, il est ambidextre. + N'a jamais eu de problèmes avec l'alcool ou la drogue. +  Il s'est déjà retrouvé dans un cellule, en prison. + Caspar porte des lunettes, mais plus souvent, il porte des lentilles, ses lunettes le saoulant de trop. + Il pratique la course et la natation depuis qu'il est âgé de huit ans.


magicdream.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle magicdream., md., Pauline et j'ai quinze ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à bazzart, je pense.  Il est super, ILH ça donne envie  :loukas: alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de personne. Caspar c'l'unique.. J'utilise Lucky Blue Smith comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par BALACLAVA. Je fais environ de 895 à 1500 quand j'suis inspiré. Sinon c'est environ 600 en temps normal. mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par mwa  A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith 166564858 .

Mot de la fin ? ▲  A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith 2931463659

Je souhaite
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

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Once upon a time


«1. 2014. HOSPITAL. »

« Tu me crois coupable, hein ?» Le regard de ton père, sévère, se tourne vers toi et souffle avant de se concentrer sur la route. Tu ne veux pas qu'il pense cela de toi, tu n'es pas un garçon ainsi et il devrait être au courant. Mais non. Il a l'air déçu de toi, de son enfant et tu ne peux pas le laisser faire. « Papa, je n'ai touché à aucun truc, même à personne. C'est eux, pas moi. Je... Je suis désolé.» Sa mâchoire se serre avant qu'il ne serre le guidon. Il se tourne une nouvelle fois vers toi. Son regard, tu ne le supportes pas. « Je ne comprends pas. Nous ne t'avons pas éduqué ainsi et... Et tu te permets de nous décevoir comme ça. Tu sais à quel point ta mère est inquiète ? Elle était morte de peur. Caspar, ça ne sert à rien de mentir, ton visage dit le contraire de ce que tu me racontes.» Tu comprends à quel point il est en colère et tu sais aussi que tu ne pourras pas le faire changer d'avis. Merde. Tu as foiré alors qu'en réalité, tu es le plus innocent dans cette histoire. Il a été te récupérer au centre de police, où tu étais en garde à vue. Et il ne l'a pas accepté. Tu as été le premier des quatre à aller dans une cellule et tu regrettes. Tu ne voulais pas ouvrir le bal et pourtant, inconsciemment, tu l'as fait. Tu t'es retrouvé là pour aucune raison, tu le vis assez mal et tu as une certaine colère pour ces policiers qui n'ont pas été capables de faire leur travail comme il faut. Tes yeux se tournent vers la route et tu grimaces quand les phares d'une voiture t'aveuglent. Putain. Seulement, la lumière t'as distrait, mais a aussi distrait ton père. Il a tourné par reflex, mais à côté, s'est prit une voiture. Ce n'était pas un face à face puisque la voiture venait de ton côté et a frappé ta portière. Votre voiture a volé avant de venir s'écraser sur le sol. Ensuite, tu ne te rappelles plus de ce qu'il s'est passé. Tes yeux se sont fermés et tu t'es laissé bercé par le calme et les quelques cris qui demandaient à l'aide. La fumée, le feu, la chaleur et ensuite, plus rien. Le trou noir.

Une main vient serrer la tienne et une tête se pose sur toi. Ta mère. Autour de toi, tes frères et soeurs et une ambiance morbide. Triste, comme celle que tu n'apprécies pas forcément. Tu es dans ton lit d'hôpital, soigné de tes blessures et depuis deux jours, tu es plongé dans ce coma. Les médecins n'ont pas de date approximative pour un possible retour et ta mère, elle est morte de l'intérieur. Ton père vous a quitté et tu ne le sais même pas. Demain aura lieu son enterrement et tu ne pourras y être présent. Ta mère, encore dévastée, quitte la chambre en pleurant et un de tes grands frères part avec. Certainement pour la consoler. Ensuite, c'est quelqu'un d'autre qui prend la place de ta mère et qui vient serrer ta main. « Cas, je compte sur toi. Tu ne peux pas nous quitter aussi, c'est déjà bien trop. Reviens, s'il te plaît.» Seulement, tu ne peux pas. Tu es coincé là, les yeux fermés, l'esprit ailleurs et tu ne réagis pas. Le choc a été bien trop fort pour que tu résistes. Tu t'es pris la voiture, elle était de ton côté. Tu n'as pas pu, tu n'étais pas assez fort et pourtant, personne ne t'en veut.

Un mois. Trente jours et toujours dans ce foutu lit. Chaque nuit, c'est quelqu'un qui dort dans ta chambre. Ils échangent, switchent et tu n'as jamais été seul. Ta soeur, celle qui ne t'a jamais montré de l'amour, reste avec toi et si tu l'avais su, tu aurais été étonné. Mais dans l'état dans lequel tu es, tu en es incapable. Cette nuit, ta mère est restée avec toi et au matin, le reste de la famille a suivi. Un samedi commun pour eux depuis maintenant un mois. Ils sont forts, tu ne l'aurais pas été autant, de ton côté. Le médecin, peu après, rentre à son tour dans ta chambre et s'occupe de toi, comme à son habitude. Seulement, aujourd'hui, ta mère semble vouloir lui parler, elle a des questions. « Est-ce que vous savez quand il reviendra, docteur ?» Celui-ci se tourne vers la bonne femme, sourire rassurant sur les lèvres, même si les nouvelles ne sont pas bonnes. « Madame, nous ne pouvons pas savoir. En réalité, nous ne savons pas si votre fils reviendra. Il a vécu un choc trop grand, à mon avis, et il est sûrement dans un enfer total, et seul. Nous ne pouvons pas savoir, mais nous espérons. Votre fils est fort, ne doutez pas.» Ta mère vient poser sa tête sur l'épaule de ton frère avant de se remettre à sangloter dans son coin alors que tes soeurs te regardaient, espérant que tu reviennes à toi, certainement. Tu étais, en effet, dans ton propre cauchemar. Tu n'étais pas près de revenir. Pas encore. Peut-être pas tout court.

«2. 2014. HOSPITAL. »

« Madame, nous avons une bonne nouvelle.» Ta mère fronce les sourcils et ce n'est qu'après qu'elle verse des larmes. Caspar, tu as décidé d'ouvrir les yeux et de revenir parmi eux. Enfin. Après trois mois dans ce coma interminable, tu as su vaincre ce coma et te voilà réveillé. La forme n'y est pas, mais tu es bien là, encore en vie et tu n'as pas lâché prise. Rapidement, ta mère appelle une de tes soeurs et celle-ci passe le message au reste de la famille. Tous arrivent en même temps, abandonnant leurs activités pour se retrouver à l'hôpital. Ta mère est la première à franchir l'embrasure de la porte et ensuite, tout le reste suit et tu ne peux que sourire et verser, à ton tour, tes larmes. Tu pleures, tu n'es pas triste, mais tu es touché de tous les voir. Tu te poses des questions en ne voyant pas ton père entré, tu te souviens de ce qu'il s'est passé, mais c'est beaucoup trop vague pour t'imaginer que ton père y a laissé la vie. Tout le monde sourit et tour à tour, te prennent dans leurs bras. Tu viens de te réveiller, tu ne comprends rien, tu n'es capable que de peu. Les médecins t'ayant déjà dit qu'il te fallait une rééducation. Trois mois sans usé tes muscles, ce n'est pas rien, en effet. Personne ne te quitte des yeux, le silence n'est pas au rendez-vous. Tu as tenté de demander des nouvelles et tu as réussi. Retrouver l'usage de la parole t'est aussi étrange. Tu étais, auparavant, le plus bavard et là, tu ne sais pas quoi dire, ni comment faire. Tu confonds le français, le néerlandais et l'anglais dans la même phrase, mais ils te rassurent tous et disant que la normalité te reviendras. A chaque mots, tu hoches de la tête. Comme pour leur dire que l'information est bien entré dans ton cerveau et que tu as tout suivi. Tu comprends qu'énormément des choses ce sont passés durant ces trois mois et ce n'est qu'après une quinzaine de minutes que ta petite soeur parle de ton père, sans le vouloir. Elle parle de tombe, de cercueil et de tristesse. Rapidement, ta tête se penche et ta bouche s'entrouvre. « De.. De quoi ?» Elle grimace et ta tête se tourne vers tes grands-frères, ceux-ci secouant la tête de droite à gauche. Tu déglutis avant de te tourner vers ton autre soeur, celle dont tu as été la moins proche durant ces années et qui pourtant, venait chaque jour te voir. Ce que tu ne sais pas, bien évidemment. « Cas, tu es sorti seul de là. Papa... Papa a pas su, lui.» Tu te tournes ensuite vers ta mère, les larmes qui coulent sur tes joues montrent à quel point tu ne seras pas rester fort. Ton père, tu n'as pas su lui dire adieu et la dernière chose qu'il ait pensé, c'est à la déception qu'il éprouvait à ton propos. Ces derniers mots, ces dernières paroles auront eu un rapport avec toi, mais pas celui que tu voulais. La dernière chose qu'il est faite avant de décédé, c'était de t'engueuler et bordel, ce que tu t'en veux. T'as tout gâché. Et pour toi, c'est entièrement de ta faute si désormais, vous n'avez plus de père.


«3. 2014. CEMETERY. »


Bouquet de fleurs à la main et de l'autre, un parapluie, tu t'avances dans le cimetière. Voilà plusieurs mois que tu es sorti de ton coma et donc plusieurs mois que tu fais de la rééducation et de la réadaptation. Tu n'as pas risqué de venir seul ici, c'est donc avec ta soeur que tu t'es ramené. Celle-ci ayant accepté, tu as compris qu'elle ne t'avait pas lâché. Cette année, tu as perdu beaucoup, mais au moins, tu as gagné cette relation. Ta soeur est devenue une sorte de meilleure amie et tu lui revaudras cela pendant longtemps. Avec un peu de difficulté, tu t'abaisses et poses le bouquet de fleurs sur la tombe de ton père, riant nerveusement et de tristesse devant le tombeau, les citations et l'image de ton père, souriant comme jamais. Tu demandes à ta soeur de tenir le parapluie, ne voulant pas être trempé à cause de ce temps pourri. Tu baisses ta tête et tu te permets de verser quelques larmes. Depuis ton réveil, c'est la première fois que tu te rends ici et tu t'en veux terriblement. « On m'a.. On m'a dit pour toi. J'ai pas pu venir.. avant. Je.. Le courage n'était pas là. Papa.. J'suis.. J'suis tellement désolé. Je.. J'aurais voulu que tu restes. Si.. Si je pouvais.. Je prendrais ta place dans cette.. tombe.» Tu continuais ainsi durant quelques minutes, cherchant tes mots un à un. Parler était plus compliqué qu'avant, c'était un fait. Cette année, tu ne l'auras pas eu, tout simplement parce que tu n'as pu passer que quelques mois. La direction avait prit connaissance des raisons pour lesquelles tu ne te présentais plus en cours au bout de quelques semaines et tu avais prit ton courage à deux mains en allant les voir en personnes, expliquant que tu repasserais ton année à cause de l'accident et de tes soucis pour parler, réfléchir ainsi que marcher et tout le reste. La rééducation te prenant un temps monstre, tu n'avais pas d'autre choix.

Tu devais aller de l'avant et tu as bénéficier de l'aide de ta mère et de tes frères et soeurs, toujours présents pour toi, gardant un oeil à chaque heure de la journée, t'emmenant à l'hôpital pour tes rendez-vous, etc. Ils étaient là et tu comprenais qu'ils  l'avaient toujours étés. T'as peut-être pas eu des amis toujours là, mais tu as eu ta famille et c'est bien le plus important à tes yeux.

«4. 2015. HOME. »


« Je veux reprendre la course ainsi que la natation.» Le silence règne, les regards se tournent vers toi et les sourires apparaissent sur les visages. Noël. La famille est réunie au complet, des cousins, vos grands-mères ainsi que vos oncles et vos tentes. Désormais, tu vas mieux. Ta rééducation fonctionne parfaitement, tu marches sans t'épuiser, tu cours même. «Tu es sûr de ce que tu dis ? Tu sais, c'est beaucoup d'effort, surtout pour toi.»  Tu souris avant de hocher de la tête. La danse. Depuis huit ans, tu en fais et tu ne t'en ai jamais lassé. Tu sais que personne ne remettra tes choix en questions. Ils veulent ton bonheur et savent que tu ne l'auras qu'en courant et en nageant. Tu veux reprendre les compétitions, tu veux retrouver tes compétences. Depuis gosse, tu en fais et tout s'est arrêté après l'accident. Tu n'es pas un sportif maladif, mais sans ces deux sports, tu n'es plus le même. « S'il vous plaît. Je suis retourné à l'université et ça ne m'a apporté que du bien. Si vous voulez, je peux même reprendre un sport, un seul et unique, pour commencer.» Ils étaient tous d'accord et croyaient en toi. Seulement, ce sont quelques cons qui t'ont empêchés de pratiquer cela de suite. Une balle dans l'omoplate, un retard qui n'a duré qu'un mois et pourtant, qui a passé comme une éternité. Bordel. Tu as commencé à penser que la vie était contre toi, et tu as même cru au karma. Les événements maudits qu'ils t'arrivaient ne te laissaient pas de marbre, c'était certain.  


«5. 2016. PARTY. »

« On m'a demandé, un jour, si j'avais peur. Et j'ai répondu que non. Les gens disent que je suis un survivant, moi j'pense juste que ce n'était pas mon heure. Tu sais, la vie viendra toujours appuyer là où ça fait mal, mais n'y fais pas attention et continues ton chemin. Montre à la vie que t'es plus fort et que peu importe les saloperies qu'elle te fait, tu continues d'avancer. Récemment, j'me suis fait flingué et regarde-moi, j'suis toujours en vie ! Y'a pas de quoi avoir peur, ici. Tout est dans ta tête. La vie, j'suis d'accord, c'est une bien belle salope, elle est bête, toi, t'es plus intelligent alors montre-moi à quel point tu peux être fort et nier ce qu'elle te fait, mon gars. C'est ta façon de lui rendre son coup. Observe. Après un accident, un bout de verre énorme dans la jambe, une balle juste là et un accident qui a failli me coûter la vie, mais qui m'a plutôt handicapé, j'suis toujours là et j'ai repris le cours de ma vie. Tu crois qu'elle le vit comment, ça ? Je pense qu'un jour, elle arrêtera. Je pense qu'un jour, elle arrêtera parce qu'elle aura vu que ce qu'elle me fait ne m'empêchera pas d'avancé. On ne peut pas t'arrêter, penses-y.» Et tu dois ses paroles de sage à toutes ces boissons alcoolisées que tu as bu durant cette soirée arrosée. T'es déchiré, en vrai. Jamais tu n'aurais sorti un roman pareil clean. Etant sobre, tu l'as déjà ramené ici, la deuxième étape étaient les paroles de sages et la troisième étape, c'est de lui trouver une fille avec qui il passera sa nuit. Si t'es pas un bon ami, on sera jamais c'que t'es, dans ce cas.  

«6. 2016. SKYPE, HOME. »


« Alors, comment ça s'passe à l'unif' ?» Tu souris en entendant la voix de ton frère au bout du fil. Celui-ci est repartit en Belgique et tu ne l'as plus revu depuis. Il te manque, c'est un fait. T'as toujours été proche de tes frères, et depuis que le plus grand s'en est allé, il y a comme un vide. Sans ta famille tout près, tu n'es rien, c'est connu de tous. « ]C'est étrange. Heureusement, y'a des Schwartz partout ici, j'ai l'impression. Au départ, j't'avoue, j'me perdais. Maintenant, tout va mieux.» Tu l'entends rire et tu ne peux t'empêcher de sourire une nouvelle fois. « Les profs ont l'air de me détester parfois. Mais bordel, tu m'as pas dit que les soirées ici, c'était de la bombe. Et j'parle même pas des filles !» Encore une fois, il rigole et tu ne peux t'empêcher de rigoler avec. Ensembles, vous étiez comme les deux doigts de la main. « ]Et toi, comment tu vas ?» Un long de moment de silence avant qu'il ne reprenne la parole. « Tout va bien. La famille est désolée de ne pas avoir été là durant tout ce qu'il s'est passé, elle t'envoie des ondes positives et tout son respect ! Mamie a même sorti l'expression ; "Mon p'tit fils, c'est un putain de badass !". J'te jure, elle était à fond sur ta gueule de blond.» Tu es pris d'un fou rire, ta famille, c'est des tarées, tu le penses de plus en plus et il n'y a même plus de doutes. Tu aimerais tous les avoir près de toi, mais tu sais que c'est impossible. Heureusement, tu as ces têtes de cons un peu partout ici et tu es bien content. Ta mère, tes soeurs et ton frère. L'autre se trouvant en Belgique, t'espères qu'il pointera bientôt le bout de son nez. Tu veux organiser une soirée ,comme tout le monde les aime, avec lui et tu y crois. Parce que s'il pointe pas le bout de son nez bientôt, t'iras le chercher en le tirant par les cheveux s'il le faut. On s'éloigne pas de toi si tu ne l'as pas décidé. Les gens l'ont bien compris.


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bienvenuuuuue A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith 2109348208
bon choix d'avatar et bon courage à toi A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith 2109348208 A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith 152426858
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bienvenuuuuue et bon courage pour ta fiche A. CASPAR SCHWARTZ ► lucky blue smith 2511619667 .
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