Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLet's be alone together ○ Elena
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Let's be alone together ○ Elena

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Allongé sur le canapé, en caleçon, je regardais une émission de cuisine stupide. Les cuisiniers voulaient apprendre aux téléspectateurs à faire un gâteau alors que je ne savais même pas faire cuire des pâtes. Ouais en cuisine j'étais pas doué, une vraie catastrophe, comme si une malédiction pesait sur moi. Alors, chaque jour c'était un plat surgelé que je mangeais, laissant petit à petit tomber le luxe d'un repas chaud fait maison. De toute manière, je n'avais pas de temps à perdre aux fourneaux, tout le temps libre étant utilisé pour sortir, faire la fête ou séduire une femme. Soupirant, je saisissais la télécommande, prêt à changer la chaîne, espérant trouver quelque chose de plus intéressant qu'un stupide gâteau au chocolat. Mais quelque chose me stoppa, le bruit d'une clé tournant dans la serrure, le grincement de la porte qui s'ouvrait et enfin un soupir. Me relevant, je me dirigeais lentement vers l'entrée, curieux de savoir qui ça pouvait être étant donné que Bea était sortie avec des amies. « Bah qu'est ce que tu fous là ? » demandais-je, écarquillant les yeux devant la belle blonde qui enlevait son manteau, faisant comme chez elle, ne se gênant pas pour balancer ses chaussures. « Tu sais si je t'ai passé cette clé c'est pour les cas d'urgences pas pour venir faire une sieste quand t'en as envie » plaisantais-je, me rapprochant d'elle pour la saluer. Au fond j'étais heureux de voir Elena, cette femme que j'avais perdu de vue et retrouvé il n'y a pas si longtemps. Je lui avais promis de ne plus la laisser, de faire partie de son histoire jusqu'à la dernière page, de l'aider quand elle sera au plus bas et, jusqu'à maintenant, j'avais respecté ma promesse. C'était donc avec un grand sourire que je lui faisais signe d'entrer dans le salon.
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Clairement, j’en voulais au monde entier. Et dans des jours comme celui-ci, vaut mieux ne pas être seule et aller voir la seule et unique personne qui peut me changer les idées. Alors oui, j’avais introduit les clés de son appartement dans la serrure prévue à cet effet, et j’avais passée le pas de la porte en déposant mon manteau ainsi que mes chaussures à l’emplacement qui leur correspondait, mais en voyant son visage, je savais que cette irruption en valait la peine. Simplement parce que j’avais déjà un sourire figé sur mes lèvres. Je l’aimais mon cochon à moi, et je savais qu’il serait toujours là pour moi. « Beeeeen, je suis venue rendre visite. Genre, SURPRIISE. » J’essayais de sauver les apparences, de faire croire que tout était prévue et blabla, mais en fait, si je n’étais pas passé dans la rue à côté de celle qui est en face de la sienne, je ne serais jamais venue. Ou peut-être que si. Si, en fait je serais serais venue. « Moi qui croyais que cette clé servait surtout quand je n’avais plus rien à manger chez moi… Ha non, c’est vrai. Il n’y a jamais rien à manger ici. » Petite pique lancée pour s’amuser, surtout pour le taquiner en fait. Il savait que je savais que sa nourriture quotidienne se trouvait dans une boîte au congélateur et nulle part ailleurs. Lorsqu’il s’approchait de moi pour me laisser aller jusqu’au salon, je lui faisais un délicat baiser sur la joue. Bon, d’accord il était pas très délicat, et très peu sexy, mais je m’en fichais royalement vu que j’avais faillit tomber en le faisant. Faillit heureusement, ce n’est donc pas une fatalité. « Ho, mais… J’aurais presque oubliée. » Un petit sourire en coin sur les lèvres, je baissais mon pantalon et détachais les boutons de mon chemisier pour aller lui sauter dans les bras et m’accrocher à lui. « Tu m’as manqué mon cochon. » Surnom affectif, très affectif. Je terminais mes paroles par un baiser sur le nez. Plu délicat que le dernier.  

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Alors que je lui faisais signe de la tête de venir dans le salon, elle commença à se déshabiller, comme si elle était chez elle, comme si c'était normal d'être à moitié nu entre nous. Heureusement je n'étais pas le genre de mec coincé qui se cacherait les yeux en lui disant de mettre au moins un haut, non j'étais plutôt du style à admirer la vue, après tout ce n'était pas la première fois que je la voyais comme ça. En effet, Elena et moi avions souvent fini dans les bras l'un de l'autre, nous avions testé le lit un nombre incalculable de fois. Mais tout ça c'était quand on était célibataires et, malheureusement pour elle, je me trouvais aujourd'hui en couple avec Lou, ce qui ne m'empêcha pas de la rattraper, déposant un baiser dans son cou pour toute réponse. Ouais, ok on était proches, on avait peut être une relation ambiguë mais c'était pas vraiment tromper si ? C'était plutôt du lèche vitrine, deux potes aimant se mettre à l'aise. « T'es au courant que je suis avec quelqu'un ? » demandais-je, amusé, ne me rappelant plus si je lui avais dit pour Lou. On partageait tellement de choses que c'était encore confus dans mon esprit. « Tu m'as manqué aussi p'tite tête ». Un clin d'oeil et je la transportais dans mes bras pour la jeter brutalement sur le canapé, la traitant plus comme un objet que comme une princesse à ce moment là mais on s'en foutait, du moment qu'on s'éclatait. Poussant ses pieds avec ma main, je me posais au bout du canapé, caressant sa jambe de ma main. Ouais, relation ambiguë vous vous rappelez ? « Bon et si tu me disais ce qui t'amènes vraiment ici ? » Parce que je sentais que c'était pas qu'une visite de courtoisie, je la connaissais trop bien. Soit un truc génial lui était arrivé soit elle souffrait et cherchait du réconfort. Dans tous les cas j'étais là pour l'écouter.
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Liam c’était comme la grosse peluche qui vous attend le soir sur votre lit et que vous voulez serrez toute la journée. C’est le petit cœur que tout le monde aime, et la lumière qui passe par la fenêtre. Je l’aimais beaucoup, surtout parce qu’il est et sera toujours le mec parfaitement apte à m’entendre gémir, pleurer, rire et taper du pied. Ouais, il ne me juge pas lui au moins. Il m’accepte comme je suis, alors je m’étais déshabillé, en gardant juste ma chemise trois fois trop grande aux boutons détachés. « J’ai cru comprendre que tu avais une copine, oui, en effet, grâce à potins magazines. Vu que bien entendu ton sms n’était pas le plus clair du monde. » Non, j’avais surtout lu son sms et espéré que ce soit une blague. Mais bon, tant qu’elle n’est pas devant moi à l’embrasser je ne vois pas pourquoi je devrais calculer l’accident qui la fera disparaître de la terre. Sincèrement, j’étais contente s’il était heureux, mais bon, elle n’avait pas intérêt à m’empêcher de le voir ou pire, à l’accaparer trop souvent. Oui, je suis possessive et tout ce qui va avec, mais je savais me tenir. Parfois. Peu de fois. Bon, ok une fois sur un million.  « Mouais, je n’ai pas trop dû te manquer vu que ta bouche devait être occupée. » Un petit sourire mesquin et oups me voilà arrivé sur le canapé. Un rire se laissait entendre d’entre mes lèvres, amusé de la situation. S’asseyant à mes côtés, je sentais sa main rejeter mes pieds avant de délicatement se poser sur ma jambe pour la caresser. Il voulait connaître la raison de ma venue, et je me tâtais encore entre le fait de continuer à l’embêter et le pousser à bout, ou tout avouer et le pousser à bout un peu plus tard. « Je suis venue parce que j’avais besoin de voir le seul mec encore honnête sur terre. Voilà pourquoi je suis dans ton canapé en ce moment, et que je vais sauter de ta chaise un peu plus tard pour mourir d’une chute de quinze centimètres ou plus, qu’est-ce que j’en sais combien elle mesure ta chaise moi. » Je changeais de sujet comme de chaussures aujourd’hui, mais mon dieu ce que j’aimais ça. Il allait soit se perdre dans mes mots, soient les comprendre et me remettre sur le droit chemin.

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Une petite pile électrique, voilà ce qu'était Elena, le genre de femmes qui apporte du piquant dans votre vie, qui ne se fatigue jamais, qui ne cherche pas les problèmes alors, en la voyant entrer sans prévenir, j'avais deviné que quelque chose n'allait pas. Elle n'aurait pas risqué de me déranger pour rien, pour juste une visite de courtoisie. Alors on était maintenant là, elle allongée, ses jambes sur les miennes, ma main les remontant doucement comme si on était en couple ou, en tout cas, plus que des amis. Ouais, notre relation n'était pas simple à expliquer, on ne pouvait pas mettre d'étiquettes dessus et ça me plaisait comme ça car on était pareils tous les deux, on était fusionnels, complexes, pas le genre qu'on puisse caser dans une catégorie et oublier. Et c'était justement parce qu'on se comprenait que je n'étais même pas étonné qu'elle change de sujets comme ça, qu'Elena se mette à parler de mecs honnêtes pour finir par me demander combien mesurait ma chaise. « Tu peux toujours essayer de sauter du haut de ma chaise mais je garantis pas que ça règle tes problèmes ! Mais si ça peut te distraire tu peux toujours prendre un mètre et mesurer tout l'appart, si ça ne te suffit pas tu peux toujours mesurer certaines parties de mon corps » plaisantais-je avec un clin d'oeil à son adresse. Joueur, provocateur, j'étais comme ça avec mes amis les plus proches, ceux qui ne me jugeraient pas, qui me connaissaient vraiment. « Ou sinon tu peux commencer à me raconter ton histoire et t'auras une belle récompense ». Ouais, je savais comment l'encourager à parler, lui faire la morale ne servirait à rien, la piéger non plus. Il fallait qu'elle se sente en confiance, qu'elle rigole un peu parce qu'elle ne méritait pas d'être triste, que quelqu'un la fasse souffrir. J'étais là pour veiller sur elle et je le serais toujours, peu importe ce qui lui arrivera ou les conneries qu'elle fera.
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Quand on a quelqu’un comme Liam dans sa vie, on a tout gagné. J’étais allongée sur son canapé, pensante de tout ce qui se passait en ce moment. Lukà était le pire connard du monde, et je me devais de définitivement tourner la page si je ne voulais pas être blessée. Sentir sa main sur une de mes jambes me faisait quelque peu sourire, et grâce à lui, je me sentais toujours soutenu. J’espérais parfois qu’il éprouve la même chose en ma présence. Quand je lui racontais mon plan de sauter de la chaise, je me redressais quand il m’énonçait un plan assez original. « Je peux vraiment sauter alors ? Et après je te mesure ? » Un sourire enfantin sur mes lèvres. Je faisais comme un bébé pour entendre un oui sortir de sa bouche. Bien entendu je me ressaisissais vite avant qu’il croit qu’il ne comptait pas assez à mes yeux pour m’empêcher de sauter de sa chaise de nain. Me relevant alors du canapé pour venir me mettre à califourchon sur lui. Me lever était une option dans le processus pour retourner sur ses jambes, mais tant qu’à y être, je m’amusais en le faisant mijoter. Enfin face à lui, je laissais ma tête aller se réfugier dans le creux de son cou pendant que mes bras l’enlaçaient. « Je suis la pire débile du monde, voilà ce qui se passe. » Un faux sourire se faisait, il ne pouvait pas le voir, mais j’étais mal en repensant à tout ça. « J’ai recouché avec Lukà avant le bal, j’ai cru qu’il allait m’inviter mais pas du tout et il ne m’a jamais rappelé jusqu’à ce que… » Devais-je vraiment le dire. J’en doutais. C’était une honte personnelle. « Jusqu’à ce que j’aille chez lui péter mon câble en traitant sa merveilleuse cavalière de fille facile aux jambes ouvertes. » Je me serais moquée de moi-même si je le pouvais, mais autant rester de marbre face à Liam. Parce que c’était loin d’être la fin de l’histoire. Je n’étais pas dans ma meilleure forme, et une larme commençait à couler sans même que je ne la notifie. Je me redressais pour lui faire face. C’était grave. « Il sait tout… Il sait pour l’Australie, pour l’imbécile qui me frappait là-bas. Il sait maintenant, et c’est de ma faute, parce que j’ai gaffée, parce que j’ai eu peur quand il m’a prise par le bras pour me mettre dehors. » J’essuyais la larme et ne lui laissais même pas le temps de m’interrompre. « Parce que oui, il a essayé de me jeter dehors, mais je voulais pas, je voulais pas, parce que je suis une princesse et les princesses elles se font pas chasser. » Une mine boudeuse. Mes mains qui l’avaient desserrée quand je m’étais détachée de son cou, venaient maintenant caresser doucement son torse. C’était ma peluche, mon chocolat, ma vie quoi.

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Let's be alone together ○ Elena Tumblr_inline_mz2kxkhor21rt2432
feat. Elena ✖ Blaguer, encore et toujours, pour cacher sa souffrance, pour que les problèmes paraissent moins importants. Beaucoup de personnes faisaient ça mais, malheureusement pour elles, ça rendait la chose encore plus évidente. Voilà pourquoi quand Elena avait parlé de la chaise, je ne l'avais pas pris au sérieux, préférant lui faire une offre alléchante : la jeune femme me disait ce qu'il se passait vraiment et elle aurait ce qu'elle voulait. Offre qui semblait marcher étant donné qu'elle entoura mes jambes des siennes, enfouissant sa tête dans le creux de mon cou, ses bras se positionnant autour de moi. Si elle faisait ça c'était que ça devait être vraiment dur, fronçant les sourcils je m'attendais au pire. Quelle connerie était assez grave pour qu'Elena ne puisse même pas me regarder dans les yeux en en parlant ? Mes doigts passaient sous sa chemise pour caresser son dos nu tandis qu'elle commençait à parler, affirmant être la pire débile du monde. « Dis pas n'importe quoi, si t'étais débile, on pourrait pas être amis » lançais-je un petit sourire aux lèvres pour améliorer un peu l'ambiance, pour la mettre plus en confiance. Après tout, les blagues pourries c'était notre truc, notre manière de communiquer. Mais, quand elle m'avoue avoir couché avec Lukà, je grimaçais, imaginant la scène, voilà quelque chose qu'il aurait mieux fallu ne pas savoir. Mes doigts arrêtèrent de se balader sur son dos pour aller caresser sa joue mouillée par les larmes. Elle ne méritait pas de souffrir comme ça, de pleurer pour un mec qui ne prenait même pas la peine de la calculer après une nuit passés ensemble. « T'arrêtes pas Elena, il s'est passé quoi après ? » murmurais-je, le regard plein d'amour et de douceur pour celle qui méritait que le monde entier se batte pour son bonheur. Cette femme était une perle, quelqu'un que j'étais fier d'appeler mon ex, mon amie, ma sex friend, peu importait ce qu'on était du moment qu'elle restait dans ma vie. Alors, quand elle m'avoua que ce petit con avait voulu la mettre dehors, je me mis à voir rouge. « Justement une princesse ne devrait pas traîner avec un pouilleux ». Le visage dur, je ne plaisantais plus, on touchait pas à Elena comme ça, on ne la faisait pas souffrir sans en subir les conséquences. Saisissant ses mains avec les miennes, je l'attirais d'un coup vers moi pour la serrer dans mes bras et déposer un baiser dans son cou. « Laisse tomber ce putain de branleur et sa pute bon marché, tu vaux mieux que ça, tu mérites tellement plus. Je m'en fous que t'ai couché avec lui, tu contrôles pas tes sentiments, je te demande pas de l'oublier, je veux juste que tu fasses plus attention à lui parce qu'il te fera souffrir, parce qu'il a pas l'air de réaliser à quel point t'es importante » susurrais-je à son oreille avant de m'interrompre pour la couvrir de baiser. « Parce qu'il ne t'aime pas comme je t'aime ». Ouais, personne ne le pouvait.
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