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Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne

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Jules Klein-Fitzgerald

Cara
Delevingne
Fiche d'identité
Nom Klein-Fitzgerald.Prénom(s) Jules Phoebe.Âge vingt-trois ans.Date de naissance dix-sept mars mille neuf cent quatre-vingt-treize.Lieu de naissance Londres, AngleterreStatut amoureux célibataire volage.Orientation sexuelle hétérosexuelle mais ouverte à de nouveaux horizons.Classe sociale classe sociale aisée.Études majeures en cinquième année de criminologie.Études mineures droit.Job vendeuse dans un magasin de jeux vidéos.Choix de groupe #1 Mather House.Choix de groupe #2 Quincy House.


MATHER HOUSE.
Les soirées ça me connait. J'ai l'esprit très fêtard et ne manque jamais les soirées qui se font sur le campus. J'adore faire de nouvelles rencontres, boire, m'amuser, danser, et puis draguer -ou même me faire draguer. Je suis le genre de personne qui profite de chaque seconde qui passe. Ce n'est pas parce que je suis fille d'un policier et que j'aimerais suivre la même destinée que je ne peux pas profiter de ma jeunesse comme tout le monde. Au contraire, je ne me prends jamais la tête, et personne ne peut m'empêcher d'assister à une soirée. Je m'amuse toujours comme une folle et je me fais généralement remarquer. Soit parce que je fais n'importe quoi, soit parce que je suis trop pleine, ou soit je danse comme une salope -on dit que l'alcool rend les femmes irrésistibles. Les relations amoureuses ne m'ont jamais réussi. Je suis plus faite pour les coups d'un soir. Autant dire que je ne repars jamais seule d'une soirée bien arrosée.

QUINCY HOUSE.
J'ai un cercle social important, assez pour figuré parmi l'une des grosses têtes de l'université, une populaire comme diraient certains. J'ai très peu d'ennemis, voir pas du tout. Il est difficile de ne pas m'aimer, aussi généreuse que je suis. Mais il ne faut pas pour autant abuser de ma bonté, ça pourrait très vite se retourner contre vous. J'ai un caractère bien trempé qui n'hésite pas à exploser si on allume la mèche. J'aime aider les gens qui m'entoure, être une source de rayonnement pour eux. Je pense parfois même plus aux bonheurs des autres avant le mien.
APRÈS LA BOMBE.
Le pire jour de ma vie. Celui qui m'a traumatisé à vie et qui refait encore surface lors de mes cauchemars. Quel humain a pu faire ça, tuer des innocents, bouleverser leur vie à jamais? Je me souviendrai toujours de ces cris, de ces pleures, de ces gens affolés qui tentaient de sortir de ce capharnaüm, de cette apocalypse, de sauver leur vie. J'avais réussi à me mettre à l'abri, je n'avais été touchée que très peu. J'étais sortie de cet attentat avec des côtes cassés, suite à un débris qui avait été projeté sur moi. Je gardais cependant une marque assez importante au niveau du dos, du à un éclat de verre important qui avait traversé ma chair. Mais aujourd'hui je vais bien, j'ai reconstruis ma vie, mais j'ai toujours cette peur de voir le mal arrivé sur moi une nouvelle fois. J'ai été suivie psychologiquement, j'étais bien trop faible pour m'en sortir. Je garde des séquelles mentales, toujours rongée par la peur d'être à nouveau une victime sans défense.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Je n'étais pas à Cambridge lors de ces tragiques évènement, mais à Londres pour passer un peu de temps avec ma famille. Je suis restée toute la journée sur mon téléphone, à tente de communiquer avec mes amis pour savoir s'ils étaient en sécurité. Je n'ose imaginer la peur que toutes ces victimes ont du ressentir à ce moment. J'aurais tellement voulu être là pour tenter de faire bouger les choses, d'empêcher le pire... Mais je n'avais pas pu : j'étais à des milliers de kilomètres de Cambridge et j'étais juste vulnérable face à cette situation. Harvard a connu beaucoup de moments difficiles et l'on est malheureusement jamais à l'abris d'un prochain drame.
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Si je devais dire mes défauts : arrogante, négligeante, blessante, revancharde, insouciante △ Si je devais dire mes qualités : tenace, rigoureuse, intuitive, joueuse, réaliste. △ Au delà de mon physique féminin se cache une âme de garçon manqué qui aime les jeux vidéos et qui sait manier une arme.


pseudo irl
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle endlesslove et j'ai vingt ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à (sorry, je m'en rappelle pas, ça fait trop longtemps Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 1881463262 ).  Le forum me manquait alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Cara Delevingne comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr et bazzart. Je fais environ cinq cent mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

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Once upon a time

« On peut tout fuir, sauf sa conscience. » △ Quelle naïveté d'espérer une vie sereine jusqu'à ce que notre coeur cesse de battre et que nos paupières ne se ferment définitivement. Londres, 1998. La fuite a été leur quotidien dès l'instant où leur vie a été menacée. Pas étonnant lorsque l'on épouse un homme des forces de l'ordre, prêt à se dévouer corps et âme pour que la justice règne. Il y a toujours des représailles dans ce métier, surtout lorsqu'on arrive à coincer le leader d'une bande de rebelles dangereux et armés jusqu'aux os. Il fallait s'en douter, que tôt ou tard, cette arrestation lui retomberait dessus et qu'une revanche serait déclarée. "Fais tes valises, on doit partir d'ici." Mon père était rentré dans le domicile alerté comme jamais. La panique était clairement visible sur son visage et il n'annonçait rien de bon. "Mais pourquoi? Qu'est-ce qu'il se passe Vlad? On va où?" Ma mère avait besoin d'explications. Il avait débarqué de nul part en lui disant de quitter leur foyer pour un temps indéterminé. C'était pas possible, elle ne pouvait pas partir comme ça, laisser tout derrière elle sans un mot. "Je t'expliquerai plus tard, en attendant fais ce que je te dis." Son ton était devenu insistant, appuyant bien la gravité de la situation. Elle n'avait pas le choix, c'était une question de vie ou de mort. Elle emportait alors tout ce qu'elle pouvait, prenant avec elle de objets sentimentaux puisqu'elle sentait au fond d'elle que son retour ici ne se ferait pas dans une semaine ou deux. Mon père avait déjà tout prévu pour ce départ précipité et avait réservé un vol privé pour la France qui serait leur nouvelle maison. Ils étaient obligé de laisser tous derrière eux, abandonnant leur famille et leurs amis dont Londres n'allait plus être qu'un souvenir. Ce départ devait rester secret, jusqu'à ce que la tension ne retombe et que notre vie soit à nouveau sécurisée. Et pendant que leur vie prenait un tournant, je n'étais qu'une petite fille de sept ans qui ne se rendaient pas compte dans quoi on m'embarquait, ne s'attendant qu'à un simple voyage temporaire.

« A force de croire, on oublie de douter » △ Paris, 1999. Déjà un an que nous avions été dans l'obligation de recommencer une autre vie, sous la surveillance totale de la police. Nouveaux noms, nouvelle histoire, tout avait changé pour notre protection en espérant que tout ça ne soit que provisoire. Ils avaient du mal à se faire à ce changement trop précipité, à se faire à cette nouvelle identité qu'ils devaient s'inventer pour éviter que le gang ne les retrouve. Et moi aussi, pourtant on n'avait pas le choix. "Ca ne sera plus très long, je te le promets. Ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour les arrêter, et notre vie pourra enfin reprendre son cours normal." Bizarrement, il répétait souvent ces mots, et pourtant le temps passait encore et encore. Ma mère avait l'impression que ce calvaire ne finirait jamais, et que j'allais être obligée de grandir dans la discrétion, sans profiter des bienfaits qu'ils s'étaient imaginés pour moi. Et pourtant, elle s'accrochait à cet espoir, même si cette flamme s'éteignait peu à peu. Ils savaient qu'un jour, très bientôt, tout ça ne sera plus qu'un mauvais rêve. "J'suis tellement désolée Kylie. J'suis désolée de ne pas te donner la vie que tu as toujours rêvé. Au lieu de ça, tu te retrouves obligée à vivre loin de tout par ma faute. Vous méritez tellement mieux Jules et toi." Mon père culpabilisait de voir leur vie tourner comme ça. Il regrettait de me voir grandir dans un milieu si médiocre qui ne se résumait à rien. La liberté nous avait été volée, et il n'y avait rien de pire. "Arrête de dire n'importe quoi! Cette vie je l'ai choisie. Je savais pertinemment que décider de faire ma vie avec toi ne serait pas si facile, et je ne regrette pas cette décision." Leur amour l'un pour l'autre était leur force. Et si ma mère essayait d'être réconfortante, mon père avait bien du mal à y croire. Et malgré cette situation dans laquelle je me retrouvais, ils faisaient tout pour que je m'épanouisse en veillant à ce que je ne manque de rien. Difficile pour une petite fille comme moi de me rendre compte de la gravité des choses, et même si mes parents se lamentaient sur leur sort, je souriais pleinement en leur apportant un peu de joie. Tout semblait normal pour moi. Vivre constamment avec des gardes autour de moi n'avait rien d'exceptionnel. Mes parents me répétaient souvent qu'ils étaient là pour veiller à ce que personne ne m'embêtent, et j'y croyais dur comme fer. "Ne parle jamais à des inconnus Jules, d'accord?!" Cette phrase était devenu un rappel constant lorsque je me rendais à l'école ou ailleurs que chez moi. La méfiance faisait partie de notre quotidien. Je n'avais pas le droit de vivre pleinement comme mes camarades, j'étais obligée de toujours rester sur mes gardes. "Oui maman, je saaaaaaiiiis" C'était devenu ennuyant de toujours entendre la même chose, mais je savais que c'était pour mon bien.

« Etre libre, c'est se posséder soi-même. » △ Londres, 2005. Si ces six années de renfermement sous protection nous avait empêché de vivre notre vie comme on le sous-entendait, cet événement m'avait permis de forger mon caractère endurci. J'ai grandi dans le danger, à chaque seconde où j'osais sortir de chez moi pour vivre le peu d'enfance qui m'était accordée. Si cette vie avait été bâtie sur une peur immense, j'avais réussi à passer outre ça et faire face au mal qui nous menaçait. Et pendant que les petites filles de mon âge jouaient aux barbies, j'avais été élevée dans la méfiance la plus absolue en me rendant rapidement compte des ennemis auxquels ont devait faire face. La force et le courage étaient les devises de notre famille cachée pendant de longues années, désormais révolues. Les sentences avaient été prononcées, condamnant ces personnes qui nous avaient rendu la vie impossible à une perpétuité. Nous étions de nouveau libre, à l'abris des menaces de mort. Et dès que ce calvaire se termina, nous étions retourné à Londres, retrouvant nos familles, nos amis, notre foyer. "C'est fini papa? On est de retour à la maison, pour de vrai?" Cette idée ne pouvait que me ravir. Je n'avais jamais perdu espoir de revenir dans cette ville.  C'était bon de retrouver ce que j'avais toujours connu, ce que j'avais toujours aimé. "Oui c'est terminé. Tout va pouvoir redevenir comme avant." Comme avant était un bien grand mot. Notre retour aux origines n'avaient pas été si facile. Que dire à toutes ces personnes qui n'avaient eu aucune nouvelle de nous durant quatre ans, se doutant pas une seule seconde que nous avions vécu dans la crainte? Nous étions en mesure de prendre un nouveau départ, un parmi tant d'autres, mais dans les meilleures des conditions cette fois-ci. Difficile de retrouver ses marques lorsqu'on a été obligés de s'inventer une autre vie, dans un monde qu'on ne connait pas, et qu'on a jamais vraiment eu l'occasion de connaître. Et si ma vie d'avant m'avait manquée, autant à moi qu'à mes parents, refaire surface était une nouvelle épreuve à surmonter. Heureusement que le temps nous avait permis de nous apprivoiser à cet ancien mode de vie.

« La vengeance est une justice sauvage. » △ Cambridge, 2010. Il était temps pour moi de quitter le nid et de construire ma vie à mon tour. Maintenant que les choses semblaient s'être améliorées après notre fuite, j'avais décidé de quitter Londres pour rejoindre Cambridge. J'avais été acceptée dans l'une des plus grandes universités des Etats-Unis qui est Harvard et je ne pouvais laisser cette chance passer. En effet, je savais que faire mes études de criminologie dans cette établissement serait un plus pour moi et me permettrait d'assurer mon avenir. Mes parents ont donc décidé de me suivre dans mon déménagement pendant un an, juste le temps pour moi de m'installer et de prendre mes repères. C'était aussi l'occasion pour mon père de tenir sa promesse : m'apprendre à devenir comme lui. "Lèves un peu plus ton bras et essaies de mieux viser." Je m'accomplissais à ces conseils, relevant mon bras en tenant toujours aussi fermement le revolver. Le casque sur les oreilles, les lunettes de protection au nez, j'essayais de prendre l'emprise sur cette arme que je tenais entre les mains. Dès que j'en avais eu l'âge, mon père avait absolument voulu que j'apprenne à manier une arme si l'on venait faire à nouveau face à une situation telle qu'on avait vécu. Il voulait limiter les risques, n'ayant pas quitter son service pour autant, trop amoureux de la justice. D'ailleurs, il avait réussi à me refiler cet amour particulier. Toute cette histoire d'exile vers la France m'avait donné envie de régner sur les malfrats. La persévérance de mon père m'avait tellement remarquée que j'avais décidé de devenir comme lui et servir pour la bonne cause. Ses histoires me passionnaient toujours autant. Je ne me lassais jamais de savoir ce qu'il avait fait, faisant de lui mon héros attitré. "Je t'admire tellement. J'aimerais avoir ta force et ton courage pour devenir comme toi." C'était clair et net: mon destin était tout tracé et je savais ce que j'allais devenir. Savoir que j'allais suivre son chemin le ravissait mais l'effrayait en même temps. Il connaissait mieux que quiconque les risques de ce métier héroïque et ne pouvait concevoir que j'y reste un jour ou l'autre. "Sache qu'être policier ne veut pas dire que tu gagneras toujours, et que tu encours de grave danger en exerçant cette profession.""Le danger ne me fait pas peur. Justement, c'est ça que j'aime. Toi aussi, non?" Il haussa les épaules, affirmant ma réponse. Le danger faisait bien partie de l'adrénaline du service, et puisque je semblais convaincue de mon choix, il décidait de me laisser entrer dans son univers. "J'pense avoir les compétence nécessaires et ce, grâce à toi. J'ai eu le meilleur des conseillers en la matière, alors je ne crains rien, ou moins que les autres." En tant que fille, je me devais de lui être rassurant et le flattais pas la même occasion. Ce métier ne comportait que très peu de femmes, et c'était justement ça qui m'attirait. J'avais toujours eu cette part de garçon manqué en moi. Quelle genre d'adolescente de mon âge préférerait le risque au paisible? J'avais choisi ces études, cette prochaine vie parce que j'avais trouvé ma voie. Les armes ne me faisaient pas peur et je savais déjà les utiliser grâce aux apprentissages multiples de mon père. Je savais très bien me défendre, et les agresseurs avaient plus à craindre que moi. J'avais toujours eu un certain intérêt pour les jeux de guerres et tout ce qui s'en suit. Avant d'en venir aux choses sérieuses, je me contentais de jouer à la playstation, tirant sur tout ce qui était désigné comme un ennemi. Cette part masculine ne m'avait jamais empêchée je gardais cette part de masculin en moi qui me donnait assez de courage et assez de force pour faire face au danger.
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(re)bienvenue. Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 1365124802
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caraaaaaaaa Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 4205929361
rebienvenue ici Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 152426858
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LAURIIIIIIIIIIIIIE hanwii hanwii Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 3850463188
(re) bienvenue. Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 152426858
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Bienvenuuuuuuue parmi nous Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 3997999705
N'hésite pas à rejoindre la meilleure des confréries, la Dunster :loukas:
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re-bienvenue sur ilh. Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 2109348208
bon courage pour ta fiche. Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 1f618
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re-bienvenue Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 152426858 :**r:
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hanwii hanwii hanwii hanwii
rebienvenue parmi nous miss. Jules K.-Fitzgerald > Cara Delevingne 3997999705
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bienvenue :heaart:
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