Edelix- Pas un as de la Géo Harvardienne

Lundi matin, Félix était arrivé à l'heure sur le campus de Harvard. L'ancien étudiant de Columbia avait trouver ses repères depuis ses deux mois d'arrivée mais il semblerait qu'aujourd'hui il avait encore du mal à se repérer. Son horaire de cours était quand même chargé et il devait se rendre à un laboratoire de Biologie sans se rappeler c'était où! Sac à dos à l'épaule, Il avait deux livres dans une main tandis que dans l'autre une carte du campus. À New-York, il n'avait mis que quelques jours pour trouver ses repères. Il marchait sur le sentier principale mais ne regardait pas où il fonçait tête premiere dans le dos d'une inconnue. Le jeune italien n'avait rien remarquer à part une masse de cheveux blonds. Félix sur les fesses regardait devant lui, ses bouquins maintenant éparpillés.

-Je suis vraiment désolé!

Sa carte était tout près de l'inconnu, génial il allait passer pour un vrai touriste qui avait besoin d'une carte pour se retrouver, enfin cela ne faisait pas de mal quand son téléphone dans sa poche était fermé.

(Invité)

Pas un as de la géo.
Félix

Tu déambules dans les couloirs pour te rendre à ton prochain cours. Tu as du temps devant toi, beaucoup de temps mais tu n’as pas envie d’aller te réfugier à la bibliothèque ou de rentrer, tu as juste envie de marcher avec tes livres dans les bras. Harvard est une école d’un silence religieux en ce moment c’est pourquoi tu en profites pour sortir un peu plus de tes cachettes et pour ne plus raser les murs telle une petite souris. Les examens y sont pour quelque chose, beaucoup de personnes sont en train d’étudier pour ne pas louper leur année. Toi tu n’as pas forcément peur, tu n’es jamais confiante à cent pourcents mais tu es assez studieuse pour savoir que ton année devrait être validée. Tu marches alors d’un pas tranquille dans les couloirs quand quelqu’un te rentre dedans. Tu manques de tomber, tu te rattrapes de justesse, heureusement que tu ne portes pas tes talons de bal. Tu te retournes alors et observes la silhouette au sol tout en remettant tes lunettes sur ton nez retroussé. « Félix ? Mais qu’est-ce que tu fais ? » Tu te baisses alors pour l’aider à ramasser ses affaires.

(Invité)

L'italien avait une drôle d'allure , tombé sur les fesses, il reprenait ses esprits pour commencer à ramasser ses bouquins de biologie, Félix devrait faire plus attention où il mettrait les pieds à l'avenir. Il était entrain de prendre un de ses bouquins qu'il levait les yeux en reconnaissant la voix de l'inconnue qu'il avait percuté, c'était son amie proche , enfin plutôt sa sœur de cœur Edel! Il lui sourit avant de se mettre à rire.''Edel! J'essayait de me rendre à un labo de Bio.'' Une des nouvelles aventures ratés de Félix. Au moins il n'avait pas percuter un gros dure ou un sportif qui aurait eut l'égo trop gros et aurait voulu se venger sur lui. Une fois ses bouquins de nouveau dans ses bras, il se relevait avec un sourire reconnaissant envers son amie.''Et toi qu'est ce que tu faisait avant que je te percute?'' Ouais, il employait surtout un surnom pour son amie parce qu'il avait de la difficulté à prononcer son nom complet depuis qu'il la connaissait.

(Invité)

Pas un as de la géo.
Félix

Tu viens de percuter ton ami, ou plutôt il vient de te percuter. Tu as eu du mal à te retenir de ne pas tomber mais le poteau près de toi t’as servi pour te garder en équilibre sur les deux jambes. Tu fronces tes sourcils tout en te baissant pour aider ton ami à ramasser ses affaires, totalement éparpillées sur le sol. Tu en profites alors pour le questionner sur ce qu’il peut bien faire à une heure pareille, totalement paniqué dans les couloirs. Tu poses ton regard sur lui, la ressemblance avec Nate te laisse confuse, surtout lorsque tu te remémores les moments passés avec lui. Tu secoues ta queue-de-cheval blonde pour revenir à la réalité puis tu fixes ton ami, le sourire aux lèvres. « Le labo de bio est de l’autre côté. » Tu glousses parce qu’il te fait rire puis tu te relèves avec lui, ses affaires sont toutes rangées désormais. Il t’interroge à son tour, toi tu n’as pas de but précis, tu te contentes de flâner dans les couloirs, pour une fois qu’ils sont vides. « Je me rendais à la bibliothèque avant de rentrer à la Cabot, l’université est calme en période d’examens alors j’en profite pour buller dans les couloirs. »

(Invité)

(Contenu sponsorisé)