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La Valkyrie de Wagner [Charly/Dietrich]

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La Valkyrie de Wagner
On n'arrête pas la bête qui fonce sur sa proie Δ Dietrich F. Stiefel

J'ai les écouteurs sur mes oreilles. Je suis seul pour l'instant dans l'immense villa dans laquelle j'avais commencé avec ma partenaire, Charly E. Lee. Cette fille, je dois l'avouer, m'en faisait souvent voir de toutes les couleurs. Elle était du genre parfois très hautaine, ce qui pouvait évidemment me frustrer. Avec moi, prendre un air vaniteux, c'est presque un allez-simple pour l'infirmerie... Mais je dois dire qu'elle est quand même plutôt facile à vivre. Elle peut être gentille quand il le faut, et je crois que mes remarques honnêtes sont le meilleur moyen de lui faire comprendre qu'elle et moi, on est sur un pied d'égalité... Ça et aussi le fait que je sois assez riche moi-même. Je n'aurais pas pu me payer la place dans la villa si je n'avais pas eu ne serait-ce qu'un peu de monnaie pour moi (Dieu merci à mon père qui continue de me fournir une pension ma foi plus que raisonnable). Depuis notre rencontre dans les murs de l'université, j'avais réussi à bien m'entendre avec elle, alors ça n'allait pas être trop complexe d'habiter avec elle...

Surtout lors de nos soirs légèrement plus torrides, quand derrière les portes closes, on prenait le temps de connaître chaque parcelle de notre personnalité.

Lorsque la porte de la villa s'ouvre, la musique de Wagner commence à prendre une tournure épique et dramatique. Je me retourne, entendant la porte s'ouvrir et lui adresse un sourire charmeur.

- Guten Abend, Charly !

J'avais pris l'habitude de parler Allemand, parfois... de là à savoir si ça lui dérangeait, je ne me suis jamais vraiment posé la question...
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Encore une journée épuisante, mais j'aimais bien quand mes journées était bien remplis comme ça, des cours de médecine, puis des cours de neurosciences. On pourrait dire que les cours ont pris toute la journée, mais ce n'est pas le cas. J'ai terminé la journée à la librairie, j'aime bien y travailler, ce n'est pas comme si j'avais besoin d'argent. C'est juste que j'aimais beaucoup travailler au milieu des livres, une librairie c'est un endroit relativement calme et lorsqu'il n'y a pas de client, le gérant m'autorise à potasser mes cours de médecin ou neuroscience. J'arrivais enfin à l'appartement et j'ouvrais la porte d'un geste brusque comme à l'ordinaire en fait, je pose mes affaires sur le canapé alors que j'entends l'un de mes colocataires me saluer en allemand mais je ne comprends pas. Je suppose qu'il me souhaite bonsoir. Alors je lui souhaite bonjour à mon tour mais dans ma langue maternelle. « Annyeong Haseyo Dietrich » Puis je lui demande pour enchainer la conversation « Bien ta journée ? »
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Dietrich F. Stiefel a écrit:
La Valkyrie de Wagner
On n'arrête pas la bête qui fonce sur sa proie Δ Dietrich F. Stiefel

Elle entre brusquement dans l'appartement. Je dois dire que je suis rendu plutôt habitué, au nombre de fois où j'ai l'impression que lorsqu'elle ouvre la porte, un tremblement de terre semble se déclencher dans toute la villa... Je n'ose jamais lui dire que ça risque de faire péter l'échelle de Richter, mais je me tais, satisfait de voir qu'elle semble quand même être de bonne humeur aujourd'hui. Je n'osais jamais vraiment la confronter quand elle était d'humeur massacrante, et je savais qu'il ne fallait pas trop s'y frotter si on avait envie de conserver une santé mentale intacte. Comme je vois qu'elle était dans un bon état, par contre, je me retourne vers elle, laisse tomber mes écouteurs et lui sourit doucement. Elle me demande si ma journée s'est bien passé. C'était plutôt rare de sa part, mais je profitais de ces moments-là pour pouvoir tenter de percer un peu la carapace de la jeune fille de riche avec qui je vivais.

-Oh, pas grand chose. Ma journée a été passablement merdique : plus de cigarettes, un trou dans mon jean, un correspondant qui m'a oublié et qui refait tout à coup surface ici... Bon, je dois avouer que j'ai fini par me calmer un peu... Même si je suis encore un peu furax...


C'était bien moi, moulin à parole si possible, mais enfin, je crois que je pouvais un peu me dévoiler à elle. Elle me connaissait bien, de toute façon, avec toutes les soirées que nous avons passés autour d'un verre, dans la salle à manger. Elle sait que je suis du genre honnête, que je ne cache rien. Ça serait idiot de lui cacher tout maintenant.

-Et toi? Comment ça s'est passé?
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Pourquoi je lui ai demandé comment c’est passé sa journée ? Non mais vraiment, ce que je peux être idiote quand je suis légèrement exténuée. Je me souviens maintenant pourquoi je lui demande pratiquement jamais comment s’est déroulé sa journée, parce qu’il commence à la raconté, mais il ne s’arrête pas, un vrai moulin à parole, pire que des pipelettes. Je roule des yeux avant de le regarder et de lui répondre le plus normalement. « Des clopes, tu peux en racheter. Ton trou dans ton jean, tu le répares ou tu le gardes ainsi faisant nouveau style ou encore tu rachètes un jean. Un correspondant que tu ne veux pas voir, tu l’ignores et c’est tous, il finira par se lasser. Je ne vois pas pourquoi tu es furax, si encore tu m’avais dit que tu t’étais pris un vent par une fille, qu’elle t’est repoussé au moment de passer à l’acte, ou bien que tu avais foiré tes exams, je pourrais comprendre, mais là. Tu peux résoudre tous tes problèmes, de toute façon à chaque problème, une solution. »  Cassante ? Non juste un peu. Mais il l’a cherché un peu ? Je pars rapidement dans ma chambre pour mettre une tenue plus confortable quand il me demande comment était ma journée. « La routine, cours, cours, cours et j’ai finis la journée à la librairie ou c’était assez tranquille. Ah et j’ai récupéré deux, trois numéros de téléphones. Puis maintenant, j’aimerais bien… » m’envoyer en l’air, enfin on va éviter de le dire clairement, même s’il est habitué à ma franchise et mon langage cru par moment. « …prendre du bon temps. Quoi de prévu pour ce soir ? »
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