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Aelita Blackrose fiche; en cours C'est le 13 Mars 1993 à Londres, que la famille Blackrose m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Aelita. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale très aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Sciences Sociales (en premier cusus) et de Danse (en second cursus). ET je travaille en tant que serveuse depuis un an lorsque j'ai du temps de libre. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Students. |
Études Aelita est... l'étudiante quasi parfaite. Brillante, sérieuse, attentive... elle est un modèle de rigueur malgré son douloureux passé. Ayant eut des cours particuliers dans des domaines très variés, elle est douée aussi bien, dans les domaines littéraires, scientifiques, qu'artistiques ou même social. C'est pourquoi la jeune fille décida de suivre un double cursus. Le premier en sciences sociales et le second en danse. Ainsi vous la verrez toujours à courir à droite à gauche pour ne pas louper l'un de ses cours. Elle est aussi très manuelle et apprend avec une facilité déconcertante. Elle fut première de sa classe durant sa seule année d'étude. De plus, Aelita, lorsqu'elle n'assiste pas à ses cours, est serveuse dans un café, jusqu'à une, voir deux heures du matin. En contre partie, la jeune fille ne sort pratiquement jamais, voir, pas du tout. Toujours cloitrée dans sa chambre, elle étudie avec ardeur tous ses cours. | Caractère C'est un véritable vif-argent qu'Aelita qui possède l'art et la manière de passer d'un état émotionnel à un autre en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire ! Hypersensible et particulièrement féminine, elle est un mélange de femme-enfant, charmante, sensible et douce ; et de maîtresse femme, conquérante, séductrice et entreprenante... une sacrée personnalité qui oscille entre timidité, effacement, dépendance, soumission et leur contraire. Il est vrai que bien-être et équilibre affectif lui sont nécessaires pour développer son assurance. Ainsi pourra-t-on la voir tour à tour réservée et timide, intériorisée, ravie de passer inaperçue, puis pétillante, espiègle, enchantée d'être sur le devant de la scène et même effrontée, selon que l'ambiance dans laquelle elle se trouve est affective ou non... Elle oscille entre des phases d'hésitation et d'autres où elle est capable de tenter le tout pour le tout. C'est une affective qui a un grand sens de l'amitié, et montre des qualités certaines d'écoute, de finesse, et de psychologie certaines, ayant à la fois un sens aigu des détails et un intérêt pour ce qui est intimiste. L'humour est l'une de ses caractéristiques, et s'en sert souvent, tout autant pour sauver la face lorsqu'elle est dans ses phases à haute nerveuse que pour plaire ou encore faire un bon jeu de mots. Extravertie, elle aime communiquer, plaire, séduire et possède un charme fou. Elle rêve d'être le point de mire d'une assemblée ou d'un public qu'elle sait animer par sa présence et ses facultés d'expression. Tout en ayant besoin d'une sécurisation affective, elle déteste la monotonie et apprécie l'aventure et les nouveautés. Enfin, la vie est un peu un jeu pour elle, aussi possède-t-elle un côté ludique. Sentimentalement, c'est une femme agréable et de bonne humeur qui met de l'ambiance dans une maison, une hôtesse remarquable et remarquée. Certes, elle est séduisante, mais ne vous y fiez pas messieurs, à son sourire angélique : au fond c'est une insoumise qui ne se laisse pas si facilement séduire. Il lui arrive bien d'échouer par les voies les plus accessibles, en gaspillant les chances les plus évidentes, les moyens les plus à sa portée, que triompher par les détours les plus inattendus, les chemins où nul n'aurait osé s'aventurer, où tout autre se serait irrémédiablement égaré. Plus le milieu est vaste, flue, voire inconfortable, plus elle se sent à l'aise. Autrement, dans les cas les plus négatifs, Aelita peut être entraînée, presque malgré elle, (parce qu’elle subit les influences et se prête aux manœuvres tortueuses) dans des imbroglios d'affaires suspectes, plus ou moins légales, de procédés douteux, d'opérations suspectes ou franchement fructueuses... Au reste, elle joue sur une gamme de réactions et de comportements assez variés : tout en s'immergeant dans les eaux troubles d'une glauque insécurité, dans un bizarre mélange d'erreurs, de gaffes, d'à-peu-près et d'opportunisme, elle peut se tirer parfaitement des situations les plus tordues et les plus impossibles - exploitant même les éléments les plus embrouillés, les plus absurdes, en apportant soudain des solutions miraculeuses. N'essayant jamais d'imposer son jugement, d'exercer une quelconque pression sur la volonté d'autrui, on la voit se plier devant l'autorité - par l'esquive ou la dérobade - et laisser aux autres l'entière indépendance de leurs opinions, options et initiatives. Pour atteindre la pleine mesure de son rendement, elle a besoin de se sentir soutenue, comprise, aimée, portée par un courant, une ambiance inconditionnellement favorable, bien veillante, amicale. Si elle n'est pas littéralement "dans le bain", elle étouffe et s'asphyxie. Sa faiblesse est de ne savoir résister aux tentations et sollicitations multiples et contradictoires, de mal se contrôler, de se laisser trop aisément disperser, séduire, emporter par le flot des événements extérieurs ou de sa propre effervescence, avec une confiance exagérée, un peu laxiste, aux circonstances - ou à la providence. Si elle s'agrège spontanément à l'ensemble d'une collectivité ou d'une communauté, elle ne s'accorde pas volontiers aux structures particulières d'un groupe, aux détails d'une équipe, aux impératifs d'organisation, de précision, de délai, de répartition de tâches, des compétences et des spécialisations. Certes, elle accomplit assez docilement ce qu'on lui demande, mais elle demeure étrangère aux méthodes rationnelles, et réfractaire aux carences de la discipline. Plus éprise de pittoresque et de chimère que d'efficacité, plus fantaisiste que ponctuelle, elle évolue dans un fouillis, un fatras, un magma où elle est la seule à se repérer - et, qui peut même dans certains cas lui fournir les bases d'une surprenante méticulosité, véritable chaos à rebours. La caractéristique principale d'Aelita est sa malléabilité psychique, qui conduit à une très grande plasticité mentale et à une ouverture intellectuelle aux nombreuses disciplines de l'esprit humain. Malheureusement comme elle s'intéresse à tout, elle a tendance à survoler les choses. La véritable "intelligence - Aelita" consiste à embrasser un maximum de systèmes de pensées, à relier les unes aux autres des idées apparemment dénudées de rapport : son intuition lui dévoile les fils ténus qui courent, indispensables, sous l'apparence des choses. Cette faculté, liée à l'imagination, peut aussi conduire à une sorte de génie créatif mais aussi un opportunisme exceptionnel. Mais tout en Aelita n'est pas "abstrait". Elle bénéficie, par exemple, d'un remarquable sens du commerce. Mais lorsqu'elle ne parvient pas à dominer, à canaliser les courants innombrables auxquels son esprit est réceptif, elle devient brouillon, étourdie, nébuleuse. Aelita a besoin d'éprouver ses capacités et d'affermir ses préférences pour telle ou telle discipline. Ce qui n'existe pas son imagination mobilise moins son attention. Elle apprécie peu les faits rigoureux et les leçons normalisantes. Aelita n'ayant pas un tempérament de solitaire, préfère les activités qui s'exercent au sein d'une collectivité ou dans un but humanitaire. Elle aime venir en aide aux autres et se sentir utile au groupe. Ce qui compte avant tout pour elle, c'est de pouvoir s'exprimer, que ce soit par le biais d'une activité artisanale ou artistique, ou de sentir, pour le moins, qu'elle ne végète pas dans l'anonymat complet et que son action change un petit quelque chose dans l'ordre du mode. |
Everyone Has Their Own Story
Une enfance entravée
Chapitre 1
Aelita dormait profondément. Sa chambre plongée dans le noir, regorgeait d'une odeur particulièrement concentrée de rose, comme si la jeune fille avant de se coucher, avait vidé un flacon entier de parfum. La porte de sa chambre s'ouvrit et un homme habillé d'un costume trois-pièces entra sans prendre le temps de frapper. Il alla jusqu'aux rideaux et tira dessus pour les ouvrir. Le soleil emplit automatiquement la salle et vint frapper le visage de la jeune fille. Cette dernière ouvrit les yeux en se redressant sur quelques centimètres.
Le majordome se tourna vers elle et frappa dans ses mains. Le bruits du choc se répercuta sur les murs qui emplissaient le son. Aelita reposa sa tête sur son oreiller avant de prendre le deuxième qui se trouvait à côté de sa tête et de l'appliquer sur ses oreilles. Sebastian s'approcha d'elle et se posta devant son lit. Il s'inclina et dit :
« Mademoiselle, vous devez vous levez. Une journée chargée vous attend. Vous devez vous préparer... » |
Aelita sortit sa main gauche de dessous ses oreillers et lui fit signe de la laisser. Elle n'avait aucune envie de se lever pour ses cours de bienséance qu'elle trouvait démodé. Dans un grognement, elle leva durant quelques secondes l'oreiller sous lequel elle se trouvait et lâcha d'un voix exténuée :
« S'il vous plais, dites que vous je vous ai donné votre journée et que j'ai pris la mienne pour aller en ville. Je n'ai pas envie de me pavaner avec le comte de Rochefort. Depuis qu'il est arrivé de France, il n'arrête pas d'essayer de me coincer pour me lire des poèmes et je n'ai pas que cela à faire ! De plus, j'en ai marre de ces cours de musique. Pourquoi n'ai-je pas le droit d'écouter la musique de mon choix plutôt que de devoir toujours étudier des partitions datant de la renaissance ? Je veux être une fille normale qui ait droit à des cors normaux, c'est à dire dans une école... et pas à domicile avec un précepteur, qui plus est ! » |
Sebastian se retient de pousser un soupir et attrapa le bout du drap de la jeune fille avant de tirer dessus. La jeune duchesse fut ainsi découverte et se redressa complètement en protestant. Les yeux fermés, elle chercha à tâtons ses couvertures mais son majordome les avaient tellement tiré qu'elle ne les trouva point. Fatiguée, Aelita reposa sa tête sur ses oreillers et ferma les yeux. Son sous-fifre en profita pour lui préparer ses vêtements.
La jeune fille ouvrit les yeux et le regard faire avant de se redresser. Décidément, Sebastian gagnait toujours à ce jeu. Aelita alla aux pieds son lit et s'assit sur ses talons. Son regard perçant, fixait l'homme qu'elle avait en face de lui. Elle décryptait... Tous les gestes, les regards, les mots, les souffles. Tout. La jeune duchesse adorait faire cela et était même passée maître dans ce domaine. Conscient de ce que faisait la jeune fille, Sebastian se redressa et se tourna vers elle.
- Oui ? - Non, rien, répondit la jeune fille en se levant, puis après un silence... Sebastian, penses-tu que père m'autorisera à aller faire une promenade dans Londres, habillée... normalement ? |
Le majordome haussa les sourcils et regarda la jeune fille. Aelita se sentit rougir sous son regard flamboyant. Elle se tourna vers la fenêtre et croisa les bras sur sa poitrine. Elle ne voulait pas être capricieuse mais cela faisait des mois qu'elle n'était pas sortis en ville pour le plaisir de sortir, du coup cela lui manquait affreusement. Sebastian ne répondit pas et commença à habiller la jeune fille. Ses habits étaient créés par les meilleurs couturiers de Londres.
Lorsqu'elle fut prête, Sebastian laissa la jeune fille seule. Cette dernière s'approcha de son miroir et lança à un reflet un regard dégoûté. Comme habituellement, elle portait une robe lui arrivant à mi-mollets, des bas de soie et des chaussures à talons légers. Elle avait souvent l'impression d'être retournée à une époque depuis longtemps dépassée. Fort heureusement, aujourd'hui elle ne devait pas se rendre en ville pour affaire. Elle sortit de sa chambre et rejoint se parents qui l'attendaient pour prendre leur petit déjeuner.
Aelita arriva dans la salle à manger qui était vraiment très grande et alla s'asseoir en face de sa mère, à droite de son père. Celui-ci était toujours assis en bout de table. Lorsqu'elle fut assise, Aelita dit bonjour à ses parents et prit sa serviette qu'elle mit sur ses cuisses. Le dos bien droit et collé contre le dossier de sa chaise Aelita commença à manger en silence. Son père prit parole.
« Aelita, tu n'oublieras pas ton cours de solfège et de bonnes manières. L'un aura lieu à neuf heures précise et l'autre à onze heures. Je veux ensuite que tu répondes à la lettre que m'a envoyé le compte de Rochefort. Il organise une soirée demain et nous y convie tous. J'aimerais que tu le remercies pour moi et lui écrire que nous viendrons. Ensuite tu... » |
Mais Aelita n'écoutait déjà plus. Mon dieu tant de choses à faire et si peu pour vivre.
Le sang et le vin ont la même couleur
Chapitre 2
La nuit était tombée depuis une heure ou deux sur Londres. Aelita était partie se coucher tôt ce soir-là. Son majordome l'aida à se déshabiller et à enfiler son pyjamas de satin vert avant de la laisser se coucher tranquillement au milieu de son lit deux places. Il lui demanda s'il pouvait éteindre les lumière et disposer. La jeune fille l'y autorisa. L'homme referma la porte après avoir plonger la chambre de la jeune fille dans le noir. Aelita ne tarda pas à s'endormir. Elle était alors âgée de dix-huit ans.
Tout paraissait calme. Mais comme la pluie succède au soleil, après l'Éden survient l'Enfer. Le duc Blackrose et sa femme étaient tous deux dans le salon. L'un occupé à boire un verre de whisky, l'autre à lire un livre auprès du feu. Le manoir était plongé dans le silence. Le personnel avait été libéré pour la soirée et passait leur soirée dans leur appartements au rez-de-chaussé. Fatiguée, Anthéa, la mère d'Aelita se leva et posa son livre avant de souhaiter une bonne soirée à son mari avant de quitter le salon. Georges Blackrose finit son verre de Whisky et se servit un autre verre d'alcool. Cette fois-ci un vin français. Il en but une gorgée en regardant les flammes qui dansaient devant lui.
Soudain, la porte principale s'ouvrit avec un grand bruit. Quatre hommes entrèrent en trombe dans le manoir. Trois d'entre eux traversèrent le couloir après avoir entendu les ordres du premier. Quand au quatrième, il entra dans le salon pour y trouver un le comte. Celui-ci se leva et tenant toujours son verre dans la main pour faire face à l'intrus. Il sortit son révolver mais l'homme avait déjà tirer trois balles.
« Tiens mon gars ! Un petit cadeau de mon patron... Prends ça... et ça... Tu ris moins maintenant sale aristocrate de mes deux ! Ice t'avais prévenu ! Il te l'avait dis qu'il te ferait la peau ! Je suis son messager ! » |
Tandis que Georges tomba au sol, tué par les balles du malfrat, ce dernier visita le salon et y découvrit un cigare. Il le mit dans sa bouche et l'alluma avant de commencer à le fumer. Il entendit des cris résonner jusqu'à lui. Les autres assassins étaient déjà en train de visiter les quartiers du personnel afin de mettre tout le mon de sous silence. L'un finit le travail tandis que les deux autres montèrent à l'étage.
La porte de la chambre d'Aelita s'ouvrit brusquement et la jeune fille, réveillée dans un sursaut regarda la personne qui était entrée dans sa chambre. Les lumières du couloirs étaient éteintes et la jeune fille avait du mal à discerner qui cela pouvait bien être. Ce fut la voix qui lui permit de déterminer exactement la personne présente.
- Aelita, caches-toi ! Vite ! Ne fais pas de bruit, et ne bouges pas jusqu'à ce que tout le monde soit parti ! Tu m'entends ? - Mais pourquoi ? Que ce passe-t-il ? - Ne discutes pas et fais ce que je te dis ! |
Aelita glissa sous son lit et recula jusqu'à ce qu'elle touche mur derrière elle avec ses pieds. La jeune fille alors âgée de quinze ans ne comprenait pas ce qu'il se passait mais cela devait être grave si sa mère lui demandait de se cacher. Se cacher comme dans un jeu. Quelques secondes après avoir rouler sous le lit, la jeune fille vit de nouveau la porte s'ouvrir dans un grand fracas. Elle pouvait voir les chaussons de sa mère juste devant son lit et un peu plus loin les chaussures de la personne qui venait d'entrer. Vu la forme, s'était un homme. Aelita retient son souffle attendant la suite.
Pas un mot ne fut prononcé mais soudain plusieurs coups de feu retentirent dans la pièce. La jeune duchesse se boucha les oreilles et ferma les yeux, réprimant un cri. Une masse sombre tomba devant elle. Horrifiée, elle vit sa mère toussoter cracher sur sang avant que son corps ne devienne soudain inerte. Aelita posa sa main droite sur sa bouche afin de s'empêcher de crier. Tant de questions lui vinrent en tête mais à aucune elle n'avait de réponse.
L'homme s'approcha du corps de sa mère et la retourna de la pointe de la chaussure. *Quel dommage, se dit-il, une si jolie femme devant ainsi mourir, c'est presque... inhumain.* Il se mit à rire et quitta la pièce en laissant la porte grande ouverte. Aelita commença à sangloter doucement, ne pouvant plus retenir ses larmes. Au rez-de-chaussé les hommes s'activaient. Elle entendaient leurs voix lui parvenir.
- Aller les gars ! Brûlez-moi tout ça ! Je veux que toutes les preuves soient carbonisées. - Ouais patron ! - C'est comme si s'était fait chef ! - Black, passes-moi le bidon à côté de toi... |
L'essence fut rapidement versée et son odeur emplit fortement les lieux. Aelita n'osait toujours pas bouger du à leur présence et resta sous le lit sans un bruit, le cadavre de sa mère gisant devant ses yeux. Les hommes sortirent devant la maison et jetèrent le dernier bidon vidé dans le hall. L'homme qui avait pris le cigare le retira de sa bouche et souffla un peu sur le bout incandescent. Puis avec un large sourire, il le jeta dans l'essence tout juste versée. Celle-ci prit soudainement feu à une vitesse phénoménale.
Elles montèrent les escaliers et commencèrent à enflammer les étages un à un. Aelita poussa un cri lorsque les flammes léchèrent sa chambre ainsi que le lit sous lequel elle se trouvait. La fumée, épaisse et acre, qu'elle inspirait la faisait tousser. Tant bien que mal, l'adolescente sortit de sous son lit et commença à courir vers la sortie. Le désespoir la saisit lorsqu'elle vit l'entendu des dégâts. Elle ne pouvait pas rester là à entendre que les flammes la ronge à son tour. Elle sortit de sa chambre et se dirigea vers la sortie mais avant même d'avoir atteint les escaliers, Aelita s'effondra par terre, inconsciente. Les gaz et la fumée avaient empli ses poumons l'empêchant de respirer correctement. Les hommes partirent dans un crissement de pneus et un nuage de fumée. Aelita, dans une semi-inconscience, ouvrit les yeux et découvrit une silhouette devant elle. Elle ne put la reconnaître et perdit entièrement connaissance.
Sebastian s'agenouilla à côté de la jeune fille passa ses bras sous elle avant de la soulever. Il commença à courir évitant les flammes et les poutres enflammées qui tombaient sur son chemin. Après une dizaines de minutes dans ce cauchemar, il sortit dans la nuit noire avant de se tourner vers le manoir. Ce dernier brûlait. Des flammes sortaient de parts et d'autres. Le majordome s'éloigna un peu et allongea l'adolescente à même le sol du jardin. Il rejeta sa tête en arrière afin de déboucher les voies respiratoires et approcha son oreille de son visage. Il pouvait sentir un léger souffle sur sa joue et voyait la poitrine d'Aelita se lever et se baisser au rythme de sa respiration.
L'affaire fut retransmise dans les journaux ainsi que la survie d'Aelita. Un homme regardait la télévision et vit la photo de la jeune fille. Durant quelques instants il resta là sans bouger à regarder le visage d'Aelita puis soudain une colère le saisit et de rage, il envoya valdinguer son téléviseur en travers de la pièce...
Aelita ne perdit pas de temps et quitta Londres pour le Massachusett. Là, grâce à ses cours particuliers très poussés, il ne fut pas compliqué pour elle d'entrer à Harvad. Ainsi commençait sa nouvelle vie.
the face behind
↬ PSEUDO/PRENOM - Aelita ↬ ÂGE - 19 ans (comme mon personnage) ↬ PAYS/RÉGIONS - France ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Forummactif's my friend ↬ TES IMPRESSIONS - Bonnes sinon je ne serais pas là ^^ ↬ CRÉDIT(S) - Me, les personnes qui ont pris les photos que j'utilise et le Staff (pour les codes, le graphisme, etc...) ↬ AVATAR - Clémence Poésy ↬ SCÉNARIO OU PI? - ? ↬ LE MOT DE LA FIN - ici. |
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