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i'm your lionheart
Samedi matin, dix heures trente. Le soleil vient à peine de se lever, pourtant Alaska est déjà dans un humeur exécrable. Pour trois bonne raisons, la première c'est que cette petite peste d'Asia, qui avait fait amie/amie avec elle durant les event lowell venait de lui planté un couteau dans le dos. Elle sortait avec son copain, enfin non, son ex copain, qu'elle a quitté, mais son copain quand même, parce que lucas reste SA propriété priver. La seconde, c'est qu'il faisait un froid de canard dix minutes avant et que maintenant, il faisait un grand soleil ; alaska été vêtue d'une jupe et d'une paire de pote et se tâter à retirer ses collants toutes les cinq minutes, genre de problème qui lui donne envie de hurler à la mort contre cette maudite météo. Et la dernière est que son covoitureure avait une bonne demi-heure de retard. Elle avait planifié un petit retour à New York pour fêter la fin des cours et avait mis des places disponible sur blahblahcar. Les étudiantes de cambridges avait déjà eu affaire à elle ,et tous savaient que voyager avec une Granger, surtout celle du milieu été un vrai supplice. Ce qui fait que la seule personne ayant répondu à la commande et un garçon qui avait un besoin urgent d'aller à New Yorks et qui été prêt à ramener des bouteilles d'eaux et des sandwichs pour la route. Ça aurait pu être n'importe qui, après tout nous sommes 600 millions sur la terre, mais il fallait que ce soit lui. La jeune fille leva son regard en direction de la bouche de métro vers lequel son covoitureur lui écrivait, elle se tourna vers lui et fit de grand yeux. C'est une blague, dite moi que c'est une blague. « Jorden Alexandre Klein. » dit-elle de manière choquante, la bouche béante. « Sur toute les personnes de la planète, il a fallut que je tombe sur l'être le plus con de cet univers. » dit-elle de manière plus exaspéré cette fois-ci, un soupire s'échappant de ses lèvres et sa main venant cogner son front. « En plus, t'as 30 minutes de retard, j'espère que t'as les sandwichs. »
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he said oh baby girl we're gonna be legends
— jordaska
— jordaska
T’as rien demandé. Juste à revenir. Juste à ressurgir d’entre rien. D’entre les morts. Parti un an plus tôt sans préavis, sans demander compte à qui que ce soit. Toi et toi. T’as rien demandé à te prendre un faux trou dans ce terrain où t’as joué bien avant d’te prendre la mort. Cette sensation cruelle. Sensation d’avoir perdu ta jambe à des kilomètres de ton corps. T’as rien demandé, à personne. L’attelle, enfilée. Collé à toi, seconde peau indésirable. Handicapé. Jorden, c’est ce que t’es. Ce que tu penses être. Aux yeux des autres. Ces yeux accusateurs. Ces yeux méprisants. Ton espoir de gentillesse dans toutes les âmes se barre en sucette juste à la pensée des yeux posés sur toi. Ta démarche attristante. T’appelles à la pitié. Rien. Rien du tout. T’y crois. Dur comme prothèse Kardashienne. T’y crois dur comme l’incapacité cérébrale de Donal Trump. T’as rien de tout ça. Juste incapable de te foutre à poil sous une blouse, allongé dans un lit, endormie dans le sous-sol dans hôpital. Chambre stérile dans laquelle t’as zéro confiance. Infections te semblent plus amicales que n’importe quel chirurgien du pays. Du monde. T’as rien demandé. Tu subis, tu ne veux pas. C’est pas toi. Soupire lassant. La nervosité. À fleur de peau. Les escaliers de chez toi à descendre. La brise de juin collante. Le souffle léger qui réveille tes sens. Ravive ta pénitence. Le point de rendez-vous. Tu ne veux pas conduire. Tu ne peux plus le faire. Désarmé par toi même à te foutre le cul sur un siège. Main sur le volant. T’avances. La démarche incertaine. Bancal à essayer de le cacher. Jorden Alexandre Klein. Tu t’arrêtes devant elle. Sa silhouette fine, ses yeux appuyés sur toi. Tu t’en rappelais plus, e celle-là. Que c’était elle. De son annonce. Tu voulais juste une voiture, partir au plus vite. T’prendre l’air frais, ailleurs. L’ironie de vouloir respirer dans les rues new-yorkaises. Sur toutes les personnes de la planète, il a fallu que je tombe sur l'être le plus con de cet univers. Tu souffles. Loin d’toi l’idée d’un conflit. Loin d’toi l’idée qu’elle soit agréable, qu’elle t’accueille à bras ouverts. Tu relâches ton regard sur sa voiture. Quitter ses yeux qui t’font mal. Qui t’rappelle, cette époque. Mauvaise période. Mauvais moment. Tu quittes ses prunelles foncées, éviter ses accusations que tu mérites. En plus, t'as 30 minutes de retard, j'espère que t'as les sandwichs. Tu te redresses sur ta jambe de merde. Mal à l’aise. Jorden. Mal à l’aise. Elle n’est qu’Alaska, t’as affronté le diable. T’as couché avec la pire des choses aux couleurs de mather. Pourquoi t’as peur de savoir ce que pense Alaska ? T’sais pas. Même moi, j’sais pas. L’ignorance qui t’ferais presque rougir. J’ai de quoi boire, de quoi manger. J’ai même prévu de pas parler. Tu remontes ton regard sur elle, louchant sur les détails de son visage sans vouloir croiser ses yeux, encore. On peut y aller ? Que vous partez vite. Que vous vous abandonniez une fois arrivé, au plus vite.
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Qu'est-ce qu'on fait ? On se fait la bise ? On s'embrasse ? On s'encule ? Alors que ses yeux sont rivé dans ceux de son ex-petit ami premier du nom, elle crache son venin, sans même se rendre compte qu'il lui manquer une jambe. Elle n'avait pas le temps pour être attendrit, Alaska le bloc de glace n'est jamais attendrit par qui que ce soit, même pas sa propre histoire, ni celle de Jorden, ni celle de qui que ce soit, elle est mauvaise et elle le vit bien, elle arrive même à en dormir la nuit. Elle fait le tour de la voiture pour lui ouvrir le coffre afin qu'il puisse y mettre ses affaires, du moins il essaie, mais il est si lent qu'elle préfère le faire elle même, avec ses bras ridiculement petit. Sans attendre, elle se glisse sur le siège avant, claque la porte pour qu'elle ferme bien. Il a les sandwich, elle secoue tout de même la tête pour dire oui, qu'elle est satisfaite, et lache un « Merci. » avant de démarrer la voiture. La route démarre en silence, il n'avait pas envie de parler et loin d'elle l'envie de faire la discussion, bien que tout le monde sait ô combien Alaska Granger est une pipelette. Mais ses penser ses ailleurs, à leurs anciens eux, elle revoit la scène de la grande roue, le voyage winthrop ou elle été 'officiellement' sa copine, sa naïveté monstre quand elle a voulu lui donner sa première fois. « Tu veux bien activé le gps pour moi ? Je veux essayer d'éviter les payages. » et malgré le fait qu'elle soit une pro en maths, elle a toujours eu un mal fou à comprendre ce genre de machine, elle arrivait jamais à mettre la bonne adresse et se retrouver toujours à l'autre bout du monde, sans s'en rendre compte. Son regard ce tourne brièvement sur lui, alors qu'elle s'arrête à un feu rouge. Il été.. lui. Toujours aussi séduisant, toujours avec cette même tête de petit chiot, et ces mêmes bras, ces mêmes fossettes. « T'étais passer où, alors ? » par curiosité, parce qu'elle a toujours aimer savoir ce que les gens faisait de leurs années sabbatique, quand ils quitter Cambridge sans préavis, sans prévenir personne, et sans but précis. Jo été de nature impulsif, alors elle mourrait d'envie de savoir ce qu'il avait fait durant cette longue année.
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