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(MANELLA) ≫ à la passion et jusqu'à la folie.

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à la passion et jusqu'à la folie.




Lendemain de la soirée du bal. Tu étais épuisée, comme tu ne l’avais pas été depuis bien longtemps. Tu avais sans doute un peu trop abusé des cocktails galaxies, les ayant trouvés tellement jolis que tu en avais oublié l’alcool qui s’y trouvait. Mais soit, ce fut une soirée bien plaisante à laquelle tu ne regrettais pas d’avoir participé. Ce matin – midi passé, du moins – tu faisais les frais de ton excès de la veille. Ayant avalé déjà quelques aspirines, tu t’étais préparée avec beaucoup de difficultés. Tout le monde dormait encore. Enfin tout le monde, tu ne savais pas quel colocataire était rentré et quel autre avait découché. Tu ne te souviens plus les avoir croisé en rentrant cette nuit. Ça ne te surprendrait même pas de découvrir des inconnus dans ta cuisine, vous aviez toujours tendance à laisser entrer n’importe qui. La gueule de bois passant tout doucement, alors que tu finissais à la va vite tes œufs brouillés, tu te regardas dans le miroir histoire de voir l’ampleur des dégâts. Etant donné l’état de ta tête, tu aurais très bien pu aller passer un casting pour un film sur les morts-vivants ou une connerie du genre. Tu te barbouillas rapidement le visage de poudre, histoire de cacher les vilaines rougeurs des effluves remontantes de l’alcool, et tu te décidas enfin à décoller.
Ton accoutrement du jour n’avait strictement rien à voir avec celui de la veille. Flemmardise totale, tu avais enfilé le premier jogging à portée de main pour sortir dans les rues. Attention, tu ne ressemblais pas pour autant à une clocharde habillée ainsi, il était hors de question pour toi de te montrer salement vêtue. Tu étais tout simplement habillée comme pour aller faire un jogging. Sauf que tu te rendais à quelques rues seulement de ta villa. Et que tu traînais les pieds sur le trottoir, aussi. La tête complètement dans les vapes, tu reconnus tout de même la maison de Maxwell d’un coup d’œil. Tu traversas à toute vitesse l’allée pour enfin arriver à la porte d’entrée, que tu vins ouvrir sans prendre la peine de toquer avant. Tu savais pertinemment qu’il ne vivait pourtant pas seul, mais soit. C’était devenue une habitude chez toi, d’entrer comme si c’était chez toi. Il faisait pareil, après tout. Avançant doucement dans la maison, à la recherche de sa tête, tu désespérais à la seule idée qu’il ne soit pas rentré chez lui ce soir. « Max !? c’est Anto j’me suis permise d'entrer, j’espère que t’es pas tout nu ! »
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Le bal s'était avéré une catastrophe pour toi. Pire, une honte d'avoir perdu tout ton temps dans une soirée aussi merdique que celle-ci. Tu croyais que la soirée allait être extraordinaire, malheureusement tout ne s'était pas passé comme tu l'avais prévu depuis des semaines. Tu avais passé la soirée seul, le cul posé sur ton siège en accumulant les verres pour tuer le temps. Bien sûr certains de tes amis t'avait rendu visite pour prendre de tes nouvelles, mais à part ça, il n'y avait rien d'extra de ton côté. Il y avait aussi ta cavalière, plus précisément ta meilleure amie qui t'avait abandonné comme une pauvre merde, tu étais fou de rage contre elle étant donné que tu voulais passé ta soirée à ses côtés. Dommage tu resteras célibataire toute ta vie, pourtant tu as vachement du potentiel physiquement, même si faut se l'avouer que tu n'es pas la perfection (pour toi tu l'es, héhé bien évidemment que t'es parfait) comme ton idole, ton exemple, ton acteur fétiche, Marlon Brando.
Ce matin, tu étais en train de dormir sur ton lit, comme un petit bébé en ronflant comme un vieux porc qui puait l'alcool à plein nez. Un ivrogne quoi. Tu étais tellement fatigué de cette longue soirée qui a été pour toi une vrai torture. Tu rêvais de cul pendant ton sommeil, t'en bandait tellement vu que c'était torride dans ta petite tête de pervers des bois. Il fallait se l'avouer que t'aimais ça, tu vivais que pour le cul, la fête, le cinéma, les études et rien d'autres. C'est ça ta vie Maxwell Steadworth, ta vie d'étudiant si passionnant à en mourir de rire... Après t'être masturber pendant plus de 30 minutes en pensant à ta Marilyn Monroe, - ouais t'es long à éjaculer Steadworth -, tu décides de lever ton petit cul de métisse pour aller prendre vite fait une petite douche et ensuite préparé ton petit déjeuner comme à ton habitude. Ouais il est exactement midi mais tu niques bien le système, m'voyez bitches. Et c'est à ce moment-là que tu aperçois dans ton champ de vision ta Marilyn, t'en bavais rien quand l'analysant de haut en bas. Oh, salut Nella ça me fait plaisir de te voir ici. Dis-tu d'un sourire charmeur en te levant de ton siège après avoir fini ton petit dej pour ensuite lui faire un gros câlin d'amour, et même un tout petit bisous sur la bouche. C'était naturel pour toi. Non pour une fois je ne suis pas tout nu, c'est vraiment dommage pour tes jolies yeux. Bah ouais t'es juste torse nu, vêtu de ton bas de pyjama, mais la prochaine fois tu vas l'accueillir comme il se doit.

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C’est dans la cuisine que tu trouvas celui que tu adorais nommer ton Marlon. Bon, la ressemblance n’était pas flagrante, c’était certain, mais aussi loin que tu t’en souviennes, il avait toujours été ton Marlon et toi sa Marilyn. Tu n’allais certainement pas te plaindre de la comparaison. Le sourire se fit automatique quand tu le vis enfin, lui que tu avais espéré croiser au bal de la veille, en vain. Tu avais voulu voir sa cavalière, voir un peu la tête de celle qui avait été à ses côtés mais de toute la soirée, tu ne l’avais pas croisé. T’avais bien cherché pourtant, mais impossible de tomber sur lui ou sur la tronche de sa cavalière. C’était sans doute mieux ainsi, au fond. Tu aurais passé une soirée merdique si tu l’avais vu au bras d’une autre nana que toi. Alcoolisée comme tu l’étais, une gifle se serait même sans doute perdu. Ouai, tu as beau être d’un naturel calme, quand l’alcool se mélange à tes émotions, t’exploses.
Tu eus droit à ton habituel et énorme câlin, enfin quand il était dans ses beaux jours. Bien sûr qu’il était heureux de te voir, le jour où il ne le serait plus tu seras bien triste. Tu te demandes souvent ce que tu ferais si un jour, tu n’avais plus Maxwell. Si genre il partait à l’autre bout du monde ou s’il en avait tout simplement marre de toi et qu’il coupait tout contact. Rien que d’y penser, ton cœur panique. T’es complètement paumée sans ce gars et le pire sans doute, c’est que tu ne sais même pas pourquoi. Un baiser volé, et tu souris comme une idiote. « J’vois ça, que ça t’fait plaisir., tu viens alors lui taper les fesses, lui renvoyant son air charmeur. Contente aussi de te voir, tu devrais plus souvent m’accueillir torse nu tiens. J’suis carrément obligée de débarquer à l’improviste pour pouvoir te voir maintenant, tu m’évites ou quoi ? » Encore une fois, tu pensais au bal et à quel point tu étais déçue de ne pas l’avoir vu. Lui et l’autre nana là. Ouai, ça allait longtemps te rester en tête le fait qu’il soit allé au bal avec une autre que toi. Bref, tu vins t’asseoir à la table de la cuisine, regardant d’un œil curieux ce qu’il était en train de se cuisiner. Il venait apparemment de se réveiller, ce qui te perturba encore plus. Il avait foutu quoi, pour se réveiller aussi tard ? « Dis, si j’vais dans ta chambre, y’a des chances pour que je tombe sur une nana ou pas ? » Tu riais, mais t’étais foutrement sérieuse au fond. Rien que d’imaginer Max au lit avec une autre fille, genre sa cavalière – ouai t’avais une obsession avec sa cavalière là – ça te foutait d’horribles frissons.
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Revoir le visage d'Antonella te faisait plaisir, sa petite bouille te manquait énormément quand elle n'était pas présente à tes côtés. Votre relation était tout de même assez bizarre, tu ne savais pas comment la considérer réellement. C'était une très bonne amie à toi, ça c'est sûr, la question ne se pose pas. Mais il y a ce petit quelque chose qui l'a différencie des autres personnes de ton entourage. C'est difficile d'expliquer en faite, tu ne savais pas comment la définir. En plus t'avais horreur de la voir avec un autre mec que toi, pour être sincère t'avais des envies de meurtre quand tu l'apercevais avec un autre homme, tu la voulais que pour toi et personne d'autres. Bref, c'est ton précieux comme dirait Gollum, elle est à toi et si quelqu'un tente de te la voler tu vas mordre méchamment comme un loup. Ouais, ça t'arrive parfois d'être un peu sauvage et quand on touche à quelque chose qui t'appartient tu deviens très possessif, puis tu l'assumes pleinement sans en avoir honte pour autant. Au contraire, tu t'en fous de l'avis des autres qui essayent de te changer par rapport à cela. C'est presque impossible, fin' non ce n'est pas impossible mais voilà quoi. Bon courage à ceux qui veulent te changer. Bah oui, tu le sais ça. dis-tu en riant de sa tape aux fesses qui pour toi t'excitait facilement. Tu aimais ça, un truc de malade. Pourquoi pas, si ça peut t'exciter un petit peu... Et pour répondre à ta question complètement débile et inutile, non je ne t'évite pas Antonella. Pourquoi tu dis ça ? Je suis curieux. tu fronçais légèrement les sourcils en te posant des questions, à vrai dire tu étais un peu choqué de ses paroles. Mais bon, tu ne te prenais pas la tête pour des conneries et tu finissais de manger tranquillement en gardant toujours un œil sur elle. Il n'y a personne chez moi aujourd'hui, donc tu peux y aller si tu veux. Tu es chez toi ma belle.
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Quel autre meilleur remède contre une gueule de bois que d’aller voir Max ? Rien, rien ne te faisait sentir aussi bien que de venir le voir. Tu aurais pu rester toute la journée sous la couette à t’enfiler une boîte d’aspirine, ça n’aurait pas eu le même impact que de le voir. C’était tout simple, tout con même, mais il suffisait que tu sois avec lui pour que tout mal s’en aille. Ton crâne qui cognait, tes soucis et petits tracas actuels, tu n’en avais plus rien à foutre à l’instant où tes yeux croisaient les siens. Toute la merde s’envolait, et il ne restait plus que vous deux. Vous deux seuls dans cette bulle que vous vous étiez construit, loin du monde, loin des autres. Plus rien n’avait alors d’importance que son sourire. Des petits-amis, tu en avais déjà eu. T’avais arrêté de les compter depuis bien longtemps maintenant. Mais ça n’avait jamais duré, quelques mois, tout ou plus. Et puis, Maxwell est arrivé. Tu ne sais pas trop pourquoi ni comment, mais il y a cet espèce de lien unique entre vous. Un truc qui vous unie, que vous le vouliez ou non. C’est clair que Max n’est pas qu’un simple ami parmi les autres, comme il n’est pas un simple plan cul comme les autres. Votre relation a beau être étrange, comme aucune autre, tu l’as toujours aimé ainsi. Vous vous voyez, vous parlez vous déconnez, vous vous prenez la tête, vous vous gueulez d’ssus et puis vous couchez ensemble. Et tout ça, c’est normal pour vous. C’est comme ça que vous fonctionnez et même si tu commences à te poser de plus en plus de questions, à te demander si ça peut éternellement continuer ainsi, tu aimes ce truc chelou que tu partages avec Max. Tu ne te séparerais de lui pour rien au monde, ça c’est clair.
« J’sais paaas.., tu revins sur sa remarque, concernant le fait que tu pensais qu’il t’évitait. Hier soir au bal on n’s’est même pas croisé. Ok il y avait p’t’être du monde mais j’trouve ça bizarre. J’ai même pas pu voir la gueule, enfin le visage de ta cavalière. » Et putain heureusement, car vu l’état dans lequel tu étais, t’aurai pu faire une connerie des plus mémorables. Aussi, tu n’as certainement pas de reproche à faire à Max, toi-même tu étais accompagnée de Kol. Mais cela n’empêche que ça t’aurai rendu folle. « Donc t’es rentré hier soir tout seul, c’est ça que tu veux m’faire croire ? » D’une traite, tu te lèves de ta chaise et te diriges à grands pas direction sa chambre. Personne. Tu ne sais pas trop comment tu réagirais, si un jour tu tombais nez à nez avec une meuf dans la chambre de Max. Tu hurlerais telle une hystérique, ça c’est certain. Sans doute qu’une claque même – voire pire – tomberait sur la joue de Max. Mais aujourd’hui, rien à signaler. « Mouaiii, j’suis sure qu’elle s’est barrée par la fenêtre c’tte connasse. » Tu criais assez fort pour qu’il t’entende de la cuisine. Tu partais toute seule dans ton délire, tu le croyais bien évidemment. Mais tu aimais bien jouer ta petite jalouse, ça lui prouvait que tu tenais à lui. Tout aussi vite, tu revins et te plaça derrière lui, les yeux rivés sur sa tête. Tu passas alors tes doigts dans ses cheveux. « Putain Maxwell Steadworth, depuis quand t’es pas passé chez l’coiffeur ? T’aurai bien besoin d’une petite coupe là. »
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Ça faisait déjà un moment que tu prenais ton petit-déjeuner dans la cuisine, tardivement puisqu'il était déjà midi. En même temps tu observais le plus discrètement possible le visage de ton amie, Antonella. Elle te faisait de l'effet, même beaucoup trop à vrai dire, tu assumais parfaitement d'être tombé sous son charme phénoménale. La jolie Italienne dégageait quelque chose de fort, puissant, pour être un peu plus exact dans tes propos. Cette fille était d'une beauté naturel qui te plaisait tant chez elle, qui te faisait bien baver quand tu la regardais droit dans les yeux. Pourtant t'en as rencontré des filles, toutes aussi belles les unes que les autres, sauf qu'Antonella arrivait à se démarquer des autres filles que t'avait rencontré auparavant. De plus votre relation remonte il y a très longtemps, tu ne sais plus où et exactement tu l'as rencontré, mais tout ce que tu sais c'est que tu la connais depuis des années de lumières. C'est clair que t'es vachement proche d'Antonella depuis, tu ressens cette sensation de possessivité dans votre relation si forte et si sincère entre vous deux. Tout ce qu'elle doit savoir c'est que tu l'aimes énormément, que tu seras toujours là pour elle dans les moments les plus difficiles de sa vie, quoi qu'il arrive Maxwell Steadworth n'est jamais très loin de sa bien aimée. Vous pourriez faire un couple tellement parfait, comme le magnifique duo Marlon Brando/Marilyn Monroe que vous admirez plus que tout. Deux acteurs parfaits, deux légendes du cinéma. Bordel, en y repensant le temps passe si vite que t'as l'impression de la connaître depuis toujours.
Tu ne sais paaas.., tu soupiras assez perplexe, t'essayais de comprendre ce qu'elle voulait te dire. Si tu veux savoir ma cavalière m'a laisser tomber, je ne sais pas la raison du pourquoi du comment. Peut-être qu'elle en avait marre ? Qu'elle s'ennuyait ? J'en sais rien, en tout cas j'ai passé une mauvaise soirée et je ne veux plus y repenser... Puis j'étais bourré comme un ivrogne, donc bon. Après lui avoir expliquer en quelques phrases ta soirée si ennuyant au bal, tu étais sûr et certains qu'elle te faisait une petite crise de jalousie. Ce qui te faisait légèrement sourire sur les bords, pour la simple et unique raison que toi aussi tu étais jaloux en y repensant à son cher et mystérieux cavalier. Qui cela pouvait être ? En faite tu n'as même pas envie de savoir comment il s'appelle, tellement que ça t'énerves de te tracasser la tête pour quelque chose qui n'en vaut pas la peine. Je crois oui, je ne sais plus trop ce qui s'est passé réellement. C'était complètement flou dans ta tête, tu ne savais pas ce que tu avais fait durant la soirée. T'as seulement traîné avec quelques filles mais ça s'arrête là (oupas), tu n'en sais pas plus pour le moment. Mais t'étais quand même curieux de savoir avec qui, peut-être qu'un jour les personnes en question te le feront savoir en face ? Combien de fois devrais-je te le répéter pour que tu comprennes que je suis seul chez moi ?! Tu criais assez fort de la cuisine pour qu'elle comprenne bien le message à distance, qui était clair et précis. Après avoir fouillé ma chambre comme un maton de prison, elle décide de revenir me voir dans la cuisine. Elle me lança une remarque en passant ses doigts sur mes cheveux, ce qui me donna des petits frissons sur le moment. Je ne vous plait pas avec les cheveux longs ? Mademoiselle Antonella Elsy Scorsese ?

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C’était difficile de trouver pire jalouse que toi. C’était tellement incontrôlable, cette possessivité maladive, tu t’en rendais bien souvent malade. Tu étais le genre de femme à tout prendre trop à cœur, à bien trop vite t’attacher. Et surtout, à avoir la fâcheuse tendance de vouloir garder ceux que tu aimais rien que pour toi. En amour comme un amitié, quand tu étais proche d’une personne, cette dernière ne devait t’appartenir qu’à toi, et toi seule. C’est tout bête, mais à chaque fois que tu vois un proche bien s’entendre avec une autre personne, tu te sens quelque peu délaissé. Complètement abandonnée, et putain que ça te fait mal. Tu ne connais pire sensation que celle d’être mise de côté. Pourtant, tu sais pertinemment que ça n’est pas parce qu’une amie, par exemple, s’entend bien avec une autre nana qu’elle t’oublie pour autant. Tu le sais, mais tu ne le comprends pas, là se joue toute la différence. Pour Maxwell, c’est différent parce que c’est pire. Ce n’est pas juste une sorte d’abandon que tu ressens, quand tu le sais avec d’autres, mais de la trahison, un pur déchirement que tu as du mal à expliquer. Il n’a aucun compte à te rendre, comme tu n’en as aucun à lui rendre de ton côté. Vous n’êtes pas en couple, ne l’avez jamais été. Et pourtant. Et pourtant, tu as pris la mauvaise habitude de le prendre pour ton petit-ami. Certes, tu ne te gêne pas pour aller coucher à droite à gauche, mais si tu y réfléchis, c’est juste ce « léger » détail qui vous empêche de vous mettre ensemble. Il couche avec d’autres meufs, tu couches avec d’autres mecs, vous le savez tous deux. Bon, ça vous dérange mais vous ne pouvez rien y faire, car à nouveau vous n’êtes pas ensemble. Ok, mais vous vous comportez de plus en plus comme un couple tout de même. Il t’embrasse pour te saluer, vous prenez soin l’un de l’autre, tu es chez lui comme chez toi, et inversement. Un couple quoi. Mais vous ne l’êtes pas. C’est comme ça, et t’aimes pas te prendre la tête avec tout ça.
Quand il te raconte sa folle soirée de bal, tu l’écoutes attentivement. C’est peut-être méchant, mais dans le fond t’es un peu contente qu’il se soit emmerdé sans toi. Mais ça bien sûr, tu vas le garder pour toi. « Ha, j’suis désolée bichette. On n’en parle plus d’accord. » Désolée mes fesses, tu as un sourire jusqu’aux oreilles en apprenant que sa cavalière l’a laissé tomber. De la concurrence en moins. Il t’inquiète tout de même, en avouant qu’il a du mal à se rappeler de la soirée à cause de l’alcool. Dieu sait de quoi l’on est capable avec du gramme dans le sang. Mais bon, il ne veut pas en parler et c’est son droit. Tu retenteras le sujet plus tard, avec un peu de chance il sera plus en train à vouloir en parler. En redescendant de sa chambre, tu ne peux t’empêcher de rire. Tu adores le rendre fou le bougre. Ça marche à tous les coups. « T’excites pas, je préfère vérifier. T’as dit que je pouvais faire comme chez moi. » Tu reviens rapidement à lui. A lui, et à sa tignasse grandissante. Ça n’était pas forcément la longueur qui te dérangeait, beaucoup d’hommes sont sublimes même avec de longs cheveux. Mais là, ça partait dans tous les sens, avec des petites bouclettes à droite à gauche. Lui massant alors le crâne en tes doigts, tu réfléchissais à ce que tu allais pouvoir faire de sa tête. « Vous pourriez être chauve comme vous me plairiez toujours, monsieur Steadworth. » Tu souris à ta connerie, en venant te pencher pour poser tes lèvres contre sa joue. Tu ne pouvais pas t’empêcher d’être aussi tactile avec lui, t’adorais ça. Et tu ne t’en cachais pas. « Mais là, c’est plus possible, bientôt t’auras plus de cheveux que moi. » Tu le délaissas alors quelques instants, et alla fouiller dans les tiroirs de sa cuisine à la recherche d’une paire de ciseaux. Bon d’accord, il fallait une paire spéciale pour couper des cheveux mais tu ferais avec ce que tu trouverais. Une fois la paire dénichée, tu reviens avec, t’amusant à la faire claquer entre ton pouce et ton index. « Bon, tu me fais confiance ? » Parce que toi, personnellement, t’es pas trop sure de toi en fait.
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La chance n'a jamais été présente dans ta vie. Par exemple tu ne l'as jamais connu avec les filles, tu as été plusieurs fois déçu en amour, au fond de toi ça t'a détruit en milles morceaux, même si cela ne se voyait pas sur ton visage. Il y a aussi en amitié, perdre des gens que tu aimes plus que tout pour plusieurs histoires différentes en tout genre, à force tu prenais l'habitude de vivre avec au fil du temps. Des fois tu te demandais si les gens n'avaient pas raison sur ton cas, que t'es un petit friendzoné qui n'a jamais de chance avec les filles. Oui, les rumeurs te font vraiment chier par rapport à ta réputation à Harvard, c'est très important pour toi que les gens ait une bonne image de toi. CS te dégrade régulièrement devant tout le monde, ça t'énerve qu'on te donne cette image là et t'aimerais bien savoir qui est la personne derrière son écran. Mais tu assumes pleinement d'être un homme malchanceux, c'est comme ça et on ne peut rien y changer. Et pourtant tu dégages un certains charme que tout le monde n'a pas forcément, sans être quelqu'un de parfait physiquement, comme tous ses acteurs qu'on voit à la télé ou au cinéma. Sauf que le malheur arrive toujours sur toi, qu'à tu fais pour mériter ce sort ? Tu ne sais pas, aucune réponse à ta question. Tu vivais avec et tu continuais ta route la tête haute en ignorant les rumeurs et compagnie... Fin', t'essayais de te retenir le plus possible quoi.
Quand tu lui racontais un peu ta soirée merdique au bal, tu remarquais sur les lèvres d'Anto qu'elle avait le sourire jusqu'aux oreilles, personnellement ça ne te faisait pas sourire. En y repensant t'avais une obsession pour son cavalier, intérieurement ça t'angoissait plus que tout de savoir qu'elle est aller avec un autre mec que toi. Mais bon ce n'était pas de sa faute, tu ne l'avais pas invité, alors tu contenais ta colère en toi et tu gardais toujours ce nerveux sourire sur ton visage. C'est bizarre, t'as l'air heureuse de la nouvelle. Je sais que ça t'arranges d'avoir de la concurrence en moins, par contre de mon côté j'ai toute une liste à écraser. Souhaite moi bon courage. Dieu sait qu'elle a pleins d'hommes à ses pieds, qu'elle fait beaucoup d'effet à des hommes et des femmes. Sa plus grande particularité c'est qu'elle s'est utilisée à la perfection son charme, elle s'en sert facilement pour attirer ses proies sans bouger d'un seul doigt. Cette fille te rendait plus que jaloux, t'en avais marre de la voir avec des hommes, ça t'arrivait régulièrement de la bouder comme un petit bébé. Malheureusement pour toi ça ne durait pas si longtemps que ça, c'est impossible de lui tourner le dos trop longtemps, dommage. Quand elle redescend de ta chambre, tu accompagnas son rire tellement qu'elle te faisait sourire. Parfois ça te faisait du bien de rire dans ses moments de joies que tu partageais avec Antonella, rien que vous deux dans votre petite bulle, seul au monde dans votre délire à vous que personne ne pouvait comprendre. Je pense que la seule fois où je m'exciterais c'est quand je tomberais sur un mec dans ton lit. Ce que je n'espère pas pour toi et pour lui. Dans tes paroles tu étais plus que sérieux, t'étais capable de dégommer à feu et à sang la personne qui se trouverait sur ton chemin. Tu sais pertinemment que la possessivité est un vilain défaut qui peut t'emmener très loin dans tes faits et gestes. Comme tu l'as dit précédemment on ne peut pas te changer à ce sujet, voire très difficile. Après qu'Anto est fouiller quelques minutes ta chambre elle revient rapidement vers toi, tu t'approchas d'elle afin de mettre ton corps contre le siens, tu passas délicatement tes mains sur ses fesses en les caressant d'un sourire pervers. Calme tes pulsions Maxwell, ce n'est pas le moment de vous sauter dessus tout de suite. D'abord ta seule priorité c'est de couper ta grosse tignasse un peu farfelu, puis après tu verras par la suite. Oh vous êtes un peu trop aimable avec moi mademoiselle Scorsese. Quand je vous regarde, j'ai une folle envie de vous embrasser sauvagement. Tu riais comme un con de ta connerie, des fois tu te faisais rire tout seul en faite. Par la suite elle pris la décision de se pencher vers toi en posant ses lèvres sur ta joue, son petit geste d'attention te faisait encore plus sourire, mais toi tu faisais tout le contraire en posant tes lèvres sur les siennes afin de profiter de quelques secondes d'intimité. Ahlala c'est bon j'ai compris, va me chercher une paire de ciseaux qu'on en finisse une bonne fois pour toute s'il te plaît. Dis-tu d'un soupire en levant tes yeux au ciel. Elle te délaissas alors quelques instants, et alla fouiller dans les tiroirs de sa cuisine à la recherche d'une paire de ciseaux. Tu priais de tout ton cœur avant qu'elle n'arrive, espérant qu'elle ne rate pas ta coupe vu que tes cheveux ça fait toute la beauté de ton visage. Une fois la paire dénichée, elle revient avec en s'amusant à la faire claquer entre son pouce et son index. Punaise ça commence mal, tu commences à avoir un très mauvais pressentiment. J'essaye de me rassurer depuis toute à l'heure, mais on va dire oui. Elle a déjà couper les cheveux de quelqu'un j'espère ?

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Tu as beaucoup de mal à te rappeler ce qu’il s’est passé la veille, au bal. Ça t’arrive bien souvent, malheureusement. Ton amour pour l’alcool t’empêchait d’avoir des limites, ainsi quand tu commençais à boire, impossible pour toi de t’arrêter. Et bien souvent, ça te jouait de mauvais tour. Cependant, ça ne t’inquiétait pas plus que cela. Surtout pas là, maintenant. Tu étais avec Max, le reste tu n’en avais plus rien à foutre. C’était juste lui, toi et votre drôle de petit monde. Ça t’allait très bien ainsi. Ton Max remarque très rapidement ce sourire gravé sur tes lèvres alors qu’il te raconte ses malheurs. Démasquée, Anto. D’accord, tu étais un peu honteuse d’oser trouver jouissif le fait que sa cavalière l’ait abandonné. Mais merde, c’était incontrôlable car ça te rassurait tellement. Quand il évoqua la concurrence, tu ne pus t’empêcher de rire. Il y avait un peu de vrai dans ce qu’il disait. Beaucoup, même. Ça faisait des années que tu n’avais pas eu de relation réellement stable. Sans doute la plus longue avait duré deux ou trois mois, pas plus. Tu n’étais pas faite pour être en couple. Du moins, tu ne l’étais plus. La dernière fois que tu avais ouvert ton cœur à un homme pour lui dire que tu l’aimais, il t’avait aussitôt quitté. Autant dire qu’il était hors de question pour toi de réitérer l’expérience de sitôt. Alors tu t’amusais, tu allais voir ici et là-bas. Et au final, tu finissais toujours au même endroit : dans le lit de Maxwell. Parce que c’est là que tu te sentais le mieux, parce que c’est là que tu trouvais enfin un peu de bonheur et de repos dans cette vie qui te prenait de plus en plus la tête. Alors, quand il évoque le fait de pouvoir tomber sur un mec dans ton lit, tu te mords les lèvres. Pris Dieu pour que jamais ça n’arrive, tu sais comment peut devenir ton Marlon à toi quand il est jaloux. Et ça n’est pas forcément joli à voir, même si au fond ça te flatte. C’est normal, un mec qui devient fou jaloux le peu qu’il vous voit avec un autre mec ? Ça fait craquer n’importe quelle nana. « Oh Maxwell, je te retourne la remarque. Prie pour que jamais j’te vois au lit avec une autre. » Un sourire amusé au coin des lèvres, tu étais on ne peut plus sérieuse. Tu te connaissais tellement, tomber sur Max au lit avec une autre te transformerait en un monstre incontrôlable. Mais soit, tu n’étais pas venue pour parler de sujet plus ou moins fâcheux, bien au contraire. Tu avais besoin de t’aérer un peu l’esprit, de prendre du bon temps. Pas de menacer de mort tuo caro. Tu passas alors très vite à autre, ayant une soudaine obsession pour sa coupe de cheveux. Elle t’intriguée tellement, il fallait que tu fasses quelque chose. C’était genre ton devoir d’amante que de prendre soin du physique de ton Maxou. Mais ce dernier vint arrêter ta folle course en venant se coller à toi, comme tu l’aimais tant. Ses mains venant se glisser sur tes fesses, il commençait à te rendre folle avec tous ces gestes. Très vite, tu faillis oublier ta mission et tu répondis à ses caresses par un enfantin baisé sur la joue. « Qu’est-ce qui te retient de le faire ? » Ta voix n’était qu’un murmure, alors que ton regard dévorait le sien. Enfin, il t’embrassa comme tu l’avais tant attendu. C’était fou, son simple corps collé au tien et tu devenais entièrement sienne. Mais très vite il cesse l’étreinte, te rappelant que ouai, tu avais une coupe à sauver. Tout heureuse qu’il accepte, tu dénichas bien assez vite une paire de ciseaux pour revenir tout aussi vite, derrière lui. Il n’avait pas l’air très confiant, et sans doute avait-il raison de ne pas l’être. « Promis je vais faire.. de mon mieux. » Bon, c’était pas la meilleure chose à dire pour rassurer quelqu’un mais soit, tu avais commencé autant terminer. Tu donnas le premier coup de ciseaux, et déjà tu te mordais l’intérieur des joues. Plus jeune, tu avais l’habitude de couper les cheveux de tes petites sœurs. Mais jamais tu n’avais touché aux cheveux d’un mec. Et jamais tu n’avais très bien coiffé, non plus. Tes petites sœurs étaient plus des sortes de cobayes qu’autre chose. Tu continuas tout de même, donnant un second coup de ciseaux puis un suivant. Tu commençais à prendre la confiance, toute fière de toi. Jusqu’au coup de trop. Là, tu te mordis carrément les lèvres en voyant les dégâts. T’avais ripé, faisant un léger trou en plein milieu de sa si belle tignasse. « Oh merde merde merde… » Tu plaquas ta main libre sur ta bouche, choquée de ta connerie. Maxwell allait te tuer. « Max, mon cœur tu sais à quel point j’t’adore einh ? Alors j’t’en supplie, t’énerves pas. » T’étais dans la merdeeee.
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Tu dis ça mais tu couches avec d'autres gars je te le rappelle. Dis-tu en fronçant les sourcils, en ajoutant par la suite. Je ne suis pas mieux non plus. d'un sourire amusé en écoutant attentivement ses paroles que tu aimais entendre de sa jolie bouche. Dans vos dires vous étiez on ne plus sérieux, la possessivité vous dominait tous les deux sans vous rendre compte du mal que vous vous faisiez. Oui, tu n'aimais pas voir ta Antonella dans les bras d'un autre homme que toi, parce que c'est ton précieux, ton rayon de soleil, ton amante, elle n'appartiens qu'à toi et personne d'autres. Et inversement. Quand tu croisas son regard à plusieurs reprises ton cœur battait à la chamade, il palpitait tellement fort que t'avais l'impression qu'il allait exploser sur le champ. Il y avait cette sensation de désire qui, te rendait tout simplement fou de la belle Italienne. Pourtant tu n'avais pas cette sensation d'être amoureux d'elle, par peur d'être encore déçu par la fille que tu aimes. Depuis que tu as été déçu par Alaska tu restais sous tes gardes, tu étais très méfiant et très distant à tout ce qui touchait sur les sentiments et compagnie... Mais tu restais tout de même en admiration pour ta belle Antonella, c'est ton seul et unique exemple dans la vie, même si tu ne l'avoueras jamais par simple fierté pour ton égo. Oh oh rien du tout, au contraire j'aime partagé ses moments-là rien qu'avec toi ma biquette. Riais-tu en prolongeant ce baiser si doux et si agréable. Ton seul et unique but c'était de la rendre folle de toi, avec tes petits gestes et tes petites caresses attentionné pour votre moment de plaisir. Pfiooou en y repensant elle te faisait transpirer cette fille, d'un simple sourire elle envoyait du lourd. J'ai envie de faire l'amour avec toi. Boudais-tu de manière assez exagérée, avant qu'elle s'écarte de toi pour aller chercher cette fameuse paire de ciseaux. Tu n'étais pas du tout rassuré de sa proposition qui te faisait rire. Après c'est vrai que c'était gentil de sa part qu'elle s'occupe de toi comme un petit bébé, et t'apprécie cela fortement. Elle dénicha une paire de ciseaux qu'elle avait trouvé pour ensuite revenir vite derrière toi, afin qu'on en finisse une bonne fois pour toute. Je te demande juste de faire court sans que ce soit trop, tu vois ce que je veux dire ? Ni long, ni court, pas la boule à zéro. Et oui, tu es quelqu'un de très stricte quand tu donnes des indications, tu veux que ta coupe soit parfaite. Quand même c'est tes cheveux, ta vie, tu tiens à rester un minimum présentable pour ton entourage. Tu soupiras un bon coup avant qu'elle commence le déluge, elle commença alors à donner un premier coup de ciseaux, un deuxième, un troisième, un quatrième, et ainsi de suite... jusqu'à qu'elle t'interpelle instantanément alors que tu étais dans tes pensées, sur le moment tu pris peur vu qu'Anto était en totale panique. Quoi ? Qu'est-ce que tu as ? Tu te retournas vers elle, essayant de comprendre ce qu'elle avait fait. Arrête de faire durer le suspense, t'as fait quoi encore comme connerie Nella ? Dis-tu en t'énervant, n'arrivant pas à lui faire cracher le morceau. Tu te précipitas vers la salle de bain comme un fou pour voir ce qu'elle avait fait, et en te voyant sur le miroir c'est une... catastrophe. PUTAINNNNNNNNNNNNN DE MERDE !!!!!!!! Tu criais de toute tes forces en voyant qu'elle avait fait un léger trou sur ta belle tignasse, le monde entier avait entendu ce crie tellement qu'il était épique. Maintenant il faut que tu retrouves absolument ta tondeuse pour rattraper ce massacre, sinon tu vas sauter par la fenêtre.

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