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i can't keep calm, i am italian.




Les vacances approchaient à grands pas. Du moins, les vacances scolaires. En tant qu’actrice, tu avais très peu de repos de ce côté-là, entre les castings, les shootings, les entrevues et tu en passes. Mais soit, tu ne te plaignais pas énormément. Tu avais la chance de pouvoir faire ce que tu voulais. Tu voulais alors profiter de cette bouffée d’air entre les cours et le boulot pour voir ton amie, Valentina. Tous tes colocataires étaient occupés ailleurs ce soir, t’ayant abandonné à toi-même et c’est ce pour quoi tu avais pris la décision d’appeler ton amie et de l’inviter à passer. Tu aurais pu inviter n’importe qui, mais c’est elle que tu avais choisi. Valentina n’était pas une simple amie, une simple connaissance à qui tu parles de temps en temps pour passer le temps. C’est celle que tu donnes ta camarade, celle qui partage le même caractère de merde que toi, celui de deux italiennes fières à l’extrême de leur pays d’origine. Tu te sentais légèrement nostalgique ces temps-ci, tu savais qu’elle seule parviendrait à te changer les idées.
Elle n’allait pas tarder, du moins tu l’espérais. La villa était dans un désordre indescriptible, un peu comme toujours. Aucun colocataire n’avait le ménage comme passion, encore moins toi, ce qui faisait que la villa était rarement bien rangée. A part le billard en fait, c’était un peu la chose la plus précieuse à vos yeux, le seul meuble dont vous preniez réellement soin. Bref, c’est pour cette raison, en voyant la cuisine s’en dessus dessous, que tu abandonnas l’idée de cuisiner pour ton amie. Tu étais une bien piètre cuisinière de toute manière, ça n’aurait pas été un cadeau pour Valentina que de lui servir un de tes plats. Tu pris l’option la plus facile, un peu comme toujours, et commanda des pizzas avant l’arrivée de ton amie. Elle ne s’en plaindrait surement pas, tu connaissais que trop bien ses goûts. L’heure avançant, tu descendis à la cave chercher quelques bouteilles de vins de toutes sortes, rouge, rosé, blanc ou pétillants. Tu n’étais pas en restant à ce niveau-là. Remontant tout juste, tu entendis sonner. Devinant de qui il s’agissait, tu posas rapidement les bouteilles dans la cuisine et vins te précipiter vers la porte d’entrée, l’ouvrant brutalement. « Valou !, t’écrias-tu, aussi nulle étais-tu pour trouver des surnoms à tes amis. Entre, je t’en prie. Comment tu vas ma grande ? »
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TE vola vola si sa sempre piu in aloto si va e vola vola con me il mondo e matto perche e se l'amore non c'e basta una sola canzone per fare confusione fuori e dentro di te — Valentina avait terminé son dernier papier. Le dernier de l’année tout du moins. Cette année était importante pour elle comme pour le reste de sa famille. Si elle réussissait, c’était la preuve qu’elle n’avait effectivement rien à faire dans la mafia de son père, à faire les comptes, et qu’elle devait faire des études. Certes, elle s’y était prise bien tard pour ces fameuses études, mais bon, ce n’était pas une obligation chez les Linetti de faire des études. Ah, sacrés Linetti. Linetti. D’ailleurs, tiens, Linetti. Une fois que le nom de famille de Tina était prononcé, on ne pouvait plus avoir de doutes quant à ses origines. Bien qu’à moitié américaine par sa maman, c’était l’italie, la chaleur méditerranéenne que transpirait Valentina. Son teint hâlé, ses yeux foncés, sa petite taille. Tout chez Valentina donnait presque une alerte sur son origine.
Et bien qu’elle n’ait fait que naître à Milan et partir de temps en temps en Italie, voir sa Nonna et découvrir le pays, et bien, l’italie, c’était son pays. Et elle l’aimait. Si on lui demandait ses couleurs elle répondrait toujours vert blanc et rouge. Et Tina avait trouvé une compatriote en la personne d’Antonella, une demoiselle qui aimait le pays autant qu’elle et qui lui manquait.
Tina se dirigea, une fois son papier terminée, chez Antonella, histoire de passer la soirée sur le fuseau horaire italien. Qu’est-ce qu’elles allaient faire ? Aucune idée. Mais Tina était sûre qu’elles allaient bien rire.
Elle sonna et Antonella ouvrit peu de temps après.
« Ma grande ? Je viens d’arriver et tu te fous de mon mètre cinquante-sept ? »
Elle sort alors du vin pétillant de son sac et le tend à Anto, tout en entrant.
« Tiens j’ai ramené ça. Bon, c’est quoi le programme ? »
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Tu adorais tant sa petite frimousse d’ange. Tu avais tellement de fois envie de lui tirer ses joues, comme à une enfant. Ce qui serait stupide, on est d’accord, étant donné qu’elle a le même âge que toi, et qu’elle risquerait de te prendre pour la folle que tu es. Tu gardais alors tes mains le long de ton corps, tandis que tu riais à sa remarque sur sa taille. C’est vrai que Valentina n’était pas bien grande mais au moins, elle faisait honneur à ses origines ! Pas comme toi, et ton presque mètre quatre-vingt. Oui, tu en étais à devoir baisser les yeux pour pouvoir la regarder. Tu n’avais jamais vraiment fait gaffe en fait, mais ça accentuait son côté mignon au moins. « C’est sorti tout seul, excuse-moi. Tu cachais ta bouche pour rire discrètement, tout en attrapant la bouteille qu’elle t’offrait. Oh il ne fallait pas, t’es un ange merci. » Du vin pétillant, c’était vraiment italien ça. Quel autre pays aurait l’idée de rajouter de l’eau pétillante dans du vin, sérieusement ? C’était assez spécial aux premières gorgées, tu devais l’avouer. Toi-même tu avais eu du mal à t’y faire, mais au final quand on y prend goût, on ne peut plus s’en passer. Ah, l’alcool et toi, la seule histoire d’amour qui arrive à tenir. Heureusement ou malheureusement, tu ne sais pas trop.
Tu laissas alors ton amie s’installer au salon, alors que tu débarrassais comme tu le pouvais la table basse remplie de mille et mille babioles et autres bouffes laissés là. Sans doute serait-il temps qu’un jour tu fasses le ménage. Mieux encore, que tu engages enfin une femme de ménage. Tu allumas quelques bougies odorantes, un réflexe que tu avais pris à chaque fois que tu recevais quelqu’un, avant d’allumer la télévision sur l’une des nombreuses chaînes italiennes – que tu payais pour avoir, bien sûr -, tombant sur une diffusion des vieilles chansons d’Eros Ramazzotti. Les bougies, la musique kitsch d’amour à l’italienne, le vin.. Tu regardas immédiatement Tina, le rire au bord des lèvres. « Promis, j’ai pas envie de te pécho. » Cette soirée avait tout l’air d’un rendez-vous galant, sans que tu ne t’en rendes compte. Pas pour rien que l’Italie était reconnu comme un pays romantique. « Alors le programme, j’t’avoue que je sais pas trop. Je voulais regarder un peu de foot, mais l’idiote que je suis avait oublié que l’Euro en France là, ça n’a pas encore commencé. D’ailleurs, ça serait vraiment top que tu viennes avec moi en France ce mois-ci, histoire de voir l’Italie jouer ! » L’idée venait de te venir en tête, un voyage improvisé en France juste quelques jours, avec Valentina. Ça te tentait vraiment, d’un coup. Tu n’étais pas du tout une fan de football, mais à chaque compétition de ce genre, tu soutenais ton pays. C’était con, mais c’est ce qu’on appelle la fierté italienne. « Mais pour en revenir à ce soir, déjà les pizzas ne devraient pas tarder. J’espère que t’as bien faim, parce que j’en ai commandé une de chaque sorte, je savais vraiment pas laquelle choisir. »
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TE vola vola si sa sempre piu in aloto si va e vola vola con me il mondo e matto perche e se l'amore non c'e basta una sola canzone per fare confusione fuori e dentro di te — Il était vrai que la plupart des italiennes n’étaient pas de grandes femmes. Mais Tina… Tina c’était encore différent. Sa mère était une californienne, élancée au possible, quasiment top model. Sa grande soeur tenait d’ailleurs de sa mère. Et elle ? Elle était une sorte de lilliputienne qui avait eu de soit-disants problèmes de croissance. Et elle était la seule de sa famille a avoir eu ce problème. Certes, ces frères ne faisait pas deux mètres de haut, mais il n’y avait jamais été question de problèmes de croissance. Valentina avait maintenant appris à rire de sa taille : quelques années auparavant, elle aurait mal pris la remarque d’Antonella et aurait passé la soirée à bouder.
« On a pas toutes la chance de faire un mètre cent trente deux madame. »
Des deux jeunes femmes, c’était Tina qui était clairement plus typées méditerranéenne. Le teint hâlé, les yeux foncés, les cheveux bruns. Alors qu’Anto, était une grande blonde.
« De ce que mon frère m’a dit quand il m’a ramené ça la dernière fois, ça vient vraiment de Milan. Mais bon, entre ce qu’on dit et ce qu’on fait dans la famille tu sais. »
Les italiens ? Baratineurs ? Nooooooon. Jamais.
L’ambiance qui pèsent dans le salon d’Antonella se situe entre le capharnaüm et le romantisme. D’un côté, un bordel monstre règne dans la pièce, de l’autre, des bougies, du vin de la musique italienne résonne dans la pièce. Linetti explose de rire quand Anto lui dit que non, elle ne va pas la pécho.
« Dommage. Même si je n’avais pas céder à tes avances, ça m’aurait fait plaisir ! »
Pas qu’elles soient des grandes fans de football (tout du moins pas Tina), mais leurs patriotisme et amour de la nation ressortaient encore plus quand il s’agissait de soutenir leur équipe national. En tant qu’Européennes, le football était clairement plus intéressant que le football américain -auquel Valentina ne comprenait pas grand chose.
« Rediffusion du match de la coupe du monde 2006 au pire du pire ? On avait gagné. » dit-elle en haussant les épaules.
OK. Ils avaient pas gagnés de façon vraiment vraiment équitable. MAIS, ils avaient gagnés. 2006… Elle avait treize ans à ce moment là, que le temps passait vite.
« Et tu sais quoi ? Oui pour l’Euro. J’ai un maillot qui traine dans mon armoire j’aimerai bien l’utiliser. Faut qu’on s’organise ça ! »
Et puis la France, elle la connaissait bien pour y avoir passé presque une année. De quoi faire revivre de bons souvenirs. Et puis de pratiquer son français bien bien rouillé.
« T’es vraiment pas économe toi. Tu veux nourrir tout le quartier ? » dit-elle en se servant un verre de vin.
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Il est vrai que si tu ne portais pas un tel nom, personne ne pourrait deviner que tu es italienne. Une grande blonde aux yeux bleus, tu faisais plutôt suédoise, quelque chose de ce genre quoi. Tout sauf méditerranéenne. Pourtant tu en étais une, et une vraie de vraie. Avec ton caractère bien trempé, ta fierté incontrôlable et ta manie de parler avec les mains. Tu étais née en Italie, avait vécu des années, toute ton enfance en Italie et avait été élevé à l’italienne. Ainsi, même si ton pays d’origine n’était pas flagrant physiquement, il suffisait d’un peu te connaître pour confirmer que oui, t’étais une ritale, une vraie de vraie. Comme Val quoi. Et c’est sans doute pour cette raison que tu t’entends si bien avec elle, parce que vous avez le même caractère de merdeuse au sang chaud. « Oh mais j’t’en prie, tu ne sais pas si petite que ça. » Tu cachas ton visage derrière ta main, tentant de rire discrètement. Sans grand succès. Ça allait encore, tu n’avais pas à baisser la tête pour pouvoir lui parler non plus. Juste les yeux, c’est tout. Son anecdote sur ce que lui avait dit son frère te fit énormément rire, car c’était tellement vrai. Les italiens et l’art d’exagérer les choses. « Je vois ouai, genre il vient d’une boutique spéciale bouffe italienne, mais c’est comme s’il venait d’Italie quoi. » La main sur le ventre, tu riais de plus belle. Seule des personnes comme Tina pouvait comprendre ce genre d’humour, de conversation. Ravalée dans le canapé, tu regardais toutes les minutes l’heure, trouvant que le livreur se faisait bien long à présent. Ouai, tu avais sans aucun doute exagéré en commandant toutes les pizzas qu’il proposait, mais tu voulais être certaine que Val en trouve une à son goût. Et comme tu avais eu la flemme de tout simplement lui envoyer un message pour le lui demander, t’avais tout pris. L’avantage de n’avoir aucun soucis niveau argent. « Dis, en parlant de pécho alors, quelque chose de nouveau de ce côté ? » Tu lui fis un clin d’œil, aimant en savoir un peu plus sur sa vie à chaque fois que vous vous voyiez.
Quand Tina évoqua le fameux match de 2006, tu rias à nouveau. « C’n’était peut-être pas une victoire loyale, mais ça reste une victoire ! » Merci le coup de boule de Zidane. Tu t’en souviens comme si c’était hier, alors que c’était il y a dix ans déjà. Bim, coup de vieux dans la figure, comme ça. Mais tu devais l’avoir en stock, cette rediffusion. Tu te souviens, ton père t’avait acheté le pack DVD qui regroupait tous les matchs du Mondial 2006, juste pour que tu puisses revoir la finale. Alors qu’au final, tu n’avais jamais à nouveau regardé. Tu levas alors tes fesses du canapé et cherchas, dans les nombreuses étagères du meuble de la télévision, ce fameux coffret DVD. Tu avais oublié la montagne de films que tu avais, ceux étant dans le meuble n’étant une infime partie de la grande collection que tu avais. Bon courage pour retrouver le match là-dedans. « J’crois qu’on va plutôt regarder c’qu’il y a à la télé’ ce soir. » La recherche terminée, tu te reposas à côté de ton amie. A son oui, pour aller voir un match en France, tu tapas joyeusement dans tes mains. « Oui oui oui ! je crois avoir aussi un vieux maillot qui date de 2006. Ça m’étonnerait que je rentre encore dedans c’là dit. » A cet aveu, tu regardas directement ton ventre, y plaçant ta main. Et alors que tu te disais qu’il fallait que tu commences un régime, on sonna à la porte. Sans doute le livreur. Ni une ni deux, tu sautas du canapé pour aller ouvrir. A ta grande surprise – ou pas – il y avait deux livreurs, les bras chargés jusqu’au menton. En effet, il y en avait des pizzas. Face à cette situation, tu rias, en ayant bien du mal à t’arrêter. « J’vous en prie, posez-les dans le salon. » Tu leur indiquas la dite-pièce, avant de régler la note sans prêter plus attention à l’énorme montant. « En effet, là je crois que j’ai vu trop gros. »
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TE vola vola si sa sempre piu in aloto si va e vola vola con me il mondo e matto perche e se l'amore non c'e basta una sola canzone per fare confusione fuori e dentro di te — Valentina n’avait jamais eu honte d’être italienne. Ja-mais. Elle avait clamé haut et fort pendant toute son enfance qu’elle était née en Italie et que, malgré le fait qu’elle possédait les deux nationalités, aussi bien italienne qu’américaine, pour elle, ses couleurs n’étaient que verts, blanc et rouge. Elle n’avait pas eu honte de crier haut et fort que son nom de famille portait une histoire surement plus chargée que celle des États-Unis depuis leur création. Enfin, elle n’avait eu honte d’être italienne. Peut-être juste de s’appeler Linetti. Parce que s’appeler Linetti sonnait pour Tina, comme être membre d’une mafia, d’une organisation de malfaiteurs, d’une bande de meurtriers : et c’était bel et bien avec ça qu’elle n’avait pas envie de tremper.
Valentina lève les yeux au ciel quand Anto lui dit que finalement, elle n’est pas si petite que ça. 
« Un mètre cinquante sept Anto. Je peux même pas concourir pour Miss Italie alors que Dieu sait que j’ai tout pour, à part la taille. »
Même des talons ne lui permettraient pas d’atteindre le mètre soixante dix requis. Tout du moins c’était si elle voulait éviter de se casser une cheville. Elle savait très bien que de tel talons existaient, mais elle tenait à ne pas finir en chaise roulante ou en béquilles.
« Je suis même pas sûre que ça soit une boutique de bouffe italienne. Je paris plutôt pour le rayon exotique d’un supermarché ou alors une semaine italienne chez Walmart. »
Elle connaissait son frère et par conséquent, sa flemme intense d’aller jusqu’en Italie pour prendre du vin. L’Italie, il y allait pour chopper des nanas. En mode « je suis un bad boy je fais partie d’une mafia. » Même si bon, là bas, tout le monde était un peu mafioso.
Lorsque Anto lui demande si côté coeur/cul il y a quelque chose de nouveau, elle ne peut s’empêcher de souffler. Ah bah. Non. Question coeur sa vie était toujours aussi pourrie que depuis le moment où elle s’était faite larguée parce qu’elle avait perdue un bébé et puis côté cul.
« J’ai accidentellement couché avec Royce. » dit-elle en devenant presque rouge. « Voilà ce qu’il y a de nouveau »
Accidentellement, surtout dans le sens où elle ne voulait pas que ça se reproduise.
Tina se souvient elle aussi du match qui avait fait reporter la finale de la coupe du monde à l’équipe de football d’Italie. C’était il y a dix ans. Elle en avait treize et ses frères lui avait acheté un maillot pour l’occasion. Elle avait hurlé et avait eu le droit de klaxonner dans la voiture après le match. Par contre, sa mémoire lui jouant défaut pour ce coup là, elle a du mal à savoir si elle se trouvait à Boston ou à Milan.
« Je dois encore rentrer dans le mien, je pense »
En même temps quand on a des problèmes de croissance...
Valentina s’installe alors tranquillement dans le canapé et se met à chercher sur son téléphone, des vols pour la France et des possibles hôtels, pendant que Antonella va répondre à la porte. Amen, les pizzas sont là. Ne prêtant pas trop attention à la quantité de pizza que son amie ramène, Tina reste les yeux fixés sur son téléphone.
« Le premier match de l’Italie c’est le 12 juin je crois. On peut y aller pour le 11. Histoire de se remettre du décalage horaire. » dit-elle, avant de se rendre compte de la quantité de pizza que l’autre italienne a ramené. « Attends, mais tu sais qu’on va pas nourrir l’équipe d’Italie ce soir quand même ? »
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