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Eugène Trammel Venteiheimer fiche; terminée C'est le 12/10/1993 à Lowell, que la famille Venteiheimer m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Eugene. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de neuroscience depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather House ou les Eliot House. |
Études On l'aurait plus vu dans l'économie ou le droit, ce genre de secteur assez snob qui sont généralement fréquentés par les fils à papa, car cela ne demande pas trop d'efforts puisqu'on travaille dans la société de ses parents. Pour Eugene, c'est la science qui le gagne, et plus particulièrement les neurosciences. "Comment est stockée l'information au niveau des neurones ?" ou encore "Comment se déclenche les maladies neurodégénératives ?" sont les questionnements qui le fascinent le plus. Mais cet intérêt pour la science est pourtant bien caché par ce physique superficiel et ce caractère digne d'une vraie bitch. Puisque sur le campus, Eugène est connu comme étant le garçon le plus fourbe, qui s'assoit sur un banc avec sa clique et qui critique ouvertement les pauvres étudiants qui passent devant eux. Sinon, c'est un bon vivant, on ne peut lui reprocher cela. Excentrique, narcissique, il aime être invité à toutes les soirées, se mettre à l'envers et draguer des garçons hétéros, car il n'y a rien de plus attirant qu'un mec qui repousse vos avances. | Caractère Eugene a beau être gay, il n'est pas le plus gentil des bisounours. Au contraire, il aime se moquer ouvertement des gens et piquer là où ça fait mal, être le centre d'intérêt et échafauder des plans pour mettre des bâtons dans les roues de ses ennemis. Une telle passion de nuire à autrui n'est possible seulement parce qu'il est lui-même détesté par son père, qui l'a envoyé à Harvard pour ne plus l'avoir à la maison et passer le moins de temps possible avec son fils gay. La méchanceté est ce qu'il maîtrise de mieux, il excelle dans cette discipline, car au moins, on le considère, d'une bonne ou mauvaise manière, il ne laisse personne indifférent et il peut reporter sa colère contre son père sur les autres. Et pourtant, c'est un garçon qui, dans l'intimité, est assez simple. Il sait se montrer agréable, compatissant, bon oreille, il suffit juste de creuser un peu plus, aller au-delà des apparences et l'apprivoiser délicatement. |
Everyone Has Their Own Story
En 1993, les époux Venteiheimer sont déjà les heureux parents d'une petite fille, Alexza, lorsque le petit Eugene est attendu. Pour le couple allemand, venu aux Etats-Unis pour gérer la nouvelle aile d'une célèbre compagnie d'hôtel allemande, la naissance du garçon est le signe de la perfection. Deux parents, deux enfants, telle est la vision qu'ils se font d'une famille unie et heureuse. Deux enfants qui vont évidemment perpétuer la lignée familiale en faisant à leur tour deux enfants, qui feront eux aussi deux enfants etc .. Ce souhait, peut-être un peu stricte, est le simple héritage d'une éducation allemande et religieuse de bonne école, il n'y a pas de place à l'échec ni au pêché. Lorsque l'on voit Eugene maintenant, on se demande où sont partis ses principes et ses valeurs, en un mot: son éducation pieuse et irréprochable.
Pour cela, il faut retourner en arrière, où à l'âge de neuf ans, Eugene est confronté à ses premiers désirs envers les hommes. Ouais, le petit allemand à la nationalité américaine ne se voit pas avec une femme mais avec un mari, et lors de petites discussions anodines sur le prince charmant pour les filles, il ne peut s'empêcher de lever la main et de s'exprimer sur ce que serait pour lui l'homme idéal. Un homme riche, affluent, beau et incroyablement intelligent qui saurait s'occuper de lui. Dès lors, la maîtresse convoque le couple Venteiheimer et leur explique ses soupçons quant à une possible homosexualité de leur fils, afin de les préparer, afin qu'ils ne se surprennent pas à un coming out lors de son adolescence. Et pourtant, celle qui croyait bien faire s'est fait à la fois virée et à fait naître chez le père Ventiheimer une haine immense envers son fils. A la maison, le petit note l'absence de son père, il se sent coupable, sa mère ne préfère pas répondre, elle aime son mari et ne sait pas comment gérer l'anormalité de son fils, sa soeur de six ans sont aînée est alors celle qui sera sa confidente. Et durant trois années, la vie du garçon n'est pas trop pénible, il sait qu'il doit taire les discussions sur l'amour à ses parents, fait semblant d'avoir des copines à l'école et peut finalement se confier le soir à sa soeur concernant les garçons qui lui plaisent. Cette dernière comprend, et en parfaite grande soeur elle le protège, elle en devient presque une image maternelle à ses yeux. Jusqu'à ce qu'elle succombe à une crise d'épilepsie deux ans après, dont elle est victime depuis ses 7 ans.
Une enfant décédée d'une maladie lié au système nerveux, un fils gay, deux parents enterrés dans la tristesse, on est ici bien loin de l'idéal familial des Venteiheimer. Avec plus qu'un seul enfant, gay, et qui ne pourra donc créer à priori une descendance, le couple s'essaie à avoir un enfant. Ils ont beau se trouver dans leur quarantième année, il n'est pas trop tard pour eux de s'assurer une vie familiale paisible. Toujours très déstabilisé suite au décès de sa soeur, et n'ayant aucune épaule à laquelle se reposer, il décide de se réfugier dans les études, faisant monter sa moyenne générale à presque 18, avec pour matières hautes la biologie et les mathématiques. Arrivé à sa dernière année de lycée, le petit adulte ne peut choisir lui-même son université, alors qu'il croule sur les demandes. Influent, son père décide de l'envoyer à Harvard, en espérant que la réussite scolaire de son fils viendra faire oublier dans toutes les mémoires son attachement pour les garçons. Ce fils une fois expédié, le couple allemand peut enfin s'occuper entièrement de leur dernier garçon, né quelques mois auparavant. L'entrée à Harvard est le signe d'un renouveau pour Eugene, ce sera l'endroit où son nom sera sur toutes les bouches, où on le craindra à la fois pour ses compétences académiques mais aussi pour sa fourberie qu'il n'a cessé de pratiquer durant ces dernières années. Seules les personnes méchantes s'en sortent en vrai, gay ou non. Très vite, lors de sa première année en neuroscience, il se fait une place à l'université puisqu'on le félicite sur ses notes parfaites et son implication dans le domaine des sciences (décathlon, exposé et autres expéditions avec scientifiques), et il se fait aussi une place socialement parlant car il sait faire la fête et être invité au meilleur soirée du campus. Méchant et fêtard, et aussi gay, on le reconnait très vite comme étant une personnalité indissociable de la faculté. Il a enfin une place à Harvard, même si sa réputation peut lui desservir, il sait enfin qu'il n'est plus une victime mais un vrai chasseur, qui a soif de fêtes, de savoir et de sexe.
Sa famille ? Ne lui en parlez pas, car sa vraie famille se trouve à Harvard à présent, qu'on le veuille, ou non.
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