Together we won't grow old (Lucas)

TOGETHER WE WON'T GROW OLD
— lucas et mathys

Peu importe le jour de la semaine, je ne refuse jamais une soirée sur le campus. L’ambiance y est tout simplement parfaite et sincèrement, qu’est-ce que j’ai de mieux à faire? Des devoirs? Les soirées ne sont certainement pas faites pour cela. En effet, je préférais me mettre à fond le jour sur mes travaux pour pouvoir profiter plus ensuite, la tête totalement libre de ce genre de trucs. Je savais que plusieurs de mes potes y allaient alors je m’y dirigeai simplement seul. Il faut dire que ce n’était pas très loin de ma chambre chez les Lowell, puisque la fête se déroulait chez les Mather. Êtes-vous surpris? Même si je ne fais parti de cette confrérie, j’y passe beaucoup de temps puisque de un, ils organisent les meilleures soirées et de deux, mon frère y est. D’ailleurs je suppose que je vais y voir ce dernier, qui n’est pas du genre à manquer une soirée non plus. Une fois dans la maison, déjà il y a l’ambiance parfaite. De la musique trop forte, des gens qui se poussent tellement il y en a et de l’alcool un peu partout. C’est d’ailleurs la première chose que je fais : me prendre une bière. Cela fait déjà un moment que les gens sont arrivés, puisque j’en vois plusieurs qui semblent bien amochés déjà, dont… Lucas qui est assis –ou plutôt affalé- sur le sofa. Je lève alors les yeux au ciel en m’avançant vers lui et buvant. Je ne suis pas très surpris en fait de le voir ainsi alors je me laisse tomber à côté de lui en riant un peu et le brassant. « Alors frérot, la soirée a été difficile? »

(Invité)

Ce soir, c'est fête à la Mather House et tout le monde y est invité. Enfin, quand je dis tout le monde il ne s'agit que des gens qu'on aime hein, et malgré ce qu'on dit sur nous, on aime pas mal de personne. Dans la soirée, j'aide tout le monde à mettre en place les tables, mais surtout les boissons, histoire qu'on est de quoi s'amuser. Dans un coin, certaines personnes sont là pour fournir de la drogue mais ça, on ne va pas le crier sur tout les toits sinon, on se ferait virer. Les gens arrivent les uns après les autres. Dans la lancée, j'en profite pour sniffer de la poussière de fée -je l'appelle comme ça- histoire de me mettre dans l'ambiance. J'enchaîne les verres, je me marre pour un rien avant de me poser sur le canapé. La tête qui tourne ce n'est pas le top. Au loin, je vois mon frère arriver. Je vais pour me lever, mais ma tête et surtout mon état en décide autrement, du coup, je le laisse venir à moi et prendre place à mes côtés. MAAAAAAAAAAAAAT, je hurle en ouvrant les bras pour lui faire un gros câlins. Oui, drogue + alcool ça ne me va pas très bien. C'est la fête du siècle, je reprend en levant les bras au ciel, comme si on venait de gagner un prix. Bière ? Non, non, non p-prend ça, dis-je en lui donnant tant bien que mal un verre de vodka. Une bière ce n'est pas drôle, mais alors pas du tout.

(Invité)

TOGETHER WE WON'T GROW OLD
— lucas et mathys

Je n’aurais jamais cru que le petit Lucas, timide et intimidé, devienne ainsi un jour. Certes j’avais toujours eu confiance en lui, je l’avais toujours encouragé, mais je n’en avais pas demandé autant. Juste qu’il s’ouvre. Un peu plus. Mais j’avais eu le droit à la totale. En effet, aujourd’hui, côté fêtard, il était bien pire que moi. De mon côté, j’adorais bien sûr faire la fête! Boire, danser, draguer. Sauf que je gardais généralement le contrôle pour moi, pour bien finir la soirée. Voilà pourquoi j’évitais d’ailleurs la drogue. Je savais qu’en venant à une fête chez les Mathers, il y en aurait certainement, je n’étais pas con, mais rien ne m’obligeait d’en prendre. Pour Lucas, je n’avais même pas besoin de lui demander pour savoir qu’il avait consommé. Il n’était pas normal. Il m’aimait toujours, mais il n’avait pas l’habitude d’autant me le démontrer. Je le laisse toutefois faire, je n’ai pas envie de le fâcher alors je le prends dans mes bras en riant. « C’est beau de voir comment ça te fait plaisir que je sois là! » Je supposais qu’il s’en fichait en réalité, mais je pouvais bien en profiter un peu. Je ne pouvais qu’avouer que la fête était pas mal, bien que je vienne à peine d’arriver. Puis probablement que selon lui, c’était tous les soirs la fête du siècle, alors il ne faut pas trop l’écouter. Il me tend ensuite un verre d’un liquide transparent, sûrement de l’alcool, du rhum ou je ne sais quoi encore, que je prends en brochant un peu. « Tu sais que je ne commence pas aussi durement que toi, je veux avoir encore ma tête. » Je lui souris, venant carrément de lui dire que lui, il n’en avait plus. Mais j’avais le droit de lui dire les choses ainsi, j’étais son grand frère. Je regarde ensuite autour de nous. « Et moi, je serai en état de répérer les belles filles présentes. »

(Invité)

Mon frère a toujours été là pour moi. En fait, quand j'étais petit, j'étais très timide, le genre de petite garçon qui n'a qu'un ou deux amis. Mon frère me prenait sous son aile, me défendait même quand on venait m'embêter. Aujourd'hui, je n'ai plus besoin de tout ça. Enfin, j'ai besoin de mon frère mais plus vraiment dans le même sens. Ce soir, comme tout les soirs depuis ces dernières semaines, je passe mes nuits à faire la fête, à boire, à me droguer et à sauter de charmante jeune femme. D'ailleurs, je me surprend d'avoir encore mes fringues vu l'heure qu'il est. JE t'aiiiiiiiiiiiiimeuh, je lui dis tout en me blottissant contre lui, comme un petit chaton en manque de câlin. Heureusement que je ne capte pas ce que je suis entrain de faire sinon, je me serrais déjà barré de ce canapé. J'aime mon frère hein, mais de là à lui faire des câlins et surtout en publique NOPE. Zé toute ma tête mua, je rétorque en lui donnant une nouvelle boisson, en profitant pour le fusiller du regard. Bon un regard louche vu mon état. Il me parle ensuite des filles de la soirée et là, je me redresse, du moins je suis toujours assis mais plus comme une larve. Elle, elle est à moi, elle aussi....elle aussi, elle non moche...elle vais me la faire, dis-je tout en pointant les jeunes femmes du doigt. Je vais touuuuuuuuuuutes me les taper, SAUF Granger, elle naaaaaaaaaan. Voilà, nous passons à l'étape suivante où je vais sûrement maudire mon ex.

(Invité)

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— lucas et mathys

Si c’était quelqu’un d’autre que mon petit frère qui agissait ainsi, je l’aurais certainement repoussé. Oh que mes amis ne tentent aucun truc du genre sur moi, j’aurais certainement quitté la pièce déjà. Mais là c’est Lucas et sincèrement… qui peut lui résister? Il est tellement mignon et il ne s’en rend même pas compte. Je n’ose d’ailleurs imagine tout ce qu’il pourrait faire s’il en avait conscience. Heureusement, mon petit blond n’est pas du genre manipulateur. Il est à présent contre moi et je passe mon bras libre autour de lui. Qu’est-ce qu’il est vulnérable en fait. « Oui oui, moi aussi Lucas. J’espère que tu t’en souviendras. » Je tâcherais d’ailleurs de lui rappeler ô combien il m’aime la prochaine fois qu’on se prend la tête ou qu’il me boude, ça sera merveilleux. J’avais tout de même finit par accepter son verre –qui au final était réellement de la vodka pure- que j’avais commencé à boire lentement. Ce n’était même pas bon, je n’allais certainement pas passer ma soirée là-dessus. « Les enfants comme toi n’ont pas cette chance. » En fait, je l’aimais bien défoncé. Il n’était pas violent, ni en larme. Il était plutôt heureux en général. Enfin, ça c’était jusqu’à ce que je parle de femmes et qu’il semble complètement changer, se levant d’ailleurs. Je le regarde et hausse un sourcil alors qu’il se met à pointer les filles autour, disant que certaines étaient moches, ce que je trouvais tout de même marrant. « C’est bien ce qu’on va voir! Je crois que j’ai plus de chance que toi… » Je lui fais un clin d’œil. Je ne veux que le taquiner un peu, mais j’avoue que je risque d’avoir de meilleures conversations. Puis le voilà qu’il parle de son ex et je soupire. Jamais tout cela ne va cesser. « Sauf Granger? Elle n’est plus bonne maintenant? » Oh je savais que ce n’était pas la raison, mais je voulais juste lui faire voir qu’il disait n’importe quoi, qu’il en avait certainement envie.

(Invité)

Faites moi taire, voilà que je me met à câliner mon frère, en plus de lui dire que je l'aime. Il sait que je l'aime, pas besoin de lui dire tout ça encore moins devant ma confrérie mais le mélange que j'ai dans le corps en a décidé autrement. Le pire dans tout ça, c'est que Mathys sera le seul à s'en souvenir et que du coup, il va me faire chier pendant des jours, voir des semaines. Alors qu'il me parle de femme, c'est comme si quelque chose en moi avait fait tilt, me faisant me redresser. J'énumère les filles de la pièce, lui disant qui il ne pouvait pas se faire, qui il pouvait et qui il ne vaut mieux pas se taper. Jme les suis déjà toutes faites, finis-je par répondre en faisant la moue, reprenant ma place sur la canapé. Je venais de lui annoncé ça comme si c'était un drame, dessus de devoir m'en taper une autre. J'en profite pour parler d'Alaska, dire qu'elle je lui mettais une croix dessus. Enfin ça, c'est avant que mon frère ne commence à me titiller sur le sujet. Parce que bon, je le rappelle mais drogue et alcool = Lucas qui dit du grand n'importe quoi. Alors qu'il me demande si elle n'est plus bonne, je me retourne d'un seul coup vers lui en hochant la tête, pour dire que si, elle est bonne. Elle est belle, elle sent bon, elle embrasse bien et....et....je l'aiiiiiiiiiiiiiiiiiime, finis-je par lui dire en faisant mine de pleurer contre lui. Je ne pleure pas réellement, mais là, c'est la phase je déprime.

(Invité)

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— lucas et mathys

Je le regarde sérieusement lorsqu’il me dit qu’il se les a déjà tous tapé. Je n’ai aucune idée si je dois le croire. Je ne sais pas ce qu’il fait de toutes ces nuits ici, mais j’imagine bien comme cela les membres de la Mather House, à baiser tous les soirs entre eux. Bon clairement ça ne doit pas être si pire que cela, mais ça prend bien des stéréotypes à chacun, non? Je finis alors par hausser mes épaules, posant mon verre à présent vide. Je me tourne vers lui et lui souris un peu. « Et tu crois que c’est un problème? » Une fille ou une autre, qu’il ait couché avec auparavant ou non, ça ne change concrètement rien. Avec l’alcool, on dirait que Lucas devient totalement bipolaire. Me donnant tout d’abord de l’amour, s’intéressant ensuite aux femmes autour puis tombant sur le sujet d’Alaska, qui allait sûrement mal terminer. Enfin, ça le touchait beaucoup, ça c’est certain, mais je n’avais pas envie de le voir triste, pas maintenant. Il commence d’ailleurs à m’énumérer des choses sur elle… J’étais certain qu’elle n’était pas barrée totalement. Ces deux-là sont constamment en train de se séparer, ce que je trouve idiot d’ailleurs. « Mais elle te traite comme une merde. » En tout cas, j’avais le don d’être directe, mais c’était mon opinion. Ce n’est pas ainsi qu’on traite quelqu’un qu’on aime merde! « Regarde autour, tu peux avoir bien mieux! » Il fallait bien l’encourager un peu, parce qu’apparemment il ne l’était pas capable seul là-dessus.

(Invité)

Est-ce que je les suis toutes tapés ? Je ne sais pas, peut-être, du moins pour certaines je n'ai aucun souvenir de notre partie de jambes en l'air. Fin bref, je finis par rire comme un gamin, voyant que ça ne gêne pas mon frère de se taper une nana que j'ai déjà baisé. C'est du beau tiens. Ok, ok, ce soir ça sera elle, dis-je en pointant vers une belle blonde, comme si je me donnais le droit de choisir sa proie du soir. Bah quoi, je suis son frère, il peut bien me faire plaisir en plus de ça, la nana est canon. Je devrais peut-être me la garder pour moi. On envient ensuite à Alaska, lui disant que je ne veux plus rien avec elle, avant de dire tout le contraire et de lui faire savoir ce qui est beau chez elle. Enfin, avant que mon frère ne me balance dans la tête qu'elle me traite comme une merde. Je saiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, je rétorque en me laissant tomber sur le canapé, me retrouvant désormais allongé, les jambes sur mon frères. On a l'air tellement viril tiens, je sais pas si les femmes voudront de nous ce soir. Comme qui ?, je lui demande en scrutant la pièce, regardant autour de moi les femmes, cherchant celle qui pourrait bien me rendre heureux.

(Invité)

TOGETHER WE WON'T GROW OLD
— lucas et mathys

Je ne sais pas si mes paroles choquent mon petit frère, s’il aurait réagi de la même manière s’il avait été sobre. Personnellement, je n’ai que ma bière et verre de vodka dans le corps, alors je vous promets que j’ai encore une pensée rationnelle et que celle-ci m’a mené au fait que ça ne changeait rien s’il avait couché ou non avec une fille. Ce n’est pas comme si c’était en même temps. Bref passons. Je le vois pointer une fille, plutôt mignonne je dois l’avouer, mais je comprends qu’il la désigne pour moi. Depuis quand il les choisit pour moi? À ce que je sache, je suis assez grand pour cela. Que de belles attentions ce petit. « Merci bien Lucas, mais je crois que je me la choisir moi-même. » Bon c’était déjà arrivé avec des potes qu’on se désigne chaque une nana avec qui coucher. Enfin, c’était un genre de défi, du genre lequel réussirait sans choisir. Mais là, c’était différent. Il valide par la suite ma pensée, disant qu’Alaska le traite comme une merde et je suis un peu surpris. En fait, je crois que peu importe ce que je dirais présentement, il approuverait… « Alors qu’est-ce que tu fais toujours autour d’elle alors? » Même s’ils n’étaient pas ensemble ce soir, j’étais certain qu’ils se voyaient encore. Ils sont pathétiques. J’avais eu le malheur de lui dire qu’il pourrait facilement se trouver mieux autour, mais en réalité, il n’y en a pas beaucoup qui sont bonnes pour du girlfriend material, elles sont bonnes que pour baiser, alors je me rectifie. Enfin, j’ai des critères plus hauts pour mon frère. « Peut-être pas ici, mais autour de toi… tu as bien des amies sympa. »

(Invité)

J'aim les câlins, j'en ronronnerais bien tiens. Enfin, j'aime ceux des femmes, de belles déesses pas ceux de mon frère, du moins pas devant tout le monde. Non, là je suis bien trop occupé à choisir une nana pour mon frère mais là, il me vexe en disant qu'il peut se la choisir lui même. Je le regarde alors, la bouche et les yeux grands ouvertes, comme s'il venait de m'annoncer une terrible nouvelle. Pfff, tu vais chier !, je grogne en avalant mon verre de vodka, levant le bras comme si quelqu'un allé prendre mon verre pour m'en donner un autre. Ah merde, c'est vrai, on est pas à la maison avec nos bonnes à tout faire. Mathys enchaîne avec un sujet sensible : Alaska Granger. Je l'aime, je l'aime pas, je l'aime, tout se bouscule dans ma petite tête, contrairement à mon frère qui visiblement, me voit bien sans elle. Bah....euh....je sais po, je répond à nouveau en haussant les épaules, avant de me mettre à glousser de rire, comme si je venais de faire une bêtise. Rappel, ne plus jamais me faire boire, ou me droguer. Est-ce que j'ai des amies sympas ? Euh...Madisson ?, ma meilleure amie ? Mon dieu, il veut ma mort ? Puis non, bien qu'elle soit belle et douée au lit, c'est non.

(Invité)

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