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Solweig Lola Baker
« En fait, un journal intime, c'est fait pour être lu : on le cache mal en espérant que quelqu'un le trouvera. »(Invité)
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JOURNAL INTIME DE SOLWEIG LOLA BAKER
Le 29 Juillet 2012
Cher journal, 9 mois que je n'ai pas ouvert ces pages, 9 mois qu'il n'est plus là pour moi. Je crois que je n'arrivais juste pas à convertir mes sentiments en lignes... Mais je suis enfin heureuse, j'ai l'impression de revivre, d'avoir à nouveau un but dans la vie. Le matin, quand je me lève, je sais que ce n'est plus en vain, je sens qu'une belle journée s'annonce. C'est tellement bon de ne plus avoir à se lever juste pour continuer de vivre, pour faire comme tout le monde, juste parce qu'on est un survivant. Et je pense tout ça, je ne le dois qu'à une seule personne, Ethan. Comment dire par de simples mots à quel point je l'aime ? Je n'y arriverai jamais, rien sur Terre ne pourrait traduire mon amour pour cet être qui a fait que ma vie sans mon père soit moins douloureuse, qui rend toutes mes journées belles, qui me rend heureuse, qui me rend femme. J'aimerai passer chaque instant de ma vie dans ses bras, et j'aurai tant aimé qu'il soit là au moment ou mon père était parti, ce moment de solitude intense, ou j'aurai pu me blottir cent fois contre lui, faisant de cet homme mon anesthésie.
J'aime la façon dont il me regarde, comme si j'étais la seule qui comptait pour lui, ses yeux qui sans arrêt me troublent, lorsqu'il plonge son regard sombre dans le mien, sondant mon âme, et moi, vulnérable que je suis, je m'y perd, m'y égare, déstabilisée. J'aime aussi sa façon de me parler, sa voix grave et rassurante, me rappelant sans cesse qu'il est là pour moi, pour me protéger. J'aime lorsqu'il me murmure d'une voix sensuelle à l'oreille, lorsqu'il me touche, qu'il parcoure mon corps de ses lèvres ou de son index. Je l'aime.
Le 29 Juillet 2012
Cher journal, 9 mois que je n'ai pas ouvert ces pages, 9 mois qu'il n'est plus là pour moi. Je crois que je n'arrivais juste pas à convertir mes sentiments en lignes... Mais je suis enfin heureuse, j'ai l'impression de revivre, d'avoir à nouveau un but dans la vie. Le matin, quand je me lève, je sais que ce n'est plus en vain, je sens qu'une belle journée s'annonce. C'est tellement bon de ne plus avoir à se lever juste pour continuer de vivre, pour faire comme tout le monde, juste parce qu'on est un survivant. Et je pense tout ça, je ne le dois qu'à une seule personne, Ethan. Comment dire par de simples mots à quel point je l'aime ? Je n'y arriverai jamais, rien sur Terre ne pourrait traduire mon amour pour cet être qui a fait que ma vie sans mon père soit moins douloureuse, qui rend toutes mes journées belles, qui me rend heureuse, qui me rend femme. J'aimerai passer chaque instant de ma vie dans ses bras, et j'aurai tant aimé qu'il soit là au moment ou mon père était parti, ce moment de solitude intense, ou j'aurai pu me blottir cent fois contre lui, faisant de cet homme mon anesthésie.
J'aime la façon dont il me regarde, comme si j'étais la seule qui comptait pour lui, ses yeux qui sans arrêt me troublent, lorsqu'il plonge son regard sombre dans le mien, sondant mon âme, et moi, vulnérable que je suis, je m'y perd, m'y égare, déstabilisée. J'aime aussi sa façon de me parler, sa voix grave et rassurante, me rappelant sans cesse qu'il est là pour moi, pour me protéger. J'aime lorsqu'il me murmure d'une voix sensuelle à l'oreille, lorsqu'il me touche, qu'il parcoure mon corps de ses lèvres ou de son index. Je l'aime.
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