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it is not a question of chance. (vierge marie)

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— with marie-lou.

Il se passait quelque chose de fou. Je courais dans les rues avec beaucoup de difficultés à me tenir bien debout, je ne sentais presque plus mon corps et pourtant je suis quelqu'un de dur physiquement/mentalement. En faite j'avais l'impression que mon corps me lâchait petit à petit au fil des minutes, j'avais très mal à la tête et mes vêtements étaient rempli de sang comme vache qui pisse. Je ne comprenais pas du tout à ma situation, parce que je ne cherchais pas vraiment à comprendre le pourquoi du comment. Déjà que j'étais très en retard pour mon cours de musique, alors pourquoi se poser la question ? Tout ce que je savais c'est qu'un putain de camion de mes boules à percuter violemment ma caisse, et comme par hasard j'étais là dedans. Oui, moi, Maxwell Steadworth l'homme le plus malchanceux de tous les temps... La personne qui m'avait percuter a voulu contacter les secours, ce qui est un peu humain de sa part. Sauf que moi je lui ai clairement dit non, donc j'ai pris la décision de courir comme un voleur pour ne pas aller à l'hôpital et ni rater mon cours. Alors que mon état actuel est assez critique, mais pas grave je sais que je vais m'en sortir vu que ce sont des blessures superficiels. C'est Maxwell Steadworth ! Dis-je en frappant la porte de Marie afin qu'elle m'ouvre. Je secouais ma tête en essayant de reprendre mes esprits, assez essoufflé d'avoir couru tout ce chemin à pied. Bordel, ça commence bien comme d'habitude.

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Encore une belle matinée qui se termine et cela faisait un quart d'heure que Marie-Lou était assise sur son fauteuil, avec sa tasse de chocolat chaud posée devant elle et la tête dans les bras. Elle était lentement en train de s'endormir croyant que son rendez-vous ou plutôt son élève, ne viendra plus. En effet, la belle anglaise attendait Maxwell, un jeune homme à qui elle donnait des cours de harpe. Vous allez dire un mec qui joue de la harpe c'est rare et bien qu'elle fut très étonnée au départ, elle pouvait affirmer qu'il jouait comme un pied. En fait, ce dernier ne prenait pas les cours au sérieux, passant son temps à faire le pitre et cela l'amusait beaucoup. Marie ne pouvait pas nier apprécier sa compagnie. Bref, aujourd'hui, c'est chez elle qu'ils avaient rendez-vous et l'anglaise commençait à sentir ses paupières s'alourdir lorsqu'elle entendit soudainement des coups de portes. Elle se leva d'un bond et s'empressa d'aller ouvrir la porte découvrant un Maxwell en sang. Le visage hanté par une peur soudaine, les yeux grands ouverts, elle finit par trouver ses mots. « Wow !Maxwell. » S'exclama la demoiselle en attrapant le jeune homme par le bras et en le guidant jusqu'au salon où elle l'aida à prendre place sur un fauteuil. Cherchant ensuite sa trousse médicale, elle revenait aussitôt prendre place à ses côtés. Marie-Lou se demandait ce qui avait bien pu le mettre dans cet état. Sans vraiment prendre conscience de ses gestes, la blonde déboutonna le chemisier de l'étudiant et le laissa valser au sol. Il fallait bien qu'elle soigne ses blessures non ?. « Que t'est-il arrivé ? Et pourquoi t'es ici plutôt qu'à l'hôpital ?. » Demandait Burberry en appliquant les premiers soins alcoolisés sur ses blessures pour les nettoyer.

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Quelle belle matinée vous ne trouvez pas ? Ou plutôt je veux dire une mauvaise pour décrire mon malheur. Je me posais la question, comment j'ai pu survivre a un tel accident comme celui-ci ? Un gros camion de chez pas combien de tonnes à percuter ma caisse qui est mini à côté de ce dernier. C'est peut-être un miracle qui a voulu que je reste encore en vie ? J'en sais rien, mais tout ce que je peux dire c'est que la situation était désagréable pour moi. Au fil des minutes j'avais l'impression que la douleur s'envenimait encore plus, que ça devenait encore plus grave que des petites blessures superficiels. Je me vidais petit à petit de mon sang, j'essayais de perdre le moins possible mais je n'y arrivais pas. Je priais de tour cœur que Marie-Lou ouvre enfin cette porte, étant donné qu'elle se débrouille bien dans le domaine de la médecine. Oui, j'avoue au monde entier que j'ai très peur de mourir si bêtement, j'étais complètement perdu sur le moment et j'espérais qu'elle me soigne le plus vite possible. Aide moi s'il te plaît ! M'exclamais-je en la voyant ouvrir la porte. Elle m'attrape par le bras en me guidant jusqu'au salon, et m'aide ensuite à prendre place sur un fauteuil. Vous ne pouvez pas savoir comment j'étais heureux de la voir, un grand soulagement pour moi. J'ai horreur des hôpitaux, c'est pire qu'une phobie, cet endroit est si maudit à mes yeux, c'est pour ça que je me suis ramené chez elle. Je me suis fait percuté par un gros camion quand je me trouvais dans ma voiture. Et tout s'est passé si vite, je n'ai rien compris à ma vie tellement que la scène a été trop rapide. Sur le moment j'ai pris peur donc j'ai couru jusque ici en espérant que tu sois chez toi. Dis-je d'une rapidité avec quelques petits bégayement sur certains mots quand elle déboutonnait mon chemiser pour le faire valser au sol.

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feat. MAXWELL F.-STEADWORTH
Assise sur le fauteuil à soigner les blessures de son ami, Marie-Lou soupirait inquiète pour lui. Elle avait beau savoir s'y prendre avec un cas de ce genre, mais elle était loin de pouvoir lui attribuer les soins nécessaires. Surtout lorsqu'il révéla enfin la cause de sa situation. Le coton lui échappa des mains alors qu'elle lui offrait de grands yeux étonnés par son geste. « Tu te rends compte de l'ampleur de ta situation Max ?. » Bon sang ! Il s'était fait renverser par un camion et ce n'était pas une chose à prendre à la légère. Reprenant ses esprits, ses yeux s'abaissèrent sur son poignet blessé. Elle se demandait quelle douleur cela provoquait, car elle n'avait jamais rien eu de tel elle-même, mais elle était certaine qu'il devait en souffrir. « Tu sais, je peux peut-être soigner des blessures superficielles, mais je n'ai pas les compétences d'un bon médecin. Tu viens d'avoir un accident, un accident Max. Il te faut des radios pour savoir si tout va bien de l'intérieur. » S'exprimant plus sérieusement. D'ailleurs, son regard inquiet en disait long. Marie nettoya son poignet puis remonta hésitante sur son torse encore tâché de sang. « Je...le sang... » Pas habituée à avoir ce genre de proximité ni même de geste avec un homme, la belle anglaise avait le regard baissé, hésitante encore, mais elle finit par tamponner délicatement son torse. « Tu veux que je t'accompagne à l'hôpital ? Il faut que tu y ailles. » Esquissa la blonde, le regard toujours accroché à son torse.

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— with marie-lou.

Je me rends compte de l'ampleur Marie ! C'est moi-même la victime de cette histoire si tu veux que je te le rappelle. Dis-je d'un ton désagréable en m'emportant un peu trop vite sur le moment. Je ne me rendais pas compte de mes paroles si méchante envers elle, mais il faut comprendre que j'avais très peur de la situation. Ce n'était pas du tout de sa faute, au contraire elle voulait m'aider et c'est ça que j'appréciais chez elle. La pauvre j'avais honte de lui avoir parlé sur ce ton alors qu'elle mérite qu'on la respecte, des fois je mérite des grosses claques dans la gueule. Pardon, excuse moi de t'avoir crié comme ça. Dis-je d'un air désolé en montant légèrement sa tête pour qu'elle croise mon regard. De toute façon ça se voyait sur mon visage que j'étais inquiet de mon état actuel, j'ai tellement de choses à accomplir dans ce monde. Bon sang je ne vais pas mourir aujourd'hui, il n'y a pas intérêt en tout cas. Je sais, j'irais un autre jour pour passer des radios et voir si c'est grave ou pas. Répondais-je d'un petit cris de douleur quand elle nettoyait mon poignet. Heureusement que c'était moins grave à ce niveau-là, j'ai encore besoin de son utilisation si vous voyez ce que je veux dire. NON JE NE SUIS PAS PERVERS, NON NON. N'hésites pas, je sais que tu t'inquiètes pour mes blessures mais s'il te plaît fait de ton mieux. T'es la seule à qui je fais entièrement confiance par rapport à ça. Mes paroles étaient sincères, j'avais confiance en cette fille. Nooooon, pas l'hôpital. J'insistais encore et encore sur le non, elle ne pourra pas me faire changer d'avis.

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feat. MAXWELL F.-STEADWORTH
Maxwell venait de s'emporter, énervé sûrement par ses paroles, la demoiselle grimaça de peur en le voyant rager ainsi. Elle laissa donc peser le silence jusqu'à ce qu'il ne la brise en s'excusant de son comportement un peu exagéré. « Ce n'est rien... C'est pour ton bien que je dis ça t'sais. » Loin de le traiter d'inconscient ou quoi, mais juste qu'elle était inquiète pour son ami et elle avait bien le droit vu son état non ?. Marie avait une soudaine pression sur les épaules suite aux paroles de Max. Il la faisait confiance et pourtant, elle n'était pas plus doué qu'un médecin et ça, c'était un fait. Mais elle fera de son mieux, il ne pourra pas dire qu'elle ne l'avait pas prévenu. « Je ferais de mon mieux. Ce qui est positif c'est que de l'extérieur il n'y a pas plus grand dégât que des blessures soignantes. Mais de l'intérieur j'en sais trop rien, va falloir voir un médecin pour ça. Donc je te fais confiance pour aller le voir le plus tôt possible d'accord ?. » Et elle était sérieuse la blondie. Si jamais il n'obéissait pas, elle était capable de lui bouder pendant des semaines et ce, jusqu'à ce qu'il se rende à l'hôpital. « Pourquoi t'as si peur des hôpitaux ?. » Demanda l'anglaise tout en continuant de soigner ses blessures. Elle remonta vers l'épaule où elle appuya un peu plus fort sans faire attention. Mais d'un air désolé, elle lui offre une petite grimace. « Pardon... » Ce n'est pas le moment d'être maladroite Marie !.

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Marie avait beau me rassurer en me donnant quelques conseils, moi je faisais tout le contraire de ce qu'elle me disait en faisant la tête de mule. C'est comme ça, je suis le gars qui n'écoute que lui-même sans écouter l'avis des autres, qui, pourtant ses conseils pourraient m'aider pour beaucoup de choses. Puis c'est de bon cœur, ce n'est pas pour me faire chier mais voilà quoi, on ne peut pas changer quelqu'un du jour au lendemain. Surtout moi, qui est invivable avec certaine personnes. Je sais, c'est juste que voilà je suis un peu dans les vapes à cause de cet accident... et tu sais que je ne suis pas quelqu'un de facile, je suis encore désolé de t'avoir infligé ça. Vraiment, je te dois une fière chandelle. Je fis un long soupire en ayant regretté mes paroles de tout à l'heure, mais essayant tout de même de me rattraper petit à petit au fil de la discussion qui s'instaurait. N'empêche, malgré qu'elle ne soit pas une professionnelle de la médecine elle se débrouillait plutôt bien, franchement elle pourrait faire une bonne médecin. D'accord, j'irai le plutôt possible et je te tiendrais au courant de mon état de santé si tu veux. On fait comme ça ? Souriais-je en tendant mon auriculaire afin de lui montrer que je tiendrais ma promesse pour aller passer des radios. Puis si je n'y vais pas elle va me faire la gueule et je ne souhaite pas cela pour notre belle amitié, surtout pas. J'ai horreur des hôpitaux, je n'aime pas être seul là-bas cloué dans une chambre avec une petite télé de rien du tout, les patients qui crient comme des psychopathes pour une simple aiguille, la nourriture complètement dégueulasse qui fournissent, y'a pleins de choses à citer... Fin' bref, je n'aime pas. Expliquais-je mon dégoût pour les hôpitaux, laissant faire Marie pour qu'elle me soigne tranquillement de son côté. Elle remonta ensuite vers mon épaule en appuyant un peu plus fort, sur le moment je fis une petite grimace à cause de la douleur sans me plaindre de quoi que ce soit. Pas grave. La petite Marie est peut-être bien maladroite, mais si on fait une comparaison entre moi et elle je crois que c'est largement moi qui gagne. La question ne se pose pas Jean-Pierre. Je pourrais avoir un petit câlin de mademoiselle Burberry ? S'il te plaiiiiit. J'adore ses câlins, j'en deviens addict.

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« C'est bien parce que je te connais que j'ai préféré garder le silence. Allez on oublie. » Dit-elle avec le sourire bea. Elle savait bien que c'était un mec incorrigible qui n'en faisait qu'à sa tête et qui n'écoutait que lui-même. Mais au-delà de ça, il était malgré tout, attachant. Surtout lorsqu'il débutait avec ses blagues pourries. Parfois elles lui faisaient rires et parfois elle avait juste envie de lui crier de la fermer tant c'était d'un ridicule. Maxwell revenait enfin à la raison en lui promettant d'aller voir un médecin. La jeune anglaise serra son auriculaire avec le sien comme pour sceller cette promesse. « On fait comme ça ! Gare à toi si tu ne tiens pas ta promesse. J'attendrais ton appel ou ton message pour me rassurer que tout va bien. » Néanmoins, elle ne put s'empêcher de rire en écoutant la description morbide que faisait son ami à propos des hôpitaux. Elle n'avait pas encore eu l'occasion d'y être soignée et n'étant allé qu'une ou deux fois en visite, elle ne pouvait pas vraiment partager son avis. « Dit donc ! T'as une vision d'horreur sur les hôpitaux toi. Ça ne donne même pas envie d'y mettre les pieds. » Avouait-elle en riant bien que monsieur profita de l'occasion pour lui demander un câlin. Un câlin ? Genre la miss allait devoir le serrer dans ses bras et tout ?. Awkward. Elle avait peur de l'étouffer tant elle se savait maladroite. Déposant soudainement le coton sur la table, elle leva les bras en guise de feu vert pour que son ami puisse y loger quelques secondes. Sauf que, lorsque Max se rapprocha, elle baissa aussitôt ses bras et se glissa en dessous des siennes pour lui échapper. « Il faut les mériter mes câlins !. » Lui tirant la langue, Marie ramassa sa trousse médicale en fuyant vers sa chambre. En gros, elle fuyait ce contact, avec n'importe quel garçon d'ailleurs, sauf son meilleur ami.

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Quand tu dis ça on dirait que je te martyrise ! Répondais à son sourire en riant bêtement. Hm, c'est vrai que parfois j'étais un peu trop dur avec elle. Ce n'était pas de ma faute, j'étais dur dans mes paroles sans m'en rendre compte forcément, tout en restant drôle avec mes blagues plus ou moins marrante. Des fois j'avais l'impression de la bouffer, elle préférait se taire alors que moi j'ouvrais ma grande gueule en montant le ton inconsciemment. Fallait vraiment que je fasse des efforts avec Marie, sinon je perdrais son amitié bêtement à cause de moi. Oui, c'est tout le temps de ma faute et je n'assume pas d'être en tord. A force d'avoir de la fierté, ça va me détruire en miettes et je vais finir tout en bas de l'échelle. Je le sens. Genre tu t'inquiètes pour moi ? Ca veut dire que je ne suis pas un simple ami ordinaire. Oh moi et mes taquineries, ça va pas m'emmener loin tout ça. Néanmoins j'accompagnais son rire pour instaurer une nouvelle ambiance un peu plus joyeuse, et non morbide comme il y a cinq minutes à cause de mon accident. Ahah, peut-être que t'as une vision moins flippante des hôpitaux ? Et puis de toute façon cette endroit n'est pas fait pour être joyeux. Une petite grimace se faisait voir sur mon visage rien qu'en y pensant, tellement que ça donnait des frissons. Quand je lui proposais de me faire un câlin, Marie se renforça dû à ma proposition... Je ne savais pas pourquoi elle était aussi coincée à ce point, qu'est-ce qu'il l'a rendait comme ça ? Aucune idée. Mais en tout cas je ferais tout mon possible pour qu'elle soit moins coincée. Parce que là, ça devient flagrant en la voyant faire. Pffffff. Je fis un long soupire quand elle refusa mon câlin, voyant qu'elle était mal à l'aise de la situation. Alors elle prit la décision de se lever de son siège pour fuir vers sa chambre, je la regardais partir en contemplant ses formes. C'est impossible, je ne pouvais pas tourner de l'œil bêtement pour faire le gars qui est saint d'esprit. Alors que ce n'est pas moi. Je décide de me lever de mon siège en l'accompagnant discrètement dans sa chambre, sans faire le moindre bruit. Ce n'est pas possible qu'une aussi belle fille que toi sois coincée. Franchement je n'arrive pas à te comprendre, mais alors pas du tout. Dis-je d'un sourire pervers. Je me pinçais la lèvre inférieur d'un regard désireux, fermant bien la porte à clé en me plaquant le dos contre la porte.

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« Non pas à ce point quand même !. » Répliqua Marie en riant. Et le connaissant taquin jusqu'au bout, monsieur venait de faire une remarque qui obligea l'anglaise à baisser les jeux de plus belle. Oui elle s'inquiétait pour lui, c'était évident non ? Vu l'état de son visage, et pour ce qu'il sous-entendait, elle ne voyait pas les choses de la même façon. « T'es mon ami Max, alors normal que je m'inquiète. C'est ce que font les amis non ?. » Est-ce qu'il voulait insinuer qu'elle le prenait plus qu'un ami ? Elle-même ne s'était jamais posé la question. Peut-être parce qu'elle l'avait toujours vu comme un simple ami en se disant aussi qu'un homme comme lui, ne pouvait pas jeter son dévolu sur une fille aussi coincée qu'elle. Et puis tout se passa assez rapidement, l'anglaise était allée se réfugier dans sa chambre pour échapper au câlin que lui réclamait Maxwell. Sauf qu'elle n'avait pas prévu qu'il la suive et qu'il ferme aussi la porte à clé. « Quoi ?... Comment... À quoi tu joues Max ?. » Demanda-t-elle les yeux écarquillés, le coeur battant à mille à l'heure. « Pourquoi t'as fermé à clé ?. » Son studio n'était pas grand, une porte séparait la cuisine de la chambre et une autre séparait le petit salon de la chambre. Elle pourrait crier, mais pas certaine que Max lui voulait vraiment du mal. Peut-être s'amusait-il à l'effrayer tout simplement.

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