Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySABCEI • “When you're the most happening person at the party, it's time to leave”
Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €


SABCEI • “When you're the most happening person at the party, it's time to leave”

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


You've gotta dance like there's nobody watching
Sabian regardait simultanément Veia et les autres personnes assises autour de la table. Son regard était vide d'expression et il lâcha presque inconsciemment un soupire silencieux, qui traduisait tout ce qu'il pouvait ressentir à ce moment précis de la soirée. L'ennuie l'avait envahi depuis une bonne demie-heure. Tout ceci ne lui correspondait tellement pas. Le beau brun était plutôt du genre à se bourrer la gueule jusqu'à plus soif et à fumer en soirée. Ici, l'ambiance était toute autre. Avachi sur sa chaise, il semblait avoir arrêté de réfléchir. Il ne suivait pas du tout la conversation et avait même abandonner l'idée de la suivre un jour. Si l'étudiant avait pu dormir les yeux ouverts, clairement il l'aurait fait. Mais non, Veia semblait contente d'être là, tout le monde était content d'être là en fait. Sauf lui. Sabian avait mis des tubes fluo autour de ses poignées mais même cette petite fantaisie ne semblait pas l'amuser. C'était d'un ennuie, total. Les étudiants défilaient sur le podium, les uns après les autres. La tête du beau brun tangua légèrement vers la droite avant de se ressaisir brutalement. Il s'endormait presque. Voyant la blondinette le regarder, il afficha un sourire des plus convainquant avant de reporter son attention sur son verre, désespéramment vide. Il leva les yeux au ciel en voyant qu'aucun serveur n'était dans les parages. Décidément, cette soirée était nulle. Sabian leva la tête pour jeter un coup d'oeil aux personnes qui se trouvaient à proximité. Pas de tête connue, la belle affaire. Il se tourna alors vers Veia, ignorant totalement les étudiants autours de la table. « Je reviens, je vais pisser. » lança-t-il, le plus naturellement du monde. Plus aucun filtre n'était présent entre son cerveau et sa bouche. L'ennui, le verre vide et le besoin de fumer le rendait encore plus spécial que d'habitude. Sabian semblait imperturbable ce soir. C'est donc tout endormi qu'il se leva de sa chaise et qu'il se dirigea vers le bar. Il prit une énième coupe de champagne juste avant de se diriger vers les toilettes. La soirée semblait battre son plein, dommage qu'elle soit nulle à chier. Le beau brun poussa violemment la porte et entra dans les toilettes pour homme. L'endroit était désert, tant mieux pour lui. Il avança de quelques pas, bu la moitié du contenu de son verre et le posa sur le rebord du lavabo. Il n'était pas saoul, il lui en fallait tellement plus pour le mettre ko. Sabian se regarda dans le miroir et afficha un petit sourire sur le coin de ses lèvres, il était vraiment élégant ce soir. Il n'avait pas l'habitude de se voir ainsi, il se trouvait beau dans ce costume bleu. Non vraiment, il avait fait un effort et était fier de lui. Observant sa chemise blanche, il baissa les yeux vers son pantalon et remarqua son paquet de clope. Sans trop attendre, il le sortit et prit une cigarette qu'il déposa sur le coin des lèvres. Bonne idée Sabian, tu iras fumer après. Laissant son paquet de clope et sa coupe de champagne sur le rebord du lavabo, le beau brun se retourna et se dirigea vers l'urinoir. Sans trop attendre, il abaissa sa braguette pour pisser tranquillement. Il était au calme. Sabian pencha la tête vers l'arrière et ferma les yeux. Il réfléchissait à un moyen d'échapper à cette soirée, en vain. Il était coincé ici et était condamné à se faire chier jusqu'à ce que Veia décide de rentrer. Et encore, si elle voudrait rentrer un jour. Ce n'était pas de la bière mais l'envie de pisser était quand même bien présente. L'étudiant redressa la tête lorsqu'il entendit la porte s'ouvrir. Il ouvrit les yeux avant de tourner sa tête vers le côté, par pure curiosité. En temps normal, il n'aurait pas relevé l'arrivé d'un mec dans les toilettes mais là, allez savoir pourquoi, il fut intrigué par cette arrivée. Qui osait le dérangeait ? Sabian fut surpris de remarquer que le mec question était en réalité une fille, une fille bien rondelette d'ailleurs. Le beau brun ne mit pas longtemps avant de faire le rapprochement avec un récent pari. En effet, ce trou du cul n'avait rien trouvé de mieux que d'accepter un pari quelque peu cruel. Il devait se faire ce boudin sinon il allait perdre gros. Sabian avait parié un sacré pognon sur ce pari ridicule. Hors de question pour lui de perdre la main, il avait trop besoin d'argent. Cerceï Steele, il connaissait cette fille uniquement de nom et d'ailleurs, il avait accepté le pari sans vraiment savoir ce qui l'attendait. Le jeune homme afficha un sourire à la brunette avant de reporter son attention sur son pantalon. « C'est pas beau de venir espionner dans les toilettes des hommes, mademoiselle. » lança-t-il avant de rigoler légèrement. Sabian remonta sa braguette et se dirigea vers le lavabo où il lava ses mains. Non mais la dégaine je vous jure. Il avait la clope à la bouche et le sourire charmeur. Quoiqu'il en soit, il ferma le robinet avant de s'approcher de la brunette pour sécher ses mains. « J'ai aiguisé ta curiosité ? » demanda-t-il avec une pointe de drague. Sabian tâtait le terrain, simplement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
Sabian & Cerceï.
mise en page par mad love
Bal de fin d’année, encore un rituel typiquement américain qui ne m’aide pas du tout dans ma lutte quotidienne de confiance en soit. Le bal de fin d’année c’est juste l’occasion de montrer aux autres qu’on a réussi socialement parlant. Comme si on avait besoin de porter une belle robe, être coiffée, maquillée et au bras du mec le plus sexy du monde pour avoir réussi. Regardez-moi, je porte la fameuse robe, pas trop vilaine certaine, mais pas non plus celle du siècle, j’ai pas les moyens ni la taille pour, je suis coiffée, maquillée, et pourtant j’ai aucun beau gosse accroché à mon bras. Ce n’est pas les demandes qui manquent. MENTEUSE. Il n’y a pas de demande, ni d’offre, rien d’économique ou de social. Juste une réalité. Entre les potes qui se transforment en canard pour emmener leurs conquêtes du moment et petites amies et les autres qui ne savent pas que j’existe je fais partie du coup de ceux qui n’ont pas de cavalier pour le bal. Pas de drame je gère, je gère. Pas de pleurs, pas de dépression, ni d’orgie avec Ben & Jerry. Rien de tout cela, j’ai été forte, j’ai été courageuse, j’ai été exemplaire pour une fois. J’ai enfilé cette merveilleuse robe, je me suis maquillée, coiffée, j’ai mis des talons beaucoup trop douloureux pour moi et je suis allée à ce bal la grande classe. J’ai maquillée mon visage, oui bon j’ai pas dis que j’allais être sage non plus, en hommage à l’homme de ma vie. David Bowie, pourquoi ais-tu parti si vite ? Je ne vais pas penser à lui sinon je vais retourner dans mon coma de glucide après l’annonce de sa mort. Je suis forte, et pour lui rendre hommage, je porte fièrement un éclair fluo qui part de l’œil à la joue. Je me sens ridiculement canon, mais rien à foutre du monde, et des autres. La musique n’est pas mauvaise, les gens pas mal con, j’en peux plus des couples qui se bécotent à ma table, c’est dégueulasse. Il y a des chambres pour ce genre d’activité. Je me mets à imaginer, un bel apollon, tant qu’à faire le fantasme autant bien le faire, s’approchant de moi, son sourire Colgate trop sexy me tenant la main. Salut ma belle, tu viens danser. Et il le ferait je danserais dans ses bras aussi gracieusement que Natalie Portman dans Black Swan, mais la réalité c’est que j’en suis à ma trente troisième coupe de champagne, à un plateau entier de petit four et une folle envie d’aller pisser. La merde, j’aurai du prévoir ce détail. Je me fraye un chemin parmi la foule d’étudiant, pas facile avec ma robe légèrement débordante. J’accélère le mouvement, parce que coupe de champagne numéro 33 accélère le processus. Je marche, je me dépêche, un choix s’offre à moi. Droite ou gauche, l’endroit où il y a une queue pas possible, l’autre désert. La folie a raison du reste là où il n’y a personne. Je comprends uniquement lorsque je fais claquer la porte et que j’observe le mec en train de pisser. Super. Les toilettes des mecs, ça explique le pourquoi de personne qui attendait. Les mecs ne sont pas des pisseuses, quoique les filles pissent où se remaquillent ? Pas le temps d’analyser avec hypothèse thèse et antithèse… Fait pas chier ! Je suis pétrifiée, pourquoi ? J’ai toujours envie de pisser. Il se lave les mains, j’admire la façon délicate que ses mains glissent sur les siennes, alors que sa cloque reste accroché à sa bouche, la veinarde. Il s’approche de moi pour se sécher les mains. Je lève les yeux au ciel. pipi. J’ai trop envie et je fuis claquant la porte fortement pour faire pipi. C’est hyper embarrassant comme situation, pisser alors qu’un mec, limite pas dégueu, et de l’autre côté de la porte. Je m’occupe de mon affaire tire la chasse d’eau et ouvre la porte il est là. T’es toujours là ? Encore plus bizarre. Je nettoie à mon tour les mains l’observant du coin de l’œil… T’as pas une princesse à retrouver ? Demandais-je curieusement en entendant déjà la réponse. Oui bien sur mon 36 attendre tranquillement dans la salle. Ahhh prévisible.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


You've gotta dance like there's nobody watching
Sabian n'était pas saoul, loin de là. Il était encore pleinement de ses faits et gestes, il était loin de ses limites alcooliques. Pourtant, il avait déjà bien bu. Depuis le début de la soirée, il avait juste enchaîné les coupes de champagnes sans se soucier des gens autour de lui. Absorbé par l'ennuie total de cette putain de soirée, il comptait bien prendre tout son temps pour pisser. Sabian n'était absolument pas pressé et comptait bien faire un petit tour au bar avant de revenir s'asseoir. Plus il sera loin de cette maudite table et mieux il se portera. Le jeune homme ne voulait faire aucun effort avec Veia. Cette dernière lui avait annoncé, quelques jours auparavant, qu'elle allait quitter la ville pour retrouver sa famille. Elle allait lâchement abandonner l'étudiant et il allait se retrouver, une nouvelle fois, livré à lui même. Il n'y avait pas encore de sentiments entre eux mais Sabian était, malgré tout, attaché à elle. Voilà pourquoi il ne se mettait jamais en couple. Le beau brun était comme maudit de l'amour. Il portait la poisse. A chaque fois qu'il s'attachait à quelqu'un, cette personne le trahissait ou alors disparaissait subitement. Il aurait dû se méfier au lieu de foncer tête baissé dans une relation qui ne mènera visiblement nulle part. Sabian avait très mal prit se départ et ne comptait pas lui faire de cadeau. Elle avait décidé de partir et bien, bon vent. Après s'être lavé délicatement les mains, le jeune homme détailla la fameuse Cercei. Il attendait une quelconque réaction de sa part et tout ce qu'il eût en retour, c'est un vulgaire fait pas chier. Il étouffa un petit rire sur sa remarque. Apparemment elle avait envie de pisser la pauvre. A y réfléchir d'un peu plus prés, il est vrai qu'une file d'attente interminable ornait les toilettes des filles. Sans attendre une seconde de plus, la Lowell se dirigea vers les toilettes fermés juste en face d'elle. Sabian, la clope toujours collée sur le coin de ses lèvres, prit appui sur le lavabo et croisa les bras. Il resta silencieux le temps que Cercei fasse pipi. Il devait absolument avancer dans son pari débile. Il avait misé gros sur le brunette et honnêtement, la défaite serait amère. Il devait réussir à la faire craquer et lui, devait se persuader qu'il allait craquer. Après tout, ce n'était pas ses formes généreuses le plus gros problème, c'était plutôt son caractère. C'était quitte ou double avec ce genre de fille. Soit elles se laissaient facilement approcher car elles tombent sous le charme du gars ou soit, elles se méfient comme de la peste et alors là, bon courage Sabian pour arriver à quelque chose. Cette petite difficulté mettait énormément de piment au défi. Le jeune homme était curieux de voir comment les choses allaient se dérouler entre elle et lui. Il était prêt à beaucoup de chose pour réussir ce pari et vu l'argent qui était en jeu, il n'avait plus d'ami. Obnubilé par un désir de réussir, l'étudiant attendait bien sagement que Cercei sorte des toilettes. Peut-être pensait-elle qu'il était déjà parti. Elle fut d'ailleurs surprise de le voir adossé sur le rebord du lavabo. Sabian ne bougea pas d'un pouce et la regarda s'avancer vers l'évier. Il rigola légèrement lorsqu'elle lui affirma qu'il était encore présent dans les toilettes. « Ouais, je suis dans mon droit ici. » lança-t-il pour la taquiner gentiment. C'était assez anecdotique comme première approche. Il ne s'attendait absolument pas à la voir débarquer ici. Cette remarque n'était pas du tout méchante, bien au contraire, il essayait de la mettre en confiance. Allez Sabian, ça va le faire, à toi de gérer maintenant. Elle tourna ses yeux vers lui et lorsqu'elle croisa son regard, il afficha un petit sourire. Subtilement, Cercei lui demanda s'il n'avait pas une princesse à aller rejoindre. Sans vraiment s'en rendre compte, il leva les yeux au ciel. Pff, tu parles, sa princesse allait l'abandonner, la belle affaire. « Non, c'est de la merde cette soirée, j'me fais chier comme un rat mort. » répondit-t-il le plus naturellement du monde. Il n'avait pas vraiment tord. Cette soirée était d'un ennui total pour le jeune homme. Il avait définitivement ranger l'idée de passer une bonne soirée. Par pure stratégie, Sabian ne lui retourna pas la question. Encore une fois, c'était à double tranchant. Soit Cercei était accompagnée et elle allait le planter pour rejoindre son mec, ou soit, elle était seule et dans ce cas là, pas la peine de la mettre mal à l'aise. Le beau brun décroisa les bras et la regarda. « Désolé, j'ai pas de rouge à lèvres pour la retouche maquillage. » dit-il avant d'arquer un sourcil et de rigoler légèrement. C'était maintenant où jamais, il devait faire bonne impression. Ne dit-on pas que la première impression est toujours la bonne ? Sabian attrapa délicatement sa clope posée sur les lèvres. « Tu fumes ? » demanda-t-il en tendant la clope à Cercei. Clairement, il n'avait pas l'intention de la laisser partir aussi facilement. Elle devait accepter, ils allaient fumer une cigarette ensemble, juste histoire de faire connaissance, rien de plus. Il n'y avait pas de mal là-dedans. Sabian testait quelques pistes, à voir laquelle marchera la mieux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
Sabian & Cerceï.
mise en page par mad love
J’ai tout fais dans ma vie, je me suis retrouvée pratiquement nue dans le couloir du bahut en quatrième, je suis tombée le jour de la rentrée en seconde, j’ai même eu le droit à une robe déchirée lors du bal de promo. Non sérieux, je suis du genre aimant à connerie, je le sais et je l’assume entièrement. Alors un peu plus ou un peu moins je suis habituée. Tapez 3615 pasdouée. Alors quand je me retrouve dans les toilettes des mecs je suis pas vraiment surprise, j’ai fais le choix de prendre l’endroit où les toilettes étaient le plus libres, je suis tombée sur celui des mecs. Ce n’est pas trop mal, plus besoin d’attendre et je peux pisser correctement. Quand j’observe le mec devant moi, je me dis chouette j’ai de la chance je me retrouve avec un beau mec mais en réalité dans ma tête c’est Bagdad. Je suis partagée entre mon envie pressente, reluquer son joli petit cul, parce que oui, il a un joli petit cul et jouer les filles super cool qui gère à mort. Je gère rien, j’ai peur, je tremble et je vais immédiatement aux toilettes. Je file pisser tant pis si le dit mec s’en va, après tout, quel était le pourcentage de chance pour qu’une situation pareille arrive… Une pour mille, dix milles ? Ouai. Mais voilà, monsieur sexyclope, est là adossé contre le lavabo et n’est pas parti. WHY ? Trois possibilités, numéro 1 une nympho veut le déshabiller en sortant de ces toilettes et il n’en peut plus de cette meuf, numéro 2 il a des problèmes gastriques et il attend que la place se libère et là c’est carrément glauque, ou numéro 3 je lui ai tapé dans l’œil et il veut me parler. Aucune des solutions est réalisable, je table sur la quatrième, il veut juste se fumer une clope avant de danser telle une cendrillon au masculin. POAW. Je rétorque immédiatement. Tant sait rien ça se trouve les toilettes sont devenus féminins durant ton escapade. AH t’en dis quoi de ça, hein ? Je fais une œillade qui ressemble plus un à un clin d’œil raté et je fins laver mes belles mains, je passe discrètement en mode, t’as une princesse alors casse toi et le bougre me sort la pire phrase du monde. Sérieux ? Il a personne pour s’envoyer en l’air ? Ou t’as pas réussi à pécho, tu sais… L’avouer c’est faire preuve d’intelligence. J’ai dis vraiment ça à voix haute ? Putain de merde… Je me tourne de lui, histoire de faire la pire grimace du monde et je l’observe de nouveau. Je plisse les yeux, ouai… Il est sérieux ? Est-ce que je ressemble à la fille qui a besoin d’une retouche maquillage ? Je suis agressive. Merde, merde, merde, il va fuir le minet là, si tu te la joues agressive il va dire encore une grosse en colère et partir. Et je n’ai pas envie qu’il s’en aille ? Merde je ne sais pas, non, si. NON. Joue-là ronde pulpeuse. Tu parles ça marche jamais ça hormis dans les films. Il me tend sa cloque. O.K.A.Y. L’hystérique folle qui se cache en moi meurt d’envie de la lui prendre et de la poser sur mes lèvres, genre… C’est comme si on s’embrassait, la raisonnable, reste raisonnable. Pour affronter cette soirée, j’en aurai bien besoin. Je prends le briquet que je vois dans sa main et m’allume ma clope. P*tain c’est trop bon. Tu te caches de quelqu'un ? Cece la curieuse is back, tourne 7 fois ta langue dans ta bouche, MERDE.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


You've gotta dance like there's nobody watching
Le beau brun avait délicatement enlevée sa clope posée sur les lèvres pour la tendre dans la direction de Cercei. C'était quitte ou double. Soit elle prenait cette fichue clope et il marquait des points ou soit, elle se barrait en courant et c'était mort pour lui. Sabian ne savait pas vraiment comment aborder le problème, il ne savait pas quoi penser. C'était tout ou rien et franchement, il s'attendait aux deux hypothèses. Contre toute attente, elle prit doucement la clope de ses mains et l'apporta, à son tour à la bouche. Un petit sourire amusé apparu alors sur le visage de l'étudiant. Au moins, elle n'était pas réticente au rapprochement. Petit à petit, il gagnait du terrain, il s'approchait doucement mais surement de son but ultime. Ce pari prenait des allures de véritable défi. Il allait réussir à la séduire, coûte que coûte. Lorsque Sabian avait quelque chose derrière la tête, il ne l'avait pas ailleurs. Il voulait réussir et la belle petite somme qui l'attendait le faisait saliver d'avance. Sans un mot, il lui tendit également son briquet qu'elle attrapa instantanément. Le jeune homme déglutis silencieusement en la voyant allumer sa clope. Il se racla la gorge avant d'ouvrir de nouveau son paquet de clope et d'en sortir une nouvelle qu'il déposa sur ses lèvres. Lorsque Cercei lui rendit son briquet, il alluma machinalement la cigarette. Fumer dans les toilettes était interdit mais s'en foutait royalement. Au pire, le concierge les mettra dehors, la belle affaire. La soirée était tellement à chier que Sabian ne demandait que ça, partir d'ici serait un soulagement pour lui. Ses joues se creusèrent lorsqu'il tira sur sa clope pour en extraire un maximum de tabac. Bon ce n'était qu'une cigarette mais c'était déjà ça. La brunette tenta une petite remarque sur l'ambiance de la soirée. Au moins, l'étudiant n'était pas le seul à trouver cette soirée pourrie. « Tu m'étonnes. » se contenta-t-il de répondre. Sabian n'était pas un grand bavard mais là, il voulait bien faire un effort, bizarrement. Rapidement, la Lowell lui demanda s'il se cachait de quelqu'un. Après tout, elle était dans ses droits en demandant ça. Il était posté dans les toilettes des hommes depuis une bonne dizaine de minutes. S'il était en charmante compagnie, la demoiselle devait surement se demander ce qu'il foutait. Sabian haussa les épaules. « Tu m'as l'air bien curieuse toi, ça me plait. » dit-il en recrachant délicatement le fumée de sa clope en l'air. Il rigola légèrement. Au moins, Cercei n'avait pas peur de dire ce qu'elle pensait. Sur ce coup-là, il devait gérer. Cercei ne pourra pas croire qu'il était venu seul mais il ne pouvait pas non plus lui avouer que sa dulcinée se trouvait dans la pièce d'à côté. D'ailleurs, Veia n'était pas sa dulcinée, elle n'était plus rien à ses yeux. Donc techniquement, il était seul à ce putain de bal de merde. Rapidement, il haussa un sourcil pour la provoquer un petit peu. « Pour être honnête, j'accompagne une fille qui en a rien à foutre de ma gueule. Elle se barre de Boston dans deux jours et n'a pas jugé bon de me prévenir avant ce soir. Tu comprendras que j'ai pas forcément envie d'aller la rejoindre. » dit-il comme s'il connaissant Cercei depuis toujours. En réalité, c'était très dur pour lui de parler à une inconnue. En temps normal, il ne parlait pas aux gens et se montrait toujours très froid. Le beau brun tira une nouvelle fois dans sa clope avant de regarder la violette dans les yeux. « On s'fume une clope dans les toilettes des mecs. Je pense qu'on est assez intime pour que puisse te retourner... » Il marqua une petite pause le temps de sourire et reprit le plus naturellement du monde. « La question. » Humour de merde, bonsoir. C'était explicite, même pour une fille comme elle. Sabian ne pu s'empêcher de sourire bêtement, fier de sa connerie. Après tout, il ne savait rien du tout que Cercei. Si ça se trouve, elle était une bête de sexe enragée.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
Sabian & Cerceï.
mise en page par mad love
Je… non… enfin, j’ai pas dit ça pour lui plaire. C’est juste la curiosité qui fait dévier mon cerveau endolori. Calme toi, cece calme-toi. Tout ira bien dans le meilleur des mondes. Quel monde ? Un monde où je suis dans les toilettes pour mec, avec un mec. Je raye au marqueur noir toutes mes pensées salaces et j’avance. Aie l’air cool Cece, super cool. Tu crois que tu peux faire ça ? Il se la joue mauvais garçon, ça se voit. La façon de tirer sur sa clope, de me regarder. Ce mec doit faire tourner la tête de toutes les meufs de ce bahut. A moins qu’il ne soit gay et là, franchement… Je n’ai rien à dire de plus que : quel gâchis ! J’attends sa réponse, un peu en mode poisson rouge sans cervelle, la bouche ouverte. Ressaisis toi Cece. Je ricane face à ses révélations, je n’y crois pas du tout. Sérieusement ? Il se fou de ma tête, c’est plutôt le scénario d’une série B ça, la fille se casse et laisse le mec en plan. Je fronce les sourcils. Tu te payes ma tête ? Aucun filtre se met en marche lorsque je suis près de lui. Je toussote pour m’éclaircir la gorge, pathétique petite créature. Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. Enfin si, mais… Je trouve ça un peu gros comme histoire navrée. Je me mords la lèvre honteuse de mes paroles avant de tirer une longue bouffée de ma cigarette. Je cherche l’ivresse d’une clope pour faire ma grande gueule. Depuis quand suis-je la mieux placée pour ce genre de choses. Sauf, qu’il me regarde droit dans les yeux, je trouve cela toujours très intimidant les hommes qui vous regarde droit dans les yeux comme s’ils avaient un accès directe sur ma petite culotte. C’est déroutant et agaçant. Un homme ne devrait pas avoir cet accès là, sans y être invité. Je déglutis fortement à ses paroles. Quoi ? Quoi ? Retourner quoi ? Des images frappent mon esprit violemment mais j’arrive à les canaliser à la fin de sa phrase. Ah ah ah, il se paye donc bien de ma tête. Je ris et me redresse comme si super cece était de retour, avec ses supers pouvoirs. Ils ne sont pas vraiment là, il n’est pas sensé le savoir. Je fuis mes deux prétendants. C’est le risque à prendre lorsqu’on court deux lièvres à la fois. Ils sont raides dingues de moi et je ne sais pas comment me défaire d’eux. Je tente de rester calme, ce n’est pas très concluant puisque j’éclate de rire. S’il me prend au sérieux c’est qu’il ne sait pas… Qui voudrait de moi dans ces termes là, je ne dis pas si je ressemblais à un ange de victoria secret, mais j’ai que la grosse poitrine, le reste je n’ai pas eu en option. Je déconne. Je me pince les lèvres avant de fumer une nouvelle fois et cette fois-ci de plonger mon regard dans le sien. Je suis venue seule au bal afin de faire taire certains petits cons qui pensaient que je ne viendrais pas, mais je me suis retrouvée à une table où des pré pubère n’arrêtaient pas de se bécoter, j’ai bu du champagne et ça à toujours le même effet sur moi, une folle envie d’aller aux toilettes. J’avais la flemme d’attendre une plombe derrière des filles se plaignant que leurs petits copains ont les mains baladeuses. Moi j’aimerai bien qu’on est les mains baladeuses sur moi. Je raye cette pensée. Y’a rien de cool là dedans. Je fais une moue avant d’ajouter. C’est vrai ton histoire de fille qui te laisse ? T’as pas l’air d’être le genre de mec à se faire lâcher. WARNING, je dois vraiment remettre mon filtre entre mes pensées et la réalité, merde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


You've gotta dance like there's nobody watching
D'aussi loin que remontent ses souvenirs, Sabian à toujours été un séducteur. Malgré sa réticence envers les inconnus, la drague est un aspect de sa personnalité bien encrée en lui. Il prend un malin plaisir à séduire et plus l'enjeu est important, plus il s'amuse. Son côté dangereux est animé par un besoin d'adrénaline et d'impulsivité. Si cela ne tenait qu'à lui, il aurait prit Cerceï dans les toilettes pour assouvir une pulsion malsaine mais aussi pour gagner ce pari. Mais non, il voulait faire les choses bien, il voulait qu'elle succombe à son charme et qu'elle se livre à lui. Sabian voulait des preuves sur la réussite de son pari, il avait besoin de justifier de ses actes par tous les moyens. Une photo, un témoin,  qu'importe. Le beau brun n'en était pas à son coup d'essai et  se doutait bien que Cerceï allait se montrer méfiante envers lui. Après tout, il avait le physique et l'allure d'un bad boy en puissance. Sa méfiance était tout à fait justifiée. D'ailleurs il ne fut pas étonné lorsqu'elle affirma ne pas le croire sur les raisons de sa présence ici. Et pourtant, c'était bien  la vérité. Autant on pouvait reprocher un tas de chose à Sabian, il était psychopathe, malsain, impulsif et violent mais ce n'était pas un menteur. Bien sûr ça lui arriver de détourner la vérité mais il ne va jamais s'embarquer dans de gros mensonges. Surtout s'il n'a rien à gagner en retour. Le jeune homme haussa les épaules à sa remarque et se contenta de tirer une nouvelle fois sur sa clope. Ce fut au tour de Cerceï de raconter ses aventures avec son prince charmant. Finalement elle lui avoua qu'elle n'avait pas un mais deux cavaliers. Il fronça les sourcils avant de l'accompagner dans son fou rire. Sur le coup, il avait douté. Il n'avait pas remit en cause le sexe appeal de Cerceï. Non, il avait juste eu peur pour son propre défi. Elle lui expliqua alors la raison de sa présence au bal puis dans les toilettes pour homme. Sabian était attentif à ce qu'elle disait et scrutait la moindre réaction de sa part. Elle semblait triste, en effet ce n'était pas très sympa pour elle. Le jeune homme déglutis en l'entendant parler. Il ne répondit pas,  en fait il ne savait pas quoi lui dire. La brunette avait totalement raison, les filles qui étaient là étaient toutes plus superficielles les unes que les autres. Limite elles jouent leur vie en venant à ce bal. Sabian trouvait ça d'un pathétique. Un léger malaise s'installa alors entre eux mais l'étudiant fut soulagé de voir que la Lowell embraya sur un autre sujet. « Et pourtant. » dit-il avant de grimacer. Et oui, aussi suprématie que ça puisse paraître, Veia avait décidé de le planter le jour du bal. Il n'avait pas le physique d'un mec qu'on laissait tomber comme ça et pourtant, c'est ce qu'il venait de se passer. Certes ils n'étaient pas en couple mais quand même, il se passait quelque chose entre les deux. Bref. « C'est vrai. Elle me plante ce soir, comme une merde. Mais tu vois, c'est de ma faute, j'aurais pas du m'attacher à elle. Maintenant elle a décidé de partir, basta c'est son choix. J'aurais su ça avant je ne serais pas venu. En plus le thème de cette année est à chier. » Quel rapport entre le fait qu'il soit sans cavalière et le fait qu'il n'aimait pas le thème. Aucun mais il devait le dire à quelqu'un. Sabian trouvait se thème vraiment pourri et d'ailleurs, personne n'avait suivit réellement les consignes. Tous les étudiants d'Harvard s'étaient demandés comment s'habiller. Vraiment, c'était de la grosse merde. Quoiqu'il en soit, le beau brun termina sa clope et se rapprocha de Cerceï. Délicatement, il ouvrit le robinet et éteignit sa clope sous l'eau froide. Il regarda alors la Lowell du coin des yeux et afficha un large sourire. « Maintenant qu'on sait qu'on est tous les deux à ce bal de merde, ça t'dis qu'on aille se boire un verre ? » demanda-t-il calmement avant de se tourner vers elle. Ils étaient assez proche. Sabian plongea son regard dans le sien, il avait bien remarqué que cela la perturbait étrangement. Il arqua un sourcil. « On a bien partagés une clope ensemble, tu ne peux pas me refuser un verre, Cerceï. » dit-il avant de froncer les sourcils. Merde ! Il n'avait quand même pas dit son prénom ? Bien sûr que si. Le jeune homme allait se faire griller son plan en moins de deux. Non mais quel con. La brunette ne lui avait pas dit son prénom et trouverait certainement ça louche qu'il le connaisse. Sabian essaya alors de sauver les meubles. « C'est bien Cerceï, ton prénom hein ? Que je ne passe pas pour le dernier des trou du cul. » lança-t-il avant de rigoler. Espérons que ça passe. Le beau brun lui tendis alors le bras et afficha son plus beau sourire. Inconsciemment, il sentait l'adrénaline monter en lui. Il venait de se surprendre à parler sans réfléchir. Étrange dans ce genre de situation.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
Sabian & Cerceï.
mise en page par mad love
Je n’avais aucun droit de le juger sur son physique qui étais-je pour faire ce genre de commentaire déplacé ? La grosse qui doute de ses paroles, parce qu’il est beau. POAW. Pathétique. Je deviens miss pathétique. Je crois que je n’ai pas assez bu de champagne ce soir, j’ai besoin de plus d’alcool pour moi parler. Je me mordillais la lèvre, regrettant déjà mes propos. Pourquoi j’ai dis cela ? Je crois qu’il me rend un peu trop nerveuse. Pourquoi le suis-je à chaque fois que je suis trop près d’un garçon. Je suis pathétique, non ? Si ? Oui. Je prends mon courage à deux mains et je relève les yeux sur lui, et je tente de calmer les battements de mon cœur dans ma poitrine. Quand je vais parler de cela aux copines elles ne vont jamais me croire, parce que je ne suis pas le genre de fille qui peut se venter de vivre ce genre d’événement. Parce qu’il y a déjà eu un thème potable pour le bal ? Je ne comprends pas cet intérêt de mettre une belle robe et de venir dans un bal en compagnie d’un beau mal. Cette pensée me fait grimacer parce que je me rends compte que ce n’est pas mon genre de truc. Il faut absolument que je rentre dans le moule mais parfois je n’ai pas envie d’être ce genre de personne. Je ne suis pas comme les autres, il faut s’y faire. Il se rapproche de moi, afin d’ouvrir le robinet et éteindre sa clope. Je déglutis avec difficulté, faut vraiment que j’apprenne à cohabiter avec des garçons canons, pour savoir gérer les palpitations de mon corps. Bon après quand je suis près des autres ça ne pose pas de problème mais là, c’est compliqué. Son regard me rappe immédiatement. avec… avec moi ? Je bafouille longuement en disant cela, lui laissant tout le temps de me répondre. Je profite de ce moment pour me reprendre et d’éteindre ma cigarette en même temps. La soudainement je m’inquiète et lâche plus froidement. Comment tu connais mon prénom ? Je ne lui ai pas donné et je ne suis pas assez connue pour qu’il puisse mettre un nom sur mon visage. Je me mordille la lèvre et j’attends une réponse. Pour la première fois, je le vois hésité, perdre un peu sa confiance. Je ne suis pas certaine de comprendre ce revirement de situation. Je tente de dire quelque chose, mais il me répond immédiatement. J’apprécie cependant l’effort mais je ne sais pas quoi penser de cela. C’est encore plus bizarre que je ne l’aurai imaginé. Oui… oui c’est bien cela, mais comment ? Je plisse les yeux avant de m’approcher de lui, plongeant mes yeux dans les siens. Qu’est ce qu’il fait ? Me ment-il ou pas ? Je me mordille la lèvre avant de devenir très sérieuse. Je sais, c’est un coup monté, cette histoire. Je laisse un petit bout de temps avant de répondre. Tu voulais me rencontrer parce que tu es sous mon charme… Tu m’as suivis, tu as demandé mon prénom et maintenant tu m’invites à boire un verre. Je claque ma langue contre mon palais, avant de rire fortement. Je sais très bien que ce n’est pas le cas. Me suivre, pour me parler, me séduire… Pff… tu as du entendre parler la grosse Cece. Je connais ça. Et toi tu es ? Je tente de lire dans ses yeux, mais je ne vois rien et c’est juste compliqué. Je m’approche de la porte des toilettes et je me tourne vers lui. Si tu n’as pas peur d’être vu avec moi, alors… Allons voir ce verre. je risque quoi ? De bégayer plus que je ne le fais déjà.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


You've gotta dance like there's nobody watching
Merde, Sabian venait peut-être de faire la boulette qui allait compromettre ses plans. Il ne devait pas se cramer, pas maintenant en tout cas. Le jeu venait à peine de commencer et il n'avait pas encore exploité toutes ses techniques de dragues. Le jeune homme avait encore pas mal de cartes à jouer et comptait bien se surpasser sur ce coup-là. Il voulait gagner, il voulait l'argent. En fait non, c'était bien au delà du simple jeu, il avait besoin de l'argent pour continuer à vivre. C'était très limite en ce moment et il ne mangeait pas à sa faim. Il repensait régulièrement à la dernière dispute qu'il avait eu avec sa soeur jumelle, où elle lui avait balancé ses bijoux hors de prix à la gueule. Il aurait peut-être dû garder une bague ou la montre histoire de réussir à survivre correctement. Quoiqu'il en soit, il devait gagner son pari. Pour son honneur mais également pour sa survie. Cela en devenait presque urgent. Alors qu'il essayait de sauver les meubles auprès de la Lowell, il lui fit un large sourire. Avec un peu de chance, elle ne va pas prêter attention à ce qu'il venait de dire. Raté. Son visage changea du tout au tout et voilà qu'elle se montrait beaucoup plus méfiante. Sabian rigolait légèrement pour détendre l’atmosphère mais il la sentait plus tendue qu'avant. Quel con. En règle générale, lorsqu’il s'appliquait à faire quelque chose, il réfléchissait essayait, tant bien que mal, de ne pas agir sous le coup de l'impulsivité. Là il avait clairement agit sans réfléchir. C'était sortit vraiment tout seul, à son grand désespoir. Plus aucun filtre n'était présent entre sa bouche et son cerveau et il ferait mieux de son contrôler s'il ne voulait pas tout gâcher. Finalement, elle joua la carte de l'humour. Sabian fronça les sourcils en l'entendant dire la grosse Cece. Il n'avait jamais eu affaire à une fille comme elle, la brunette était semble-t-il la première à qui il s’intéressait. Certes à travers un jeu stupide mais il ne s'arrêtait pas vraiment au physique. Le jeune homme n'a jamais été superficiel, il était tellement bizarre qu'il ne pouvait pas non plus faire le difficile. Comme Cerceï, il repoussait pas mal de gens mais lui c'était plus par son comportement qu'autre chose. Bref. Il afficha quand même un petit sourire pour ne pas non plus lui faire peur. Elle avait sentit venir le piège et il devait gérer la situation pour ne pas tout perdre. Elle lui demanda alors son nom, il ne mit pas longtemps avant de répondre, de manière impassible. « Sabian Lindley. » lança-t-il calmement. Il essayait de transmettre le moins d'émotions possible, difficile quand on connait sa vraie personnalité. Alors qu'il sentait la situation lui échapper, Cerceï accepta malgré tout de prendre un verre avec lui. Elle s'approcha de la porte et lui lançait un ultime défi, sortir en sa compagnie. Alors là, si elle pensait lui faire peur, c'était vraiment mal le connaître. Sabian se foutait royalement des apparences et s'il pouvait faire chier une ou deux personnes au passage, ça l'arrangeait très bien. « Ne crois pas que tu vas te débarrasser de moi aussi facilement... Allons boire un verre. » répondit-il. Le beau brun s'avança à sa hauteur et lui tendit le bras. Il attendit qu'elle le saisisse pour attraper la poignée et ouvrir la porte. Ils avancèrent vers la salle où se déroulait le bal. Ils passèrent devant la fille d'attente de nanas qui poirotaient devant les chiottes pour dames. Sabian rigola en adressant un regard complice. Ils croisèrent également un mec vachement bien sapé qui dévisagea Cerceï puis Sabian. Ce dernier, impulsif et malsain comme pas permit, plissa les yeux et lui lança un regard assassin. « T'as un problème ? » demanda-t-il d'une voix froide et cynique. Le gars, surpris de la réflexion qu'il venait de se prendre, fit un rapide non de la tête et continua son chemin. « C'est ça dégage ! » grogna-t-il en le regardant partir. Sabian se retourna vers Cerceï et essaya de radoucir les traits de son visage. « Dans mon jargon, on appelle ça un connard. » dit-il avant de rigoler. Effectivement, elle ne le savait peut-être pas encore mais le jeune homme était quelqu'un d'assez froid, violent, impulsif et extrêmement malsain. Il fallait se méfier des apparences. Les deux étudiants ne mirent pas longtemps avant d'arriver au bar. Sabian ne quittait pas son petit sourire angélique sur ses lèvres. C'était tellement contradictoire avec sa personnalité. Le beau brun était un paradoxe à lui tout seul.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)