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J'étais de retour au Etats Unis, j'avais envie de faire une surprise à Nevada et pourtant j'étais pas plus pressées que ça d'arriver allez savoir pourquoi? J'avais finis ma mission en Afrique il y à une semaine déjà, et j'avais pourtant l'impression que s'était bien plus loin. J'avais du rejoindre Johannesburg pour me rendre à Miami, un coup de nostalgie je crois. J'avais plus de famille et maintenant il ne me restait plus que le domaine à Mainz et la villa de Miami et puis Klaus mais ça c'est toujouts pareil est ce que j'étais prête à le laisser rentrer dans mon monde, s'était un des questions qui me troublait le plus à vrai dire. Après je ne sais combien d'heure de vole, j'arrivais à Miami puis j'avais pris la direction de la villa, j'avais pas grand chose avec moi un sac à dos avec mon appareil photo, mon netbook et quelques petite affaire rien de bien important. La villa n'avait pas changé depuis la dernière fois que j'y avait mis les pieds, je n'avais pas plus d'affaire, j'y pris tout au plus une douche, j'y aie passée deux nuits et j'avais repris la route en moto. J'affichais un regard sourire léger, je me sentais libre, et apaisée après ça comme si le monde s'ouvrait à moi, j'avais un sentiment de puissance et pourtant je me rendais là où je m'étais sentit le moins libre du monde. Esprit purement masochiste peut-être qui sait? J'ai roulé trois jours par les petites routes, je ne voulais pas prendre les grands axes bondé par toutes ces personnes stressées par leur vie. Le soir du quatrième jours j’apercevais déjà un panneau affichant le nombre de kilomètre qui me séparait de Boston. Je m'arrêtais dans une de cette petite ville sortie d'un vieux film là où tout le monde se connait avec ses histoires de voisins où la plus part des étrangers sont regardé de travers. J'y apportais pas une grande importance j'y resterai pas longtemps. Je pris une chambre dans un motel miteux sortant mes affaires de valeur pour les placer dans le coffre fort mis à disposition dans la chambre, plus cliché tu meurs. Après une rapide douche j'enfilais un jean, un T-shirt légèrement trop grand et une veste en coton beige, les cheveux détaché je me rendis de l'autre côté de la route dans une sorte de bar, ou je croiserai certainement le pilier qui connait toute la ville et ses histoires, deux ou trois vieux routiers qui sont sur la route depuis bien trop longtemps pour connaître les bonnes manières et puis ce vieil homme tout seul qui dira "Au revoir et à demain Johny" au serveur du bar.
Je poussait la porte et en effet je ne me trompais pas tout les protagonistes étaient là, j'avais oublié le dernier cliché celui de la fille seule qui rentre dans un bar et qui se fait siffler parce que tout ces messieurs n'ont vus aucune autres filles que les leurs ou cette vieille Amanda qui à couché avec tout le monde. J'y fis pas une grande attention, me dirigeant directement vers le téléphone, parce que bien sure ici les smartphone ça n'existe que dans les films de la nouvelle génération et que ça ne sert à rien d'étendre le réseau. Posé contre le mur j'écoutais mes messages, Klaus qui s'inquiétais de pas me revoir ou d'avoir de mes nouvelles. Est ce qu'un jour au moins il aura l'esprit que j'ai pas envie d'être en relation avec lui? Je soupirai. Je sentais tout le regard sur moi mais une présence plus insistante que les autres se fis ressentir et elle me surpris encore plus quand je vis un jeune homme qui faisait totalement tâche dans ce paysage. J’arquais un sourcil, quand il ouvrit sa bouche comme pour s'excuser du comportement totalement machiste et brute des ces congénères masculins. S'était à la fois ridicule et touchant, il voulait jouer les sauveurs, y pas à dire y à qu'au Etat Unis qu'on voit ça. Je souris parce qu'au moins ça me ferai de la compagnie pour ce soir. " Va pour un verre. "
Après tout ce que j'avais vus, tout ce que j'avais déjà vécu du haut de mes 25 ans et quelques jours j'avais pas peur de me retrouver ici, là plus part des mecs ici ne sont qu'une bande de mec un peu paumé bien trop ancrée dans leur réalité, ils n'étaient que des pecnos si je peux dire et je saurai me défendre s'il fallait. Nan j'avais pas peur de dire que je n'avais pas peur d'eux. Je savais me défendre, alors que c'est bien plus difficile de se défendre face au personne que l'ont connais et qui nous connaisse, ces personnes qui savent où taper pour faire mal. Et puis de toute façon il y avait le barman, qui n'accepterai pas qu'une fille se fasse approcher par qui que ce soit, histoire de pas avoir à appeller les et de tout expliquer, sans parler qu'il risquerai d'avoir quelques dégradation et c'est pas certain que son assurance le couvre une énieme fois juste pour une fille. Une fois mes messages écoutés je raccrochée et il y avait cet autre type qui lui aussi n'appartenait pas à ce monde ça se voyais, trop de manière en lui, trop de bienveillance qui faisait tâche dans le tableau. Et si j'acceptais son invitation c'est bien seulement parce que ça me couperai de ma solitude au moins ce soir je ne fixerai pas un écrans de télè qui retransmet un quelconques match, ou écouter les ragots de ce bled où je ne remettrais jamais les pieds.
"Va pour une bière" Je commençais toujours doucement , surtout que je n'avais pas touché une goute d'alcool en Afrique et que la seule bière que j'avais bus depuis mon retour au Etat Unis m'avait complètement séché. Est ce que j'en avais finis avec mon addiction à l'alcool? J'en sais rien mais une chose est claire c'est que le sevrage de ma vie passé était bien présent. Je m'installé aux côtés du jeune homme qui me proposais un tabouret, s'était tellement cliché, tellement de manière comme si je ne pouvais pas faire les choses par moi même. Dans un sens ça me plaisait dans un autre un peu moins parce qu'au finale on aurai dit que s'était calculé. En fait je crois que si j'acceptais finalement c'est bien parce qu'il était de mon âge et qu'il laissait entre voir quelques tatouages, marque à vie sur ça peau, ce genre de chose qui m'avait toujours attiré chez un mec. Une fois installé il s'approchait de moi pour me dire que certain semblait amoureux de moi. Je jetais un léger coup d'oeil, alors que le barman m'apportais une ma bière. "Qui sais c'est peut être eux que je devrais rejoindre alors." Un sourire au lèvre, il voulait se moquer de moi alors autant que j'aille dans son sens.
Dans tout ce tableau il y avait tout de même une chose qui me dérangeait s'était ça façon à lui ce mec inconnu, prés à faire jouer le chevalier pour sauver la jolie princesse, la demoiselle en détresse, j'étais pas comme ça et je me sentais plus vulnérable à ses côtés qu'aux côtés de tout ces paumés, et pourtant c'est avec lui que je passerai la soirée. Alors oui était peut être temps que j'accepte que j'étais masso ou que je fasse un peu plus confiance au gens ou j'en sais rien. Je m'installait posant mon sac à mes pieds en attendant qu'on nous serve, il avait cet air légèrement hautain qui m'agaçait et qui me donnait envie de lui mettre des claques, parce qu'il pétait plus haut que son cul, ça se voyait dans la façon dont il parlait au serveur. Je me mis à rire intérieurement en me disant qu'il aurai bien pus être un de ces Eliott que je ne supportais pas, mais il n'y avait aucune raison qu'un tel type se retrouve ici, loin de sa chambre de luxe. Je secouais discrètement la tête pour chasser cette image de ma penser il fallait que j'arrête de psychoter et de voir des Eliott partout aux Etats Unis. Y peut-être des gens bien et il en faisait certainement partie.
J'eu un petit rictus de satisfaction quand il fit mine d'être choqué, il ne fallait pas non plus qu'il croit que je lui était acquis pour la soirée. "Pourquoi je les rejoindrais c'est toi qui viens de m'offrir à boire, c'est la moindre des choses que je te tienne compagnie. Tu m'as l'air aussi seul que moi au final." En tout cas il n'était pas avare de compliment et s'en était presque exaspérant, parce que j'étais pas du genre à les accepter de cette façon, que j'étais toujours méfiante. "Tu sais les compliment c'est pas ce qui marche le plus avec moi, il va falloir s'y prendre autrement si tu veux rester en ma compagnie." Je préférai mettre les chose au claire, parce qu'au final il jouait plus ou moins le même jeux que les autre hommes de ce bar, il était simplement plus jeune et plus séduisant.
Même si je n'appréciais pas ses manières, genre je cache que j'ai envie de te mettre dans mon lit, parce que t'es bonne mais je fais genre je suis un gentil gars prés à sauver les jeunes filles en détresses au milieu de routier pervers, c'est bon quoi stop, s'était chiant. Mais oui j'avais envie de boire une bière avec lui parce que j'avais vus personne d'autre depuis prés d'une semaine, parlé à personne si ce n'est avec moi même et il faut dire que ça devenais terrifiant. Donc c'est vrai que j'étais tiraillé dans ma tête entre l'envoyer boulet pour de bon et de passer une soirée avec un mec qui ferai son lourd. Je mis donc de l'eau dans mon vin, espérant juste qu'il calme ses hardeurs, sinon on finira notre soirée chacun de notre côté. "Ca fait une semaine que j'ai parlé à personne et six mois que j'ai pas bus un verre avec un inconnu donc oui je reste parce que tu m'offre une bière." Il sera certainement blésé dans son orgueil mais tant pis pour lui il l'a cherché et je le vis assez rapidement, il essaya de le cacher bien sur mais c'est certain que je l'avais vexé, mais il changea rapidement de discours et ça me plaisait un peu plus. Il était prés à jouer avec moi et à me tenir en otage avec des verres, s'était sadique mais je préféré ça au compliment. Loin de me douter que mon abstinence d'alcool de prés de six mois me rendrai plus sensible que jamais aux effet pervers de l'alcool. J'avala une grande gorgée de bière un large sourire en coin. "J'préfère ça."