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Rosalinda Caitlyn Slader fiche; en cours - terminée C'est le 14 septembre 1990 à Wellington, Nouvelle-Zélande, que la famille Slader m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Rosalinda Caitlyn. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études en art visuels depuis 2 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Dunster. |
Études Elève assidue et sérieuse, j'ai toujours aimé apprendre et découvrir de nouvelles choses. J'entamerai donc ma 3ème année à Harvard à la rentrée prochaine en arts visuels. Pour quoi faire me direz vous? Et bien ma plus grande ambition depuis des années maintenant est de devenir réalisatrice de film. Oui je vise haut et alors? Il faut bien avoir des objectifs dans la vie. Je vis dans l'industrie du cinéma depuis toute petite, j'ai passé ma jeunesse sur des plateaux de tournages donc c'est tout naturellement que je me suis tournée dans cette branche. Ce que j'aime sur le campus c'est qu'Harvard soit cosmopolite, j'aime bien discuter un peu de tout avec les gens. Malgré ma timidité, j'essaye tout de même de m'intégrer du mieux que je peux sur le Campus même si en général je préfère rester en compagnie de mes proches amis ou bien filmer tout ce qui se passe autour de moi. Et oui la fille derrière sa caméra, qui vous épie, c'est bien moi. | Caractère Ma famille et mes proches ont toujours dit de moi que je suis un ange, une petite fille sage sans problèmes. Ils ont raisons effectivement mais exagèrent un peu tout de même, et je serais une vraie menteuse si je disais que je suis quelqu'un de parfait. Il faut tout d'abord savoirque je suis quelqu'un à fleur de peau, très sensible, je prend toujours tout au premier degré mais cela ne signifie pas que je suis une fille coincée pas du tout, je suis quelqu'un d'enjouée quand on me connaît voir même fofolle. Je n'aime pas être le centre d'attention alors quand je suis en présence d'inconnus, je peut parraître un peu effacée et potiche malheureusement et il faut donc être proche de moi pour savoir que j'aime m'amuser sans trop en abuser. D'ailleurs je ne bois pas, ne fume pas et ne me drogue pas. Naturelle, je ne suis pas du genre à passer 3 heures dans la salle de bain chaque matin. Pour moi il n'y a pas besoin de cela pour être belle, de plus je privilégie la beauté intérieur qu'extérieur. Du point de vue de l'amitié, on peut dire que je ne suis pas du genre à accorder ma confiance au premier venu cela dit je suis une amie fidèle. Côté travail, je suis un peu maniaque et j'adore quand tout est parfait, j'aime le travail bien fait (je tiens cela de mon père). Cependant je souffre d'un cruel manque de confiance en moi et je suis souvent envahi par le stress, ce qui fait que je me met à parler pour rien dire. Trop sensible, je fonds en larmes assez facilement, mais je n'en ai pas honte. Je dois avouer également que j'apprécie mon statut social et que je ne pourrais pas m'en passer: superficielle me diriez vous? Oui légèrement mais que voulez vous, j'ai toujours vécu dans ce monde. De plus je suis un brin commère, et j'adore les ragots! Ah et très mauvais point, je suis vraiment très timide et jamais je n'approcherai un garçon qui me plaît par peur d'être blessée. Imaginative et un peu parano sur les bords, je me fait souvent des films toutes seules mais bon pour ce que je souhaîte faire plus tard c'est plutôt une bonne chose en réalité. |
Everyone Has Their Own Story
Ma vie a commencé de la façon la plus banale qui soit à vrai dire, dans un hôpital de la charmante ville de Wellington, capitale de la Nouvelle-Zélande. Six personnes étaient là pour me souhaiter la bienvenue, ma mère Aliana et mon père Spencer bien évidemment mais également mes quatres frères aînées, Spencer Jr, Antonio et les jumeaux Nolan et William. Je vous laisse donc imaginer la joie de ma mère quand elle a vu que j’étais une petite fille. Mon père m’a toujours dit qu’elle avait fondu en larmes rien qu’en voyant mon sourire. En parlant de ma famille, je dois vous dire au passage que mon nom est connu dans l’industrie cinématographique. En effet ma mère d’origine mexicaine et une scénariste de talent et mon père néozélandais est un grand producteur de films. Vous vous en doutez, les deux se sont rencontrés sur le tournage d’un film mais je vous évite le bla bla que je connais par cœur à ce jour vu le nombre de fois où mes parents me l’ont rencontré. Bref revenons-en au sujet moi Rosalinda Caitlyn Slader surnommée Rose c’est moins lourd et plus moderne, avouons le. Durant toute ma jeunesse, j’ai vécu bercée d’amour, d’argent et de tout de ce qu’il faut voir même plus pour une jolie petite fille. Et je n’ai jamais cessé d’être surprotégée par mes grands frères qui me considéraient vraiment parfois comme un bébé et puis j’étais la petite dernière donc forcément. Qui plus est très jeune, on a dépisté chez moi une malformation au niveau des poumons, me causant ainsi de nombreux troubles respiratoires. Souffrant donc d’un asthme assez important, je suis privée de sport et ma fragilité effraie sans cesse mes grands frères qui soulèveraient monts et merveilles pour moi. Je ne me plains pas car j’ai beaucoup de chance d’avoir l’amour d’une famille car niveau amitié c’était plus compliqué. Mes parents à cause de leurs professions respectives étaient amenés à beaucoup voyages mais aussi à se séparer de temps en temps, mais jamais cela a eu un quelconque effet sur le couple à mon plus grand bonheur. Et donc dès mon plus jeune âge, j’ai du m’adapter à cette vie de nomade. Je n’avais guère le temps de me faire des amis que je partais déjà du pays. France, USA, Italie, Angleterre, Espagne, Australie, Brésil, Chine … je les ai tous fait, j’ai visité tous les continents à vrai dire et à 10 ans j’étais déjà polyglotte. J’ai passé la majorité de ma vie aux côtés de ma mère et de mes frères les plus jeunes, voyant un peu moins mon père, mais ça ne m’empêcher pas de l’aimer. Et quand je le voyais, j’adorais passer du temps avec lui sur ses plateaux de tournage. Le cinéma, j’ai ça dans l’âme, dans le sang et le statut social élevée qui va avec. Très vite j’ai été habitué à côtoyer du beau monde, des gens hauts placés, être invitée à des réceptions, fouler des tapis rouges. Et malgré le fait que je n’aime pas forcément le fait que l’attention soit portée sur moi, j’aime ces mondanités sans trop en abuser non plus car je sais exactement ce que cela fait d’être emporté dans un tourbillon infernal sans fin dont on n’arrive pas à s’en sortir. Alors que je ne n’avais que 15 ans, le plus grand de mes frères est tombé dans la drogue, l’alcool et tout un tas d’autres trucs qui vous pourrissent de l’intérieur. Lentement il s’est enfoncé, a changé quitte à devenir quelqu’un d’autre et tout cas à cause de la tentation tellement présente dans le monde du cinéma, ce monde où toute ma famille baigne depuis des années. Perdre un frère parce que je ne le reconnaissais plus m’a profondément meurtri ainsi que le reste de la famille. En parallèle de cela je continuais mes études. Malgré le fait que je change souvent d’établissement, mon niveau scolaire était bon voir même excellent, en même temps mes bouquins et ma caméra étaient devenus mes meilleurs amis vu que je n’avais pas vraiment d’amis à proprement parler. Je préférais ne pas m’attacher pour éviter de souffrir dès que je quittais un nouvel endroit. A la longue, je m’étais habitué à cette solitude et durant mon temps libre, je m’amusais à filmer tout et n’importe quoi. Etre derrière la caméra c’est ce que je préfère, assembler des minis films sur mon ordinateur. Voilà ce à quoi je pensais mon temps, j’étais comme déjà plongé dans mon avenir, celui de devenir une réalisatrice reconnue. Rester dans l’industrie du cinéma comme le reste des membres de ma famille.
Cependant mon avenir, j’ai failli ne jamais le vivre. Et ce fameux jour du 14 octobre 2008, alors que j’avais eu 18 ans il n’y a quelques semaines, j’ai failli perdre la vie dans l’enceinte du lycée où j’étudiais à l’époque à Vancouver. Un élève ayant décidé d’ouvrir sur le feu sur les élèves présent dans la bibliothèque ce jour là à 11h52 précise. Une balle était venue se loger dans mon bras droit alors que j’étais en train de me cacher à la seconde où j’avais entendu le coup de feu. Mais par rapport à d’autres personnes, j’étais plutôt chanceuse si l’on peut dire. J’ai vu des dizaines de mes camarades se faire abattre autour de moi avant que l’auteur de ce geste ne décide de retourner l’arme contre lui. En attendant l’aide venir, j’étais resté assise entre 2 rayons de la bibliothèque, toute tremblante alors que je me vidais de mon sang mais j’avais eu le réflexe de compresser ma blessure à l’aide de mon foulard. Je vous laisse imaginer l’horreur de mes parents et de mes frères en voyant ce qui m’était arrivé en me rejoignant à l’hôpital craignant le pire pour moi. J’avais été hospitalisée d’urgence pour qu’on retire cette balle dans mon bras. Qui plus est pendant mon petit séjour à l’hôpital, j’ai bien évidemment eu le droit à suivi psychologique, comme la logique le veut. Mais aussi surprenant que cela puisse paraître, cet épisode ne pas hanter des dizaines et des dizaines de jours. Evidemment j’ai profondément été choqué et je garde cela en moi comme une marque de mon passé mais je me dis que si Dieu a décidé que ce n’était pas mon heure alors la vie doit continuer. Et c’est exactement la chose que je fis. Un an plus tard je rejoignais Harvard, prenant ainsi mon indépendance. Ma mère a pleuré toute la journée où je fis mon entrée à l’université section Arts Visuels, à noter que je suivais là encore les traces de mon père. Durant ma première année, j’appris malheureusement que mon frère aîné était interné en centre de soins psychiatrique pour tentative de suicide. Sa descente aux enfers continuait donc et mes parents ont donc décidé que c’était la meilleure des solutions pour lui, cela dit ils ont fait cela en secret et étouffer l’affaire pour éviter que cette nouvelle se répandre comme une traînée de poudre dans la presse à scandale. Me concernant moi, je me suis plutôt bien intégré, malgré ma timidité maladive à l’encontre des garçons et que je reste surtout avec ma petite bande d’amis. Comme l’année dernière, j’avais passé l’été avec ma famille enfin surtout mon père en l’assistant sur un de ses tournages, j’ai décidé que cette année je participerai au Summer Camp avant ma rentrée en 3ème année.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Amantia ↬ ÂGE - 20 ans 1/2 (ouais j'ai un peu vieilli quand même) ↬ PAYS/RÉGIONS - Normandie le pays des meuh meuh ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - ↬ TES IMPRESSIONS - :7: ↬ CRÉDIT(S) - Aurélie & Tumblr ↬ AVATAR - Crystal Reed ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI ↬ LE MOT DE LA FIN - Je refais mon perso anciennement Yakira N. Mizrahi car je n'arrivais pas à avancer. |
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