Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAlors ca ne sera pas facile, ce sera même très dur, il va falloir faire des efforts chaque jour mais je suis prêt à les faire parce que je suis amoureuse de toi. Et je te veux chaque jour, près de moi. Toi et moi, pour toujours.
Le Deal du moment : -19%
PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
Voir le deal
1299 €


Alors ca ne sera pas facile, ce sera même très dur, il va falloir faire des efforts chaque jour mais je suis prêt à les faire parce que je suis amoureuse de toi. Et je te veux chaque jour, près de moi. Toi et moi, pour toujours.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’habitais depuis mon opération dans l’appartement de Leo, qu’est-ce que j’aimais me lever chaque matin et le voir. J’aimais ses baisers, son sourire matinal et l’observer pendant qu’il prenait son petit-déjeuner. J’aimais tout de lui, ses défauts et ses qualités et même sa manière de parler, bien plus qu’une évidence il était mon futur, le seul que je voulais à jamais. J’étais enfin prête, prête à tout lui dire, qu’importe sa réponse j’avais le coeur assez léger pour m’ouvrir complètement. Il était mon amour, mon petit Leo, l’homme de ma vie. Leo ? Je venais m’asseoir à côté de lui sur le canapé, les cheveux en bataille et l’air tranquille. Je n’étais plus paniquée, je n’avais pas peur bien au contraire, imaginer l’avenir à ses côtés me rendait plus sereine que jamais. Je déposais un baiser tendre sur ses lèvres, plongeant mon regard dans le sien en oubliant le naturel de mes actes. Tu sais je suis ici depuis un moment maintenant et je pense… je pense que tu dois savoir, tout. Je t’aime à la folie. Mais ça il le savait déjà, je me demandais même pourquoi je parlais, cela sonnait comme une évidence, mon comportement me trahissait depuis longtemps. Je pense que tu sais déjà, mais laisse moi t’expliquer et après tu diras quelque chose, de négatif ou positif, je comprendrais et je suis prête à accepter toutes tes décisions, d’accord ?

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il voulait prendre ça avec une détente qui lui ressemblait, mais ce n'était pas une chose à laquelle il s'habituait de l'avoir avec lui tous les jours. Et il voulait que ça continue ainsi, apprécier à sa juste valeur ce qu'ils avaient maintenant. Leo voulait laisser derrière eux les hôpitaux, les grands drames et les retournements de situations. Il aimait la voir au saut du lit, pas maquillée, pas lavée, pas habillée, il s'en foutait parce qu'elle était à lui, et il l'aimait. Halberstam avait appris à ses dépends, que ces petits trucs, il ne les avait pas assez appréciés jusque là. Alors il se laissait bercer. Il releva la tête, quittant ses occupations pour la regarder avec les mêmes yeux amoureux et admiratifs qui ne l'avaient certainement pas quittés depuis longtemps lorsqu'elle l'appela. Leo sourit en l'entendant, près à lui répondre qu'il l'aimait aussi, voyant là en l'apparition de Caly sur le canapé qu'elle réclamait un peu d'affection. Mais il n'eut pas le temps de placer un mot qu'elle continuait et il se redressa légèrement, il se tourna même franchement dans sa direction, voyant la discussion sérieuse arriver. Avant tout chose il trouva utile de préciser « Moi aussi je t'aime. » déclara-t-il au cas où elle n'était pas au courant, un sourire taquin aux lèvres. « Explique-moi alors je t'écoute. » dit-il simplement pour la laisser lui dire ce qu'elle avait sur le cœur, se demandant ce qu'elle pouvait bien cogiter dans son petit cerveau pour commencer à marchander avant qu'ils n'aient commencé.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'aimais son regard lorsqu'il se posait sur moi, l'entendre me dire « je t'aime » était la chose que je préférais au monde. Néanmoins, la conversation était devenue plus sérieuse et j'avais bien l'intention d'aller au bout de mon idée, parce que je n'étais pas du genre à faire les choses à moitié, encore moins aujourd'hui. Je venais de vivre une année à moitié, entre la vie à mort, je voulais vivre pleinement. Plus de demi-mesure, seulement mon amour pour Leo dans toute sa totalité et mon envie de vivre à ses côtés. L'émotion m'envahissait déjà et je soufflais. Leo… je t'aime, je t'aime pas seulement comme on aime quelqu'un comme ça. Tu m'as tout donné, tout redonné disons, tu m'as montré que c'était possible d'aimer vraiment, que je pouvais être fragile sans forcément me casser en mille morceaux, que c'était normal de s'ouvrir et que l'amour ne rendait pas faible ni esclave de quelque chose. Tu m'as montré que c'était normal d'avoir peur mais tu m'as aussi montré que je pouvais appréhender l'avenir avec sérénité. Et aujourd'hui cet avenir je veux le passer avec toi, pour toujours, je veux qu'on parte Leo, loin d'ici, qu'on commence quelque chose qui n'appartient qu'à nous deux. Je ne lâchais pas son regard, je lui demandais de tout quitter pour moi, ses études, ses amis, sa vie… d'une certaine manière je lui demandais de me choisir en oubliant tout le reste et je savais que c'était beaucoup demander. Mais j'en avais besoin, rester ici c'était continuer dans la demi-mesure, c'était continuer à me contenter d'une petite partie du monde lorsque je pouvais l'avoir tout entier avec l'homme dont j'étais amoureuse.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leo l'écoutait, les sourcils un peu froncés, toujours aussi peu confiant face aux conversations sérieuses. Elle semblait sérieuse, alors il était attentif, ne sachant d'abord pas trop ce qu'elle essayait de lui dire puis peu à peu il comprenait. Halberstam marquant un temps d'arrêt, c'était inattendu, ça bousculait tout. Pourtant ça ne l'effrayait pas. S'il faisait le bilan aujourd'hui, il avait un diplôme, un dernier examen à passer, une confrérie dont il ne connaissait pas la moitié des membres et où il se rendait plus par habitude que par intérêt, il avait ses amis certes, mais le loin d'ici dont parlait Caly devait être suffisamment proche pour ceux qui voudrait vraiment lui rendre visite. Ce qu'il avait ici c'était cinq ans de souvenirs, la plupart floutés par l'alcool, impliquant des filles dont il ne se souvenait pas le prénom. Il y avait toute une série de ratés qu'il avait enchaîné jusqu'à sa plus grande réussite. Ça pouvait être niaise, trop romantique, trop … trop, mais c'était la réalité des choses. Caly était sa plus grande réussite depuis qu'il avait posé ses valises à Harvard. Rien ne s'était auréolé de succès, ni ses études, ni ses amours, quant aux amis, il avait perdu contact avec nombre d'entre eux ces derniers mois, seuls les vrais étaient restés, Cody était parti, Orlane aussi, Wade était en train de fonder sa petite famille. Il soutenait toujours son regard et consentit finalement à donner sa réponse. « J'y ai pensé tu sais, à ce que je voulais plus tard. Ce que j'allais faire de mon joli diplôme, je me demandais même si j'allais garder cet appart et … Je suis pas un grand ambitieux, mais j'aimerai bien passer ma vie avec toi. Je dis pas ça dans le vent, c'est la vérité.  Tu es la femme de ma vie Caly, tu es mon grand amour, tu m'as changé ou non, c'est plutôt comme si tu m'avais révélé ce dont j'étais capable. Je pense que tu as déjà réfléchi à ce que ça impliquait de partir ? » demanda-t-il en cherchant son regard, s'il devait laisser des choses derrière lui, elle avait aussi des proches qui resteraient sur la touche. « Je t'aime et je sais aussi que je serai heureux où tu seras. Où tu veux qu'on aille construire notre truc rien qu'à tous les deux ? » Il lui sourit, attrapant doucement sa main, conscient de ce à quoi il s'engageait mais s'engager auprès d'elle n'avait jamais été quelque chose qui lui faisait peur.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je me livrais complètement comme j'avais l'habitude de le faire dernièrement, je ne voulais pas perdre une seule seconde à présent, j'avais peut-être toute la vie devant moi mais ça me semblait si court. C'était étrange, une année me semblait suffisante avant mon opération, à présent une vie me semblait être trop peu. Je voulais profiter de Leo, être avec lui, vivre des choses extraordinaires même si la simple petite action était toujours magnifique à ses côtés. J'étais niaise, folle amoureuse et pathétique mais qu'importe seul mon bonheur et son amour m'importaient. Je voyais en lui ce que je n'avais jamais eu la chance de voir, un réel avenir, une certitude sans failles. J'y avais cru avec Priape mais aujourd'hui je ne croyais pas, j'étais sûre, c'était lui et personne d'autre. Tout ce que j'avais vécu, tous mes malheurs, tous les passages difficiles m'avaient mené à lui. Je ne croyais pas au destin mais rien que tout ça me faisait douter de temps en temps. Sa réponse m'arrachait un sourire, parce qu'il était calme, il ne paniquait pas et il n'essayait pas de s'échapper. Il était prêt à s'engager comme moi j'étais prête à tout quitter pour vivre avec lui, rien que lui en oubliant tout le reste. Je devais penser à moi, être égoïste et j'étais prête à le faire. Je laissais derrière mes amis, une partie de ma famille mais ils pouvaient se débrouiller sans moi. Bien sûr que quelque part, ça me faisait tout étrange et bizarre de me dire que j'étais prête à partir et que j'allais le faire, mais j'étais une femme différente, je n'étais plus la même. Lorsque j'étais arrivée à Harvard j'étais détruite, perdue, une vraie gamine, aujourd'hui je me sentais femme et plus responsable, prête à prendre ses responsabilités. Ton grand amour, tu te rends compte à quel point tu es mignon dis-je avec un sourire en coin afin de le taquiner avant de l'embrasser tendrement. Mais tu es aussi mon grand amour, j'y croyais pas à tout ça et j'suis tombée sur toi, t'étais pas du tout l'homme que j'imaginais être l'homme de ma vie, tu étais bien mieux, tu es bien mieux, tu le seras toujours. J'ai pas peur de partir, j'ai pas peur de tout quitter tu sais, bien sûr j'ai conscience que c'est une grande étape mais je suis prête à tourner la page sur ma vie étudiante et je suis prête à m'éloigner de ma famille, de mes amis. Je suis arrivée à Harvard, je n'avais rien si ce n'est deux amis et un passé difficile, aujourd'hui je suis bien plus forte grâce à toi, tu es mon futur et mon présent, tu es la seule vie que je veux avoir. J'ai réfléchi, je sais ce que je fais. En fait, au fond, son naturel me déconcertait, c'était comme si ça coulait de source pour lui. Ça me rassurait en même temps, j'étais si fière de lui, tous les deux on avait changé depuis notre première rencontre mais de manière positive. On était peut-être pas les adultes les plus responsables du monde mais il y avait un côté adolescent qui s'était évaporé. Où tu veux, Los Angeles, New York, un ranch au Texas ou encore les palmiers de Hawaï, je suis prête à nous acheter une maison partout. J'étais riche et j'avais bien l'intention d'en profiter, c'était sur qu'il fallait pas compter sur Leo pour ce côté-là haha. Je t'aime, je t'aime je t'aime dis-je en nous imaginant partir, mon côté enfantin ressortait car j'étais excitée à l'idée de commencer quelque chose autre part, de faire quelque chose rien qu'avec lui.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Son bonheur était là, c'était Caly qui le rendait heureux, tout ce qu'il avait pu lui dire ces derniers mois avait été précipité par la peur qu'elle parte trop vite certes, mais ça n'enlevait rien à la sincérité qu'il y avait eu dans leurs échanges. Ce qu'ils avaient aujourd'hui, cette impression qu'il avait d'être parfaitement à sa place, d'aimer la bonne personne et d'en être aimé était tout ce qui lui importait maintenant. Il avait grandi, depuis cette première fois où elle l'avait embrassé, où pendant l'espace d'une après-midi elle avait capté son absolument toute son attention. Leur histoire n'impliquait aucun coup de foudre, aucune précipitation, quand il y a presque un an ils avaient officialisé leur relation, Leo s'étonnait déjà de l'importance qu'elle tenait dans sa vie, de la façon dont il s'était accroché à elle. Maintenant, il était prêt à franchir un autre cap avec elle. Il avait conscience qu'elle ne lui demandait pas un petit effort, un engagement dont il pourrait se défaire, ils étaient en train de faire de vrais plans d'avenir. C'était étrange de la part de Leo, lui qui six mois avant avait prolongé ses études par peur de se lancer dans la vraie vie, aujourd'hui il ne demandait que ça. Il regardait sa Thomspers quand elle parlait, s'imaginant déjà quelle magnifique maison avec piscine ils pourraient choisir. Il l'embrassa soudainement mélangeant sa bave à la sienne lorsqu'elle eut fini de lui dire qu'elle était prête, si elle l'était, il l'était aussi. « Je suis dans la merde Caly, je t'aime tellement. Je sais pas ce que je ferai sans toi, je veux que tu m'emmène partout où tu vas. Si tu es prête à partir, je veux qu'on parte. C'est triste à dire, mais je m'en fous de ma famille, de mes amis, si je t'ai pas toi. Je veux qu'on la construise ensemble notre famille, qu'on se trouve d'autres amis, ailleurs. Je suis pas nostalgique et je sais que je le regretterai pas non plus, la seule chose qui arrive à me manquer c'est toi. Je sais que j'ai pas été exemplaire Caly et tout ce que tu me dis là … Je veux juste t'offrir ce que tu n'as pas eu avant, même mieux encore. New York c'est pas assez loin, on devrait partir au soleil, ça me donnerait l'occasion de peut-être te voir bronzée un jour. » dit-il avec un sourire, il n'y croyait pas trop mais l'espoir ça existe. « Alors on récupère ce qu'on doit récupérer, on fait nos valises et on part le plus vite possible. » Il n'avait pas de regret, il n'avait laissé aucune place à l'hésitation, il écoutait simplement son cœur, ce qu'il ressentait. Il ne s'était même pas imaginé lui qu'un jour il ressentirait ça, qu'il avait accompli quelque chose de bien, qu'il était à sa place. Elle était sa maison, elle était son point d'attache, son pilier, elle lui donnait envie d'avancer, de grandir, de prouver ce dont il était capable, il n'avait pas peur de prendre ses responsabilités en main, tout lui semblait si naturel et si parfait avec elle. Il voulait que ça dure toute sa vie, en acceptant de partir avec elle, il leur donnait une vie entière à s'aimer. Il l'embrassa de nouveau en se disant qu'il voulait toujours plus de ça, d'eux, de la symbiose qu'il y avait entre eux, de l'embrasser, de la désirer chaque jour, de la voir le matin, de sentir sa présence en permanence autour de lui. Il n'étouffait pas, elle l'aidait à mieux respirer. Il se sentait libre à ses côtés. Son regard se fit lointain, il se gratta le crâne avec un petit air gêné avant de commencer un peu hésitant. « Je voudrais te demander quelque chose mais je veux pas que tu paniques, surtout pas. Je veux que tu me répondes honnêtement et si ça te dérange, on oublie. » Il la regarda lui-même peu assuré parce qu'il voulait lui annoncer.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais du mal à réaliser ses paroles, c'était le plus beau cadeau du monde, je ne pouvais pas rêver mieux. Il disait exactement ce que je voulais entendre, il était ce que je voulais et c'était même encore mieux, tout ça, notre bonheur à deux. C'était presque irréel, même si j'étais passée à côté de la mort et que je n'avais pas vraiment connu le bonheur avant aujourd'hui, je n'arrivais pas à réaliser que ça me tombait dessus comme ça. Bien évidemment ce n'était pas nouveau, on ne se précipitait pas, on s'aimait depuis longtemps à présent, on avait laissé le temps faire les choses et c'était mieux comme ça. J'avais tellement attendu que je savais que j'étais prête, cela faisait un moment que je l'étais en fait mais aujourd'hui c'était une décision réfléchie, elle avait eu le temps de mûrir en nous. Je décidais donc de me fixer sur Los Angeles, j'aimais cette ville, l'ambiance, le beau temps. Cela ajoutait une énième note magique à l'aventure que j'étais prête à entamer avec Leo, c'était étrange, il y avait une certaine dualité dans la situation. Je ne réalisais pas complètement et en même temps cela me semblait être normal comme la suite logique des choses. Parce que je ne me voyais pas rester éternellement à Harvard mais aussi parce que d'un autre côté je ne me voyais pas ne pas rester avec Leo. Il n'avait pas besoin de m'offrir quelque chose, c'était déjà fait, mon dieu ce que j'étais niaise mais mon dieu ce que j'étais bien et heureuse. Ça c'est sûr tu es dans la merde parce que si tu penses que je vais te laisser filer un jour, tu te trompes. Plus jamais je veux que tu me quittes, tu vas rester avec moi jusqu'à ce que tu portes un dentier et même encore après, sinon je serais dans l'obligation de te tuer dis-je avec un air mesquin avant de l'embrasser. Je vais regarder les maisons à vendre sur Los Angeles alors et j'vais faire attention à ce qu'il y est une piscine histoire de te montrer que ma peau est capable de changer de couleur sans passer par le rouge. Je suis tellement heureuse que tu réagisses comme ça tu sais… merci pour tout Leo, merci d'être toi, merci d'être comme ça avec moi et j'ai pas été exemplaire non plus, j'suis consciente que j'ai un mauvais caractère, que tu en as vu de toutes les couleurs avec moi… alors merci de m'aimer et de m'accepter comme je suis. J'aime tout de toi, même tes défauts, même les choses qui m'énervent, je les aime, je veux plus jamais te savoir loin de moi d'accord ? J'étais en train de radoter mais j'avais besoin qu'il comprenne tout ce que je pensais, je voulais qu'il assimile l'amour que je lui portais, il n'y avait plus de place pour personne, seulement lui. Je ne pensais même pas aux préparatifs du déménagement, je n'avais pas grand-chose puisque la maison était une collocation, j'allais tout laisser aux autres et mon appartement je comptais tout simplement le louer meublé. Je ne portais pas une vie derrière moi, tout rentrait dans deux ou trois valises. Puis, ce qu'il me disait m'effrayait un peu. Je fronçais les sourcils, le regard interrogateur, j'avais peur. Sur le coup, je me demandais s'il n'avait pas des remords, s'il voulait quand même prendre un peu son temps ou emporter quelqu'un avec nous, moi je ne voulais personne, je voulais laisser tout ici. Néanmoins, j'étais prête à l'écouter parce que j'étais prête à considérer toutes ses demandes, il venait d'accepter de partir avec moi, c'était le plus beau cadeau qu'il pouvait me faire. D'accord, promis. Qu'est-ce qu'il y a ? Pour une fois que je disais d'accord aussi facilement.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Peut-être qu'il devrait se boucher les oreilles, il n'avait pas besoin d'entendre tout ça, ce qu'elle lui disait, il avait l'impression de le lire dans les traits de son visage, dans la manière dont elle lui souriait, il le voyait dans leurs petits gestes quotidiens. Il n'en avait pas besoin mais il aimait l'entendre. Il aimait lui dire aussi, il n'avait pas peur de se répéter, elle méritait ces mots, elle méritait qu'il se dévoue tout entier à elle. Partir avec Caly semblait être des sortes de vacances éternelles, mais en même temps il savait aussi que c'était quelque chose de sérieux, d'important qu'ils ne prendraient pas à la légère. Leo voulait réussir ce quelque chose que sa Thomspers l'emmenait faire. Ça devait être à la hauteur de l'amour qu'il lui portait, de ce qu'elle ressentait à son égard aussi. Ce n'était même pas une histoire de fuir les tentations, de se couper du monde pour se retrouver qu'entre eux, il savait qu'il ne fauterait pas, que peu importe l'endroit où ils vivraient, les problèmes qu'ils rencontreraient, il ne la laisserait plus partir non plus, qu'elle continuerait d'être la personne qui comptait le plus à ses yeux. Il n'aurait pas l'occasion d'aimer comme ça deux fois dans sa vie, c'était trop inattendu que ça lui arrive à lui, qu'elle soit arrivée à l'avoir complètement pour qu'il arrive un jour à ne plus vouloir d'elle. Ils allaient s'engueuler, sûrement, ça ne serait pas agréable, mais plus jamais il ne voulait revivre une rupture avec elle, c'était inconcevable. « Tu crois que tu me supporteras jusque là ? » demanda-t-il avec un sourire avant de continuer plus sérieusement. « Si un jour on devait s'éloigner, je veux qu'on retombe amoureux d'accord ? Si on se supporte plus, que tu es invivable et que tu as envie de me tuer, je veux que tu me refasses le coup de la piscine et que tu me rappelles qui tu es pour moi Caly. » C'était plus qu'une façon de se remémorer un moment, il n'était pas tombé amoureux d'elle en claquant des doigts mais elle savait comment faire pour l'avoir. Il l'embrassa suite à ses paroles, heureux comme il ne l'avait jamais été auparavant – heureux comme un pape dirait une certaine personne. « Je peux plus être loin de toi, je veux plus l'être. Ce qu'il s'est passé ces derniers mois, ça doit plus se reproduire, je veux plus passer autant de temps sans toi, je veux plus avoir personne d'autre que toi Caly, pour toujours. Si tu savais à quel point tes défauts sont faciles à accepter, tu es belle, tu es bourrée de qualités que tu ne vois même pas. Tu sais tu es la seule personne qui  puisse me faire du mal mais tu es la seule qui puisse me rendre heureux, alors je prends tout, je veux tout de toi Thomspers. » Il pourrait vivre dans un mouchoir de poche avec elle, ça n'avait pas d'importance. Leo imaginait maintenant son avenir comme une chose lumineuse, qui lui donnait envie. Il n'avait plus peur, ils n'avaient pas à compter les jours, ils n'avaient pas à faire la liste de ce qu'elle devait faire en 365 jours, ils avaient soixante ans au moins devant eux, il n'aurait pas à l'oublier, elle serait là jusqu'au bout Caly. Il lui sourit en l'embrassant doucement pour la rassurer même s'il ne savait pas lui-même quelle idée lui passait par la tête. « J'aimerai bien qu'on se marie, tous les deux. » commença-t-il doucement, sans précipitation. On dirait peut-être pas comme ça mais il en avait envie – et Lisa voulait être là pour voir ça c'est tout, c'est encore elle qui décide jusqu'à la fin du rp. « Alors oui, peut-être, on a pas besoin de ça pour se prouver qu'on s'aime, qu'on a envie de passer le reste de nos jours ensemble, et j'ai même pas de bague à t'offrir parce que je savais pas que je le ferai avant maintenant, et c'est un truc conventionnel que les gens amoureux font quand ils s'aiment, et on est des gens amoureux et j'aimerai faire ce truc conventionnel où j'aurais un anneau au doigt pour montrer à tout le monde que j'appartiens à quelqu'un que j'aime et si tu veux pas on oublie, mais je veux savoir si tu en as envie aussi, tu comprends ? » Il ne se vexerait pas en cas de refus, c'était vrai, ils n'avaient vitalement pas besoin de ça, mais il en avait envie, comme ils avaient parlé de la maison, comme ils parleraient du chien, de qui doit sortir les poubelles et des autres choses de la vie, mais maintenant c'était ce qu'il avait envie de lui demander.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'était fou mais je voyais les choses de la même manière, c'était mignon, tendre et c'était ce que je voulais aujourd'hui. Je voulais l'aimer et relever tous les obstacles, même les plus compliqués car notre amour était bien plus fort. Avant je pensais que toutes ces histoires autour de l'amour n'étaient que des mensonges mais aujourd'hui j'en comprenais toute la signification. C'était bel et bien réel, aujourd'hui j'étais prête à tout pour lui, même à donner ma vie pour la sienne car je ne me voyais plus vivre dans un monde sans Leo Halberstam. Alors, oui, si un jour la situation devenait délicate entre nous, je ne baisserais pas les bras bien au contraire, j'étais prête à me battre corps et âme car il l'était l'amour de ma vie. Je voulais construire une famille avec lui, acheter une maison, adopter un chat et avoir des enfants. Je voulais tout, pas juste un peu mais une vie entière de bonheur mais surtout d'amour. Tu crois vraiment que je voulais une maison avec piscine que pour bronzer ? dis-je avant de retrouver ses lèvres qui étaient un peu les miennes aussi aujourd'hui. On va toujours retomber amoureux parce qu'au fond l'amour sera toujours là, ça ne peut pas s'effacer ni s'oublier, Leo Halberstam tu es dans mon coeur et tu y es pour toujours, alors oui même si j'ai envie de te tuer, même si je te trouve insupportable je sais que je serais de nouveau amoureuse de toi, regarde au début je te détestais et aujourd'hui je t'aime plus que tout, tu crois pas que c'est un signe ? Je souriais, je voulais le rassurer, il ne devait pas avoir peur, parce qu'il était plus important que tout le reste. En guise de réponse à ses dernières paroles je m'approchais de lui afin de profiter de sa bave, parce qu'en plus d'être la meilleure du monde, elle était celle dont j'avais besoin mais surtout elle était à moi pour toute la vie. Aucune fille n'aurait l'honneur de goûter à celle-ci, c'était terminé, capich les meufs ? Puis, je manquais de tomber du canapé. Genre, vraiment. Je l'écoutais, les yeux écarquillés parce que bien évidemment je n'étais pas prête pour une telle proposition. Je ne quittais pas son regard, je ne bougeais plus en fait, j'étais devenue une statue mais je continuais à l'écouter. C'était… beau. C'était si inattendu mais la peur ne m'envahissait pas, c'était ma première demande en mariage, il n'y avait peut-être pas de bague mais je ne demandais pas le dernier étage de la tour eiffel avec un dîner cinq étoiles, je demandais juste l'amour de ma vie et il était sous mes yeux. J'étais émotive et malgré ma capacité habituelle à cacher mes émotions - outre la colère et l'énervement - je ne pouvais m'empêcher d'être émue et les larmes me montaient. Leo Halberstam venait de me demander en mariage, d'une pas très formelle certes, mais il venait quand même de le faire. Moi aussi je le voulais cet anneau, je voulais montrer au monde entier qu'il était à moi mais pas que, ce n'était pas qu'une question de propriété mais c'était question d'une union. Ce n'était pas qu'un bref amour, c'était bien réel et je n'étais plus l'étudiante que j'avais l'habitude d'être. C'était une responsabilité que j'étais prête à prendre qu'importe les conséquences puisque j'étais persuadée au fond que notre amour allait durer toute la vie. Je m'approchais de lui, emprisonnant son visage dans mes mains pendant qu'une ou deux larmes coulaient le long de ma joue. Oui dis-je simplement avant de l'embrasser avec fougue, la fougue du « oui » celle que je n'allais ressentir qu'une seule fois dans ma vie puisque je n'avais pas l'intention d'épouser un autre homme. C'était lui et rien d'autre, c'était unique et je marquais ma vie d'un nouveau moment inoubliable, sûrement le plus important. J'avais tellement eu l'habitude d'être seule, sans famille, j'avais une carapace et j'étais en train de la perdre avec Leo ou plutôt on en construisait une à deux, notre petit nid à nous et ce mariage était au fond une évidence. Loin d'être une banalité il était une finalité parfaite à l'image de notre couple. Je n'étais pas prétentieuse et mon objectivité n'était sûrement pas la meilleure, mais je savais qu'on était les meilleurs, on était plus forts que tout, plus fort que le reste du monde. J'étais prête à devenir Calypso Halberstam, j'étais prête à rompre avec mon ancienne vie pour faire la mienne, celle qui allait m'appartenir. Oui Leo, j'en ai envie, je veux t'épouser, je veux être avec toi toute ma vie, je ne veux pas une grande cérémonie je n'ai pas besoin de ça, ni d'une bague parce que tu es largement suffisant. Marions-nous, vite. Tu sais… tu vas peut-être trouver ça ridicule mais j’ai l’impression d’avoir attendu ce moment toute ma vie, ce moment de bonheur, je t’aime tellement.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il ne se laissait pas impressionner par les événements qui allaient arriver, il avait arrêter de craindre, de vouloir un retour en arrière, Leo avait arrêté d'essayer de redevenir celui qu'il avait pu être. Il avait essayé pendant un moment, mais c'était peine perdue, il devait aller de l'avant. Et maintenant, avec Caly auprès de lui, il était prêt à le faire. Elle parlait souvent de ce qu'il lui avait apporté, mais elle en avait fait tout autant avec lui. Il riait, ils se souriaient avec légèreté, ils étaient heureux, ça se sentait, ils n'avaient plus rien à craindre, ils se faisaient confiance, ils s'aimaient, ils étaient prêts à partir, des milliers de projets dans la tête. Leo retrouvait sa Caly, celle qui s'était perdue à travers sa tumeur. Il la voyait maintenant quand elle jouait avec lui comme ça, qu'elle ne semblait pas prête en se briser en mille morceaux lorsqu'elle lui parlait. Elle n'était pas tout à fait réparée sa Thomspers mais ils allaient faire ce qu'ils pouvaient, il voulait continuer de la voir sourire. « Je vois pas pourquoi tu aurais besoin d'une piscine pour autre chose. » lui répondit-il innocemment comme si de rien était. Il l'écoutait parler un peu moins concentré maintenant, louchant sur ses lèvres avant de prendre un air modeste. « Tu me détestais mais je savais déjà à l'époque que tu pourrais pas t'empêcher de m'aimer, du coup je te pardonnais tu sais. » Leurs baves se mélangeaient toujours aussi bien, et il se disait simplement que ce serait ça son quotidien toute sa vie. Caly sur son canapé, dans son lit, en train de faire une tentative de cuisine, elle était sans doute la plus belle chose qu'il puisse avoir, ça ne pouvait pas exister mieux. Enfin Leo s'était lancé, pris d'une envie, d'une prise de conscience aussi, comme si ça lui avait sauté aux yeux au milieu de cette conversation. Ce n'était pas un sujet qu'ils avaient déjà abordé et il avait craint un instant que ça lui paraisse précipité, qu'elle ne veuille tout simplement pas se lancer dans ça maintenant. Elle ne bougea pas pendant un instant et il avait presque envie de retirer ce qu'il venait de dire. Mais elle se remit à bouger et elle acceptait sa proposition. Un large sourire aux lèvres, il ferma les yeux pour l'embrasser longuement, pour une fois, il laissa les larmes de Caly couler. Il les aimait celles-là, il était heureux de les provoquer celles-ci, même fier. Il l'écouta sans parler, il n'avait plus besoin de le faire, il se sentait entier, complet, il n'avait plus rien d'autre à attendre de la vie. Rien de mieux et de plus merveilleux ne pouvait lui arriver que ce moment. Ce n'était même pas la demande, c'était tout, le bonheur dont Caly lui faisait part, leur mariage à portée de main, leur départ. Ils avaient tellement eu de mal à se retrouver, elle avait eu tant à surmonter, ils avaient le droit d'être heureux, ils en avaient le devoir. Halberstam l'embrassait sans relâche avant d'appuyer simplement son front contre le sien, caressant avec délicatesse ses joues. « J'ai envie qu'on soit ridicules ensemble, toute notre vie, j'ai pas peur de l'être Caly, j'ai passé tellement de temps à m'efforcer d'être un parfait idiot avec toi que je vais te dire que je t'aime et que tu es l'amour de ma vie continuellement. » Ils ne seraient plus qu'une seule entité, bien sur il y avait le juridique, tout ça, mais c'était bien plus significatif à ses yeux. Des années avant, il s'était précipité dans les bras de la première venue maintenant il savait parfaitement l'erreur qu'il avait fait à l'époque. Parce que ce qu'il ressentait à cet instant, son amour pour Thomspers, la joie qu'elle ait accepté, le bonheur d'envisager sa vie entière à ses côtés, il n'avait jamais rien eu de pareil auparavant. « J'ai l'impression que tout a été fait pour me mener ici, comme si c'était quelque chose auquel je peux pas échapper, comme si je suis né pour cette raison. Pour qu'un jour je t'aime. » Son appartement d'étudiant bordélique résonnait pour l'une de ses dernières fois de l'amour qu'ils se portaient, comme s'il était devenu trop grand pour ce que Leo et Caly étaient destinés à faire de leur vie, sans le s, sans pluriel, ils n'avaient plus qu'une seule et même vie à partager.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)