i'm an angry birds (hippolyte)

i'm an angry birds

feat. N. Hippolyte Dunford

Combien de fois est-ce que j'ai eue droit à cette multitudes de regards. Leurs cellulaires à la main en disait milles mots. Encore Cambridge's Secrets qui en faisait tout un émoi. Prenant donc le mien dans mes mains, je lu les commentaires jusqu'à tomber sur celui de Hippolyte. Encore cette garce qui faisait une scène par rapport à la relation que j'entretenais avec Tate. Depuis que je la connaissais, nous n'avions jamais eut une très bonne relation. Elle m'avait mis tellement d'idées en tête face à mon ex que c'est un peu de sa faute si tout c'était terminé. Serrant doucement les dents, je marchais à travers la foule afin de trouver cette tête blonde qui n'était pas très bien difficile à voir. À part Alexys, je pense que c'est l'Eliot qui avait fait le plus de tord à ma vie et surtout avec cette dépendance face à l'alcool ou à la drogue. Ça avait été quand même difficile de m'y sortir et Tate avait beaucoup jouer en ma faveur. Poussant presque les gens sur mon passage, je la reconnu non loin, en train de draguer les hommes qui étaient autour d'elle. Roulant les yeux, je marchais d'un pas décidé en sa direction et de glisser ma main sur son bras. À voir son regard qui voulait tout dire, je la fis reculer de cette bande avant de lui montrer ses messages. « Tu veux bien me dire c'est quoi ton problème ? » Sans de bonsoir, comment ça va. Rien. Je n'avais pas envie de rigoler après qu'elle essai de tout compromettre dans ma relation avec Tate. J'avais mon petit doigt qu'elle manigançait déjà quelque chose dans mon dos.

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Ma soirée se passe tranquillement, sans grand encombre mis à part la minime dispute avec ces connards de Mather, je me tenais au milieu de la foule aux côtés de Misha et Tate, faisant face à Alexys durant ce court échange. Qu'est ce qu'ils peuvent être misérables, je les regardais avec mépris les uns après les autres, il ne m'inspirait que ça, du mépris pour cette race, oui je pèse mes mots, une race. Ma coupe de champagne toujours en main j'en sirote une dernière gorgée mais, je sépare ma bouche du verre trop vite quand une main vient se poser sur mon bras. Je fronce les sourcils, posant le regard sur.. Sur cette chère et pathétique Willow. Je repose alors mon breuvage sur le comptoir avant de la suivre nous éloignant de tout ce petit monde. Elle était bien culottée, se pointer, m'arracher à mes occupations pour en plus me demander des comptes. Je lève les yeux au ciel en soupirant, puis mon regard termine par se poser sur cette créature fragile qu'elle était, j'affiche un mince sourire en croisant les bras sur ma poitrine quand elle me tend son téléphone pour me montrer la réponse face au tweet de CS. J'arque un sourcil tout en redressant, et ? Qu'est ce qu'elle voulait que j'en fasse ? Je ne m'en cachais pas et si il le fallait j'allais lui répéter en face ce que je pouvais bien penser. - Moi ? Je joue à rien du tout. Et toi alors ? Peux-tu nous expliquer pourquoi revenir à Harvard ? Vouloir reconquérir Tate à tout prix alors que tu l'as si lâchement abandonné pour aller te faire soigner ! Lui répondis-je alors en haussant légèrement la voix. - Je ne sais même pas pourquoi tu fais partie des nôtres, ta place est avec eux là-bas.. Je reprends alors en désignant de mon index la bande d'alcooliques Mather juste derrière nous. - Vous avez une passion commune si je me souviens bien.. Je fais mine de réfléchir quelques secondes avant de rebondir. - La drogue. Je lâche alors un rire moqueur en sa direction. Elle n'avait pas l'étoffe d'une Eliot et encore moi l'étoffe pour être avec Tate. - Tu es pathétique Willow et je ne m'en cache pas pour le dire haut et fort, tu aurais dû rester dans ton trou à rat, c'est là-bas qu'est ta place. Ma voix se fait plus agressive et imposante, la regardant d'un œil noir. Je n'appréciais pas le fait qu'elle revienne comme une fleure et se mette à la conquête de ce chère Tate comme si de rien était.

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feat. N. Hippolyte Dunford

Lorsque mon regard vit Hippolyte, je me suis approchée d'elle d'un pas sur. De quoi elle se mêlait en écrivant ce genre de message sur le Twitter de CS ? Je crois que c'est parce qu'elle a toujours été jalouse de ce qui se passait entre moi et Tate. J'avais osé avouer mes sentiments envers mon ex et disons-le, je ne pouvais plus me cacher maintenant. Tous le monde était au courant de mon discours et j'étais presque sûre qu'il y avait pas mal de gens qui nous avaient filmés pour preuve. Posant ma main sur son bras pour la faire reculer plus loin, je serrais les dents tellement l'envie me prenais de lui donner une gifle digne de ce nom. « Moi ? Je joue à rien du tout. Et toi alors ? Peux-tu nous expliquer pourquoi revenir à Harvard ? Vouloir reconquérir Tate à tout prix alors que tu l'as si lâchement abandonné pour aller te faire soigner ! » Je fronçais le regard. [color=#bd93a5]« Tu sais absolument rien de ma vie alors mêles-toi de tes affaires. La seule raison qui m'a poussée à revenir ? Pour te faire chier ! » J'avais dit cela sur un coup de tête mais je savais que ce n'est pas la raison. Hippolyte et moi-même ne nous étions jamais entendus sur rien et ce n'est pas aujourd'hui que ça allait changer. « Je ne sais même pas pourquoi tu fais partie des nôtres, ta place est avec eux là-bas.. » Elle me pointait les Mather non loin de là. Je serrais mes poings légèrement. Si ça n'était que de moi, je crois qu'elle le mériterais mais ça ne me ressemble en aucun cas. « Il faut bien quelqu'un dans cette maison pour te tenir tête. Sinon qui le fera ? Personne je crois. Je n'ai en aucun cas peur de ce que tu dis. » J'avais entendu que certains craignaient la blondinette en face de moi mais qu'est-ce que ça peut faire de plus ? J'ai un fort caractère maintenant pour lui montrer que je suis forte. « Tu es pathétique Willow et je ne m'en cache pas pour le dire haut et fort, tu aurais dû rester dans ton trou à rat, c'est là-bas qu'est ta place. » Sa voix portait de plus en plus et ce fut à mon tour de rire d'elle. « Moi ? Pathétique ? Même avec ce que je lui ai causé ou qu'il m'ait trompé avec Phoenix. Il allait me passer la bague au doigt... Attend... Je suis la seule entre toi et moi à qui il l'aurait fait. »

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Je lui ris au nez quand je l'entends parler, c'était bien le langage des faibles ça.. Revenir pour me faire chier ?! Malheureusement pour elle, elle est loin de réussir, elle n'est qu'une personne de plus à rayer sur blacklist avant de l'envoyer en dépression pour une deuxième fois. Elle était bien sûre d'elle la pauvre, je pense qu'elle n'a pas encore tout pigé, c'est mon royaume ici, elle n'est qu'un misérable moustique un peu trop encombrant. - J'en sais assez pour savoir que ta place n'est pas chez les bleus ! Et pour ta gouverne je suis flatté, honoré de savoir que tu m'admires tant que ça pour revenir ici juste pour moi. Dis-je avec un large sourire en parlant de manière arrogante comme à mon habitude et, d'autant plus quand je suis avec face d'elle. Je secoue la tête avec un air faussement désolé, posant ma main sur son épaule comme pour signe de compassion envers sa motivation. Cela me faisait bien rire, que pensait-elle au juste ? Qu'elle allait revenir en un claquement de doigt et venir marcher sur MES plates bandes ? Elle peut aller se rhabiller rapidement, elle ne fait et fera jamais le poids. - Que tu es mignonne ! Vraiment, j'aime ta motivation et ta naïveté ridicule mais très mignon, vraiment. Je te souhaite bonne chance alors, tu en auras besoin parce que personne ne me tient tête ici. Sache-le. Je retire alors immédiatement ma main de son épaule, comme si celle-ci me brûlé la main, mon visage reprend alors son sérieux, des plus hargneux, des plus coriaces qu'elle ont tentés de me mettre out et personne n'a réussi alors, fais tes prières, peut-être qu'avec l'aide de dieu elle y arrivera qui sait. Je me racle légèrement la gorge en entendant la fin de son baratin futile, décidément elle avait le sens de l'humour ce soir la petite Willow. J'hoche alors la tête comme pour approuver ses dires. - Probablement, oui mais, à l'époque Tate n'était que le fils des amis de mes parents rien de bien intéressant, aujourd'hui ça a changé, d'ailleurs avant le bal il m'a embrassé, j'ai passé un excellent moment dans sa chambre vois-tu.. Je marque une pause, humidifiant mes lèvres légèrement, gardant toujours ce même ton sarcastique qu'au début de mon récit. - Il "allait" te passer la bague au doigt, est-ce que cela s'est fait ? Humm, laisse moi voir.. Je prends alors sa main dans la mienne pour preuve. - Pas de bague en vue. Je relâchais alors sa main vulgairement en tordant la bouche. Je me rapproche alors d'elle en faisant un pas en avant. - Par contre j'ai une bonne question.. A l'heure d'aujourd'hui, si tu demandais à Tate laquelle d'entre nous il épouserait serais-tu aussi certaine de son choix qu'à "l'époque" où tu ne savais déjà pas tenir ton mec. Elle pensait quoi ? Elle était la preuve vivante qu'une femme comme Athéna ne tiendrait pas le coup et, qu'une fille comme elle n'irait jamais très loin avec Tate. Il s'en est passé des choses durant son absence..

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Ce n'était pas vrai puisque la vraie raison c'est que je voulais ravoir Tate pour moi seule mais lorsque j'ai sut que Hippolyte était sur mon chemin je crois que je l'avais mal pris. Comment allais-je m'en sortir ? C'était pire que Alexys et j'en étais bien consciente. Mon voyage en Italie m'avait changer dans le bon sens et c'est pour cela que aujourd'hui mon caractère signifiait beaucoup pour moi. J'avais besoin de prouver à la blondinette que je ne suis pas la petite fille qu'elle avait connue lorsque j'ai connu Tate. Non, j'étais maintenant une femme forte qui n'hésitais pas à dire ce qu'elle pense à tous les jours. « J'en sais assez pour savoir que ta place n'est pas chez les bleus ! Et pour ta gouverne je suis flatté, honoré de savoir que tu m'admires tant que ça pour revenir ici juste pour moi. » Je croisais mes bras contre ma poitrine en lui faisant toujours face. « Il y a beaucoup mieux à admirer que toi. » Lorsque sa main venait à se déposer sur mon épaule, je lui fis un regard qui voulait tout dire. Il était hors de question que Hippolyte ait de l'avance sur moi. Combien de fois nous avions eut ce genre de discussion toutes les deux et ça n'en finissait toujours pas. J'avais seulement l'impression que nous avions décidées de prendre une chemin tout à fait différent mais pas envers Tate. Sa jalousie pouvait se voir à des kilomètres à la ronde.« Que tu es mignonne ! Vraiment, j'aime ta motivation et ta naïveté ridicule mais très mignon, vraiment. Je te souhaite bonne chance alors, tu en auras besoin parce que personne ne me tient tête ici. Sache-le. » Je croisais son regard afin de ne pas sourciller ni rien. « C'est vrai ? Saches que je ne suis pas prête à te laisser m'atteindre, de quelques façons qui soit. » Je sais que la demoiselle était prête à tout faire pour me faire du mal ou de me détruire mais elle n'allait pas y arriver si facilement. Malheureusement pour la Eliot, celle-ci venait de parler de Tate comme si il était un simple morceau de viande. Est-ce qu'elle voulait vraiment jouer à ça ? Bon très bien. « Il "allait" te passer la bague au doigt, est-ce que cela s'est fait ? Humm, laisse moi voir.. » Lorsque sa main pris la mienne, je la retirait aussi rapidement. Si elle allait me faire mal avec ce genre de phrases, elle se trompait. La laissant s'approcher de moi, je poussais un rire sarcastique avant de reprendre le fil de la conversation. « Dis-moi Hippolyte. Où se trouve ton cavalier ? Certainement en train de draguer toutes les filles de la soirée. Il doit sans doute faire la même chose qu'avec moi. En tout cas, tu as trouvé un bon coup si tu as l'intention de couchée avec lui. » Je m'approchais d'un pas de plus d'elle afin de poursuivre. « Au nombre de fois que j'ai couchée avec lui, je dois t'assurer que tu as trouvé l'homme idéal pour ça. »

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- Hum, oui c'est ce qu'on dit, il n'empêche que tu as dis de ta bouche que tu revenais spécialement pour moi. Elle ne savait vraiment plus comment s'en sortir, elle en perdait presque ses moyens malgré ce qu'elle peut montrer mais, tout cela devient très vite ennuyant à mon goût vu le taux de répondant inexistant qu'elle peut avoir. Je roule une nouvelle fois des yeux lui montrant mon désintéressement total de ce qu'elle peut bien me dire sur le moment, je la trouve tellement.. Niaise, que j'en ai presque pitié, elle n'avait pas besoin de moi pour se casser la figure en réalité, elle le faisait très bien toute seule, il n'y a qu'à voir le poste de CS sur Twitter. J'hausse les épaules vulgairement en écoutant que d'un oreille ses multiples futilités. - Tant mieux pour toi alors et, sinon à part ça tu veux me dire autre chose ? Me déclarer une deuxième fois ton admiration à mon égard ou peut-être un autographe ? Dit moi tout. Parce que très clairement, je n'avais pas de temps à perdre avec cette fille-là, je n'avais même pas de temps à perdre tout court. Elle se rebelle en parlant de mon chère et tendre cavalier qui apparemment continue de passer son bout de banane un peu chez toutes les filles d'Harvard et, Willow s'en vantait presque, je pouffe alors un rire, je rigole même aux éclats. - Et alors ? Tu penses que tu es une prévilégiée ? Redescend sur terre chérie, tu n'es qu'une femme parmi tant d'autres, pour pas dire tout Harvard.. Moi, au moins je n'ai jamais était dans son lit malgré que je sais qu'il en rêve.. Voilà différence entre toi et moi, on prend on jette, moi on me garde. Je relève les sourcils en roulant des yeux, exaspérante, elle pensait que c'était une médaille ? - Mais mise à part ça, il m'a déjà parlé de toi et de ta médiocrité dans le domaine, tu n'es donc qu'une menteuse car ça ne s'est produit qu'une fois et il m'a aussi dit qu'il ne répétera plus cette malheureuse erreur. Je la nargue d'un sourire, fièrement, elle pensait que je n'avais pas fait de recherches sur elle au juste ? Je me renseigne toujours sur mes victimes. - Je peux toujours te donner des cours si tu veux.

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feat. N. Hippolyte Dunford

Combien de fois l'on m'avait dit de me méfier d'Hippolyte. Mais qu'est-ce qui se passe avec tous le monde ? Ce n'est qu'une simple blondinette qui se croit un peu trop supérieure aux autres et qui ne veut pas que personne puisse se mettre à travers sa route. Sauf que malheureusement pour elle, la jeune femme ne possède pas une conversation neutre avec moi. Je sais absolument ce que je veux à cet instant présent et c'est de lui remettre un peu les pendules à l'heure. « Hum, oui c'est ce qu'on dit, il n'empêche que tu as dis de ta bouche que tu revenais spécialement pour moi. » Je poussais un rire. « Tu crois sincèrement que je suis revenue que pour toi ? Je suis revenue d'Italie pour que tu lâches Tate. Il ne t'as jamais aimé alors pourquoi ça serait différent cette fois-ci » Je savais que j'avais raison sur ce coup. Depuis que je connaissais la jeune Dunford, jamais je n'avais vu Tate éprouvé le moindre sentiment face à la Eliot durant ces dernières années et je suis sûre que ça n'allait jamais se produire. À voir le poste de la demoiselle sur le site de CS, j'avais simplement envie de lui donner une bonne claque en pleine figure et de m'enfuir mais ça me fait trop penser à mon passé. Hippolyte savait toutes les choses que j'avais eue en désintoxication ou même lorsque j'étais alcoolique sauf que malheureusement pour elle il est hors de question qu'elle m’atteigne et je lui ai dis ma façon de penser. « Tant mieux pour toi alors et, sinon à part ça tu veux me dire autre chose ? Me déclarer une deuxième fois ton admiration à mon égard ou peut-être un autographe ? Dit moi tout. » Croisant mes bras contre ma poitrine, je souriais encore plus. « Non, mais peut-être que tu aimerais avoir l'emprunte de ma main sur ton beau visage 100% refait. D'ailleurs, tu viens juste de te refaire le nez ou je me trompe ?. » Lui dis-je en pointant son nez. Soudainement, le sujet de conversation se tournait vers Caesar. Ce cher jeune homme que j'avais réussi à avoir une relation pendant le Spring Break. Je savais bien que ça lui faisait quelque chose que je puisse lui en parler. « Mais mise à part ça, il m'a déjà parlé de toi et de ta médiocrité dans le domaine, tu n'es donc qu'une menteuse car ça ne s'est produit qu'une fois et il m'a aussi dit qu'il ne répétera plus cette malheureuse erreur. » Je poussais un rire. Je la laissait délirer seule dans son coin en me demandant si j'avais besoin de conseil en la matière. Prenant mon cellulaire dans mes mains, je décidais de lui montrer cette fameuse vidéo de ces ébats avec Caesar et des nombreux messages que ce dernier m'avait envoyé. « À en croire ses gémissements et ses messages textes. Je crois qu'il faudrait demander à l'un de ces invités de cette soirée qui est la plus croyable dans cette histoire. Moi ou toi ? Puis connaissant Caesar, je ne crois pas qu'il s'ait vanter de ses relations avec ta petite personne. »

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Je la regarde se vendre en ridicule toute seule, finalement elle n'avait même pas besoin de moi pour l'être, j'en suis presque dégouté moi qui voulait m'amuser un peu.. M'enfin cela reste tout de même amusant à regarder. Je soupire une nouvelle fois, mon dieu ce que cette fille peut être ennuyante ! Elle était vraiment à l'ouest,
Elle rit, dois-je lui dire qu'elle fait de légers bruits de cochon en train de suffoquer où était-elle déjà au courant ? - Parce qu'aujourd'hui tout est différent. Je parle d'un ton sec, sans aucune expression, seulement de l'indifférence. C'est tout ce que je peux éprouver à son égard, une énorme indifférence. Elle ne m'est d'aucune utilité et, franchement c'est le genre de personnes type avec lesquels je ne pourrais jamais être amis ou même fréquenter. Pas le même monde. Deux univers totalement diffèrent nous séparent et, c'est bien mieux ainsi. Un sourire s'étire sur mes lèvres en entendant ses attaques telle une gosse de dix ans pas plus. - Oh vulgaire, tu es toujours aussi classe à ce que je peux constater. Tu souris de plus belle, ironiquement toujours. - Tout est 100% naturel chez moi, malheureusement pas tout le monde à la chance d'avoir une plastique aussi parfaite que la mienne mais.. Willow, ça n'est pas une raison pour être jalouse. Je dis alors en levant les épaules sans même la regarder dans les yeux, lui montrant à quel point je la dénigre. - Par contre, ça reste entre nous ne t'en fais pas.. Mais, tu as abusé sur le Botox. Dis-je en murmurant à peine, touchant ma bouche pour lui désigner la zone à laquelle je faisais référence dans mes propos. Elle avait triplé de volume depuis la dernière fois que je l'ai vu. Elle me tend finalement son portable, me montrant une video d'elle et mon cavalier en action, je ne peux m'empêcher d'exploser de rire devant elle. - Excellente sextape ! C'est ton nouveau gagne pain ? La drogue, l'alcool et la prostitution ! Bravo, bravo t'as attrapé le gros lot. Dis-je en tapant dans mes mains avec entrain après lui avoir rendu son portable. - Chérie, encore une fois il n'y a rien eu entre Caesar et moi, contrairement à toi je n'ouvre pas les cuisses au premier venu. Je la regarde d'un air faussement désolé avant de reprendre. - Mais, c'est bien, tu assumes d'être le tapin de mon cavalier, je suis épaté ! J'écarquille les yeux avec exagération avant d'ajouter. - Moi il m'invite au bal en tant que cavalière, toi il t'appelle le soir à l'abris des regards pour assouvir ses envies cochonnes. Chacun son rôle. Je lui tapote l'épaule avant de passer près d'elle en m'arrêtant à proximité de son oreille. - En tout cas ton rôle te va à merveille ma chère Willow. Je lui donne un léger coup d'épaule en continuant mon chemin, la laissant en plan.

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