Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFLASHFORWARD . « Non à l’abandon ! Sauvons les bébés chiens ! » - pv -
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


FLASHFORWARD . « Non à l’abandon ! Sauvons les bébés chiens ! » - pv -

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



FLASHFORWARD . « Non à l’abandon ! Sauvons les bébés chiens ! » - pv - 751027miniie

« Non à l’abandon ! Sauvons les bébés chiens ! » Nevada & Min Ji

Comme à son habitude, Jung n’était pas là, et Min Ji se retrouvait toute seule. Il était parti en voyage d’affaires, quelques jours plus tôt, et elle était restée dans leur appartement encore une fois. Elle était bien installé, dans ce penthouse au dernier étage d’un immeuble de luxe de Cambridge, mais quand même. Elle était d’ailleurs si souvent toute seule que, quelques fois, elle se demandait même si elle ne voyait pas Jung plus souvent avant qu’ils ne soient mariés que maintenant. Plus le temps passait, et plus il avait de responsabilités, car sa mère le laissait progressivement prendre la tête de son héritage, et donc de tous les musées et les galeries d’Art qui appartenaient à sa famille. Min Ji n’était pas encore trop certaine de la place qu’elle aurait, plus tard, par rapport à tout ça, et elle se demandait même si elle aurait véritablement une place dans la vie professionnelle de son marie ou non, mais elle aurait été très heureuse d’avoir sa propre fondation, qu’elle concerne l’Art ou la protection des animaux, d’ailleurs. Les œuvres caritatives étaient très importantes pour elle, et elle aurait vraiment voulu pouvoir créer quelque chose comme ça. Et pourquoi pas créer une association pour aider les enfants ? Oui, c’était vraiment ce qui lui plairait de faire plus tard. Elle avait la chance de ne pas avoir besoin d’un travail pour vivre – elle était marié à l’un des meilleurs partis de Corée et, en plus de ça, elle était l’unique héritière de l’immense fortune de son père -, alors pourquoi ne pourrait-elle pas essayer de venir en aide aux autres ?

La petite Min Ji, assise sur son petit tabouret, se trouvait face à son chevalet en boit. Elle regardait avec beaucoup d’attention la grande toile qu’elle avait commencé à peindre il y avait de ça plusieurs semaines, et qui représentait l’un des magnifiques paysages que l’on pouvait voir en Corée, à cette époque de l’année. On pouvait voir les montagnes enneigées dont elle se souvenait si bien. Il y avait certainement déjà de la neige, sur les sommets, à cette époque… Un peu nostalgique, elle sourit un peu quand elle réalisa que le tableau était presque terminé, et heureusement, car c’était déjà le mois de décembre. Elle espérait qu’il plairait à Jung, d’ailleurs, car pour une fois, si elle peignait, c’était pour lui. Elle voulait lui offrir ce tableau. Il avait déjà vu certaines de ses œuvres, évidemment, ils connaissait même la plupart de ses dessins et de ses peintures, d’ailleurs, mais là, le tableau qu’elle peignait était quand même un peu différent de ce qu’elle faisait d’habitude. Et, malgré qu’elle ne s’en soit tout d’abord pas rendue compte, ce qu’elle faisait se rapprochait un peu du style de son père, ce style que beaucoup d’autres peintres avaient voulu reproduire, sans jamais y arriver pour autant. Elle regarda au travers des baies vitrées de la chambre qu’elle occupait, et elle sourit quand elle vit la dizaine de petits chiots qui jouaient dans le grand patio du penthouse où elle habitait. Elle fut sortie de sa rêverie quand elle entendit la sonnette de l’entrée. Elle posa en vitesse le pinceau qu’elle tenait dans une main, et la palette de peinture qu’elle tenait dans l’autre, et elle se précipita dans le couloir, un grand sourire aux lèvres. Vanille et Choco, qui dormaient dans leur panier, s’étaient réveillés quand ils avaient entendu Min Ji courir, et ils l’avaient rejoint dans le couloir, en glissant presque sur le parquet.

Min Ji se précipita donc vers la porte d’entrée, dès qu’elle entendit le petit bruit de la sonette de l’entrée, courant à moitié dans l’appartement qu’elle occupait, vraiment pressée de revoir son amie qu’elle n’avait plus revue depuis plusieurs jours. Elle arriva bien vite dans le hall et elle ouvrit la porte à toute vitesse. Elle cria presque quand elle vit sa nouvelle amie sur le pas de la porte. Elle ouvrit la porte en grand pour qu’elle puisse laisser entrer son amie, et juste à ce moment, alors que son amie entrait, elle vit Vanille et Choco arriver très vite et se jeter eux aussi sur la jeune fille, pour lui dire bonjour. Min Ji était tellement contente de revoir son amie qu’elle était toute joyeuse. Elle faisait un très grand sourire, ravie de la revoir, et elle referma très vite la porte d’entrée, encore avec ce grand sourire sur le visage. Elle rigola un peu quand elle vit que les deux petits chiens étaient tout contents de revoir la jeune femme, et c’était tellement adorable ! Mais d’un autre côté, ses chiens étaient vraiment trop choux, alors c’était normal qu’ils agissent comme ça. Elle ferma la porte, et partit accueillir son amie. « Nevada ! Comment vas-tu ? Je suis trop contente de te revoir ! Tu n’as pas eu trop de mal à venir ? Après tout, il y a de la neige depuis plusieurs jours… Il n’y avait pas trop d’encombrements sur la route ? Ou tu es venue à pieds ? », lui demanda-t-elle. « Oh et puis, donne-moi ton manteau pour que je puisse le ranger ! Je vais le mettre dans le placard de l’entrée ». Elle attendit que son amie retire son manteau, puis elle le rangea ensuite dans l’entrée.

« Tu veux boire ou manger quelque chose ? », demanda-t-elle. L’hiver était déjà là, et il y avait de la neige partout dans les rues depuis plusieurs jours. Pour venir ici, Nevada avait certainement du avoir froid, et Min Ji se dit que, après tout, une petite tasse de chocolat chaud, ou de café, ou encore de thé, ne serait peut-être pas de refus. Et puis ça lui faisait tellement plaisir, de recevoir des invités ! Elle avait été aussi élevée pour être une bonne maîtresse de maison, et donc, s’occuper de ses invités était quelque chose d’essentiel. Elle se dirigea vers la cuisine, et elle sortit des placards des tasses et des cuillières, alors qu’elle continuait de parler avec son amie. « Je peux te proposer un chocolat chaud, du thé, du café, du cappuccino… Il me semble même que le cuisinier a fait un gâteau aux fraises et un au chocolat, si je ne me trompe pas », dit-elle en énumérant ce qu’elle pouvait lui proposer, toujours avec un grand sourire sur les lèvres. « Oh mais en fait ! », dit-elle en réalisant. Elle posa les tasses qu’elle avait sortit sur le plan de travail, et elle se précipita de nouveau vers son amie. « Viens voir ! ». Elle traina son amie jusqu’aux baies vitrées qui donnait sur le petit jardin qu’elle avait voulu faire aménager, et quand elle ouvrit l’une des baies, les dix petits chiots qu’elle avait fait venir chez elle entrèrent, et ils passèrent devant elle avant de continuer de jouer sur les tapis. « C’est les petits chiots dont je t’ai parlé ! », dit-elle avec un grand sourire. « Ils voulaient sortir jouer dehors mais je ne veux pas qu’ils restent trop longtemps là, parce qu’il fait trop froid pour eux. Tu te rends compte qu’ils étaient tous dans un chenil ? »

Min Ji était véritablement indignée ! Comment est-ce qu’on pouvait abandonner de si gentils petits chiots comme eux ? Ils étaient adorables ! Mais c’était comme ça. Il y avait plein de monde qui n’appréciait pas les chiots. Un des petits chiens arriva aux pieds de Min Ji, et il se mit sur ses petites pattes arrières pour qu’elle le prenne au bras. « Ils sont mignons, hein ? J’ai demandé à notre chauffeur d’aller les chercher ce matin, et ils se sont plutôt bien habitués à la maison, je pense… », dit-elle. « Ils ont joués tous ensemble toute la journée ! ». Elle reposa le petit chien par terre, et elle se reconcentra sur ce pour quoi son amie était là. Elle était effectivement venue pour voir les petits chiens, mais également pour aider la jeune fille à transformer son appartement en chenil, tout du moins provisoirement. Elles avaient donc tout ce qu’il fallait à ces petits chiots pour pouvoir être biens. Mais elles avaient quand même beaucoup de travail, car bien que la jeune fille ait déjà deux chiens, l’appartement qu’elle habitait n’était pas vraiment adapter pour permettre à dix chiots de plus d’y habiter. Il fallait donc qu’elles leur préparent un bon petit coin où ils resteraient au chaud l’hiver. Heureusement que son amie était là pour l’aider quand même ! « On a du travail ! Heureusement que le chien de Jung n’est pas là… »


(Invité)