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Stephen O'Brian
Fiche d'identité
Nom O'BrianPrénom(s) StephenÂge 23 ansDate de naissance 15 Octobre 1992Lieu de naissance DublinStatut amoureux En instance de divorceOrientation sexuelle HétérosexuelClasse sociale RicheÉtudes majeures Études mineures ArchitectureJobChoix de groupe #1 Mather HouseChoix de groupe #2 Dunster HouseMather House.
Intégrer la Mather House me conviendrait pour mon côté peu anarchique. Je vis comme je l'entends, à mon gré, faisant la fête à ma convenance, peu importe ce que peuvent penser les autres. Je suis comme je suis, malgré cela j'arrive à garder une certaine régularité vis à vis de mes objectifs professionnels qui m'ont été inculqué par mes parents. Ma liberté d'esprit me permet
de faire ce dont j'ai envie, à ma façon sans me soucier des règles à suivre par moment. A quoi bon suivre un code de conduite si c'est pour être faux et ne pas s'assumer tel que nous sommes? Et si cela ne convenait pas à quiconque je m'en contre balance et lui ferait bien entendre ma façon de penser. Soit ça passe, soit ça casse, et je le revendique haut et faux. Fais de moi un ami plutôt qu'un ennemi.
Dunster House
Je ne pense que par mon libre arbitre, je fais comme bon me semble sans me préoccuper de l'avis des autres et ce dans tous les domaines. Dans la vie privée où se mêlent mes relations ou bien encore mon côté professionnel, je fias selon mes envies. De plus je suis ambitieux, j'ai de la suite dans les idées et je suis réfléchi.Je veux être au sommet pour atteindre un but précis, être un jour reconnu par mon travail qui en complément me donnera une satisfaction également financière. pourquoi ne faire qu'à moitié les choses? Ceci dit, j'aime tout autant prendre du bon temps, m'éclater, faire la fête sans me préoccuper du regard des autres, et profiter de l'existence.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Intégrer la Mather House me conviendrait pour mon côté peu anarchique. Je vis comme je l'entends, à mon gré, faisant la fête à ma convenance, peu importe ce que peuvent penser les autres. Je suis comme je suis, malgré cela j'arrive à garder une certaine régularité vis à vis de mes objectifs professionnels qui m'ont été inculqué par mes parents. Ma liberté d'esprit me permet
de faire ce dont j'ai envie, à ma façon sans me soucier des règles à suivre par moment. A quoi bon suivre un code de conduite si c'est pour être faux et ne pas s'assumer tel que nous sommes? Et si cela ne convenait pas à quiconque je m'en contre balance et lui ferait bien entendre ma façon de penser. Soit ça passe, soit ça casse, et je le revendique haut et faux. Fais de moi un ami plutôt qu'un ennemi.
Dunster House
Je ne pense que par mon libre arbitre, je fais comme bon me semble sans me préoccuper de l'avis des autres et ce dans tous les domaines. Dans la vie privée où se mêlent mes relations ou bien encore mon côté professionnel, je fias selon mes envies. De plus je suis ambitieux, j'ai de la suite dans les idées et je suis réfléchi.Je veux être au sommet pour atteindre un but précis, être un jour reconnu par mon travail qui en complément me donnera une satisfaction également financière. pourquoi ne faire qu'à moitié les choses? Ceci dit, j'aime tout autant prendre du bon temps, m'éclater, faire la fête sans me préoccuper du regard des autres, et profiter de l'existence.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Parce qu'un malheur ne vient jamais seul. Entre septembre 2014 et janvier 2015, plusieurs agressions sexuelles ont eu lieu à Cambridge, principalement des étudiants d'Harvard et des maisons qui étaient les cibles. Ton perso a forcément été touché par l'ambiance morbide et oppressante qui régnait sur le campus alors dis nous tout, comment tu te sentais à cette période de l'année. Pire encore, te trouvais-tu sur le campus le 17 janvier ? Quand les quatre agresseurs ont pris en otage les étudiants et autres civils présents ? (5 lignes minimum)
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
Parce qu'un malheur ne vient jamais seul. Entre septembre 2014 et janvier 2015, plusieurs agressions sexuelles ont eu lieu à Cambridge, principalement des étudiants d'Harvard et des maisons qui étaient les cibles. Ton perso a forcément été touché par l'ambiance morbide et oppressante qui régnait sur le campus alors dis nous tout, comment tu te sentais à cette période de l'année. Pire encore, te trouvais-tu sur le campus le 17 janvier ? Quand les quatre agresseurs ont pris en otage les étudiants et autres civils présents ? (5 lignes minimum)
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !
ITEM LIBRE (FACULTATIF).
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Parce que peut-être que t'as envie de nous faire partager des points essentiels à savoir à propos de toi ? Ouais, on pense à tout ici :p Du coup, cet endroit, c'est le tien. Sous forme de liste ou d'anecdote, tu peux laisser libre court à ton imagination ! Si t'en as pas envie, tu peux supprimer (la div et l'onglet), tout simplement, on t'en voudra pas :D
Maxime
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Maxou et j'ai 24 ans. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à des membres déjà inscrits. Une activité et des membres en folie alors j'ai décidé de m'inscrireMather house. J'utilise Rick Cosnett comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi.
Mot de la fin ? ▲ Have Fun!.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Mot de la fin ? ▲ Have Fun!.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainer si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Once upon a time
Stephen fils de Andrew et Kate O'Brian est né d'une famille aisée, enfant unique et ayant toujours vécu à Dublin, capitale d'Irlande et sera donc un jour le Digne successeur de l' entreprise familiale mondialement reconnue dans le domaine de l'architecture.
J'ai toujours vécu à la capitale, depuis mon plus jeune âge, dans une famille bosseuse, droite , aisée mais le tout en toute simplicité. Une scolarité normale dans une école publique. J'ai toujours été un élève consciencieux, agréable jusqu'à ce que j'entre au collège, ou je me suis fait un tas d'amis en tout genre, puis est venu le temps des fêtes, de l'alcool , des filles, d'où mon premier coup de foudre.
Enfant terrible derrière le dos de mes parents qui ne prenaient pas plus cas de mes déboires, et de mes frasques, comme chaque adolescent j'ai eu ma période rebelle, mais jamais en public ou j'étais toujours su me tenir en place, surtout auprès de mes parents, au nom respectable ne pouvant leur faire honte.
enfant modèle à leurs yeux, enfant terrible et marginal derrière leur dos, je suis fidèle à moins même avec un caractère bien trempé et je m'assume pleinement. Peu importe du regard des autres du moment que je suis bien dans mes baskets. Et jusqu'ici ça m'a réussi enfin je le croyais, puisque mon naturel avait d'une pierre deux coups réussi me rapprocher de celle qui avait tant fait battre mon coeur à l'aimer qu'il avait également tant tambouriner en ma poitrine lors de notre séparation...
Changement d'établissement, que de garçon j'étais passé à adolescent et mon amie d'enfance jusqu'ici ma complice en tout genre, était devenue ma petite-amie au fil du temps. tous deux allant à une de ces belles relations qu'on se fichait pas mal du regard des autres, même de celui de ses parents qui au final ne cautionnaient pas notre rapprochement, mais on s'en fichait, on était nous. Bien que mes parents ne me portaient de plus grands intérêts que cela, excepté au niveau de mes résultats scolaires, j'étais comme pour eux, libre de faire tout ce dont il me plaisait. Certaines règles bien évidemment étaient de ne pas entacher leur réputation ou celle de leur entreprise plutôt et de toujours être une personne intègre avec les autres. Et sachant tous les deux que je suivrais les pas de mon père, en tant qu'architecte, cela les ravit au plus haut point, je reprendrais un jour le flambeau familial et perpétuerais le travail de mon paternel pour son plus grand bonheur. C'était son objectif premier, voila pourquoi ma vie privée ne lui avais jamais posé problème, même pas à ce moment ou j'avais pris la fuite avec Abigail O'Malley pour aller se marier des années plus tard à nos vingt ans, contre le gré de ses parents, s'opposant fortement à notre union mais depuis le début à notre relation pensant que cela nous passerait.
Elle et moi s'étions trouvés de par nos envies, ou le fait de savoir exactement ce que nous ferions plus tard de nos vies. non pas un choix, mais une vocation une évidence même à savoir quelle profession exercer plus tard. L'un de nos nombreux points communs. Points communs qui faisaient qu'on est en parfaite osmose, excepté qu'au bout d'un temps tout s'écroula...Tenant de nous remettre sur les rails, on décida de rentrer auprès des nôtres, la ou était finalement notre place à chacun avant de reprendre chacun sa propre existence, sans bien entendu les retombées de notre acte, celui de s'être enfuit, de s'être marié et celui de ne plus la revoir pendant un temps , sans nouvelle, ne sachant que de brèves rumeurs de ce que m'en disait plus ou moins son frère Charly qui ne m'avait jamais porté dans son coeur, et me narguant de toutes les manières imaginables qu'il soit.
Je me replongeais donc dans mes études d'architecture, , travaillant aux côtés de mon père a la moindre occasion ainsi apprenant les ficelles du métier, et la dure réalité de cette profession mais travailler me faisait penser à autre chose qu'à mon mariage raté. Mon père fut un soutien malgré tout, comme s'il compatissait en silence avec moi de mon bonheur perdu. n'ayant désormais plus qu'une chose en tête, me raccrocher à mon rêve en travaillant d'arrache-pied. Une page se tournait que je décidais d'écrire un nouveau chapitre, celui de partir et de me reconstruire ailleurs pour un jour revenir à mes souches premières et reprendre les rênes de l'entreprise familiales, ayant obtenu les honneurs d'Harvard, ayant les compétences pour y poursuivre des cours et un compte en banque bien charnu.
Billet d'Avion en main, me voici donc à des milliers de kilomètres de chez moi, des miens, pour un nouveau départ.
J'ai toujours vécu à la capitale, depuis mon plus jeune âge, dans une famille bosseuse, droite , aisée mais le tout en toute simplicité. Une scolarité normale dans une école publique. J'ai toujours été un élève consciencieux, agréable jusqu'à ce que j'entre au collège, ou je me suis fait un tas d'amis en tout genre, puis est venu le temps des fêtes, de l'alcool , des filles, d'où mon premier coup de foudre.
Enfant terrible derrière le dos de mes parents qui ne prenaient pas plus cas de mes déboires, et de mes frasques, comme chaque adolescent j'ai eu ma période rebelle, mais jamais en public ou j'étais toujours su me tenir en place, surtout auprès de mes parents, au nom respectable ne pouvant leur faire honte.
enfant modèle à leurs yeux, enfant terrible et marginal derrière leur dos, je suis fidèle à moins même avec un caractère bien trempé et je m'assume pleinement. Peu importe du regard des autres du moment que je suis bien dans mes baskets. Et jusqu'ici ça m'a réussi enfin je le croyais, puisque mon naturel avait d'une pierre deux coups réussi me rapprocher de celle qui avait tant fait battre mon coeur à l'aimer qu'il avait également tant tambouriner en ma poitrine lors de notre séparation...
Changement d'établissement, que de garçon j'étais passé à adolescent et mon amie d'enfance jusqu'ici ma complice en tout genre, était devenue ma petite-amie au fil du temps. tous deux allant à une de ces belles relations qu'on se fichait pas mal du regard des autres, même de celui de ses parents qui au final ne cautionnaient pas notre rapprochement, mais on s'en fichait, on était nous. Bien que mes parents ne me portaient de plus grands intérêts que cela, excepté au niveau de mes résultats scolaires, j'étais comme pour eux, libre de faire tout ce dont il me plaisait. Certaines règles bien évidemment étaient de ne pas entacher leur réputation ou celle de leur entreprise plutôt et de toujours être une personne intègre avec les autres. Et sachant tous les deux que je suivrais les pas de mon père, en tant qu'architecte, cela les ravit au plus haut point, je reprendrais un jour le flambeau familial et perpétuerais le travail de mon paternel pour son plus grand bonheur. C'était son objectif premier, voila pourquoi ma vie privée ne lui avais jamais posé problème, même pas à ce moment ou j'avais pris la fuite avec Abigail O'Malley pour aller se marier des années plus tard à nos vingt ans, contre le gré de ses parents, s'opposant fortement à notre union mais depuis le début à notre relation pensant que cela nous passerait.
Elle et moi s'étions trouvés de par nos envies, ou le fait de savoir exactement ce que nous ferions plus tard de nos vies. non pas un choix, mais une vocation une évidence même à savoir quelle profession exercer plus tard. L'un de nos nombreux points communs. Points communs qui faisaient qu'on est en parfaite osmose, excepté qu'au bout d'un temps tout s'écroula...Tenant de nous remettre sur les rails, on décida de rentrer auprès des nôtres, la ou était finalement notre place à chacun avant de reprendre chacun sa propre existence, sans bien entendu les retombées de notre acte, celui de s'être enfuit, de s'être marié et celui de ne plus la revoir pendant un temps , sans nouvelle, ne sachant que de brèves rumeurs de ce que m'en disait plus ou moins son frère Charly qui ne m'avait jamais porté dans son coeur, et me narguant de toutes les manières imaginables qu'il soit.
Je me replongeais donc dans mes études d'architecture, , travaillant aux côtés de mon père a la moindre occasion ainsi apprenant les ficelles du métier, et la dure réalité de cette profession mais travailler me faisait penser à autre chose qu'à mon mariage raté. Mon père fut un soutien malgré tout, comme s'il compatissait en silence avec moi de mon bonheur perdu. n'ayant désormais plus qu'une chose en tête, me raccrocher à mon rêve en travaillant d'arrache-pied. Une page se tournait que je décidais d'écrire un nouveau chapitre, celui de partir et de me reconstruire ailleurs pour un jour revenir à mes souches premières et reprendre les rênes de l'entreprise familiales, ayant obtenu les honneurs d'Harvard, ayant les compétences pour y poursuivre des cours et un compte en banque bien charnu.
Billet d'Avion en main, me voici donc à des milliers de kilomètres de chez moi, des miens, pour un nouveau départ.
(Invité)