Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityATHELYTE • " À la guerre comme à la guerre "
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ATHELYTE • " À la guerre comme à la guerre "

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La soirée se passe, les choses se déroulent doucement, je n'ai pas encore eu l'occasion de passer un moment avec Tate jusque là mais ça n'est qu'une question de temps. Mon portable vibre, je reçois une notification de CS sur Twitter, un rien m'intrigue alors je m'empresse de voir quelle connerie elle venait encore de balancer ce soir. Elle en aurait des choses à dire sur ce qui concerne ce bal, je sens que ça risque d'être.. Explosif. Mon intuition se confirme aussitôt en lisant le fameux tweet, un sourire en coin discret se dessine sur mon visage. Mon dieu ce que cette Willow était pathétique.. Tellement naïve aussi, elle l'avait autrefois prouvé quand elle a pu croire que moi, Hippolyte j'étais son amie ! Ahah, la bonne blague, jamais je ne traînerais avec cette droguée perdue. Je vois alors Athena se diriger vers les toilettes, pourquoi pas m'allier à ma rivale fragile première pour faire jarter Willow hors de la piste de danse aussi vite qu'elle y est entrée. Je me lève et la suit de quelques pas derrière pour entrer à la suite dans la pièce. Un sourire s'affiche alors sur mon visage, mignonne, je voyais comment Tate avait pu tomber sous charme, ça n'était pas difficile. Je penche la tête légèrement sur le côté tout en m'approchant d'elle comme une lionne qui chasse sa proie. - Bonsoir petite Cabot ! Nous n'avons pas encore eu l'occasion de se présenter, je suis Hippolyte Dunford. Dis-je alors en relevant la tête fièrement en m'avançant d'un pas. - Tu as l'air un peu nerveuse et un brin blasé.. Rétorquais-je en fronçant les sourcils. Je regarde alors autour de moi furtivement pour reposer mon regard sur la jolie brune. - C'est sûrement par rapport à ça je suppose.. Je déverrouille mon portable pour laisser la page s'afficher et lui tendre alors mon téléphone. Je mordille ma lèvre inférieure, j'étais presque certaine qu'elle n'était pas encore au courant. Je la dévisage, scrutant les multiples expressions qui passent sur son visage à la lecture de cette nouvelle. - Je te laisse ça.. Ça va probablement t'être utile ! Je fouille dans mon sac pour en sortir un paquet de mouchoir que je pose sur le côté du lavabo. Pauvre fille.
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La soirée se passe et faut le dire c’est une catastrophe je suis complètement blasée. Je me rappelle encore mon bal au lycée, j’avais une belle robe, une sorte de copain, des amis, il y avait de la musique de la bonne humeur. J‘en étais bien loin ce soir. Enfin je faisais bonne figure et je voguais de table en table histoire de voir des personnes que je connais et ça me donnais de l’énergie pour continuer la soirée comme si rien de la situation ne me touchais, c’est ce qu’il faut faire après tous non ? J’avais chaud et besoin d’aller me rafraichir et me remaquiller alors je prenais mon sac avant de prendre la direction des toilettes. Une fois à l’intérieur j’étais assez surprise de la propreté parce que parfois ça laisse clairement à désirer, enfin, là ils ont fait un effort. Je me passais un coup d’eau sur le visage avant de vérifier que mon maquillage n’était pas parti dans tous les sens. C’est alors qu’une blonde est entrée dans les toilettes avant de me regarder et m’adresser la parole. Je levais les yeux au ciel, qui c’était celle là encore ? Vu sa prestance, une Eliot. Hippolyte ? Son nom ne me dis absolument rien je la regarde et m’appuie au lavabo reprenant en rangeant mon crayon dans mon sac « Je suis censée te connaître ? » oui, désolée ma belle mais je n’en ai aucune idée après peut être que c’est erreur de ma part. Elle faisait la fière, oui ça m’agace un peu faut le dire. Je la regarde et reprends « Euh blasée peut être par la soirée et nerveuse non je comprends juste pas pourquoi tu me parle ? » Je fronçais les sourcils posant les mains sur le bord du lavabo. Elle se la jouait devin je sais ce qu’il y a je ne sais quoi, elle se prenait pour qui ? Je l’écoutais quand même et elle me tendait son téléphone avec un tweet de CS. Je lis et ne montre aucune expression sur mon visage peut être une légère pointe de dégout en voyant ça bien sure que j’étais blessée. Elle me sortait un paquet de mouchoir, quel culot je la regardais levant les yeux au ciel un instant « Quelle charmante attention. Et si tu me disais plutôt ton but dans l’histoire en me montrant ça ? » oui je jouait aux superwoman qui s’en foutait en réalité c’était juste un truc de plus à ajouter à cette soirée de merde.

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J'avais tenu à suivre cette faible fille pour lui annoncer moi-même la nouvelle, ne me gâchez donc pas ce plaisir voyons, c'était tellement plaisant de savoir que ses rêves allaient partir en fumés ce soir. Je l'observe faire quelques retouches à son maquillage qui n'allait sûrement pas tenir tout le long de ce bal vu la fontaine de larmes que ses yeux vont laisser couler. Cela te réjouis d'avance, garce ? Moi ? Complètement. Je fais un premier pas vers elle, me présentant, j'en oublie quand même pas les bonnes manières, elle me demande subitement si elle est censée me connaître.. Je pouffe un rire en baissant la tête, qui ne me connaît pas à perv elle visiblement, a côté de la plaque. - Tout le monde me connaît ici, mon père à un peu donné sa vie pour sauver les étudiants d'Harvard alors merci de la reconnaissance. Ça avait le don de t'énerver ce genre de réflexion, comme si mon père était mort pour des personnes qui ne se souviennent même plus de lui à l'heure d'aujourd'hui, plutôt que d'honorer sa mémoire. Je reprends une inspiration pour me soulager, baisser ma montée de nerfs subite par la même occasion. Elle reprend de plus belle, me prenant de haut, Ahah, chérie redescend rapidement, je pourrais faire qu'une bouchée de toi si je le voulais. Elle ne serait même qu'un ridicule amuse-gueule. - Premièrement ne te sens pas interessante, respire un bon coup, si je t'adresse la parole c'est seulement par intérêt sinon, jamais je n'userais ni ma salive ni mon temps pour quelqu'un comme toi. Levais-je alors les yeux au ciel, elle se prenait pour qui à s'adresser à moi comme ça ?! Qu'elle ne pense pas devenir un cheval de course parce que notre chère VP la baise alors qu'elle n'est qu'un simple bourricot. Je lui montre alors le tweet, un sourire sadique aux lèvres qui laisse place à une légère déception quand elle ne montre pas grande tristesse. Je voulais du grand art moi, une scène digne de Shakespeare où elle aurait fondue en larmes mais.. Non. Elle regarde pendant quelques secondes et finit par me demander pourquoi je venais le lui montrer. - Alors, je reprends, comme je l'ai dis, je suis là par pure interêt, copiner avec toi n'est pas mon but, je me contre fou de où et quand tu as baisé avec Tate mais ce que je veux, c'est que cette Willow ne finisse pas à son bras. Je croise alors les bras sur ma poitrine, mon regard dans le sien, je soupire et fais quelques pas dans la pièce avant de m'adosser légèrement sur le mur. - Je la connais bien, elle a eu une histoire de deux ans et des poussières avec Tate, il l'a beaucoup aimé mais elle l'a blessée et, je ne veux en aucun cas que cela se reproduise ! Je le connais depuis des années et, je préfère encore largement qu'il finisse avec une Cabot nymphomane plutôt qu'avec cette toxico d'intrus d'Eliot. Willow et moi c'était une guerre qui dure depuis longtemps, depuis que je l'ai légèrement prise pour une imbécile lors de sa désintoxication en fait.. Je voulais bien d'Athena dans les parages mais pas d'une Willow.

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Je passais déjà une soirée absolument merdique mais non, je ne pouvais pas aller me remaquiller tranquillement aux toilettes qu’une blonde venait m’accoster. Soirée de merde. Entre la situation avec Tate, la crise de Dallas et j’en passe je crois que je vais finir par tourner folle, pourquoi le ciel m’en veut-il autant ? Elle se présente, miss pouf en service ah elle a pas besoin de me le dire c’est une Eliot vu comme elle s’exprime avec sa voie de pétasse en plus de ça. Est-ce que je suis censée la connaitre ? Elle a changé le monde ? Fait passer une loi ? Ca l’offusque, ah désolée que son père ne soit plus là moi j’étais pas à Harvard à cette époque « Désolée pour ton père alors. » oui désolée pour son père, je ne le connais pas, mais bon, tout homme qui se sacrifie pour d’autres mérite le respect, elle par contre, si elle profite de la mort et du nom de son père pour se faire reconnaitre elle ne vaudra pas grand-chose auprès de moi, j’aspire à mieux que ça, après si elle ça lui suffit, grand bien lui fasse. Je lui pose une question légitime, pourquoi elle me parle ? J’écoute ses paroles, non mais elle est sérieuse ? Je déteste les filles comme ça qui se prennent pour je ne sais qui, je la regarde blasée par ce qu’elle me dit avant de rire un peu, quelqu’un comme moi ? Ca veut dire quoi très exactement ? Comme si elle était au dessus. Non mais princesse redescend tu vaux pas plus que moi, que ton père soit vivant ou mort qu’il ait sauvé des vies ou non, vu ce que tu parais il pourrait même avoir honte d’avoir une fille comme toi. Je suis crue ? Non mais à un moment il ne faut pas trop me chercher. Je la regarde avec un sourire aux lèvres « Je respire t’en fais pas pour moi et c’est toi qui viens me parler, ou plutôt parler à quelqu’un comme moi, c’est bien une réfléxion d’Eliot ça. Alors expose moi ce qui t’amène à venir me parler je t’en prie mais dépêche toi j’ai pas toute ma soirée. » oui je peux aussi être un peu bitch, en même temps pourquoi je perdrais mon temps avec quelqu’un comme elle hein ? Elle me montre le tweet de CS avec un sourire aux lèvres tandis que je ne lève même pas un sourcil malgré le mal de chien que ça peut me faire. Je prends sur moi, je respire, je vais pas lui faire le plaisir de pleurer ou autre alors je prends sur moi, je respire et j’essaie de ralentir mon rythme cardiaque qui s’accélère. Elle se permet alors de parler de ma relation avec Tate qui m’aurait baisé, quelle vulgarité. « Qui te dis que j’ai baisé avec Tate d’une part ? Rassure toi je compte pas copiner avec quelqu’un comme toi non plus. Et pourquoi tu ne veux pas de cette Willow si elle le rend heureux ? C’est son problème non ? » Elle fait quelques pas alors que je reste appuyé au lavabo et je l’écoute, oui c’est son ex elle lui a fait du mal, c’est ça l’amour après tous non ? Elle me traite alors de Cabot Nymphomane, non mais j’hallucine, je lève les yeux au ciel et reprends « Alors écoute moi bien barbie parce que clairement dans ta vie tu dois pouvoir compter que sur ton physique pour intéresser les gens vu comme tu te comportes mais d’une part je ne suis pas une nymphomane, tu ne me connais pas, je ne te permets pas de me juger moi, qui je suis, avec qui j’ai pu coucher ou mes valeurs , de deux te crois pas mieux que moi, je me permets pas de te prendre de haut fais en autant ça s’appelle le respect alors peut être que oui je n’ai pas gagné ton respect mais toi non plus et je ne me permets pas d’être insultante. Enfin, si Tate est assez con pour retourner avec son ex grand bien lui fasse, tu veux que je fasse quoi concrètement ? Et toi ? T’es amoureuse de Tate ou comment ça se passe ? Honnêtement je ne comprends pas ta démarche, si elle se drogue, fais la virer des Eliots ou même d’Harvard si tu es si puissante non ? » oui, qu’elle bouge elle. Je la regarde, je ne vois pas ce qu’elle veut que je fasse et j’avoue que son but me parait pas très claire, pourquoi elle s’implique autant dans un truc duquel elle est apparemment out ? Ou bien est-ce que je dois l’ajouter à la liste des prétendantes de Tate ? En tous cas plus cette liste s’allonge moins j’ai envie de rester là à me bagarrer comme une chiffonnière pour un mec qui apparemment joue sur plusieurs tableaux à en croire le tweet de CS.

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Elle est désolé pour mon père.. Je réponds d'un simple signe de tête, comme je peux détester ce genre d'excuses hypocrite d'un homme qu'ils ne connaissent même pas, mon poings se resserre automatiquement. Son envie pressante de savoir de quoi je veux lui parler me faisait presque de la peine, la pression de ma main se relâche, quand elle saura elle risque de faire une chute d'une hauteur plus que vertigineuse et c'est pas moi qui irait la relever et ramasser les petits morceaux, non, moi je suis surtout là pour la pousser d'en haut d'un building et la regarder s'écraser sur ses nombreux rêves et espoirs à propos de Tate. Malheureusement, les femmes ont tellement de mal à comprendre que ce jeune Eliot a du mal avec le concept de l'appartenance, la vie de couple et cette pauvre Cabot était tout bonnement le contraire, le genre de femme bien niaise qui croit encore au prince charmant sur son cheval blanc. Redescend poupée. Je vois son visage se transformé légèrement quand elle voit le tweet que je lui offre sur un plateau d'argent, un air amusé sur le visage, mon sourire s'élargit de quelques centimètres quand je remarque sa mâchoire se crisper comme pour contrôler ce trop plein de sentiments. - Je sais tout, je suis au courant de tout ne me demande pas comment ni pourquoi.. Je ne veux pas d'elle dans sa vie, c'est qu'une pauvre paumée qui revient comme une fleure dans la vie de Tate après tout ce temps ! Elle l'a fait souffrir une fois, pas deux. Elle n'est pas faite pour lui et, même si je pense franchement que toi non plus, je préfère miser sur toi plutôt que la droguée de service. Oui j'appréciais débiter quelques informations à propos de l'ennemie, des informations plutôt honteuse, qu'elle cherche à dissimuler mais, non elle ne s'en sortira pas comme ça. Je la vois s'exaspérer devant mes dires, je recule d'un pas moqueur la laissant s'exprimer librement et beugler comme une vache, mon dieu, tout ce que cette peut dire est terriblement ennuyant. C'est horrible. Je tords la bouche, levant les yeux au ciel et, quand elle a enfin terminé je pose alors une main sur le lavabo qui se tient juste derrière elle. - Très beau discours.. Mais met toi une chose en tête.. Je, ne, suis, pas, toi. Je fais en sorte à bien appuyer sur chacun de mes mots en les décortiquants un à un. J'en avais rien à foutre de ses comparaisons, on avait rien à voir l'une de l'autre et je n'ai aucun ordre ou conseil à recevoir de cette moins que rien. - Amoureuse de Tate ? Voyons, est-ce que j'ai une tête â ressentir n'importe quel sentiment ? Dis-je en pouffant un rire, oui, en réalité, j'en ressentais, celui de la tristesse surtout, toujours omniprésent. - Oh ça ce n'est qu'une question de temps avant qu'elle dégage de la Eliot, elle est assez pleine de tordus qui salissent notre image. Je soupire en lâchant cette phrase, me redressant finalement dans la même posture que tout â l'heure, le nettoyage de la Eliot était une grande histoire pour moi.

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Cette blondasse qui se croit tous permis à le don de m'horripiler elle prend des airs supérieurs. Je remarque quand même sa main qui se crispe à l'évocation de son père qui est décédé, je sais ce que c'est ayant perdu ma mère en quelques sortes, disons juste qu'officiellement elle est morte et sinon elle ne fait juste plus partie de nos vies et c'est très bien comme ça. Non je ne connais pas le père de blondie, en même temps je ne vois pas pourquoi je le connaitrais. Il a donné sa vie pour les autres, pour ceux d'Harvard, il mérite mon respect mais par contre elle avec ses extensions et ses soutifs rembourrés c'est absolument hors de question, no way. Elle me montre alors un tweet de CS sur Tate, je vois dans ces yeux qu'elle jubile, elle attend que je craque que je pleure alors que je fais tous pour contenir le trop plein d'émotions, je ne vais pas craquer devant une fille pareille. Ma respiration s'accélère, je me sens mal, très mal j'ai envie d'aller m'enterrer dans un cercueil, même le plus pourri qui soit pourvu que je ne sois plus ici. Elle me dit que non elle ne veut pas de Tate et Willow et que quitte à choisir elle préfère parier sur moi à défaut de mieux. Elle m'agace mais je ne montre rien, si je lui montre elle va me descendre sur place c'est bien le genre de filles à faire ça. "Elle l'a déjà eu une fois, si elle veut le reprendre et si il veut d'elle c'est son problème non ? Trouve lui quelqu'un d'encore mieux que moi alors, franchement je ne vois pas pourquoi tu viens me voir à moi alors que tu ne me trouves pas à la hauteur, je suis pas un choix par défaut ou en tous cas je ne veux pas l'être, pour personne je me respecte assez pour ça." ce qu'elle m'agace cette pimbèche. En plus de ça je parle et mademoiselle baille en mode yolo tous pour que je l'apprécie je vois. Je déteste au plus haut point les gens comme ça, qui font souffrir exprès et qui en plus de ça se permettent de juger ma personne quand clairement je n'ai rien à leur envier. "Encore heureux que tu n'es pas moi, j'aurais honte sinon je te le dis." oui honte d'être une telle garce. Elle me parlait comme a une débile ça m'exaspère. "Apparemment t'es attachée à lui sinon tu ne serais pas là ma belle." oui sinon elle passerait sa soirée tranquillement. Alors en plus de l'ex qui revient à l'attaque maintenant j'ai le droit à la copine possessive, je suis gâtée avec Tate franchement. Je me décale du lavabo pour me remettre du rouge à lèvre, je n'en ai pas besoin mais ça me calme. Je hausse les sourcils, alors on a le droit à la ménagère de la Eliot maintenant je reprends "Je te souhaite bonne chance pour chasser les parasites de la Eliot House alors." oui si certains n'en sont pas dignes, autant les virer.

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