Alicia E. Johnson ► Olivia Wilde

J'ai quitté Harvard en juin 2015 je pensais vraiment pas y remettre les pieds. J'avais obtenue tant bien que mal mon diplôme et j'étais retournée auprès de mon père. Il se retrouvais seul dans le grand domaine viticole de Mainz, il y avait aussi mon frère Klaus à ses côtés. Ca ne me plaisait pas vraiment qu'il soit là. Ca faisait un an qu'il était arrivé dans ma vie celui là et je n'avait pas plus envie que ça d'apprendre à le connaître. Pendant un certain temps j'ai continué à vendre de la cocaïne à faire grandir mon réseau sans jamais me faire prendre, puis une jour j'en eu assez de tout ce bordel. Je l'ai légué à mon second, espérant qu'il se débrouillerai mieux sans moi, j'avais envie d'autre chose de nouveau horizon de rentrer dans le rang, sans parler que Klaus commençais à avoir des soupçons, à venir fouiner dans mes affaires et je ne le supportais pas. Je voulais aider les gens. Ça à commencé avec l'arrivé des migrants de syriens qui à bouleversé l'Europe de l'Ouest, où est ce qu'il allait être logé, qui allait les nourrir? Qui allait les aider? Cette Europe que j'avais connus avait véritablement changé, je ne la reconnaissait plus ou du moins elle ressemblait à celle qu'on voyait à travers les livres d'histoire, cette Histoire qui avait bouleversé mon pays dont je n'était pas fière et qui avait à peine soixante dix ans. Les premières semaines suite à l'arrivée des migrants, j'ai commencé à prendre des photos, puis des notes, j'ai ouvert un bog, j'ai commencé à écrire, j'ai arrêté de suivre les médiats nationaux qui nous vendait quasiment que des mensonges sur ces gens qui n'avaient plus rien, plus de vie, plus de toi et certain même plus de famille, ce qui leur restait ce n'étais qu'un rêve d'une meilleure vie, ils ne souhaitaient qu'oublier leur passé et ce qu'ils avaient vécu. Alors je me suis rendu à leur côté, j'ai aidé comme j'ai pus, je les aie écouté, mis sur mon blog des dizaines d'histoire, l'histoire de chacun d'entre eux parce que s'était important, parce qu'ils sont des être humains et que l'Europe les traitaient comme du bétail, qu'ils falaient les répartir selon des quotas et que je ne voulaient pas de ça. Je ne voulais pas d'un monde aussi négatif envers les gens qui n'aspirait qu'a une vie meilleures. Ce fus mon combat pendant prés de deux mois. M'engageant auprès des plus nécessiteux.
Un soir de septembre mon téléphone se mis à sonner j'étais entrain d'écrire un article sur un certain Yaman, il avait dix sept ans, il avait quitté la Syrie comme tout les autres suite au ravage de Daesh faisait dans la région, son histoire comme celle de tout ceux que j'avais rencontré m'avait bouleversé et le monde devait le savoir. Je regardait le nom s'afficher sur mon téléphone. Klaus, je serrai les dents, qu'est ce qu'il me voulait? "Ali, papa est à l'hopital" Il avait toujours essayé de se rapprocher de moi, je l'ai toujours repoussé, car je ne voulait pas de lui, j'avais pas besoin de lui, et suite à cette annonce. Je laissais un grand blanc ."Ali?". J'arrive c'est tout ce que j'avais à lui répondre sur le moment. Je laissais en plan tout ce que j'étais en train de faire pour, pour je je ne sais même pas où, j'enfilais une veste, mes chaussures entre temps Klaus m'envoyais par sms le nom de l'hôpital. Je mis pas longtemps à me rendre au DRK Schmerzzentrum Mainz, et me rendre au chevet de mon père. Klaus était à ses côtés, il avait fait une grave chute du haut des escalier. Il avait une fracture du crâne, à croire que tout recommençait. Il était dans le coma, les médecins n'avaient pas bonne espoir et je connaissais les exigences de mon père il ne voulait pas d'acharnement thérapeutique. Je restais à ses côtés jusqu'au bout, ça n'a duré que quelques jours, j'ai pas beaucoup parlé avec Klaus pendant ce temps là. Les seules fois où j'ai ouvert la bouche s'était pour parler aux médecins. Pendant ses quelques jours, j'avais de côté tout mon monde toute ma compassions pour les ressortissant étrangers attendant juste la fin pour mon père bien aimé. Quand il nous à quitté pour de bon, je suis retourné au domaine, j'y suis resté quelques temps ressassant de vieux souvenirs dans cette maison.
Un jour d'octobre j'en eu assez de vivre là, tout les documents de succession avaient été réglés je retournais dans mon appartement en ville où je n'avait pas mis les pieds depuis prés d'un mois et demi. Mon ordinateur était encore ouvert, mes notes, mon appareil photos tout étaient encore là comme si le mois et demi ne s'était pas écoulé, que la personne qui avait le plus compté à mes yeux était toujours parmi nous. Mais s'était faux, un pierre tombale en attestait. Peu à peu je repris mon quotidien d'avant, je retournais voir les ressortissants, voir ce qu'ils étaient devenue. Je n'avait même pas fini l'histoire de ce garçon de dix sept ans, mais ce n'est pas pour autant que j'avais supprimé l'article sur mon blog. J'étais bien déterminé à le terminé si je retrouvais ce jeune homme. Mais le monde extérieure s'était encore assombris la haine et la peur de l'autre se reflétait de plus en plus dans chacun des gens que je croissais, je ne faisaient qu'entendre des insultes et des agressions, s'était de pire en pire. Comment est ce que les gens ont pus être réduit à ça? S'était malheureux et triste. Tout les ressortissant que j'avais rencontré n'était plus ici, tous placé dans d'autre ville ou squattant je ne sais quel terrain fautes de moyen mis en place. C'est de cette façon que je me suis retrouvé de fil en aiguille à entrer en contact avec des gens d'Amnesty International certaine personne avait lisait mon blog qui devenait de plus en plus fréquenté. Ce blog si peut orgueilleux qui ne racontait que l'histoire de ces gens qui n'avait plus rien. Mais je voulais faire plus, j'en aie eu l'occasion en novembre. Une équipe devait partir en Afrique pour  une énième action et ils souhaitaient que je rédige des articles pour eux. Que je donne une voix à ceux que l'ont censure le plus durement, montrer des choses qu'on ne voit pas dans les médiats. Je suis passé de pays en pays, voyant, montrant des choses que personnes n'a forcement envie de voir ou de comprendre. Des vivants presque morts, des morts qui se raccroches à la vie, des personnes qui luttes pour gagner quelques mois à leur compteur, tous ce que je pouvais en plus de leur donner une voix, s'était de leur donner un peu de compagnie de partager de bon moment avec eux. Je suis rester plus de six mois en Afrique, en traversant prés de 5 pays différents, toujours pour une bonne cause.
Au mois de mai ma mission auprès d'Amnesty était terminé, et puis même je pense que j'en avais suffisamment vus pour cette année s'était assez riche en émotion. Heureusement que j'étais resté en contact avec quelques personnes sur Harvard, en particulier Nevada, et oui après tout ce qu'il s'est passé entre nous s'était là seule avec qui je suis resté en contact, la seule qui avait pris de mes nouvelles tout le long de l'année pour me soutenir dans ma démarche et je souhaitais lui faire la surprise. J'étais pas certaine de reprendre mes études de journalisme à la rentrée mais s'il y en avait bien une qui m'aiderai à faire le bon choix ce serai elle.