Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityADRILYTE • " T'es moche, tu pues et t'as des poils au *BIP* "
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ADRILYTE • " T'es moche, tu pues et t'as des poils au *BIP* "

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Le bal, certain voit cet événement comme un calvaire, d'autre un moment de gloire et moi comme une soirée d'étudiants complètement niais. Après avoir terminé ma coupe de champagne que je dépose délicatement sur la table, je me lève en laissant les autres s'ennuyer de mon absence durant quelques minutes histoire de me repoudrer le nez. J'avance rapidement vers les toilettes et entre dans la pièce, très bien, personne. Je me poste face au miroir, tournant sur moi même brièvement comme pour voir si ma robe était resté intact. Je me rapproche vers la glace pour y scruter mon reflet, passant mon index sur mon rouge à lèvre en y enlevant d'un geste fin ce qui dépasse. Alors que je me redresse la porte s'ouvre en grand, en y laissant apparaître la médiocre carcasse de ce vert crapaud en face de moi. J'arque alors un sourcil en sa direction alors qu'il semble surprit. - Bonsoir ! Je savais bien qu'au fond de toi tu étais une femme ou alors un homme qui recherche en vain son identité sexuelle. Je ris dans ma barbe face à mes sarcasmes, je connaissais malheureusement bien Adriel mais c'est pas pour autant que je le porte dans mon cœur.. Loin de là même. - À moins ce que tu cours après moi, ton fantasme de toujours pour lui demander une danse ridicule ? Dis-je sur un ton moqueur, oui juste cette image de nous deux bien proche durant une danse me donne la gerbe. Aucune crédibilité était présente dans ma voix, simplement de la pure ironie.


PS : J'avais aucune idée du titre MDRR ADRILYTE • " T'es moche, tu pues et t'as des poils au *BIP* "  1881463262
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Il y avait clairement une ambiance étrange à ma table. Je chuchotais alors quelques mots à l'oreille d'Agathe et je me levais pour partir vers les toilettes. Disons que je savais que j'étais roux et je voulais voir si ma coiffure était au moins potable. Non parce que déjà que le roux aidait pas, si en plus j'étais mal coiffé, ça allait pas le faire. Alors je marchais rapidement, passant entre les gens et j'entrais dans la première porte que je trouvais sans vraiment regarder. Mais j'étais surpris de voir cette immonde chose eliot face à moi. Bien, j'avais dû me tromper et j'étais chez les femmes. Génial. Je levais les yeux au ciel à ses paroles, je préférais ne rien dire. J'étais même prêt à repartir directement, mais sa deuxième phrase me faisait rire. « Mon fantasme ? Même s'il restait que nous deux sur terre, je préférerais me faire un animal plutôt que toi. » rétorquais-je en levant les yeux au ciel, faisant mine de réfléchir avant de reprendre rapidement. « Tu me diras, toi ou un animal, ça revient au même au fond. » rajoutais-je avec un large sourire hypocrite, haussant les épaules. Je n'aimais pas cette fille, elle était tellement énervante et exaspérante. Rien que de voir sa tête, j'avais envie de vomir. Elle était en train de se remaquiller et je ne pu m'empêcher de reprendre la parole. « Tu as raison de te remaquiller, même si tu n'es toujours pas potable avec du maquillage. C'est triiiiiste ! » lâchais-je avec un petit sourire mesquin aux lèvres. La faire chier était très clairement l'une de mes plus grandes passions, surtout qu'elle réagissait en général au quart de tours et ça, c'était clairement amusant pour moi.
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Mon dieu, juste le fait de l'avoir en face de moi me donnait déjà de l'urticaire. Je ricane à son médiocre répondant, c'était bien un Mather ça, à part se tuer à la cocaïne tout doucement il n'avait aucune personnalité. Des coquilles vides qui se pavanent de gauche à droite en cherchant un but dans la vie.. But qu'ils ne trouveront sans doute jamais puisque leur triste vie est vouée à l'échec des la naissance. - Oui tout à fait normal, vous faites parties de la même espèce ! Tu as plus de points communs avec eux que moi. Qui se ressemble s'assemble d'après la rumeur.. Tout comme je ne toucherais jamais un chien galeux. Dis-je en le dévisageant de A à Z. Je replaçais quelques mèches de cheveux blonds derrière l'oreille avant de me tourner vers le lavabo et m'y rincer les mains. - M'enfin je vois toujours pas que me vaut la torture de ta présence ici ? Tu essayes de vendre ta came histoire de t'acheter de quoi manger ? Pouffais-je en le regardant du coin de l'œil en essorant mes mains en même temps. - Ça n'est pas ce que me disent les hommes en général.. Je pense que tu es juste frustré du fait que je ne te regarderais jamais d'où le fait que tu préfères miser sur ce genre de propos, histoire de te rassurer. Je m'avance finalement près de lui, je ne pouvais plus être près de lui plus de quelques secondes. Il sentait le tabac froid à plein nez, je grimace en le regardant avec un air de dégoût. - Tu aurais pu au moins te doucher pour l'occasion, tu sens aussi bon qu'un wc pour homme dans les bars miteux. Je fais mine de trembler légèrement pour lui montrer clairement aversion pour sa personne.

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Cette fille avait vraiment le don de m'énerver. Elle était tellement.. chiante et inintéressante. Et pourtant, je ne pouvais pas m'empêcher de rester planter là, parce que je voulais continuer de lui répondre. Partir serait lui faire croire qu'elle a raison et ce n'était certainement pas ce que je voulais. « Woh, un tel déferlement de haine. Tu dois vraiment être frustré dans ta vie pour être aussi méchante. » disais-je en soupirant. Je ne comptais pas faire de long discours comme elle, elle avait peut-être de la salive à perdre à parler avec moi, mais moi, je préférais continuer de l'observer et la laisser faire son show. Peut-être que ça allait la décoincer et la rendre moins aigrie. Quoique, ça restait une Eliot. « T'inquiètes pas, je peux m'acheter à manger autant que je veux. C'est fou ce cliché du mather pauvre. On peut avoir de bons moyens mais ne pas être aussi snob que vous. » répondais-je en souriant, sur un ton des plus calmes. Je n'avais même pas envie d'être méchant, d'hausser le ton ou de lui parler sèchement. Parce que le meilleur moyen de l'énerver, c'était bien en restant calme et un minimum gentil, non ? « Je suis désolé de t'annoncer que je n'aurais jamais envie d'être un de ces mecs en chien sur toi. J'ai déjà bien assez de filles autour de moi pour vouloir avoir une coincée comme toi. » disais-je en haussant les épaules, ne lâchant pas son regard. Woh, elle essayait donc vraiment d'être méchante avec moi. Cela devait l'amuser de faire sa garce, en même temps, c'était clairement un truc d'Eliot ça. Ils étaient tous comme cela malheureusement pour eux. Et pour nous qui sommes obligés de côtoyer des personnes comme eux. « Ce que je trouve triste, c'est d'être autant hypocrite. Ce qu'il ne te plait pas, c'est que je sente le tabac ? L'alcool ? Sûrement les deux. Mais va voir un clochard dans la rue et tu sentiras la vraie odeur d'une personne ne s'étant pas lavé. Peut-être que ça te détendra. » répondais-je en soupirant. Elle m'exaspérait.
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