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Family First • Adriel

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On avait atterrie dans une soirée quelconque , quelque chose de pas très important dans le monde et dans l'ère du temps. En fait, c'était moi qui avait atterrie à cet endroit inconnu. Lui il connaissait forcément des gens ici puisse qu'il m'avait emmener. J'avais pas trop envie de me poser des questions, mais plutôt de m'abimé les sens à nouveau. Il fallait que je me rende à l'évidence que j'aimais trop cette habitude, mais c'est plus facile d'oublier ce qui cloche dans la vie. Déjà je pensais à cet être qui me servait de jumeau, une deuxième partie de moi, une copie conforme au point de vue moléculaire, mais rien en apparence et en caractère. Je ne savais même pas s'il connaissait l'existence de Harlow. Non forcément je n'avais pas pu connaitre son cercle d'amis vu qu'il me refusait toute intrusion dans sa vie privée et même dans la plus banal. Je regardais ma bouteille en même temps de le regardant à travers le verre foncé. «C'est nul parfois la famille.» Je crois que mon coeur était trop lourd ce soir et que j'avais besoin de tout relâcher. Enfin je déposais une phrase dans l'atmosphère ça ne voulait pas dire que j'allais me confier, j'avais seulement besoin de décompresser.
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— veïa

J'avais été invité dans une soirée, dans une maison, chez des gens que je connaissais pas tant que ça. Mais comme je ne refusais jamais de faire la fête, j'y étais évidemment aller. Et j'avais emmené Veïa avec moi, après notre soirée dans une cellule, j'espérais que cette fois, ça se terminerait bien. Pour une fois. Alors j'étais là, en train de boire, de fumer, de sniffer. Je m'éclatais, je vivais le moment présent, je me sentais bien, apaisé. Parce que j'étais toujours bien après avoir autant abusé d'alcool et de drogues. Mais j'étais encore conscient de ce que je faisais, parce qu'il y avait cette petite blonde avec moi et je ne pouvais pas la laisser se débrouiller seule dans cette maison remplis de gens que je ne connaissais même pas. Puis d'un coup, elle sortait une phrase, comme ça. Oh merde, elle parlait d'Harlow. Enfin, je ne voyais pas de qui d'autres elle pouvait parler. « Ouais, c'est la merde la famille, mais crois-moi, il faut en profiter tant qu'ils sont là. » rétorquais-je simplement, buvant une gorgée de ma bière. En disant cela, je faisais évidemment référence à Cora, ma soeur morte depuis peu. Elle n'était pas au courant, mais ça, c'était car elle ne connaissait pas ma vie. Et c'était mieux ainsi, pour elle.

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Je m'ouvrais ma coquille d'une certaine façon. Peut-être trop dangereusement, mais je crois que je ne pouvais plus garder tout ça pour moi. J'enfermais toutes mes pensées dans un recoin avec des chaines au fond de ma tête, mais elle se débattait avec violence cherchant à se libérer et franchir la barrière de mes lèvres ou s'étendre sur une feuille encore blanche. Je vivais tous les moments qui s'apportaient à moi, mais j'avais un certain blocage depuis quelques temps. Je m'égarais plus souvent dans l'alcool j'avais l’impression. Plus souvent que je ne le fais déjà ? Il faut croire que ça se peut. Je prenais une gorgé de ma bière en me laissant bercer par la musique dans l'appartement. Il avait raison qu'il fallait profiter de leur présence, il faut jamais attendre pour dire qu'on tient à quelqu'un et que surtout on l'aime. Sauf , qu'en ce moment ils étaient tous très loin de moi et le seul près que je n'avais jamais su son existence , alors il avait une question qui me brulait les lèvres depuis trop longtemps : «Et on fait quoi quand ils sont pas là ? » Je murmurais cette question pas trop fort, car au fond je ne savais pas s'il allait m'apporter une réponse claire. De toute façon, on était encore égaré une fois de plus espérant que notre jeunesse ne s'arrête pas trop vite.
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— veïa

Je ne comprenais pas pourquoi, tout d'un coup, en plein milieu de cette soirée, Veïa parlait de la famille. Elle avait peut-être besoin de parler ? Elle ne se sentait peut-être pas bien. Mais pourquoi avec moi ? On ne pouvait pas dire que l'on était les personnes les plus proches de la planète quand même, on allait pas se mentir. Je posais ma tête contre le mur, fermant les yeux, profitant juste de la musique en fumant mon joint. J'étais encore conscient, mais je divaguais quand même un peu. J'ouvrais les yeux à la question de Veïa, haussant les épaules. « On apprend à vivre sans eux. On peut pas les oublier, car ils sont bien trop importants. Mais on apprend à vivre sans qu'ils soient présents. » répondais-je en soupirant. Je vivais autant ça avec Cora qui était morte, qu'avec Leigh qui refusait de me parler. C'était vraiment pathétique et c'était dans ces moments-là que je me rendais compte que j'avais quand même vachement merdé dans ma vie. « Pourquoi tu me demandes ça ? Qu'est-ce qui t'arrive ? » demandais-je en tournant la tête vers la petite blonde. J'étais curieux et encore plus quand j'étais défoncé. Alors si elle voulait parler, pas de soucis, mais je voulais tout savoir de A à Z.

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Oui , on pouvait apprendre à vivre sans eux c'est ce que je faisais depuis bientôt deux ans. C'est ce que j'avais abandonné sans trop m'en rendre compte pour traverser un océan. J'écoutais ses paroles en fronçant légèrement les sourcils. L'ignorance se faisait facilement quand on avait pas la peur de croiser la personne à chaque seconde, quand elle n'arpente pas les mêmes couloirs et les mêmes classes. Je lui retirais doucement son joint au coin de ses lèvres l'apportant aux miennes. La fumée quelques secondes dans mes poumons avant d'être expiré et s'évaporer. Je le déposais à son endroit initial en buvant une autre gorgée de ma bière. Je me demandais en fait si nous avions déjà été normal quand nous étions ensemble. Vous ne voyez pas la tête dans les brumes, l'esprit bien éclairé et en pleine possession de ses moyens. «Important c'est le cas.» Mes phrases manquaient de sens en plus qu'elles étaient ponctuées d'un accent plutôt énervant. Je le regardais avec un sourire en riant même un petit peu. Il ne faut pas s'en faire pour moi et je ne savais même pas comment t'en parler. «Pour rien.» Une situation beaucoup trop clichée à mon gout.
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— veïa

Cette fille m'intriguait toujours autant. A chaque fois un peu plus. Elle lançait des sujets comme ça, mais elle parlait si peu que je ne comprenais pas. Bon, puis être dans un état second n'aidait pas vraiment à comprendre, on allait pas se mentir quand même. Sauf que voilà, maintenant, elle avait attisé ma curiosité et je voulais savoir. « Tu peux pas me dire rien après m'avoir dit ça ! » disais-je faussement outré, avant de rire. Non, elle ne pouvait pas et je n'allais pas la lâcher maintenant. Qu'elle le veuille ou non, j'allais la faire parler. J'eus alors une idée, me disant que c'était peut-être le seul moyen pour qu'elle s'ouvre un peu à moi. « On va faire un truc. Si je te dis un truc sur moi que tu ne sais pas et que peu de gens savent concernant ma famille, est-ce que tu me diras ce qui te tracasse ? » demandais-je en lui souriant. Pitié, accepte. Parce que je ne voyais pas quoi trouver d'autres comme techniques pour qu'elle accepte de parler. Je finissais mon joint et je me remettais bien pour en rouler un nouveau. J'allais en avoir besoin, surtout si je devais parler de moi.

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