Papotage de filles {olyvia}

PAPOTAGE. DE FILLES.

Quand on entre à la fac on a plus notre maman pour veiller sur nous, veillez à ce qu’on mange bien et qu’on ne saute aucune repas ou encore nous faire de la soupe quand on est malade, ou de la glace quand on est triste. La mère de Malicia est morte quand elle n’avait que 13ans et parfois tout ça lui manquer. Mais entrer à la fac et avoir une colocataire, c’était au final comme avoir de nouveau une maman ou une grande sœur. Malicia veillait sur Olyvia et inversement. Son ancienne bizzuteuse était une amie précieuse et la Lewis avait de la chance de l’avoir. La Lowell ne passait pas un weekend sans sortir ses pinceaux, elle adorait le dessin, la peintre. C’était sa nouvelle passion depuis qu’elle avait tiré un trait sur la danse. Mais depuis son retour de New-York avec les Winthrop, Maya n’était pas beaucoup sortit. Elle passait son temps libre à trainer en pyjama devant la télé en mangeant de la glace. Pas vraiment très constructif tout ça…

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Tu fixais le plafond de ta chambre comme s'il finirait par te parler et te donner les réponses à tes questions. Lawrence était de retour dans ta vie, tu voulais être avec lui, mais tu avais toujours cette petite roue de hamster qui ne cessait jamais de tourner, te posant des questions à ne plus être capable de respirer tellement ça t'angoissait. Tu finis par décider à te lever, remarquant que Maya n'était plus dans la pièce. Tu descendis donc au salon, en pyjama, et la trouva très rapidement. « Hey. Tu vas bien ? » demandas-tu d'une voix rauque, encore endormie. « Tu te lèves tôt... » dis-tu en constatant que la la grande majorité de la Lowell dormait encore... La vie appartient à ceux qui se lèvent tôt, à ce qu'il paraît...

PAPOTAGE. DE FILLES.

Malicia sursauta et fit tomba le verre de lait qu’elle avait dans les mains, le liquide se répondant sur le sol après un «  VRAM » fracassant qui en réveillerait sûrement plus d’une. La Lewis se retourna pour apercevoir Olivia. Elle pensait être seule et ne s’était pas attendu à entendre une voix, d’où cette catastrophe. Elle grimaçait avait de répondre aux questions de son amie. «  Ça va. J’avais du mal à dormir. » Et c’était un euphémisme ! Malicia avait beau se tapé une nuit de 14h ( ce qui n’était pas le cas !) elle se sentait toujours fatigué. Quand on n’a pas le moral, le cerveau ne se repose pas vraiment en fait… «  Mais toi aussi tu ne te lève pas aussi d’ordinaire. Des soucis ? » Dit-elle avant de chercher des yeux de quoi éponger le lait et réparer les dégâts.  

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