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Addison Donahue fiche; terminée C'est le 9 mars 1988 à New York, que la famille Donahue m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Addison. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale très moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'anglais et d'histoire de l'art depuis 6 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Dunster. |
Études Addison est venu à Harvard avec la ferme intention de suivre un double cursus. Ils ne savaient tout bonnement pas trancher. L'art était une évidence pour lui, mais son père a insisté pour qu'il ne le prenne qu'en mineure. Oui, on trouverait plus facilement un travail avec un diplôme plus intellectuel. Ainsi donc, La Littérature Anglaise est sa majeure. Il travaille autant ces deux cursus, et partage son temps libre entre ses livres (pièces de théâtre, biographies, romans classiques...) et ses dessins. Il suit également un cours de peinture, même si le maniement du pinceau n'est pas encore entré dans ses habitudes. | Caractère La première chose que l'on se dit quand on voit Addison, c'est qu'il a l'air bien triste, ce garçon. Peu souriant, vous n'aurez droit la plupart du temps qu'à une esquisse de sourire. Qu'à un léger rire retenu. Les grands éclats et les grands étirements de lèvres, il ne les réserve qu'au bonheur absolu. Une limite quelque peu ridicule avouons-le, mais qu'il a suivi malgré lui depuis son enfance. Il n'est pas triste pour autant, c'est un simple effet d'optique, dirons-nous. Il est juste réservé quant à ses sentiments. Il est aussi relativement solitaire, on le voit souvent flâner seul, trainer seul, voire manger seul. Il n'a aucun souci avec ça. Pour autant il sait se montrer très sociable et même à l'aise en groupe. Il adore les soirées - un peu trop parfois - et y va de bon cœur dès qu'il en a l'occasion. Très libéré, il n'a aucun scrupule à ne jamais rappeler une conquête d'un soir, à coucher avec une fille ivre morte ni à laisser son numéro de téléphone sur l'addition si le serveur était visiblement gay et sexy. Oui, il est bisexuel, ça n'est un secret pour personne et cette partie de lui même l'intéresse énormément. Ses parents n'en parlent pas vraiment, mais tout le monde le sait, ou du moins il ne le cache en rien. Il est vrai qu'il n'est pas fan des grandes déclarations officielles, il vit sa vie comme il l'entend, a-t-il besoin de faire un communiqué de presse au moindre changement ou "fait décisif" ? Clairement pas. Il n'est pas excessivement attaché à ses amitiés, rares sont celles qui durent. Il sait que tout le monde ne suit pas le même chemin, et qu'un changement de voie aussi minime soit-il peut suffire à tout ruiner. Il a aussi du mal à accorder sa confiance, ça ne doit pas aider. Il s'avère être un bon ami quand il en a l'occasion, mais ne s'accroche pas plus que ça. Il a par contre un paquet de connaissances et de "potes". Ca, c'est illimité. Très cultivé et très curieux, il peut vous surprendre lors de vos discussions. Né dans un quartier peu glorieux de New York, il a vécu des choses que vous n'avez peut-être jamais vu ailleurs que dans des séries, et sa maturité s'en fait ressentir. Il a aussi lu énormément, et sa culture commence à être conséquente. Deux choses qui ne vont peut-être pas ensemble, mais sa vie a été ainsi faite. Addison a du mal à donner sa confiance aux autres, mais il a parfois du mal à se faire confiance aussi. Il a l'impression qu'il n'est pas toujours le seul à décider pour lui-même, et que sa conscience n'est pas toujours bien obéissante. Il préfère tout bonnement éviter certaines fréquentations, certaines fêtes, certains films... de peur que cela le fasse flancher. Et il est têtu. Quand il a une idée derrière la tête, bon courage pour le faire changer de cap. Il ne se justifie pas toujours, tant qu'il sait où il va, ça lui suffit. Il ne rend de compte à personne - ou presque - et ne compte pas commencer à le faire. Mais il n'est pas si difficile à vivre, rassurez-vous. Laissez lui son espace, ne le charriez pas trop sur son mode alimentaire (il est végétarien), ne cherchez pas trop après lui, et il sera un interlocuteur des plus agréables. Normalement. |
Everyone Has Their Own Story
Ah, New York. C’est bien là que tout a commencé. Un jeune homme de l’Iowa était venu y chercher un certain renouveau, un but ou un quelconque signe. Il n’avait pris qu’un billet d’aller, n’avait prévu aucun retour. Il ne trouva ni succès ni ne gagna au loto. Il rencontra juste une fille, de Brooklyn. Mais c’était elle son renouveau, son signe du destin et le nouveau but de sa vie. Les trois à la fois.
Ils se marièrent rapidement et le pauvre homme laissa de côté une bonne partie de ses rêves. Il avait la fille parfaite, c’était déjà bien assez. Il oublia ses projets d’atelier d’artiste et de renommée, et accepta les jobs qu’il trouvait. Elle en fit de même dès sa première grossesse. Elle ne possèderait ni boutique Hype ni ne travaillerait pour un styliste. Elle devint couturière pour un magasin de robes de mariées, mais ils ne vendaient pas de Vera Wang.
Ils eurent un fils, James, et trois années plus tard un second, Addison. Ils avaient aussi un petit pavillon semblable aux cents autres du lotissement, des milliers d’aiguilles et de bobines, ainsi qu’un camion. Il était chauffeur.
Un père sur les routes, une mère petite main dans un atelier, un logement des plus ennuyeux… Pour s’occuper, les gamins sortaient, ils trainaient, et ce dès leur plus jeune âge. Ils étaient des milliers dans la même situation, de quoi tisser des liens. Addison marcha dans les traces de son ainé un moment, puis pris enfin son propre chemin. Le premier volait des voitures et commençait à remplir son casier judiciaire avec sérieux, le second piquait ses bras et remplissait ses veines avec désinvolture. On s’amusait comme on pouvait quand on avait ni rêve ni ambition. Pourtant ils étaient jeunes, mais livré à soi même dans un quartier terne, on grandit plus vite que les autres gosses du même âge. On ne devient pas mature pour autant, mais on vit davantage. On accumule les expériences deux fois plus vite.
Addison a fini par remonter la pente, à son rythme, doucement, mais surement. D’abord, un accident de voiture lui fit prendre conscience du danger de ses conduites à risque. Il s’en était fallu de peu pour qu’il ne soit coupable de la mort d’une de ses amies. Dès lors, il se jura de prendre soin d’elle, comme son propre frère ne l’avait jamais fait, l’entrainant dans ses sales coups dès ses neuf ans… Arwen, avec qui il partageait tout (surtout la came), lui a alors lancé le défi d’arrêter si elle arrêtait. Ils tiennent à ce jour encore cette promesse, tous les deux. Parallèlement, une visite dans un prestigieux musée de New York, organisée par le seul professeur qui s’intéressait à eux, lui donna cette étincelle qui manquait à sa vie. L’art, tiens, c’était une chose intéressante. Plutôt que de se défoncer, Arwen et lui partaient donc visiter des galeries d’art, des expositions et des musées. Et rapidement, Addison trouva une autre façon de dépenser son argent. Dans les livres ! Ca occupait le temps, ça se gardait, ça se prêtait, et ça permettait de nombreux débats et tout un tas d’ouvertures sur d’autres lectures possibles. Lui qui gamin n’ouvrait jamais un bouquin, voilà qu’il prenait goût à la lecture. Pire, à la Littérature. Ses parents se tournèrent davantage vers lui, laissant peu à peu James à ses magouilles et ses déboires, pour soutenir leur benjamin. Son père accepta de nouveaux contrats pour lui payer un professeur particulier, sa mère lui trouva un travail saisonnier dans le magasin qui commercialisait ses robes, il y appris le relationnel et le sens des responsabilités… Addison voyait enfin une issue lumineuse et tentante. Il prenait confiance en lui, oui, il valait mieux que son frère, mieux que bien d’autres qui n’essayaient rien. Il n’avait qu’une vie, il ne fallait pas qu’il gâche ses chances.
Il travailla avec sérieux et tourna le dos à toutes ses anciennes fréquentations – sauf Arwen, qui tenait toujours sa part de leur promesse – il finit même par quitter New York pour Cambridge. Pour Harvard ! Il bénéficie bien entendu d’une bourse d’études, mais il y est pour de bon, pour ses capacités, sa culture contrastée et ses motivations personnelles. Il y suit des études de Littérature Anglaise et d’Histoire de l’Art. Il ne sait toujours pas ce qu'il va bien pouvoir faire plus tard, mais New York lui manque plus que tout, ce sera forcément vers la grosse pomme qu'il se tourna. Il espère néanmoins réussir à changer de quartier...
A Harvard , il fricote avec la gente féminine – et masculine ! – et trie sur le volet les soirées auxquelles il veut bien se montrer. Il évite les grosses débauches, il a toujours peur de retourner vers ses anciennes amours hallucinatoires, mais il ne sait résister à l’appel de la fête. Grand épicurien, il croque la vie à pleines dents. Et dévore toujours autant les pages de ses livres.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Argus ↬ ÂGE - 23. ↬ PAYS/RÉGIONS - Paris. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Dans mes favoris. ↬ TES IMPRESSIONS - Toujours aussi beau et attractif. ↬ CRÉDIT(S) - avatar glass skin ; bannière Tumblr ; icône Satsun29 LJ ↬ AVATAR - Eddie Redmayne ↬ SCÉNARIO OU PI? - Scenario de Arwen Percey. ↬ LE MOT DE LA FIN - Là j'ai rien qui me vient |
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