Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityplease forgive me, you know i want you. ✻ (W/BRIANNA)


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please forgive me, you know i want you.
feat. Brianna Koch
Des semaines qu'elle m'ignore, qu'elle ne me donne plus de nouvelles et tout ça pour quoi ? Parce qu'elle m'a vu avec Désirée la dernière fois au centre commercial, je ne faisais que parler avec la belle blonde et Bri s'est emportée, me tapant sa crise avant de partir et depuis plus de nouvelles. Je savais que si je ne faisais pas le premier pas, ce crique allait durer encore des semaines alors je prenais sur moi pour aller la voir ce soir, j'ai du avant aller en cours, une journée longue mais depuis quatre ans je suis habitué alors une fois la journée de cours terminée, je prenais ma Porsche sur le parking pour rentrer chez moi. Oui chez moi pour me débarrasser de mon sac de cours et de prendre une douche aussi, je voulais pas arriver chez elle en puant la sueur, elle déteste ça donc j'ai pris une douche, je me suis changé optant pour un pantalon en soie et des mocassins et un polo, rien de superflu mais c'était classe et parfait pour aller la voir. Prêt, je reprenais ma voiture pour quitter Cambridge et rouler jusqu'à Boston et en une vingtaine de minutes je me garais devant chez elle. Descendant de ma voiture, je la verrouillais puis sur le chemin pour aller à sa porte d'entrée, je regardais ma montre, elle affichait dix-neuf heures, j'espérais qu'elle était là et seul de préférence, je n'ai pas envie de tomber sur Cooper, au pire j'improviserais, ce n'est pas un problème mais autant qu'elle soit seule. Je toquais à sa porte, elle ne s'attendait pas à me voir et tant mieux, j'attends qu'elle vienne m'ouvrir aussi sinon c'était clair qu'elle ne m'aurait pas ouvert la porte si je m'étais annoncé. La porte s'ouvrait, elle apparaissait « Hey Bri. » lui dis-je, je voyais bien que son regard s'était figé en me voyant « Me claque par la porte au nez s'il te plait, je suis venu m'excuser. » ajoutais-je restant sur le seuil de la porte, espérant qu'elle accepte de me faire rentrer.

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too late to apologize


luka & brianna

Tu t'ennuyais. En fait non, pas vraiment. T'étais en train de terminer un rapport mais... Ce rapport t'ennuyait. Ca faisait des heures que tu bossais dessus et tu avais juste envie de tout envoyer bouler. Oui, tu étais de mauvaise humeur. Tout simplement parce que tu avais encore eu un appel de ton manager qui te demandait d'apparaître à un tel endroit un tel jour avec, bien entendu, Cooper. of course. Comme si la soirée de lundi au Met Gala à New York n'avait pas suffi pour rendre les photographes en délire. Non, il en fallait toujours plus pour eux. D'un côté, ça ne te dérangeait pas, enfin, ça ne t'aurais pas dérangé si tu y avais été seule. Mais non, tu t'étais retrouvée affluée d'un Cooper au bras. Depuis deux semaines déjà que cette mascarade persistait. Vous aviez même emménagé ensemble alors que tu étais très bien chez les Eliot. Pour montrer la solidarité et le sérieux de votre couple, qu'avait dit ton manager. La. Grosse. Blague. Si encore vous vous entendiez bien, ça ne t'aurait pas gêné - ou peut-être que si en fait - mais c'était la guerre entre vous. Et c'était FA-TI-GANT. En plus, son visage. Arg, tu avais envie de le défigurer. Il n'avait pas le droit d'avoir un visage comme ça. D'avoir Son visage.

Et tandis que tu rageais toujours sur ton rapport, la sonnette de ton appartement retentit. Tu jetais un coup d'oeil à ta montre. 19h. Cooper? Non, il avait les clefs lui. Tu savais pas où il était. Et à vrai dire, tu t'en fichais. Tu te levais donc et allait ouvrir la porte. A la vue de la personne qui se tenait juste devant, tu te figeais. Lukà. Bordel, ce n'était vraiment pas le moment. T'avais pas envie de te prendre la tête avec lui en plus. Il était venu s'excuser qu'il te disait. S'excuser de quoi encore? Ah oui. Le souvenir de Lukà en train de flirter avec une pimbêche te revint à l'esprit, ce qui te fit plisser les yeux. « Ah ouais? Et t'excuser de quoi au juste? » En gros, c'était quoi la connerie que t'avais fait hein? Que cherchais-tu à te faire pardonner hein? Les bras croisés, tu le regardais, une expression totalement fermée sur le visage.
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