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La nourriture réunit les personnes
~ ft. Andrew~
Je revenais de l’école pour l’une des rares fois. En fait, j’essayais de me forcer ces derniers temps pour y aller. Ça me changeait les idées. Bien sûr, je prenais des tonnes de café pour rester attentive parce que sinon je partais dans la lune, mais j’étais présente au moins. Je me dirigeai vers mon véhicule. Une fois à l’intérieur, je barrai les portes et vérifia mon téléphone. Ah ! Andrew serait à la maison ! C’était rare ces derniers temps. Il avait beaucoup de travail au boulot en plus de l’école et sans oublier sa vilaine blessure que le temps guérissait. J’imaginais qu’il devait aussi faire de la physiothérapie pour arranger ça.
Je le textai rapidement avant de partir que j’étais pour nous prendre quelque chose à manger sur mon chemin du retour. Je partis en me dirigeant vers la ville. Je passai devant quelques restaurants avant de choisir du chinois. Quoi de mieux ! J’avais juste à prendre plein de choix de mets et mettre le tout sur le comptoir et on mangerait à la bonne franquette ! On pourrait même manger devant la télé aussi, mais à cette heure là ces toujours les nouvelles qui jouent et ça me rend de mauvaise humeur. C’était rarement des bonnes nouvelles qu’on y voyait, seulement des tristes ou négatives. Ça me rendait maussade de les écouter.
Arrivée à la maison, je stationnai et je sortis mes sacs. Il n’était toujours pas arrivé. Je déposai mon sac d’école dans un coin, le plus loin possible de ma vue, et me dirigeai vers la cuisine où il y avait l’ilot central avec le comptoir lunch. Je montai sur un de nos bancs et j’ouvrai le sac contenant la nourriture. Une délicieuse odeur s’en dégagea pendant que je commençai à déposai les plats sur le quartz. J’entendis la porte d’entrée qui s’ouvra.
-Ici, dans la cuisine, criai-je pour que mon cousin puisse m’entendre.
Je le textai rapidement avant de partir que j’étais pour nous prendre quelque chose à manger sur mon chemin du retour. Je partis en me dirigeant vers la ville. Je passai devant quelques restaurants avant de choisir du chinois. Quoi de mieux ! J’avais juste à prendre plein de choix de mets et mettre le tout sur le comptoir et on mangerait à la bonne franquette ! On pourrait même manger devant la télé aussi, mais à cette heure là ces toujours les nouvelles qui jouent et ça me rend de mauvaise humeur. C’était rarement des bonnes nouvelles qu’on y voyait, seulement des tristes ou négatives. Ça me rendait maussade de les écouter.
Arrivée à la maison, je stationnai et je sortis mes sacs. Il n’était toujours pas arrivé. Je déposai mon sac d’école dans un coin, le plus loin possible de ma vue, et me dirigeai vers la cuisine où il y avait l’ilot central avec le comptoir lunch. Je montai sur un de nos bancs et j’ouvrai le sac contenant la nourriture. Une délicieuse odeur s’en dégagea pendant que je commençai à déposai les plats sur le quartz. J’entendis la porte d’entrée qui s’ouvra.
-Ici, dans la cuisine, criai-je pour que mon cousin puisse m’entendre.
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