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estabel | la plaie, le retour.

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LA PLAIE, LE RETOUR
— with esteban jimenez.


Tu rumines sur ton lit, le bal de fin d'année approche et t'as toujours pas de cavalier. Et t'iras certainement pas seule, faut pas rêver. Au pire t'iras pas, puis c'est tout. Tu resteras devant ta télé, devant Netflix et tu seras bien plus tranquille que si tu dois aller à un bal de fin d'année toute seule. C'est la loose un peu. Tu pourrais proposer à Coline mais t'es sûre qu'elle a déjà quelqu'un pour y aller avec elle, alors bon. Tu verras bien, en attendant, tu tapotes sur le clavier de l'ordinateur, attendant impatiemment qu'Andrew te donne autre chose à faire que de passer des appels à des sociétés dont le patron est aussi froid qu'un congélateur. Tu continues de taper un compte-rendu de réunion en chantonnant dans ton bureau avant de te rendre compte que toutes les lumières sont éteintes, qu'il n'y a plus personne au bureau. A part Andrew vu que tu vois par le dessous de la porte qu'il y a encore un faisceau lumineux. Tu cours alors jusqu'au frigo et tu sors deux pasta box. Bon, ce n'est pas un repas de roi mais tant pis, tu fais avec les moyens que t'as. Tu toques doucement a la porte, et tu secoues les deux boîtes de pâtes avant de t'installer en face du bureau de ton chef. « J'ai fini de taper les comptes-rendus des dernières réunions. Et j'ai appelé toutes les sociétés que j'avais à appeler. J'ai préparé les plans des deux prochaines réunions aussi. J'espère que ça te conviendra. » Tu prends une fourchette de ta boîte de pâtes et tu souris quand Andrew te répond que c'est parfait, que tu fais du bon boulot. Lorsque tu finis ta nourriture, tu salues Andrew et tu balances la boîte dans la poubelle près de la machine avant de regarder l'heure. 23 heures. Comment as-tu pu rester autant de temps au travail sans même t'en rendre compte ? Tu voulais tellement bien faire que cela ne t'étonne pas vraiment. Tu te frottes les yeux en prenant le métro et une idée te traverse l'esprit. Tu sais à qui tu vas demander pour être ton cavalier au bal. Tu te frottes les mains d'avance, sors à la bonne station de métro. Tu remercies Andrew d'avoir pu obtenir cette information et tu avances, a la lumière des réverbères jusque chez Esteban. Une fois en bas de chez lui, tu fais le tour, tout est noir. Aucune lumière. Tu cherches ou sa chambre pourrait être et tu tentes une fenêtre. Tu te baisses, attrape quelques cailloux et tu les balances contre sa vitre, un par un « PSSSSSSSSSST Esteban !! » il va te tuer. Mais t'espères que t'arriveras à le faire rire tout de même.
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« le retour »
Jezabel & Esteban
La soirée est déjà bien entamée. Allongé sur mon canapé, dans le noir et les bras croisés derrière la tête, je fixe le plafond, perdu dans mes pensées. Ah, Giorgia... L'italienne qui bosse dans les bureaux du bâtiment de police, me pose beaucoup de problèmes, même si cela fait quelques jours que nous ne nous sommes pas vus. A cause de moi, je préfère rester dans mon coin pour réfléchir. Nous avons finalement couché ensemble, chez elle. Et je me retrouve avec les mêmes questions, toujours les mêmes craintes. Et ça ne mène à rien, il faut que j'arrête de me prendre la tête, ce n'est pas mon genre. Je n'ai juste pas envie qu'elle soit attaché à moi.
Un soupire franchit mes lèvres. Je ferme les yeux, colle mon poing contre mon front et me donne plusieurs petits coups. Comme si ça allait m'aider. Je tends le bras, attrape la bière qui se trouve au sol à côté de moi et la porte à la bouche pour en boire une longue gorgée. Pas si longue que ça finalement, il n'y avait presque plus rien. Blasé de ne pas pouvoir assouvir ma soif. Finalement je me lève pour me diriger vers le frigo. J'y prends une nouvelle bière et bois sans tarder. Un bruit se fait entendre dehors. Plus précisément a ma fenêtre. Je pose la bouteille sur mon plan de travail, et je marche jusqu'à dans ma chambre. Je ne peux pas sortir, étant donné que je ne porte qu'un simple short. Les bruits se faisaient toujours un peu plus fort, et mon défaut professionnel fait que je me cache pour zyeuter dehors. Je fronce automatiquement les sourcils a sa vue. " Putain pas elle... " dans un soupire, pendant que j'entends sourdement ses 'psssssst' . Voir son visage me fout dans une rogne monstre, aussi agréable soit-il à regarder en temps normal. Mais elle me connaît, elle n'a pas peur. Je me positionne alors devant ma vitre, et j'ouvre pour passer ma tête que je penche. D'un chuchotement assez agressif "Mais c'est pas vrai. Qu'est ce que tu me veux encore?" Et comment elle a eu mon adresse d'abord? J'appuie mes mains sur le rebord, la regardant toujours d'en haut.


electric bird.

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LA PLAIE, LE RETOUR
— with esteban jimenez.


Toi qui n'a pas grand mal à faire comprendre à un homme qu'il t'attire, la, tu te sens au pied du mur. Comme s'il était bien trop inaccessible, inatteignable. Tu n'sais pas quoi faire, t'as un peu peur de la suite. Mais tu te caches derrière ta carapace, derrière cette fille assez relou, mais attachante. Enfin tu penses, t'espères en tout cas qu'il ne te déteste pas. Tu sais pas vraiment pourquoi tu fais ça. Dans le métro, ton esprit vagabonde, tu te demandes comment il va te recevoir, s'il va même te répondre. Si tu dois sonner, trop de possibilités se positionnent dans ta tête avant que tu ne trouves une idée complètement loufoques, comme toi. Une fois que tu sors du métro, tu fais un beau doigt d'honneur à une personne qui te dit que tu as un beau petit arrière-train et tu te remets à penser. Et s'il te déteste, et s'il ne veut pas venir avec toi au bal ? T'as un peu peur qu'il refuse, tu ne sais pas s'il acceptera. Et de toutes façons, s'il n'accepte pas, tu n'iras pas au bal. C'est tout. C'est simplement ça. Puis il te doit un verre, t'as pas eu le temps de le rappeler. Puis en même temps, il ne t'a pas envoyé de putain de textos. Ça aussi, tu l'as en travers de la gorge, mais t'étais exécrable ce jour-là, alors c'est compréhensible. Quand t'es devant sa fenêtre, tu te prend pour le petit poucet et tu les balances. Tu attends quelques secondes, secondes qui s'étirent encore et toujours avant d'abandonner et de passer aux appels. Tu serres les dents avant de te dire qu'il vaut mieux que tu partes, mais tu vois sa tête à la fenêtre et tu souris, peut-être trop. Qu'est ce que tu veux ? « J'ai un truc à te proposer ! Laisse moi entrer s'il te plaît ! Promis, je serais pas chiante. » Tu passes une main autour de ta mâchoire avant de lever la main « ATTEND JE MONTE ! » Et tu te prends pour un ninja que tu n'es pas, montant par la gouttière. Au bout de cinq petites minutes, tu arrives à sa fenêtre, fatiguée et tu lui souris « Je reste pas longtemps, j'te le jure ! Mais t'as une bière ? J'ai soif. Et après j'te dis c'que j'veux et j'me casse ! Promis ! » T'embrasses une nouvelle fois sa joue cela en deviendrait presque gênant avant de rentrer dans sa chambre. Situation totalement bizarre qui se projette devant tes yeux. Mais tu ne laisses rien paraître, laissant une fille sûre d'elle prendre le dessus. Alors que pas du tout.
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« le retour »
Jezabel & Esteban
Et dire que je venais d'abandonner ma bouteille de bière pour elle. Je ne sais comment expliquer ce que cette demoiselle représente pour moi. Mais en règle général, c'est quelque chose qui se rapproche de l'enfer. Ouais bon, j'abuse un peu. Mais il faut s'avouer que nos moments sont rarement calmes et reposants. Même quand Jezabel me promet de ne pas être chiante, j'ai du mal à y croire. Ma bouche s'entre ouvre pour lui répondre que je vais descendre pour prendre le risque de la laisser entrer ; sauf que sa main se lèvre pour m'interrompre. Mon silence règne, et quand elle informe qu'elle va monter, j'ouvre grands mes yeux. " Qu..Quoi? Monter où? " J'ai rapidement ma réponse quand elle commence a se prendre pour un singe sur ma gouttière. Je soupire en laissant ma tête tomber comme ci mon cou ne la tenait plus. Mais je ne pouvais pas retenir mon rictus qui se forme sur mon visage. Elle n'est vraiment pas possible cette nana. "Jezabel, ne va pas te faire mal." Faut croire que je m'inquiète pour la jeune brune. Quelques instants passent, et une fois non loin, je me recule un peu en avançant une de mes mains comme pour qu'elle puisse la saisir. "Tu ne  veux pas poser tes pieds sur le sol avant de faire le moulin à paroles?" J'en serais plus rassuré, et je pourrais penser à lui offrir une bière ensuite. Quand son corps passe la fenêtre, sa bouche vient s'écraser sur ma joue. J'en hausse les sourcils, et je me tourne ensuite pour pouvoir la regarder. "Avant toute chose. Comment as tu eu mon adresse?" Mon corps se penche pour attraper un t-shirt que j'enfile rapidement.

Une fois la réponse entendu, je lui fais signe de me suivre jusqu'à dans la cuisine. J'ouvre mon réfrigérateur. Quelques secondes, et je le referme la boisson en main. Je l'ouvre à l'aide du petit outil prévu pour, et je la tend à mon invitée surprise. Je ne savais même pas l'heure qu'il était. Appuyé sur mon plan de travail, je reprend ma bouteille abandonnée un peu plus tôt, et j'en bois une gorgée. Léchant mes lèvres, je me montre curieux. "Bon. Qu'est ce que tu veux? Ca à l'air important, vu comment tu as joué la ninja. " Et ma main se pose sur ma bouche pour me retenir de rire.

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LA PLAIE, LE RETOUR
— with esteban jimenez.


T'es trop impulsive, ta mère te le dit souvent, même quand t'étais enfant elle te le disait alors tu commences à te dire qu'elle a peut-être raison, mais t'aimes pas t'ennuyer dans ta vie et quand tu sens que c'est le cas, tu t'envoles dans un pays qui a besoin d'aide ou alors tu fais des choses insensées comme tu le fais actuellement quand t'es devant la maison de ce flic que tu aimes autant que tu détestes. Enfin tu l'aimes, c'est un bien grand mot mais tu ne peux pas dire que t'es pas heureuse quand il est près de toi. Non, c'est même tout l'inverse, t'as l'impression qu'il peut te faire devenir une toute autre personne avec des mots, des gestes. Gestes qui ne sont jamais là, mais les mots. Il n'a pas la langue dans sa poche, il ne se retient pas de te dire ce qu'il pense et t'es bien contente « Ba monter dans ta chambre imbécile heureux ! » Imbécile heureux, t'aimes bien appeler les gens comme ça, au moins ils ne pensent pas que tu les prend pour des imbéciles, c'est déjà ça. Tu ne sais pas ce qu'il te prend de passer par le chemin le moins facile d'accès, une gouttière. Toi qui ne supporte pas le vide, tu t'intimes de ne pas regarder en bas et t'entends qu'il s'inquiète pour toi alors que t'es la plus concentrée du monde. Tu ne dis rien, mais t'es bien contente de voir qu'il s'inquiète pour toi et que donc, il ne te déteste pas. Tu attrapes la main qu'il te tend et tu entres en sautillant après qu'il t'ait demandé de le faire. Moulin à paroles, ça résume bien la situation en vérité. Encore trop impatiente, impudente, tu regrettes presque d'avoir déposé tes lèvres sur sa joue et quand il te demande comment tu as eu son adresse, tu prends un air grave et sérieux pour lui répondre « Avant toute chose, j'ai des indics monsieur. » En fait, t'as juste chercher sur internet, google est ton ami. Sauf quand Internet plante et que t'as envie d'envoyer ton ordinateur à travers la fenêtre. Quand il attrape un tee-shirt et qu'il l'enfile, tu fais une moue boudeuse avant de rajouter « Oh ben non, j'aimais bien le spectacle que tu m'offrais Jimenez. » T'éclates de rire avant de reprendre ton souffle, t'es sportive, mais pas à ce point là. T'as l'impression que ton coeur va s'extraire de ta poitrine et tu soupires un grand coup quand tu arrives enfin à reprendre ton souffle.

Une fois ton souffle repris, tu souris en le suivant jusque dans la cuisine, ton regard se déposant un peu partout dans l'habitation, tu ne pensais pas qu'il avait autant de goût en matière de décorations et t'es plutôt fière de lui pour le coup. Tu t'imaginais plus une garçonnière avec les bières et les pizzas qui vont avec, le bon gros cliché du mec célibataire en somme. Mais est-il au moins célibataire ? Ca se trouve, il a une copine, une femme même. Et un chien. Un gros chien. Le deuxième cliché du jour bonjour. T'attrapes la bière qu'il te tend et tu en bois quelques gorgées pour étancher la soif avant de l'entendre te poser une question sur ta venue. Bon. Respire Wellington, ça va le faire. Tu passes une main dans tes cheveux et baissant la tête tu parles à un débit totalement rapide « Ba en fait, y'a le bal, à la fac, et j'veux pas y aller toute seule ni même avec un clampin qui voudrait que j'le paye en nature après alors j'voulais savoir si tu voulais venir avec moi. Genre, en costume et tout. J'suis sûr que tu serais super canon après ce que j'ai vu il y a quelques minutes dans ta chambre. » Bon. La dernière phrase était peut-être de trop, mais tu ne peux pas revenr en arrière, tu sais qu'il a entendu, alors pour oublier, tu bois encore une gorgée de bière et tu poses ton regard sur cet homme que tu ne connais que finalement trop peu.
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