❉ lucky you (lukà)

LUCKY YOU Je pensais pas repasser à la bibliothèque de Harvard aussi rapidement depuis que j'étais revenue. Sachant parfaitement que mon année était foutue et que j'allais la redoubler, j'avais plus rien à perdre donc je ne travaillais pas. J'allais pas passer les examens à mon avis, quoi que, je verrais bien mais en tout cas, c'est les vacances. J'avais juste remarqué que j'avais encore des ouvrages qui appartenaient à la librairie du coup je devais passer les rendre avant qu'on me colle un avertissement pour vol de documents ahaha. J'ai assez eu de problème avec la justice avant de partir. Une fois mes livres rendus, et avoir fait la queue pendant de longues minutes juste pour déposer ce foutu livre, je prenais le chemin de la sortie quand mon regard se posait sur un visage familier. Oh tiens, j'ai trouvé mon occupation, je ne savais pas quoi faire. Je m'approchais de lui, comme une gamine qui s'apprête à faire une connerie. Mais dis donc.. c'est qu'il bosse dur ! Je rigolais, avant de m'asseoir face à lui. Salut Lukà, la dernière fois que je l'avais vu c'était à Jaipur, et j'avais été étonné de bien m'entendre avec lui. Comme quoi, rien n'est impossible dans ce monde !

lucky you.Ça faisait deux bonnes heures que j'étais à la bibliothèque, j'avais besoin d'ouvrages pour mes révisions et c'était l'endroit rêvé même si d'habitude je préfère de loin réviser chez moi mais bon, venir ici est tout autant bénéfique. J'étais en plein sur l'installation politique dans les infrastructures étrangères, un chapitre relativement difficile mais je m'en sortais, je m'en sors toujours et sans m'en rendre compte je suis dérangé par cette jeune fille qui vient de s'asseoir en face de moi. En levant les yeux, je me rend compte qu'il s'agit de Jeisa, j'avais un sourire sur les lèvres « Jeisa Batista, ravis te te revoir. » lui dis-je, la dernière fois que j'ai vu c'était lors d'un voyge humanitaire que j'avais fais, j'étais restés environ deux semaines et on avait appris à se connaitre, elle était très sympathique et je sens que le feeling passe entre nous, tant mieux. « Comment vas tu ? » lui demandais-je, sourire aux lèvres