Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTu croyais être débarrasser de moi ? -- MIA
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Tu croyais être débarrasser de moi ? -- MIA

Anonymous

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Remettons le contexte bien en place. Chili, mois de mars, nous sommes en plein Spring Break, tout n’était que rigolade et follerie. Quand tout a coup, l’enfer s’abatti sur nos têtes. Un tremblement de terre, un volcan, et tout ce qui s’en suit, la dernière chose dont je me souviens c’est la douleur de tout mon corps alors que les gens criait, hurlait, pleurait, souffrait. C’est la panique générale, et moi, je suis assis dans cet abri, a la limite de la conscience…Puis ce fut le trou noir, le gouffre, le néant.
Nous sommes a présent fin avril, un mois et demi est passé, et rien n’a changé. Allongé dans ce grand lit blanc, relié de tous les cotés à un tas de machine me gardant en vie et qui brise le silence mortuaire de la chambre. Depuis mon admission ici, mon état est resté critique, frôlant plusieurs fois la fin définitive, ayant subi plusieurs opérations, surtout pour stopper des hémorragies internes et retirer des caillots se formant dans mon organisme venant encore plus foutre le bordel.
Alors que jusqu’à présent je nageais comme sur un nuage, bien apaisé, serein, sans douleur, je me sens aspiré par un vague et je me sens m’écraser violemment. Je sens une multitude de chose, déjà ce tube dans ma gorge, me permettant de respiré, puis un nombre impressionnant de perfusion. Mes paupière sont si lourdes mais je lutte pour les ouvrir, bien que je ne verrai rien de plus, je suis perdue, désorienté, j’essaye de bouger mais mon corps me fait mal comme s’il était devenu de pierre. L’impression d’être au tremblement de terre me reviennent, je commence un peu un paniquer, essayant de bouger pour sauver ma peau mais le moindre mouvement est un calvaire c’est comme si j’étais emmuré dans mon propre corps. J'ai l'impression d’étouffer avec ce tube dans la bouche, j'essaye de le retirer mais rien a faire.
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comme tous les soirs je veille mon meilleur ami.J'ai du boulot par dessus la tête mais jamais je louperais un soir. Apart quand j'etais a new york mais Phil voulais que je vienne pour me changer les idée et il m"avait faitbla promesse de me ramené le plus vite possible si il y avait le moindre changement.
Comme tout les sois je suis la au chevet de son lit. Sauf que ce n'es pas un soir ordinaire je le vois. Bouger pour essayer de s'arraché son respirateur.
Keeran, écoute moi t'es a l'hôpital!!!!!!! Ne bouge plus. je venais passer ma main dans la sienne
Je suis la keekee calmr toi... je bouge pas Je sais qu'il ne vois rien maid je pleurais.
J'appuyais sur le bouton pour les infirmieres.
bonsoir monsieur bouger pas on vas vous enlever se tube. et l'infirmière s'excuta en lui amenant un verrre d'eau.Elle lui avait aussi mi la canul dans le nez en le prévenant bien. Ils savent qu'il est très mal voyant
Comment tu te sens
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