Knox A. Milkovitch ► Jake Bass

Une course :


Je le regarde, je sourie face a t’en d'ignorance, de naïveté de sa part, je ne suis pas un petit con de première base, je suis une personne un peut plus haute placer, je ne suis pas un simple petit chauffeur, non je suis la star montante du rallye automobile, j'ai tourner aussi en F1 mais que peux de sensation il faut se l’avouer que les meilleurs sont quand le risque est présent a chaque seconde que l'adrénaline coule le long de tes veines et envahie ton corps comme une émotion nouvelle, comme un nouveau toi qui naît pour quelques secondes, minutes ou heures. Je ris derrière mon volant, se jeune vieux croûton veut me défier bien, j’enclenche le mode turbo, j’ajuste ma paire de lunettes de soleil sur mon nez, je fais vibrer le moteur alors que lui fais crisser ces pneus sur le bitume chaud, il use sa gomme, amateure. Le feu va bientôt passer au vert, je lui fais un signe de la main, et même pas 1/4 de seconde plus tard me voilà devant cet idiot, j’accélère, je ne le vois plus derrière moi, au volant de ma porsche les paysages de la ville défilent tel des ombres, j'aime cette sensation, se ressentis de liberté, de bien-être je me sens moi, hors de toutes ces pressions qui m'entourent. Le bout de la ligne droite, je ralentis considérablement, il n'y a pas d'enjeu, le gugusse me double et me fait un doigt d'honneur, je hausse un sourcil, me préparant à voir comment il compte négocier le virage a la vitesse avec laquelle il arrive, je sais qu'il va aller s'empaler dans le poteau et je soupire d'avance, je devrais faire devin, car c'est exactement se qu'il lui arrive, l'accident se passe sous mes yeux, ce n'est pas pour autant que je m'arrête, j'ai un rendez-vous, il a voulut jouer au plus malin, il a perdu. Je ne ralentis même pas, la voiture a volé en éclats se fendant en deux et je continue mon chemin. Je ne suis pas insensible, mais il ne faut pas jouer au plus malins, car il y a toujours une justice, elle est cruelle, elle est dure mais, et alors ? Il y a la vie et il y a la mort.


Un combat :


J'arrive dans la ruelle, je me gare et je pénètre a l’intérieur des bâtiments que je connais par cœur, c'est le club de boxe de la ville, pas le plus prestigieux, mais les activités qui y sont pratiquer me conviennent mieux. Je n'aime pas le classique, les combats a la régulière c'est chiant, puis quand on finit sur un vrai K.O c'est plus excitant, de devoir se battre pour sa survie, pour son argent. Car oui, il a aussi les paris, j'aime l'argent et j'aime le jeux tout autant. Je pose mon sac de sport dans un des casiers avec mes clés et je rejoins le groupe qui c'est déjà formé je suis dans mon éléments, je souris je connais presque toute les personnes présentes, il faut dire que cela fait un moment que je traîne dans le milieux. Je prends les paris pour se soir, j'augmente certaine cote, mais ce combat est truqué je sais déjà qui va gagner, se sont deux amis a moi, de pote de l'équipe de Hockey pour le premier combat, pour le deuxième c'est des connaissances des terrains de sport que je vais voir les matchs de base-ball et le troisième malheureusement je ne sais pas qui seras sur scène vu que se sont des combattants tiré au sort.  Mais je devrais me faire une bonne marge rien que pour le premier combat. (...je vous passe les détails…) J'empoche les dernier billet de la fin du combat numéro deux, je compte partir avant le trois, sa me fait chier de voir des amateurs ridicule tiré au hasards dans le public se battre, ils sont si nul. Mais malheureusement un de mes parieurs me tient la jambe, plutôt anormalement je dirais. Car oui je blablate, mais la c'est étrange cette impression qu 'il le fait exprès, mais je sais parfaitement pourquoi, il veux que je sois sur le ring, j'ai eut le malheur de m'y être retrouvé a plusieurs reprise, et les combats ont semblait plaire a beaucoup de monde, mais se soir je ne veux pas, j'ai un repas de famille le lendemain, et si je reviens pleins de bleus, mes frères poseraient trop de questions, c'est pas que je les aimes pas, au contraire je les aimes pus que ma propre vie, ils sont si géniaux, surtout Nash, il est un peu mon model. Ce serait sûrement lui qui me poserait le plus de problèmes, étant donner qu'il va croire que je me suis encore mis dans la merde, alors il faut a tout prix que j'évite le conflit.  Mais quand une armoire a glace bloque la porte et vous regarde avec insistance et que le patron vous fait un grand sourire et que vous voulez absolument pas le vexé car vous devez remettre les pieds dans ces locaux, ba vous subissez en silence et surtout fermez vos gueule d'ange. Je serre les dents trop conscient de la situation, je discute le tire au sors est fais et comme par magie je me retrouve sur le ring … Par contre mon adversaire je l'aime pas, mais alors pas du tout, je ne doute pas de moi, mais fasse a un type qui fais deux fois ma taille en largeur je me la ramène moins, mais je reste confiant, j'ai déjà mis pire au sol, mais le combat n'étant pas régulier et me semble pas asses improvisé, se type je l'ai vu, je ne sais pas encore ou, mais il si ma mémoire ne fais pas défaut c'est l'un des garde du corps d'un type à qui j'ai du arnaquer de l'argent, aller savoir lequel.  Je ne vais pas rentré dans les détails du combat, j'ai perdu, pas lamentablement, je me suis défendu du mieux que j'ai put mais après plus de deux heures de lutte, je manque d'endurance, alors j'ai finit a terre, je peux vous dire que ceci ne m'as pas fais plaisir du tout, mais alors absolument pas, je me vengerais. Je ressorts fou de rage, je ne me soigne pas sur place, j'ai tout chez moi, je suis en sang, mes cotes me lances, je lance une petite insulte en russe que je tiens de mon père. Je conduis plus prudemment, car mes yeux sont lourd, je suis fatiguer et je compte bien dormir jusqu'au lendemain. La leçon que je viens de me prendre n'est que l'une des conséquences de mes nombreux actes, mais ceci  ne m'apprend rien, je m'en fou j'aime vivre ainsi, dangereusement. Je me douche pour retiré le sang de ma peau et me soigne du mieux que je peux, prend plusieurs cachets et règles mon réveil pour 1Oh car à 12h il faut que je sois a la maison pour le fameux repas de famille.

Une équipe :


Bien entendu comme tout les matins je ne me suis pas lever, je suis a la bourre, j'enfile un pull a manche longue je vais mourir de chaud moi qui est tendance a toujours être en t-shirt, mais il faut cacher les bleus de la veilles, j'ai mis un bandage autour de mes cotes et de mon poignet gauche, mes phalanges sont égratigné, et je ne pourrais pas manger avec des gants, il me faudra être discret la dessus, je boitille, ma jambe gauche me lance, mon arcade qui était ouverte la veille n'est pas belle et pour couronné il y a un putain de coquard sur mon œil et ma joue droite qui est plutôt violacé. J'ai pas bonne mine du tout, je ne pouvais décemment pas me présenter ainsi, c'est pourquoi j'ai appeler ma mère pour la prévenir que je ne pourrais pas venir, bien entendu elle était inquiète, mais je pense avoir sut trouver les mots pour la rassuré, puis un dimanche de repos ne pourras que me faire du bien. Habillé, car la flemme monumentale d'enlever mes vêtements je retourne au lit. Je ne sais pas depuis combien de temps je dors quand l'on viens sonné a la porte de mon appartement, je grogne, quel est l'enculé qui viens me rendre visite un dimanche. J'ouvre, sur le pas de ma porte mon équipe, celle de hockey, ils sont tous la je ne comprend pas, je les laisse entré, ils m'expliquent, que les deux qui était présent la veille leur on raconter le combat et qu'ils sont parti casser des dents a une armoire a glace, ho putain que je les aimes, ils sont ma famille numéro deux, et je sais que l'on peux compter les uns sur les autres, je suis fier d'être parmi eux, d'être le capitaine de ces petits con. Ils repartent quelques heures après pour me laisser seul, mais dans mon appart' je me sens comme vide, j'allais appeler une fille pour qu'elle vienne me tenir chaud, car il faut se l'avouer j'ai une fâcheuse tendance a leurs faire miroiter des choses alors qu'il n'y auras jamais rien que du sexe entre ces filles et moi, elles parlent trop, elle sont belles, mais je ne sais pas pourquoi leurs présence ne m'est pas agréable a pars pour baiser comme de bêtes, bien entendu dès fois il me faut les draguer, mais j'aime passer rapidement au dessert. Bref je me dirige vers ma porte, je n'ai pas regarder a qui j'ouvrais j'aurais dut, je suis surpris de découvrir Nash sur le pallier, étrange quand il me vois il n'as pas l'air très content, ha oui c'est vrai j'ai une gueule qui fait peur. J'aime bien mes frères, mes sœurs aussi d'ailleurs, mais celui-la depuis que je sais et qu'il sait pour moi que nous sommes dans des affaires pas très légales, il a une tendance a vouloir s'occuper de moi, mais je sais gérer parfaitement tout seul, je ne suis pas un débutant.

(ne voulant pas jouer cette parti sans Nash, vous l'aurez soit en rp soit jamais )

Un homme :


Quelques jours se sont écoulé j'ai de nouveau une gueule d'ange, j'ai toujours mal a mes côtes, rien de méchant. J'étais a la salle de sport entrain de faire mes entraînements comme tous les jours, les écouteurs a fond dans mes oreilles, restant dans ma bulle, je n'observe même pas le cul des filles, d'ailleurs elles ne sont pas nombreuses a m'observer de bié aujourd'hui, il y a un autre mec en même temps que moi, et il faut croire que lui aussi mérite leurs attentions, mais ceci  ne me touche pas vraiment, je sais se que je vaut et je sais que si je m'y met je peux ramener n'importe laquelle. Je suis connu pour être un tombeur, je ne sais pas le nombre de fille qui sont passer par mes draps, ou ailleurs même, je n'ai pas de préférence pour les lieux, je les ais toutes satisfaites et elles en redemandes toutes. A se qu'il paraît l'on parle de moi autour d'un café, autant pour mes exploits sportif et que de mes performances au lit. J'ai quand même un esprit de compétition alors j'observe mon adversaire, je me surprend a le détailler, et a aimer se que je vois, suis-je devenu fou ? Je me secoue la tête et arrête tout de suite se que j'étais entrain de faire, je décide même de quitter les lieux tellement cela me perturbe. Je chope une blonde au passage, deux trois mots doux, et hop la voila entrain de boire un verre chez moi, et je l'ai baiser, oui tout aussi vulgairement pour me prouver que je suis un homme, un vrai et pas une pédale, la honte. Je la raccompagne jusque la sortie, elle a le sourire et me donne son numéro comme toutes les autres je lui promet de lui écrire, se que je ne ferais jamais.


Ajout : Harvard, pourquoi ? Simple, c'est là que toute la famille est allé étudier, ce n'est pas un choix, c'est plus une obligation. Personnellement si je m'écoute, je serai allé nul part. Puis finalement ça fait trois ans que je vis ici, je me suis intégré a cette université. On s'y plaît bien après tout, puis on dit que se sont nos plus belles conneries.