Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySTUZEA ♦ Am I dreaming? You can't be alive
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STUZEA ♦ Am I dreaming? You can't be alive

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Enfin terminé ! Il était près de vingt heures lorsque tu te décidais finalement de quitter ta caserne pour rentrer chez toi afin de retrouver ton rôle du parfait papa. Ton fils devait être avec sa nourrice actuellement et comme d’habitude, il devait s’amuser comme un petit fou. Tu étais tellement fier de lui, surtout qu’à l’école, il se distinguait de plus en plus de ses camarades ; il allait très probablement suivre le même chemin que toi. Ce n’était pas à proprement parlé un prodige mais il se débrouillait assez bien et il commençait à avoir un peu d’avance sur ses camarades de classe. Néanmoins tu ne songeais pas encore à le changer d’établissement parce que Russ ne voudrait pas quitter ses copains juste parce qu’il était trop intelligent : c’était ce que tu adorais chez ton fils, son franc-parler, sa capacité à être plus mur que les jeunes de son âge. Lorsque tu arrivas chez toi, ton fils était en pleine session télé ; chose que tu ne lui interdisais jamais bien sûr hormis au-delà des dix heures du soir. Tu avais trop faim là alors tu vins embrasser ton fils sur son front – comme d’habitude, il trouvait cela dégoûtant, ce qui te fit légèrement rire – avant de te diriger vers la cuisine où la nourrice était en train de préparer un petit quelque chose de bon on dirait bien.« Bonsoir Rosa, tout s’est bien passé ? » demandas-tu avec un sourire, la nourrice te répondit par l’affirmative avant de dresser la table pour que tu puisses diner en toute tranquillité. Sauf que la sonnette venait de se mettre à sonner et ton fils s’était précipité pour ouvrir tandis que pour ta part, tu t’apprêtais à prendre une douche rapide mais cela te stoppa net. Tu déglutis légèrement avant de rejoindre ton fils qui était figé devant la porte d’entrée ouverte… Et une femme se tenait sur le seuil… Non c’était impossible ! Tu ne pouvais pas te tromper sur les jumelles donc cette jeune femme à la beauté à couper le souffle ne pouvait être que… « Ali… Je dois rêver ?! »
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Am I dreaming? You can't be alive
— with Stuart X. Newton

Me voici de retour. Trois ans d'absence et de mensonges, ça paraît long, et bien ça l'est réellement je dois dire. En effet, j'ai dû mentir et faire souffrir beaucoup de monde dans ce mensonge, mais ce n'était pas voulu, ce n'était aucunement ma faute. Etre au mauvais endroit au mauvais moment, c'est tout. J'aurais dû en parler à mes proches, d'autant plus que mon meilleur ami était au courant, mais lui seul l'était. Me faire passer pour morte était la meilleure des solutions aux yeux des agents fédéraux. Parce qu'ils ne pouvaient rien y faire contre ce meurtrier avant même d'avoir trouver des preuves nécessaires et avant même de l'avoir trouver. J'étais menacer et mes proches l'étaient, ma jumelle, mon fils et mon mari, c'est toute ma vie. Je n'aurais pas su faire autrement que de suivre les instructions des agents, j'étais sous leur protection mais il fallait qu'ils me déclarent pour morte. A présent que cette histoire, horrible l'était-elle, fut terminé, je fis immédiatement mon retour à Cambridge. Dire que j'ai dû changer d'identité, de pays plusieurs fois et j'en ai suivi des cours de boxe, d'auto défense et de tirs. Malgré tout, ça m'a rendu plus forte désormais et je n'ai plus peur lorsque je m rends à un endroit. La seule peur que j'ai en ce moment même, c'est le fait de perdre mes proches après ce tel mensonge. Je m'attendais d'ici à leur réaction, la surprise et le choc c'est certain. Je prie pour qu'ils ne m'en veuillent pas, mais aussi que Stuart ne m'ait pas oublier et qu'il soit passer à autre chose, qu'il a quelqu'un d'autre. C'est tard et je pensais que mon fils était endormi à cet heure-ci, alors ça peux être le bon moment pour réapparaître aux yeux de Stuart déjà, bien que ça sera chose difficile. Mon coeur battait à mille à l'heure et j'étais angoisser, j'avais la boule au ventre. Je frappe à la porte, fermant les yeux quelques secondes avant que quelqu'un m'ouvre. Russell, mon chéri qui a grandit si vite, il est trop beau et ressemble fortement à son père. Il fut sous le choc, rien d'étonnant et je lui souris tendrement, je veux le prendre dans mes bras, mais je ne veux pas le brusquer alors je le laisse digérer la nouvelle. Jusqu'à ce que je vois Stuart derrière lui arriver et il ne tarde pas à me reconnaître, c'est sûr qu'avec lui je ne peux pas nier la vérité et le fait que je ne sois pas Valentine. Sa surprise fut de tel, j'ignorais quoi répondre. C'était stupide de dire "surprise !" évidemment. « Stu... Non, tu ne rêves pas, c'est bien moi. » J'ignorais si je devais sourire ou pas, enfin je ne sais pas ce que je devais faire dans ces cas là, parce que revenir comme une fleure alors qu'il a dû souffert, ce n'était pas mon intention. « Ecoute... Je...Je n'avais pas le choix. » J'en avais les larmes aux yeux, j'étais émue de revoir mon mari et mon fils. Il est vraiment un bon papa, il s'est si bien occupé de lui. Ils sont si beaux, je suis fière de faire partie de leur famille, mais fais-je encore partie de leur coeur? « Je ne voulais pas vous faire souffrir... »

© SEAWOLF.
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En rentrant chez toi ce soir, après ta longue journée à la caserne des Pompiers de Boston, tu ne t’attendais nullement pas à te retrouver face aux fantômes du passé… En effet alors que tu venais de terminer ta douche et que Rosa finissait de te préparer un petit quelque chose à manger, on venait à sonner à la porte de l’appartement où tu vivais paisiblement avec ton fils de sept ans. Et comme c’était lui qui venait d’ouvrir, mais qu’il ne t’appelait pas pour dire qui était la personne qui venait vous déranger à cette heure assez tardive, tu te décidais d’y aller toi-même… Malheureusement, tu sentais que tu regretterais ce choix puisque la personne qui se trouvait actuellement face à toi n’était autre que… ton ex-femme qui était censée reposer paisiblement dans un cercueil… Tu déglutis aussitôt alors qu’elle se mettait à parler et comment dire, ça te chamboulait clairement de la revoir parce que les sentiments jusqu’alors enfouis profondément en toi, resurgissaient comme une bête féroce. « Tu as sûrement une bien meilleure explication qu’un simple, je n’avais pas le choix, mon cher amour… » Tu luttais contre une rage infinie alors qu’elle osait te sortir qu’elle n’avait pas eu le choix. « Russell, vas te brosser les dents s’il te plait. Je crois que maman et papa vont avoir une conversation. » ordonnas-tu à ton fils qui ne répliquait même pas avant de filer rapidement jusqu’à la salle de bain. Avant de disparaître, il jeta un dernier regard vers sa mère tandis que pour ta part, tu regardais celle-ci dans les yeux avant la laisser s’introduire dans l’appartement. Après avoir refermé la porte, tu l’emmenais jusqu’au salon. « Tu veux quelque chose à boire ? »

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— with Stuart X. Newton

Si seulement je n'aurais pas eu à jouer la morte, je n'aurais pas autant à stresser le fait de revoir mon fils, mon mari ainsi que ma jumelle. Là mon coeur bat à mille à l'heure et j'ai du mal à m'exprimer et placer un mot. En faites, sa réaction était compréhensif, mais je n'ai pas pu faire autrement que de me faire passer pour morte, on m'interdisait strictement de parler à mes proches et de leur dire la vérité... Il y a des fois où j'aurais voulu les appeler pour leur dire que je vais bien, que je suis bien vivante et que je reviendrais un jour où ils auront chopper ce meurtrier qui courait les rues et me menacer, menaçant par la même occasion ma famille. Mon fils me regarde avec de ses yeux, comme si il voyait un fantôme et ça se comprends, c'est un peu le cas à vrai dire, on lui avait dit pendant trois ans que sa mère est morte. Stuart exigeais des explications et le fait qu'il m'appelle "mon amour" me rassure sur le fait que peut-être n'a t-il pas tourner la page et a trouver quelqu'un d'autre. J'admets que je n'avais pas trop les mots, comment lui expliquer tout ça? J'hoche la tête de façon positive. Il ordonna à notre fils chéri de se brosser les dents, parce qu'effectivement, une conversation s'impose entre nous. Je voulais lui faire un bisou, mais je veux lui laisser le temps de s'en remettre alors il suis les ordres de son papa tandis que je rentrais, Stu refermait la porte derrière moi puis je le suis jusqu'au salon. Me proposant à boire, je réponds. « Non, merci. » Je sais bien que ce que je vais lui dire, va être difficile à encaisser, mais je lui dois bien ses explications. J'ignorais par où commencer, mais il le fallait bien. « Quelques jours avant cette foutue bombe, je ne te l'ai jamais dit, mais j'ai était témoin d'un meurtre. Je pensais que le meurtrier ne m'avait pas vu, mais j'ai eu tord... Il y a eu cette bombe et j'ai eu des séquelles, j'étais à l'hôpital... » Je commençais à avoir les yeux se remplir de larmes, mais je lutte, il faut que je continue mes explications, qu'il comprenne, je l'espère. « Le meurtrier m'a retrouvé et m'a menacer à moi mais aussi à vous. Il disait qu'il savait que j'avais une jumelle et qu'il saurais me reconnaître... Il était très menaçant envers Russell et toi. Alors, la seule solution pour moi était de me faire passer pour morte... J'étais sous la protection des agents fédéraux et ils m'interdisaient de joindre qui que ce soit... » C'était dur pour moi de devoir me souvenir de tous ces mauvais souvenirs, mais il devait savoir et connaître les raisons de ma fausse mort.

© SEAWOLF.
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