Delilah Skyler Oberlin ► Alessandra Ambrosio

Il était une fois une petite fille nommée Delilah Skyler Oberlin qui grandit dans la belle ville du Brésil "Rio de Janeiro" bien sûr je parle de moi. Mon père travaille dans les affaires et ma mère est une grande actrice dans le pays. Notre situation financière ferait beaucoup d'heureux. Malgré que mes parents me donnent de l'amour ils sont souvent absent alors je grandis le plus avec ma nounou. Mon père part souvent dans d'autres pays pour faire je ne sais quoi , il me dit toujours que je suis trop petite pour comprendre et ma mère tourne beaucoup de films ou de pubs. J'apprends donc à devenir débrouillarde , à savoir m'occuper de moi même , à rester forte face à la tristesse qui est dû à l'absence de mes parents et à ne pas leur montrer mes faiblesses. Étant une petite fille un peu bouboule je vis très mal les moqueries a l'école , mais mes parents ne le comprennent pas.

A l'âge de mes onze ans ma mère meurt d'une overdose. Trop de prises de médicaments je la découvre étendue sur son lit en revenant de l'école et bien entendu mon père est absent. J'appelle directement les pompiers. Dans ma tête c'est le bazzart malgré que je paraît plus mûre que les autres personnes de mon âge je suis effondrée , pourquoi à t'elle fait ça ? Moi qui pensais qu'elle était heureuse je n'aurais jamais pus soupçonnée qu'elle fasse ça un jour. Pour montrer que je suis une fille forte je me mets à faire un régime surtout pour ma mère parce qu'elle me disait aussi souvent que j'étais bouboule et que jamais je ne pourrais être actrice comme elle. Mais après la perte de poids je continue à me faire vomir et je me fais hospitalisée à cause des malaises que je subis. On me fait voir un psychologue pour m'aider à aller mieux.

A l'âge de mes seize ans au fil des jours pour mon père je vois bien que quelque chose ne va pas , des drôles de types viennent à la maison parfois tard le soir et il me dit toujours que c'est pour son métier , pour les affaires. Mais je ne suis pas bête je vois bien dans les regards de ces hommes que quelque chose de mauvais est en eux. Un soir alors que je regarde la télévision dans ma chambre j'entends des verres qui se brisent , des hurlements et des hommes viennent me chercher dans ma chambre en me prenant de forces avec eux. Je me mets alors a hurler moi aussi de toutes mes forces mais je ne peux rien faire je n'ai que seize ans. J'apprends par une femme qui vient me rendre visite régulièrement dans ma cellule sans fenêtres ni rien que je suis en prison pour mineur , que mon père faisait de gros trafics qui à causer un accident de train ou dedans se trouver une personne importante du Brésil. Je me retrouve enfermée dans ma petite pièce où j'enchaîne les crises de claustrophobie et où je me demande pourquoi je paye aussi pour les erreurs de mon père.

A mes dix-huit ans ils me laissent ressortir , je touche l'héritage de ma mère et des personnes viennent me chercher à la prison pour m'emmener à l'aéroport où on me donne un ticket pour aller à Cambridge aux États-Unis , on me dit que là-bas je pourrais faire mes études à Harvard quand je serais prête. Je ne cherche pas à savoir où est mon père à cause de lui j'ai vécu deux ans d'enfer si seulement ma mère était encore en vie tout irait pour le mieux. Une fois arrivée à Cambridge je me mets à passer mes soirées dans des bars ou des boîtes de nuit , à boire , à profiter du regard des hommes , regard que je n'avais jamais connu parce que j'étais obése petite et les petits garçons se moquaient de moi puis je me suis retrouver en prison je n'ai donc pas pus profiter de cela. Je prends goût aussi au sexe et à la drogue. Je me mets à faire quelques bêtises comme des vols de voiture , voler dans les magasins pour me sentir vivante , forte pour prouver à mes amis que je suis une femme fatale.

Après mon entrée à Harvard a l'âge de mes vingt et un an j'opte pour travailler le soir et les week-ends dans une boîte de nuit en tant que danseuse histoire de me faire encore plus de fric , de charmer encore plus de garçons et de continuer à faire la fête comme j'aime le faire. On m'appelle souvent la Reine de la nuit. Il y a donc cinq ans que je suis à Harvard pour étudier les relations internationales et pour me reconstruire. Peu de gens ici connaissent mon passé et c'est beaucoup mieux comme ça.