Alizea Orlane Evans ► Sophia Bush

Le 14 Février 1992 à Paris, jour de la St Valentin. Ce n'est pas un cadeau ordinaire qu'offrait un mari à sa femme. En effet, la femme accouchais de pas une enfant, mais deux. Des jumelles, c'est mignon mais c'est toujours plus de bêtises et de cris ainsi que des pleurs.
Ses jeunes filles ont le prénom de Valentine et Alizea. Et je suis l'une d'elles, Alizea.
C'est un beau début d'histoire n'est-ce pas? Je ne vais pas être trop longue. A la base, je n'aime pas les journaux intime, donc j'écris dans mon ordinateur, ce qui est bien mieux.
Nous avons bien était élever et nos parents étaient souvent absents, mais la cause n'est autre que le travail, mais c'est pas grave vu qu'on avait une nounou que j'apprécie appeler Nanny. Dès l'âge de 10 ans, notre père nous avait annoncer une nouvelle qui avait dévaster ma jumelle, nous devons déménager en Amérique. J'étais septique, mais en même temps j'étais petite, donc je ne voulais pas quitter mes amis tout comme ma soeur, mais si il le fallait... Il fallait se faire à l'idée et je m'imaginais déjà, bien que je n'avais pas l'envie. Heureusement, si l'on peux le dire, mon père n'a pas eu sa promotion donc nous restons en France et ma jumelle est vraiment trop contente. Nous avons une relation fusionnelle avec ma jumelle, tout comme pleins d'autres jumeaux et jumelles, j'imagine. C'est ma meilleure amie, ma confidente, mon oxygène. Ceci dit, je suis l'opposé d'elle, malgré nos point communs sur notre caractère. En effet, je suis maladroite et très gaffeuse. Effectivement alors que nous jouons au toboggan avec ma soeur, j'ai fait une chute qui m'a valu un séjour à l'hôpital. Ma mère ne comprenait pas pour quel raison nous étions seules alors je lui disais clairement la vérité qui n'est autre que papa était trop occupé avec nanny et qu'elle faisait beaucoup de bruits. Bien entendu, maman avait bel et bien compris ce que cela signifiait malgré son apparence inquiétante pour nous et détendue, je savais qu'elle était dévaster et écœurée au fond d'elle. Et pour dire, dès la minute où l'on est rentrés, ils se sont séparés et divorcés.

Les années passent et nous sommes toujours aussi fusionnelles avec ma jumelle, ma confidente. Je dois dire que sans elle, je ne serais rien. On se racontait tout et je lui parlais de mon premier amour, ça faisait rêver et elle aussi me parlais du sien et donc son chéri. On était bien ici en France, mais nous apprenons plus tard que nous devons déménager pour de bon en Amérique. En faites, je l'avais appris en première, maman me l'avait dit alors j'avais accouru dans la chambre pour l'apprendre à ma jumelle toute heureuse. Oui, je voulais partir aux USA et je voulais découvrir et apprendre ce pays qui m'avait l'air géniale. Alors que moi je suis contente, ma jumelle ne l'était pas tant que ça, elle avait tout comme moi ses amis, mais elle avait son chéri alors je pouvais la comprendre. Quant à moi, j'étais amoureuse, mais je me disais que il avait trop de femmes à ses côtés donc je préfère en profiter d'aller aux USA, mon rêve quoi. Oh si il y a eu un beau rapprochement entre nous puis un baiser, mais je sais que je pourrais trouver d'autres mecs et je n'avais pas tord. Bref, mon père n'était pas d'accord avec cette éventualité, mais on s'en fichait parce qu'il n'avait plus son mot à dire, on ne se voyait plus et puis il a fait du mal à ma mère donc je lui en veux aussi, il a eu en plus de cela, un enfant avec nanny.

Nous voici à Cambridge, les USA. J'aimais déjà cette ville et ce pays. A peine arrivée, j'avais déjà fait pleins de belles rencontres. Puis avec les années lycée et à force de l'entendre et le parler, je pu en effet découvrir et apprendre la langue Américaine. J'étais une élève normale et rebelle, un peu même beaucoup fofolle. Bref, j'avais beaucoup appris.
Était venu le temps de s'inscrire pour une université et la première que j'avais en tête fût bel et bien celle de Harvard, mon père y avait étudier et tout comme ma jumelle nous voulions y aller et nous étudions beaucoup pour se faire. Ma seconde proposition fût Yale, ais j'avais énormément espérer être accepter à Harvard et lorsque j'eus la bonne surprise de voir cette réponse positif pour Harvard, j'en avais une joie énorme, rien n'aurait pu gâcher ce bonheur.
Je fit mon entrée ainsi que ma jumelle à mes côtés à Harvard, m'inscrivant pour être capitaine des Cheerleaders. J'avais fait de belles rencontres. Je suis ravie de faire mon audition pour la capitaine des Cheerleaders et je fût accepter. Que du bonheur ! J'étudie beaucoup, énormément, ais bien sûr je sais aussi m'amuser comme à mon habitude. Je suis motivée plus que jamais. Durant cette année, je rencontre un charmant jeune homme du nom de Stuart. Dès lors, notre histoire venait de commencer, notre histoire d'amour. Malgré les refus de son père, Stuart s'en fichait et passait ses sentiments en premier. Ma première année d'université avait bien terminé et je quitter mes chères belle Cheerleaders, pour cause, je venais d'apprendre que j'étais enceinte. S'en suivit mon mariage, avec mon beau et tendre mari.
9 mois plus tard naquit notre beau petit garçon du nom de Russell. Les couches, les biberons, les nuits blanches et malgré tout ça, je parviens à trouver du temps et de la motivation pour mes études, je suis une acharnée des études. J'aime autant prendre soin de moi, jeune maman et pourtant jeune et jolie. Notre couple était d'enfer, j'étais tellement bien dans ses bras. Comment dire qu'il fait mon bonheur. Je suis toujours aussi proche de ma jumelle qui apprécie beaucoup mon mari et mon fils, bien évidemment elle en est la tatie et la marraine.

Nous sommes en Janvier 2013. Russell avait bien grandit et j'en étais fier. Je m'en sortais bien avec mes études et mon petit ainsi que mon couple, je vivais ma vie. Mais celle-ci va se trouver être bousculer. En effet, j'allais faire des courses au supermarché, lorsque un homme armé et cagoulé, mais qu'on n'y voyais tout de même son visage, rentre dans le supermarché et braque la caissière Celle-ci refusant tout de suite de lui donner de l'argent et ne cherchant pas plus à comprendre, il tirait sur la femme et la laisse pour morte. Au mauvais endroit, mauvais moment, heureusement j'étais seule et non avec l'un de mes proches ou mon fils, mais il m'avait vu. Il m'avait suivit et voulais sans doute ma mort face à tout ce que j'ai pu voir qui aurait pu le faire inculpé. J'ignorais quoi faire face à cela. C'est quelques jours plus tard que je devais rejoindre ma jumelle, nous devions faire du shopping et je voulais lui dire et me confier à elle sur ce qui s'est passer, voulant ses conseils. Arrivé au parking, je voyais ma jumelle de loin et je lui faisais un grand signe, hâte de passer cette après-midi avec elle. Quant une grosse explosions retentit, je tombais au sol et on m'avait emmener à l'hôpital j'avais eu des séquelles. Seulement, j'eus la visite de cet homme, il m'avait fait peur et il m'a dit que si je voulais revoir ma jumelle un jour je devais me taire. Il me fit des menaces et j'avais peur, il sait qui je suis et il veux ma mort, alors je demandais aux médecins de me faire passer pour morte. En effet, je voulais protéger ma famille de ce fou furieux. Je fuit dans un autre pays. Effectivement, je fuit de pays en pays, je ne restais pas à un endroit. Cela me fait très mal au coeur de faire du mal et faire souffrir ma famille, mon fils, ma jumelle, mon mari, mais je n'avais pas le choix, c'est pour eux... Si le meurtrier me retrouvais, je suis tout comme ma famille, plus de ce monde. Ceci dit, je continuais mes études. Je parvenais à étudier à chaque endroit où je me réfugiais en changeant de nom, d'identité.

2016. Cela faisait 3 ans. 3 ans que je fuyais et que j'avais changer d'identité pour protéger ma famille. Me faire passer pour morte. C'était la fin de ma fuite, la justice avait fait son devoir et ils ont réussis à attraper et inculpé le meurtrier qui m'avait fait peur durant trois ans de ma vie. Il était grand temps de retourner à Cambridge et à l'université d'Harvard. Il était grand temps de dire la vérité à ma famille, ma jumelle, mon fils et mon mari qui m'ont tant manqués. Il était temps de me montrer bel et bien vivante. Reprendre mes cours à Harvard et ne plus fuir, cela me semblait tellement une bonne idée et ça me réjouissais. J'ai hâte de découvrir la réaction de mes proches, mais je sais que ça va être difficile pour eux.