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si la vie n'était fait que de bonheur, il n'y aurait pas d'amusant (andrea+feryel)

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Feryel s'est toujours battu pour les bonnes causes. On pourrait certes, se demander si sauver les maisons d’Harvard étaient une bonne cause. Il n’en était que ses maisons étaient l’essence même d’Harvard, de sa communauté, ne plus les avoir serait très bizarre. Feryel avait très longtemps réfléchi à si elle voulait en rejoindre une, si c’était la bonne chose pour elle. La Quincy House fut la maison qui lui ressemblait le plus. Aider autrui, se battre pour des causes humanitaires était la vie de Feryel. Cette dernière se battait toujours pour des oeuvres de charité, venant en aide au plus démunis, ceux qui avaient rien. Il fut un temps où elle n’avait rien, livrée à elle-même dans un pays de guerre. Pourrait-elle un jour retourner dans son pays et le voir en paix, sans les atrocités que ses camarades avaient à vivre? Elle priait chaque soir pour que la guerre s’arrête, bien qu’elle savait qu’il y aura toujours quelques parts une guerre, un conflit d’interêt, une soif de pouvoir, d’argents. Il n’y avait qu’hypocrisie dans ce monde, et les gouvernements ne faisaient pas assez à son avis pour venir en aide à ceux dans le besoin. Ce n’était peut-être pas le topique ici. On voulait aider quelque chose qui était déjà élitiste. Entrée à Harvard était quelque chose d’élitiste, alors pourquoi sauver ses maisons? Pour y investir? On pourrait se le demander. Toute fois, Feryel était venue, vêtue d’une simple robe de soirée qu’elle avait trouvé de bon marché, n’étant pas bien riche elle-même. Elle avait un défi à réaliser pour son bizutage, elle n’allait pas décevoir sa maison. La jeune afghane vit une jeune femme au bar. Élégante, glamoureux, féminine, tout ce que Feryel n’était pas vraiment. « Bonjour, est-ce que je pourrais vous déranger pour quelques minutes? » Demanda-t-elle poliment. Accoster quelqu’un pour lui demander de l’argent n’était rien de nouveau pour la jeune femme.

@Kyla Carmichael
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La soirée avait plutôt mal commencé. J'étais arrivée un peu trop imbibée d'alcool pour être gentille et j'avais continué à boire. Jusqu'à sortir avec Baptiste et tenter de me calmer. Le départ de Bonaventure était une torture pour moi, j'étais complètement dingue à l'idée de ne pas revoir mon petit ami avant un bon bout de temps. Bon, je m'envolais pour la Namibie dans deux jours mais c'était totalement différent de ce qu'on pouvait vivre ici. Et puis là haut, nos heures ensemble seraient comptées comme si on se dirigeait vers la chaise électrique. Je soupire fortement et demande un coca au jeune homme qui se charge de servir les étudiants, professeurs et citizens depuis le début de la soirée. Le pauvre, je le plains. Je plonge mes lèvres dans mon verre et bois une gorgée. Je sursaute légèrement lorsque j'entends une voix derrière moi. Qui vient donc me casser les pieds sérieusement ? Je me tourne et me retrouve face à une jolie brune qui a l'air toute timide. " Oui bien sûr " Soufflais-je avec un léger sourire sur le visage. Heureusement que j'ai pris l'air et bu du soft depuis tout à l'heure parce que sinon elle en aurait pris pour son grade. " De toute façon, il n'y a pas grand chose à déranger " Riais-je légèrement en buvant un peu plus de mon soda.
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Une soirée comme une autre? Certainement pas. Feryel savait que durant cet évènement vespéral le sort de sa maison était en jeu. La jeune femme s’était attachée à la Quincy House au cours des dernières semaines. Elle n’avait jamais été quelqu’un qui s’attachait à des choses matérielles. Cette maison ne voulait rien dire. En faire partie ne la rendait pas plus humanitaire, ni plus charitables. Pendant les trois dernières années, Feryel n’avait jamais prêté importance à ce système. Ce n’était rien pour elle, trop d’histoire à son gout, et surtout, elle n’avait aucun interêt à se joindre à ses confréries. De nos jours, tout avait changé pour la jeune afghane. Après le départ de sa soeur, Feryel avait senti un grand vide dans sa vie, elle avait eu besoin d’un nouveau environnement, des choses pour la distraire. Le seul moyen qu’elle avait trouvé de remplir ce vide était de s’occuper en plus, et donc rejoindre une confrérie avec qui elle partageait ses valeurs. C’était quelque chose de primordial pour elle, se sentir dans un environnement auquel elle pouvait se rattacher, chose pas facile quand on se sent constamment étranger dans sa propre université. Feryel essayait de ne pas y penser, et se laisser emporter par son bien-être. Accostant la jeune femme qui semblait un peu imbibée d’alcool, elle avait peur de se faire rejeter. À son plus grand bonheur, ce ne fut pas le cas. « Il n’y a personne qui vous accompagne? » Demanda-t-elle poliment à le jeune fille. Feryel ne se voyait pas l’abordée directement dans l’intention qu’elle donne de l’argent à la Quincy House. Si il y avait une chose qu’elle avait appris grâce à ses activités parascolaires s’était bien qu’il fallait savoir écouter et avoir de la patience avant de demander à quelqu’un une somme d’argent.
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Une soirée de merde parmi tant d'autre. Je ne pensais pas réagir de cette façon. Je n'aurais jamais cru être autant touché par le départ de mon petit ami mais il faut que je m'y fasse : je suis une vraie loque maintenant que Bonaventure est en Afrique. Je lui ai assuré qu'une relation longue distance serait possible. Sérieusement ? Comment ai-je pu croire une seule seconde que c'était possible ? Je l'aime bien trop pour me contenter de quelques heures de discussion, d'une conversation via skype ou quoi que ce soit. Je la regarde et fais une petite moue. " Non mon petit ami est en déplacement " Soufflais-je en mentant sans honte aucune. En même temps, je ne vais pas lui raconter la vie de Bonaventure, on est pas copine toutes les deux et je crois que j'ai soulé tout le monde avec mes problèmes sentimentaux. La preuve, même Chase m'avait abandonné ! " Et mon meilleur ami s'est fait la malle, je suis de terrible humeur, à tes risques et périls " Soufflais-je avec un léger rire en attrapant un petit truc à manger pour m'occuper, pour fermer ma grande bouche. Quand je bois, je parle alors autant limiter les dégâts. " Tu avais quelque chose à me demander ? " Soufflais-je légèrement. L'intonation de sa voix me semble familière mais je ne suis pas sûre. Peut être que mon cerveau m'envoie des signaux qui n'existent pas, ça ne m'étonnerait qu'à moitié après tout..
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Une simple tache, pas bien facile que Feryel avait réalisé. Pourtant, elle avait un peu du mal à commencer la discussion. Peut-être que cette jeune femme faisait partie d’une confrérie? Non, elle ne l’avait jamais eu à un event organisé. Au moins, elle ne se retrouverait pas entrain de faire une gourde. Feryel faisait toujours attention à ce qu’elle disait à une étrangère. Un faux pas et la conversation pourrait très mal tourner. La jeune femme avait tout de même maitrisé l’art de la conversation et du small talk à une soirée comme celle-ci. Convaincre les gens de donner leur argent s’avérait plus difficile que l’on pourrait le penser. « Ne t’en fais pas pour moi. J’ai déjà à faire à pires. » Ne parlons pas des vieux vétérans ingrats et alcoolique dont Feryel s’occupait deux fois par semaines, l’insultant souvent pour sa couleur de peaux, comme si elle était responsable pour tous leurs maux. Malgré leur caractère quelques peu chiant, Feryel aimait travailler la-bas dans ce centre. C’était un moyen pour elle de redonner à ceux qui lui ont permis de vivre. « Je voulais vous donner ceci. » Dit la jeune femme en tendant un petit flyer de la Quincy House. « Cela vous intéresserait-il de m’écouter pour expliquer pourquoi nous aurions besoin d’argents? » Peut-être qu’elle ne voulait pas, et si c’était le cas, Feryel aurait échoué sa seule tache, mais on dit bien, qui n’essaie rien ne gagne rien. Ou alors c’était une expression dans le genre, Feryel n’en était plus sure.
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Je ris légèrement quand elle me dit qu'elle a déjà eu affaire à pire. Ouai, c'est pas dit ça parce que je peux être une vraie casse couille quand je m'y mets ! Enfin, casse ovaire dans le cas présent. Je m'en veux d'avoir autant bu parce que je me rends compte qu'en plus de gâcher ma soirée, je gâche surement celle des gens autour de moi. Je n'ai pas revu Sienna depuis le début de la soirée, j'ai pas eu le temps de discuter avec Talya pour savoir si elle pouvait m'emmener à l'aéroport dans deux jours et puis il y a Priape... Trop de choses, trop de gens à parler et pourtant, la première qui a le droit à un sourire depuis ce début de soirée, c'est la brunette face à moi. C'est fou, complètement inédit mais bon, j'ai un grand coeur après tout... Je prends le petit prospectus qu'elle me tend et souris légèrement. La Quincy, mon deuxième choix en arrivant ici il y a sept ans mais surtout la confrérie de mon petit ami... Je regarde la jeune femme et souris. " Alors déjà, tu peux me tutoyer parce que là, j'ai l'impression d'avoir Cinquante ans " Soufflais-je légèrement. Mon pouce glisse sur son petit bout de papier et je tente de me contrôler. Pas que j'aime la sensation du papier dans mes mains mais bon... " Allez dis-moi tout, je suis prête à t'écouter " Lançais-je sérieusement, ayant perdu toute l'amertume et la colère qui m'envahissait depuis le début de la soirée. " Mon petit ami serait heureux de voir que les jeunes recrues viennent chercher de l'argent partout où ils le peuvent " Soufflais-je, souriante. Un vrai sourire franc, le premier depuis le départ de Bona il y a cinq jours.
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La jeune blonde en face de Feryel rigolait quand elle lui dit qu’elle avait déjà vécu pire. Ce n’était point un mensonge. Feryel en avait vécu des choses dans sa petite vie, et bien qu’elle aurait aimé connaitre ses parents, elle savait que sans Rusty et les Oswald, sa vie serait bien différente. On disait souvent qu’une personne vraiment altruiste n’existait pas, et qu’il y avait toujours des motifs derrière. Dans le cas de la jeune afghane, ce n’était pas le cas. Elle faisait partie de cette partie de la population qui mettait la vie des autres avant la sienne. Feryel n’avait pas grand chose a gagner dans sa vie. Point matérialiste ni avide, Feryel vivait avec le stricte minimum pour compléter sa vie. Le reste, elle le rendait a la communauté, aux personnes qui n’avaient rien. La jeune brune se disait qu’on était que riche qu’avec le coeur. L’argent n’apportait pas le bonheur, et les petits gestes de tous les jours pouvaient faire un grand acte pour quelqu’un qui n’avait rien. Feryel s’était surement déjà fait arnaqué et avoir. Ce n’était qu’un détail minuscule dans sa petite vie. Si la personne en face d’elle n’était pas honnête, en quoi était-ce son problème? Etait-elle trop crédule? Non. Ne pensait-elle pas à elle-même? Non, l’étudiante faisait toujours en sorte de ne pas se blesser elle-même dans ses actes de générosité. Feryel sourit quand la jeune femme lui dit qu’elle pouvait la tutoyer. « Désolée, c’est une habitude quand j’adresse quelqu’un que je ne connais pas. Je m’appelle Feryel ! » Si elle ne l’avait pas fait au départ, se présenter maintenant semblait la moindre des choses à faire. Son petit ami faisait donc également parti de sa confrérie. Feryel n’avait pas encore eu l’occasion de rencontrer tout le monde de la Quincy, et parfois elle se demandait encore si elle avait fait le bon choix. Avec ses activités parascolaire, Feryel n’avait pas toujours le temps de s’occuper de sa vie sociale. Consciente qu’elle ratait beaucoup d’opportunités, ses actions caritatives et son travail au sein d’Amnesty International lui tenaient beaucoup trop à coeur. « Alors, vous devez…tu…pardon. » Feryel allait avoir du mal à la tutoyer. « Tu devrais savoir qu’au sein de la Quincy House est très active au sein de la communauté pour venir en aide à des oeuvres caritatives. Je suis déjà personnellement active au sein de plus organisations non-gouvernementales, et avec l’aide de la Quincy, il y a moyen de faire un plus grand impact. Si cette maison devait fermer ses portes à cause d’un manque d’argent, nous pourrions perdre tout l’impact que nous avons dans le monde, au sein des différentes organisations que nous soutenons. J’ai rejoins cette maison, c’est exactement car les valeurs m’étaient importants. Je ne sais pas si tu as déjà ressenti cela, te sentir vraiment chez toi. Je ne sais pas si je pourrais m’imaginer autre part, alors même si c’est juste un peu, est-ce que cela te dérangerait de donner pour nous sauver? » Chaque montant pourrait nous aider, et Feryel essayait pour récolter ne serait-ce qu’un peu.
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La vie ne nous a pas tous gâter, ça c'est sur. Je n'ai pas à me plaindre de la mienne et je le sais. J'ai grandi avec ma mère qui m'aime plus que tout au monde. Certes, il y a eu des embuches, des évènements qui m'ont marqué comme la mort de Safaa et Malik mais je n'en suis sortie que plus forte. Je bois une gorgée de Soda lorsque la jeune femme s'excuse de me vouvoyer et me dit qu'elle s'appelle Feryel. Mon coeur rate un battement. Feryel n'est pas un prénom commun ici. Je tousse légèrement et repose mon verre de soda sur la table, la regardant, l'observant. Feryel, ma petite Feryel ? Cette petite poupée brune que la vie n'a pas gâté et qui est partie parce qu'elle a fini par être adoptée ? C'est rare que les enfants d'un certain âge soient adoptés. Ma mère me l'a toujours répété, cette petite Feryel risquait de rester toute sa vie à l'orphelinat mais non, elle avait quitté cette vie. Je déglutis difficilement. " Feryel comme Feryel El-Rachid ? " Je souffle presque son nom. Elle ne doit plus s'appeler comme ça maintenant et peut être qu'elle n'a plus envie qu'on l'appelle comme ça. " C'est Andrea Cermolacce. Enfin.. Doniya, la fille de l'infirmière qui venait souvent à l'orphelinat " Soufflais-je, submergée par mes émotions. J'ai l'impression d'être une petite enfant face à une vague digne d'un tsunami, je ne sais pas où aller, que faire et que dire. Je déglutis difficilement et ne l'écoute que d'une oreille, me rappelant mes allers et venus à l'orphelinat avec Malik et Safaa. On était autorisé à y aller pour jouer avec les autres enfants puisqu'on était que tous les trois dans les quartiers réservés aux militaires non loin de là. Je souris légèrement. J'étais aussi très active au niveau caritatif jusque l'année dernière mais j'ai pris du retard avec mon voyage en Afghanistan en début d'année scolaire, tellement de retard que je n'ai plus le temps d'avoir une vie. Encore plus avec le départ de Bonaventure... quand j'ai du temps, je le passe dans l'avion pour aller voir mon petit ami en Afrique. " Oui je... Je vois ce que tu veux dire. La Dunster a longtemps été ma maison, l'endroit où je me sentais chez moi " Soufflais-je avec un léger sourire. Mais ces derniers temps ont été plutôt difficiles. " Je comptais donner à la Quincy parce que mon petit ami y tient énormément et que je voulais les intégrer à mon arrivée ici " Lançais-je avec un sourire. Dunster ou Quincy, j'avais longtemps hésité. J'étais encore toute bouleversée de revoir Feryel ici. Bavarde en temps normal, j'étais timide et presque muette pour le coup.
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Avec fierté, Feryel avait parlé de sa confrérie, les quincy qui lui tenaient à coeur. Bien que son affiliation à ce système n’était que récent, elle aimait tout de même cette confrérie qui l’avait prise sous son aile dès le départ, avec une bizutrice amusante et sympathique, et d’autres membres de la maison qui l’avaient accueilli ouvertement. Peut-être que ce système était à revoir, à améliorer. On ne pouvait cependant pas nier qu’il y avait quelque chose d’incroyable derrière. On pouvait former des amitiés pour la vie, nouer des liens avec des personnes qu’on ne fréquentait pas autrement, alors voilà pourquoi il fallait les sauver ces confréries tant bien de mal que l’on pouvait. La jeune femme en face de Feryel l’avait écouté attentivement, sans jamais l’interrompre, et sans même sembler dégouté de l’idée que la maison de l’humanitaire demandait de l’aide. Les Quincy donnaient beaucoup pour la communauté, alors peut-être que la communauté pouvait leur en rendre un peu en retour. Soudainement, à la fin de sa tirade, la jeune afghane fut prise de court quand la jeune femme avec qui elle parlait lui demandait si elle s’appelait Feryel El-Rachid. Personne ne connaissait ce nom. En fait, si, puisque tu portais fièrement ce nom depuis que tu t’étais rendue publique au sein d’organisations mondiales. Cependant, tu ne pensais pas que quelqu’un puisse s’en rappeler vraiment. C’était un nom comme un autre, El-Rachid, une famille morte. Puis au fil du temps, les choses commençaient à se remettre en place. Doniya. cela lui revenait doucement. « Doniya. C’est wow. Une surprise, si je puis-je dire ! » Feryel ne s’attendait pas à la revoir ici. Apres avoir quitté Kabul, elle n’avait plus jamais pensé à sa vie la-bas, aux gens qu’elle avait rencontré. Une vie qu’elle avait mis de coté pour toujours, pour laisser un nouveau chapitre s’ouvrir. Un meilleur chapitre. Aujourd’hui, Feryel se retrouvait nez à nez avec ce passé qu’elle avait oublié il y a bien longtemps. C’était étrange de la revoir. Elle avait grandi depuis qu’elle était petite. Finalement, Andrea avouait qu’elle allait donner à la Quincy. « Merci, merci, merci. Ça me touche vraiment que tu nous aides. » Dit-elle avec un grand sourire. « Il y a une raison pourquoi tu ne fais plus partie de la Dunster? » Demanda Feryel, un peu curieuse.
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J'ai quitté ma confrérie au retour du Chili il y a quelques jours mais je suis quand même là parce que je veux voir comment s'en sortent les confréries mais aussi - voire surtout - comment ça se passe pour mon ancienne confrérie. La Dunster reste tout de même très importante pour moi, je ne peux pas le nier. Ils ont été à mes côtés dans les bons comme dans les mauvais moments. Même quand j'ai décidé de les quitter après l'explosion de la bombe et la perte de ma jambe, même quand je suis partie en Afghanistan pendant trois mois sans prévenir personne. Ils ont toujours été là pour moi et mes meilleurs amis y sont toujours. On avait deux familles : celle qu'on ne choisit pas, celle dans laquelle on nait et une deuxième, qu'on choisit. Cette deuxième famille était les Dunster pour moi. Mais ça aurait très bien pu être la Quincy House où j'aurais postulé si les dunster ne m'avaient pas accepté dans leurs rangs. Je souris largement à la blondinette, heureuse de voir qu'il s'agissait bien d'elle, de Feryel, de cette petite fille avec qui j'avais adoré jouer pendant des heures quand ma mère allait osculter les orphelins... Je ris légèrement. " Oui, les chances qu'on se retrouve et ici en plus étaient minces " Je lui souris largement. Je suis heureuse qu'elle soit ici et heureuse. Enfin, elle a l'air heureuse. C'est que tout va bien pour elle et c'est le plus important pour moi. " J'ai eu quelques petits soucis de santé et ma vie a beaucoup changé, je n'avais plus rien d'une dunster studieuse et tout ce qui va avec en fait " On va dire que prendre de la drogue pour cacher ma peine n'y était pas pour rien... Je n'avais pas voulu ternir l'image de la Dunster House, un acte altruiste qui montrait bien mon côté Quincy. Mon téléphone sonne et je soupire légèrement, jusqu'à ce que je vois le nom de Bonaventure s'afficher. " Je fais le chèque dès que j'ai fini avec cet appel " Souriais-je largement. " Je suis heureuse de t'avoir revu Feryel... Je passerai bientôt à la Quincy pour qu'on discute et rattrape le temps perdu... " Soufflais-je en embrassant sa joue avant de filer décrocher et facetimer un peu avec mon petit ami.

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