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JAYSAEL • is it too late now to say sorry ?

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IS IT TOO LATE NOW TO SAY SORRY ?  
— with Jaysaël D Scott-Castellan

tu soupires, fixant le plafond de ta chambre d'un air absent, d'un air fatigué. T'as pas dormi de la nuit alors t'as écrit, écrit encore et encore jusqu'à voir le soleil paraître à travers la fenêtre de l'endroit où tu te trouvais. Tu sais pas ce que tu veux faire. Des pancakes. C'est bien des pancakes. Tu sors alors de ta chambre rapidement, tu ouvres le frigo et t'apprêtes à faire de la pâte à pancakes avant de te souvenir que vous n'avez plus de café et que t'as pas été faire les courses. Tu descends alors à la petite épicerie en bas de chez toi, t'achètes des myrtilles et tu passes au marchand ambulant et tu lui demandes deux cafés. Il te taquine un peu sur le fait que tu n'as sûrement pas fait tes courses et tu lui souris en faisant une révérence qui lui indique que non, tu n'as pas été au supermarché. Tu remontes alors rapidement les escaliers, toque à la porte de Coline, tu mets les myrtilles dans la pâte et tu fais cuire le petit-déjeuner. Quand t'as finis, tu t'engouffres un ou deux pancakes sans rien ajouter et t'attrapes ton mac, ton café à emporter j'vais faire un tour j'reviens que tu dis à Coline sans attendre sa réponse et tu cours jusque la Winthrop House qui n'est pas si loin que ça en vérité. T'as quand même pris le bus, tu ne supportes pas tellement les voitures quand tu es toute seule. Lorsque t'arrives devant la Winthrop House, tu souris légèrement, fière de ta connerie et tu montes les escaliers qui mènent à sa chambre. Tu te postes alors devant avec un sourire sur le visage, et tu toques ton café dans la main c'est le livreur de café Monsieur Scott-Castellan tu n'sais même pas s'il est là, mais tu testes tout de même, après tout qui ne tente rien n'a rien.

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Is it too late now to say sorry ?
Pour une fois, j'avais décidé de faire la grasse matinée, surtout en vue du voyage avec les Lowell qui nous attendait, j'avais donc envie d'être en forme pour profiter pleinement de ce séjour avec les artistes même si au final, nous n'allions pas si loin que cela étant donné que la destination n'était autre que New-York. Donc ouais, ce matin, j'avais décidé de traîner au lit, Dante n'étant pas là, j'avais la chambre pour moi et le loisir de lézarder un peu, aucun réveil, aucun bruit, bien qu'il y ai d'autre gars dans le bâtiment, mais comme ce n'était pas directement dans la même pièce que moi, ça ne me dérangeait pas. Je pouvais donc continuer de somnoler, de paresser au fond de mes draps comme un glandeur professionnel... Sauf qu'il semblerait que c'est trop demandé. Un grognement franchit mes lèvres alors que je me redresse. Qui est le con qui ose venir me déranger ? J'entends alors une voix féminine dire mon prénom. Génial, c'est porte ouverte en plus, les filles débarquent comme ça dès le matin maintenant. Je peste en silence alors que je me lève de mon lit, passant rapidement une main dans mes cheveux pour tenter de remettre un peu mes cheveux en place, mais il reste quand même en pagaille. Je m'avance alors vers la porte, clopin-clopan, uniquement vêtu de mon pantalon de pyjama. J'ouvre ensuite celle-ci pour voir Jezabel derrière celle-ci. Je soupire alors, pourquoi j'ai pas reconnu sa voix ? Je vais pas être tranquille maintenant, surtout que je sais qu'elle s'est foutu de ma gueule... "Du café ?" Lançais-je alors en voyant uniquement un gobelet entre ses mains. "T'as quelque chose à te faire pardonner que tu veux jouer les serveuses comme ça ?" Dis-je alors pour lui tendre la perche et me dire la vérité, même si elle ne se doute probablement pas encore que j'ai recouvré la mémoire. "Si c'est le cas, t'aurais du prendre des viennoiseries avec." Dis-je en plus pour tenter de faire mine que je ne me souviens toujours de rien. Menteur ? Sur le coup, oui je peux l'être parce que je veux voir ce qu'elle va faire et dire.
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— with Jaysaël D Scott-Castellan

Ton plus gros défaut est de ne pas réfléchir, parfois tu fais des choses que tu ne penses pas ou alors tu penses aux conséquences après. Et malheureusement aujourd'hui est une de ces journées. Pourquoi tu débarques à la Winthrop House alors que t'es dans une position assez délicate ?  T'en sais foutrement rien et tu t'en veux un peu mais tant pis, tu feras avec, tu t'adaptes toujours. Dans toutes les circonstances tu trouves toujours une échappatoire et au petit matin tu le feras aussi.  Qu'importe l'heure t'es toujours opérationnelle en matière de plan foireux. T'espères qu'il sera tout seul parce qu'en vrai, t'as bien envie de lui faire passer du bon temps malgré votre situation actuelle. Le fait qu'il ne te désire plus t'étonnes un peu. Mais après tout, chacun fait ce qu'il veut. M'enfin, t'aurais peut-être pas dû mentir. Mais voilà  tu l'as fait et tu ne peux plus reculer. T'es plutôt heureuse d'être ici. Mais tu sais pas pourquoi tu sens que ça va mal tourner. Quand tu le vois qui ouvre la porte, tu lui souris. Un petit sourire simple qui en dit long et tu agites ton gobelet de café froid en riant légèrement « Du café... Ah oui mais pour moi ! » Et tu souris un peu gênée de lui avoir fait de faux espoirs avant de boire une gorgée du liquide immonde qui a remplacé la boisson brûlante que tu aimes tant. « Me faire pardonner de ? Non j'avais juste envie de squatter ta cafetière et ton lit accessoirement mais voilà. » Tu rigoles doucement en passant à ses côtés pour rentrer dans sa chambre « T'as une cafetière rassure moi ? Et pour les viennoiseries on verra plus tard non ? » Impolie au possible, tu avances jusque la cafetière, tu sors deux dosettes et tu met deux tasses en dessous de l'endroit prévu à cet effet avant de t'installer sur le bureau « Je squatte un peu tu m'en veux pas ? » Et tu fais ta tête d'ange en riant,, secouant frénétiquement tes jambes recouvertes de ton jean.
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Une sans gène, voilà ce qu'elle est. Je la regarde sans dire un mot de plus alors qu'elle me dit clairement qu'elle n'a pas apporté de café pour moi, qu'au final, elle vient les mains vide malgré son petit mentit du livreur de café... A la limite, elle aurait eu un café pour moi, ça aurait clairement aidé à faire passer la pilule des propos qu'elle me dit ensuite. Ne la quittant pas des yeux, je la regarde pénétrer dans ma chambre comme s'il s'agissait de sa propre piaule. Est-ce parce que je sais qu'elle m'a mentit que son attitude m'horripile comme ça ou bien m'aurait-elle agacée quand même uniquement parce que je voulais avoir la paix ce matin pour lézarder dans mon lit ? Bonne question. Il doit sûrement y avoir un peu des deux... Je la regarde alors prendre possession de ma chambré comme si de rien était, usant de ma cafetière sans même attendre ma permission. Je ferme alors la porte, parce que de toute façon, je veux être tranquille pour lui parler, pour mettre les choses aux points. Je reste cependant près de l'entrée de ma chambre, m'adossant même au bois de celle-ci en croisant mes bras, du moins, en essayant de les croiser étant donné qu'avec un plâtre ce n'est pas ce qu'il y a de plus facile... "Tu sais, la première question aurait du être celle-là, est-ce que je ne te dérange pas. Mais il semblerait que tu l'ai oublié chez toi." Soupirais-je alors en continuant de la regarder jouer sur mon bureau en quelque sorte. Pour le coup, elle me fait un peu penser à une enfant, une gamine qu'on ne peut pas tenir en place et en plus, elle veut boire du café, je crois pas que ça soit un bon plan pour moi alors que j'ai envie d'être au calme... Non, en fait, je dois réellement dire adieu à cette idée. J'hausse les épaules en respirant profondément. "Dans tout les cas, il fallait que l'on parle, alors, je vais profiter de ta présence maintenant pour aborder le sujet." Je reste alors silencieux un instant, pour lui faire comprendre que ça n'allait pas être une conversation plaisante pour elle, ni même pour moi en fait, surtout tôt le matin comme ça... "Je sais que tu m'as mentit." Dis-je alors simplement sans préciser rien de plus pour voir sa réaction, voir si elle pas capter que j'ai retrouvé la mémoire ou si au contraire elle va croire que j'ai plus confiance en quelqu'un d'autre qu'elle et ainsi s'enfoncer. J'attends simplement de voir sa réaction et ses paroles maintenant.
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Tu sais bien que les gens qui ne te connaissent pas te prennent sûrement pour une enfant, une femme-enfant, quelqu'un qui a oublié de grandir, qui a oublié le respect dans le tiroir de son bureau avec certaines personnes. Mais tu te fiches de ce que pense les gens en vérité, ils t'aiment, ils ne t'aiment pas, tant mieux, tant pis. Par contre, il y a des personnes que tu ne veux pas décevoir, les gens que tu apprécies plus que tout au monde, ou déjà beaucoup plus que ta propre mère qui n'a pas hésité à t'envoyer en hôpital psychiatrique. Tu l'aimes ta mère mais tu sais que depuis que la porte de l'hôpital s'est refermée sur toi, elle a brisé un truc. Ce petit truc que tu essayes de reconstruire petit à petit, comme un oiseau qui apprend à voler. Tu sais que tu y arriveras un jour, mais pour le moment, si tu la déçois, tu t'en fous. Elle est fière de toi, du fait que tu es écrit un livre mais elle ne te dit plus qu'elle t'aime. Ton père, inconnu au bataillon. Mais après, sur le côté, dans ta tête, dans ton esprit, il y a tes amis, il y a ce flic qui te fait un peu tourner la tête et il y a Jaysaël. Jaysaël tu l'as un peu prit pour un con, tu t'en veux, mais tu lui diras jamais. Tant pis. Ce qui est passé, est passé que tu te dis dans un coin de ta tête. Tu sais que tu ne fais pas les choses à moitié et Jaysaël te le fais bien comprendre « J'ai oublié pleins de choses chez moi tu sais ! J'suis partie comme ça sur un coup de tête ! Mais ça va, je sais que tu peux pas m'en vouloir ! » Tu lui offres ton plus beau sourire en passant une main dans ta chevelure Narcisse, sors de ce corps.. Tu regardes autour de toi et tu cherches une cafetière qui n'est pas là. Bon en même temps, il est dans sa chambre pas dans la cuisine. Puis t'as jamais supporté de vivre dans une confrérie, trop petit, trop chiant et pas de cafetière dans une chambre. Lorsqu'il te dit qu'il faut que vous parliez, tu t'installes correctement, croisant tes jambes en souriant « Parlons alors » Même si tu ne sais pas de qui vous allez parler. Qu'il en avait assez de finir dans tes draps, qu'il ne voulait plus te voir ? T'en sais rien. T'attends impatiemment d'ailleurs. Le silence est pesant, tu lèves les yeux au ciel, regardant tout autour de toi, posant tes yeux sur la décoration présente. Tu lui as menti. Tu le sais. Mais, comment il l'a su, t'en sais rien. « Moi ? Te mentir ? A part l'autre jour quand je t'ai dis que c'était pas top top au lit, je pensais évidemment le contraire ! » Tu te lèves alors d'un bon avant de te planter devant lui « Tu ne m'en veux pas quand même ?! » Tu fais semblant d'être offusquée, posant une main sur ton buste, et ouvrant la bouche en forme de O. Non pas sans être amusée.
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Je ne peux réprimer un sourire à la réponse de la jeune femme, même si je lui en veux de s'être foutu de ma gueule durant ses derniers mois. Observant alors ses réactions tandis que je viens de lui dire qu'il faut parler, je fronce les sourcils en voyant qu'elle ne semble pas réaliser l'étendu du problème, surtout quand elle me répond après que je lui ai lancé que je savais qu'elle mentait... La dévisageant un instant, je recule d'un pas pour ne pas qu'elle se tienne si proche de moi. "Ouais, et prend moi encore plus pour un con. On a plus rien fait depuis un très long moment tout les deux." Je ne sais plus exactement à quand remonte notre dernière fois et si elle m'a effectivement dit cela ou pas, dans tout les cas si ça avait été le cas, cela ne m'avait nullement marqué étant donné que je ne doutais pas de mes aptitudes au lit et si réellement je n'étais pas bien, elle ne serait pas revenue vers moi à plusieurs reprises et même encore maintenant dans le but que l'on recouche encore ensemble, enfin, je n'étais même pas sûr que ça soit réellement cela qu'elle désire. "Donc dis moi, tu veux quoi ? Qu'on recouche ensemble ou bien t'as une autre idée derrière la tête ?" Je la fixe alors, attendant sa réponse, sa réaction, cherchant à savoir si elle allait encore me dire la vérité ou non, si elle allait continuer à se perdre dans ses mensonges, ses désires irréalistes. Croisant les bras sur mon torse, lui montrant ainsi une position un peu plus hostile, fermée, bien qu'aucunement menaçante. Après tout, j'ai dit qu'on allait parler, alors on va parler, puis ce n'est pas mon genre de violenter une fille même si elle me prend pour le roi des cons comme Jezabel à cet instant. "Et franchement... Tu pensais réellement que je ne saurais pas un jour ? Que j'allais resté amnésique à vie ? Franchement, je ne te pensais pas comme ça... Parce que là, j'ai l'impression que tout ce qui compte pour toi c'est ton plaisir sans que tu te soucies des autres." Je lui fais ce reproche en sachant parfaitement que quoi qu'elle pourrait me dire maintenant, je ne la croirais plus. Elle est entrée dans la case menteuse à mes yeux et si j'ai pu lui accorder ma confiance dans le passé, maintenant, elle risque de se heurter à un mur pour que je lui refasse un jour confiance... Sur ce point-là, c'est assez difficile de se faire pardonner. Surtout que là, elle m'a clairement bien fait sous-entendre par son attitude et son geste que le sexe était plus important que ma santé, ce qui n'est pas appréciable à constater et franchement, elle m'a plus que déçu, je me retient d'ailleurs de la mettre hors de ma chambre. Non, j'essaie quand même de comprendre, de lui laisser dans un sens une dernière chance sans pour autant qu'elle puisse réellement l'obtenir. Une sorte d'appât pour qu'elle s'enfonce encore plus et quand même temps, elle sache parfaitement ce que je lui reproche et qu'elle ne puisse plus me prendre la tête sur ça ensuite.
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